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Temps de lecture estimé : 15 mn
14/08/14
Résumé:  Un homme marié passe du fantasme à la réalité.
Critères:  hh médical fellation init
Auteur : Love Doctor  (Homme de 50 ans, la tête remplie de fantasmes...)

Série : Ma rencontre avec Dom

Chapitre 01 / 03
Le string mène à tout...

Pas facile de garder une sexualité épanouie après vingt ans de mariage avec la même femme. Certes, j’avais eu quelques maîtresses, mais depuis quelques mois la morosité régnait à nouveau au sein de mon couple. Je calmais mes ardeurs en regardant des vidéos X sur le net, me permettant ainsi d’explorer le monde de mes fantasmes qui devenaient de plus en plus nombreux alors que ceux de ma femme étaient inexistants selon elle.

Tenace tout de même, je tentais de la faire changer, obtenant uniquement une modification de ses dessous, en faisant disparaître petit à petit ses affreuses culottes en coton pour des parures en dentelle. Mais elle résistait toujours à l’idée de porter des strings trop inconfortables selon elle.


Je croyais l’affaire définitivement enterrée jusqu’aux derniers soldes…


Nous faisions du shopping dans une grande enseigne et, passant devant le rayon lingerie, mon regard fut attiré par un magnifique string de tulle noir d’une grande marque. Dégottant sa taille, je le lui tendis avec un regard charmeur pour qu’elle l’essaie. Avec un sourire de façade elle refroidit mes ardeurs en secouant négativement la tête.



Plus doucement, elle ajouta tout près de mon oreille :



Tel un commercial tenace, je tentai d’argumenter.



Mon air énamouré avait dû l’attendrir, mais j’aurais dû me méfier de son sourire lorsqu’elle accepta à ma grande surprise de le passer en cabine.



Devant mon air étonné elle ajouta :



Comprenant que j’étais piégé, j’acceptai un peu contre mon gré et la laissai aller choisir pour moi. Quelques minutes plus tard j’étais dans la cabine, nu, en train de passer un string en polyamide noir.

Les premières sensations étaient étonnamment agréables : fesses nues, une ficelle dans mon sillon et le sexe moulé par un tissu léger, je me sentais bien. En me regardant dans le miroir de la cabine, je me trouvai pas mal malgré ma cinquantaine débutante. Mes abdominaux n’étaient pas très toniques, mais ils ne l’avaient jamais été ; mais le reste « tenait encore la route ». Je me sentais si bien que je sentis mon sexe gonfler et j’atteignis rapidement une érection complète ; le tissu était si fin qu’on devinait les veines de la hampe. La vue était troublante et je me tournai pour admirer mes fesses séparées par une petite ficelle noire.

Excité, je me frôlai brièvement et appréciai la douceur du string et la dureté de mon sexe. Je rêvais de voir ma femme arriver à cet instant pour la prendre là, debout dans la cabine, mais elle n’en fit rien. Frustré, je quittai le string pour me vêtir et la rejoindre à la caisse.



Légèrement surprise, elle se sentit coincée et obligée de m’imiter ; elle régla les deux achats.


Les jours suivants, j’oubliai ce string qui me revint en mémoire un matin où, fouillant dans le tiroir de mes sous-vêtements, je sentis le tissu doux et fluide sous mes doigts. Avec malice, je jouai un moment avec puis le passai pour « voir ce que cela fait ». Comme dans la cabine, je me sentis bien avec, et bientôt plus que bien lorsque je passai mon jean : me sentir fesses nues sous mon pantalon m’excita aussitôt et je bandais en sortant de chez moi. Heureusement, personne ne le remarqua et cela se calma ensuite durant le trajet en voiture.


Mais toute la journée je sentis une excitation latente qui devenait parfois patente lorsque j’avais des idées coquines : la secrétaire stagiaire que je m’imaginais culbuter sur mon bureau, la DRH en tailleur que j’aurais bien prise debout dans le couloir… Bref, ce string dopait mes fantasmes ! J’étais chaud bouillant et avais hâte de rentrer chez moi pour en faire profiter ma femme. Mais comme à son habitude, elle n’était pas réceptive à mes envies et je me gardai bien de lui de lui décrire mes sous-vêtements du jour, ne voulant pas passer pour un détraqué. Je me dévêtis donc discrètement, lavant le string dans le lavabo de ma salle de bain et le faisant sécher entre les serviettes de toilette que moi seul utilisais, le laissant là en attendant une éventuelle nouvelle utilisation.


Notre sexualité reprit son rythme de croisière, c’est à dire mer d’huile et absence de vent ! Bref, mon épouse m’accordait rarement des « baises hygiéniques », et l’idée de reprendre une maîtresse me vint à l’esprit. Après tout, je n’étais pas encore trop moche ni trop vieux, et je plaisais encore si j’en croyais les sourires que j’échangeais avec les collègues féminines de la boîte. D’ailleurs, si elles savaient ce que je portais parfois sous mon pantalon, elles auraient été peut-être choquées, mais assurément surprises. Car je mettais parfois mon string lorsque j’avais envie de m’exciter incognito et sentir à nouveau ma queue durcir. Ces jours-là, il m’arrivait parfois de me caresser dans les toilettes du bureau pour me soulager avant de rentrer.


Je menais une sorte de double vie somme toute relativement sage, prenant bien garde à ne pas laisser ma femme comprendre que je portais plus souvent son achat qu’elle le sien ! Mais un jour mon secret fut dévoilé, si ce n’est à la face du monde, au moins à une personne.

Un matin comme un autre, j’arrivai au travail, et après un rapide café avec mon collègue je pris place à mon bureau où au milieu du courrier trônait une lettre officielle à mon nom. Un peu surpris, j’en pris connaissance et appris que je devais être le jour même à dix heures dans les locaux de l’infirmerie pour la visite médicale annuelle.



Mon collègue sourit, étonné.



Je fis semblant d’être ravi, mais en fait j’avais une boule d’angoisse : ce mardi était un jour avec ! Comprenez bien un jour AVEC STRING ! Je n’avais pas le temps de rentrer me changer, et j’avais deux possibilités toutes aussi gênantes l’une que l’autre : soit je garde mon string, soit je l’enlève et vais voir le médecin à poil sous mon pantalon.

Des deux maux je choisis le moindre et décidai de garder mon string. De toute manière, je garderai probablement mon bas comme à chaque fois que la médecin de travail nous examinait. La rumeur disait qu’elle se foutait de son job, étant à quelques mois de la retraite.

En fait, elle était déjà à la retraite et je le compris lorsque je vis le nouveau médecin. La vieille bique avait été remplacée par un médecin homme de trente-cinq ans environ qui m’accueillit avec une franche poignée de mains. Le contraste était saisissant et j’étais complètement perturbé à l’idée de devoir me mettre en dessous devant un mec que je voyais pour la première fois. Pour qui allait-il me prendre ? La folle du service ou le pervers fétichiste ?


Sa voix grave et son regard me franc me mirent tout de même à l’aise, et peu à peu je me détendis. Les traditionnelles questions sur mes antécédents médicaux et mes conditions de travail me firent oublier ma gêne initiale, qui revint bien vite lorsqu’il prononça la phrase redoutée :



J’ai failli dire « Non ! » et m’enfuir, mais je ne pouvais pas. Le cœur battant, je quittai ma chemise, mes chaussures, et restai debout en pantalon. Je le regardais, devant ressembler à un automobiliste qui vient de se faire attraper au radar et qui sourit au gendarme pour éviter le PV.



Le rouge aux joues, je fis glisser le pantalon, lui offrant la vue magnifique de mon string noir qui aurait pu passer pour un mini slip s’il n’avait pas fait le tour de son bureau pour voir mon poids sur la balance et ainsi découvrir mes fesses de dos… Je ne savais plus où me mettre !


Son attitude ne changea pourtant pas et il me demanda doucement de m’allonger. Pressé de masquer mes fesses, j’obéis et bientôt il procéda à un examen clinique précis et professionnel. Aucun geste ambigu, aucun regard lourd : j’étais un patient lambda. La seule différence était que j’étais en string et que bientôt mon sexe réagit comme à l’accoutumée en ces circonstances : une belle érection déforma le tissu et le médecin ne pouvait pas ne pas la voir. Je n’osais pas croiser son regard, de peur d’y lire du mépris, du dégoût ou de la moquerie. Je remarquai juste du coin de l’œil que sa bouche s’était légèrement entrouverte que ses joues étaient rosies.


L’idée de faire l’amour avec un homme m’avait parfois traversé l’esprit lors de mes vagabondages sur le net, mais je n’avais jamais encore imaginé franchir le pas. Malgré moi, je fermai les yeux et tentai de repousser les images coquines qui me vinrent. Ses doigts sur mon torse me faisaient maintenant carrément frémir et je sentais mon sexe dressé à son maximum sous mon string, le gland prêt à jaillir sous l’élastique.



J’ouvris les yeux, retombant sur Terre.



Je ris, un peu gêné, prenant conscience que cette remarque n’avait rien d’esthétique mais juste pratique.



Je souris d’un air entendu.



Je m’exécutai sous son regard qui d’un coup perdit un peu son air professionnel, et je me sentis maté, ce qui me plut, à ma grande surprise. Ce qui ne fit pas mollir mon érection que je « rangeais » avec quelque difficulté dans mon pantalon.

Assis face au médecin, j’écoutais les conclusions de son examen et ses recommandations.



Je rougis un peu en imaginant un instant qu’il faisait référence à mon sexe dressé lors de l’examen.



Je pris congé avec une nouvelle poignée de mains et tentai de prendre un air naturel en quittant l’infirmerie. Pourtant, une multitude d’images érotiques me traversaient l’esprit, et pour la première fois de ma vie l’idée de me laisser caresser par un homme prenait forme dans ma galerie de fantasmes.


Je ne regagnai pas de suite mon bureau, faisant un détour par les toilettes du dernier étage où je ne connaissais personne pour m’engouffrer rapidement dans la cabine du fond. À peine entré, je me déboutonnai fébrilement, retrouvant avec plaisir mon sexe dressé que je libérai du tissu ; le gland turgescent attira ma main et je commençai de lents mouvements de va-et-vient autour de ma hampe. Mais le désir refoulé était trop fort et ne pus me retenir longtemps, éjaculant de longs jets crémeux, masquant mes gémissements de ma main libre. Tel un ado inexpérimenté, je n’avais pu prolonger mes caresses autant que je l’aurais voulu. Je pris quelques minutes pour revenir sur Terre après une telle jouissance ; et après avoir nettoyé mon sexe débandé, je pus enfin reprendre le cours normal de mon travail, avec difficulté tout de même.


Je ne dis évidemment rien de tout cela à ma femme, précisant juste que je me raserais le torse pour un prochain ECG. Elle sourit et me proposa de prendre rendez-vous chez son esthéticienne. Je refusai, préférant me raser plutôt que subir les affres des bandes de cire, étant donnée la surface à traiter…

Je fis le bilan sanguin demandé, à peine étonné de lire « sérologie HIV » sur l’ordonnance, me disant que cela devait faire partie du bilan complet standard.

Et dans la foulée, je pris rendez-vous auprès du secrétariat du médecin dont je ne retins que le prénom : Dom.

La secrétaire me précisa que le rendez-vous durerait une heure.



« Tu te fais des idées, mon pauvre ! » je me dis en raccrochant. Et je choisis le mercredi suivant, sachant que ma femme partait deux jours en formation et que j’aurais ainsi plus de liberté au cas où… et que je me serais rasé le torse le lundi soir.


Le jour dit, je rentrai chez moi me doucher et me changer, un peu anxieux tout de même. Je choisis malicieusement à nouveau le string noir pour me présenter devant le médecin ; l’effet fut radical et je bandais sévère dans les minutes qui suivirent !

Assis dans la salle d’attente vide et silencieuse (où était la secrétaire ?), je tentais de maîtriser les battements de mon cœur, tout de même troublé par l’excitation quasi permanente de mon sexe à demi bandé sous mes vêtements. La porte du cabinet s’ouvrit et le médecin apparut ; il ne portait pas la blouse du premier examen et était en jean et chemise ; je dus admettre que c’était un beau mec : brun, cheveux bouclés, yeux marrons et sourire ravageur, il devait avoir du succès.



Je me levai pour répondre a son salut, et après la poignée de mains il me laissa entrer dans son cabinet chaleureux tout en boiseries. Il revint quelques instants plus tard, me précisant avoir fermé la porte « car vous êtes le dernier patient ». À peine surpris par cette précision, je pris place en face de lui.



Ému comme un puceau devant sa première petite amie, je me déshabillai, les gestes non maîtrisés, pour me retrouver vite en string comme lors de la première visite. Cette fois, son attitude était différente, moins impersonnelle. Je sentais les yeux parcourir mon corps pour s’arrêter au niveau de mon string déjà déformé par mon sexe tendu. Je croisai son regard et compris en un instant que la consultation allait être différente.

Sans un mot supplémentaire de sa part, je pris place sur le divan, attendant la suite avec angoisse et excitation mêlées. Cette fois son regard sur moi avait changé et je compris à son sourire qu’il appréciait mon torse rasé.



Il préparait son appareil je me sentais comme une proie qui savait qu’elle allait être dévorée, mais ignorait quand. Cruelle torture !



C’était frais plutôt que froid, et relativement agréable, compte tenu de la chaleur ambiante dans le cabinet. Il étala la crème sans douceur excessive, mais mes tétons se dressèrent à ce contact nouveau et je rougis un peu, comprenant l’excitation qui me gagnait. Il le vit mais ne fit aucune remarque, terminant la préparation de l’ECG.

L’examen dura juste quelques minutes et il me débrancha pour faire la lecture du tracé sans me demander de me lever. Je restai donc allongé en string, le torse maculé de gel, attendant qu’il me donne des consignes pour la suite.

Il releva les yeux, et dans un magnifique sourire me rassura :



Il s’approcha, du papier à la main pour enlever les traces de l’enregistrement. Il se colla presque au divan pour être très près de moi, et les yeux dans les miens il commença à nettoyer ma peau avec une douceur féminine. Mon cœur s’emballa et je ne protestai pas, comprenant à ce moment-là qu’un pas venait d’être franchi.

Toujours silencieux, il ôta le maximum de gel en caressant mes pectoraux, ignorant mes seins dont l’excitation ne pouvait lui échapper. Il jeta le papier souillé et posa sa main sur un de mes mamelons.

Je frémis sans protester ni m’enfuir.



Cette fois, la question ne concernait pas le rasage de mon torse ; mais sans en dire davantage…



Il caressait légèrement mon torse maintenant, me faisant frissonner. Il prenait a priori aussi du plaisir car il avait le regard brillant et le souffle plus rapide. De mon côté, je sentais mon sexe prêt à exploser dans le string. Il le comprit, me sourit et frôla du bout des doigts mon ventre imberbe désormais pour atteindre mon pubis à la limite du fin tissu, dernier obstacle avant d’atteindre ma virilité.



Le tutoiement s’imposait désormais.



Je ne répondis pas de suite et gémis lorsqu’il frôla mon sexe. Le tissu était si fin qu’on pouvait deviner le moulage parfait du gland et de la hampe. Sa caresse se fit plus pressante et je me crispai un peu.



À ces mots, il eut un sourire carnassier et saisit mon sexe à travers le string avec douceur, me faisant me cambrer. J’étais à sa merci désormais. Il prolongea sa caresse avec délectation, me masturbant doucement en me dévisageant. J’étais déjà ailleurs et il profita de son avantage. Il se pencha vers mon torse et posa sa bouche sur ma peau, sa langue large trouvant rapidement un de mes seins. Je gémis, conquis par cette langue experte qui dégotta une pointe libre de tout poil pour jouer avec : frôlée, léchée, mordillée, aspirée.


J’aurais joui immédiatement si je ne m’étais pas caressé la veille pour évacuer la tension sexuelle accumulée ces derniers jours. Ses yeux brillaient de désir, et il releva le visage pour tenter de m’embrasser. Je le repoussai doucement, pas encore prêt dans ma tête pour ce genre de caresse, même s’il tenait ma queue dans sa main. Il n’en prit a priori pas ombrage et aspira à nouveau un sein tandis qu’il libérait mon sexe tendu de toute entrave.

Sans être monté comme un taureau, mon sexe en érection sembla lui plaire et il l’empoigna en gémissant pour me masturber doucement. Pour la première fois de ma vie, un homme me caressait, et j’y prenais du plaisir.

Il me sourit et commença un monologue que je n’osai interrompre :



Je me sentais soumis à mon désir, et ces phrases un peu ridicules, loin de me faire rire, m’excitaient davantage. Il continuait de me masturber doucement, frôlant à chaque mouvement mon gland de son pouce, déclenchant ainsi des ondes de désir.



Les yeux dans les siens, je dis doucement :



Sa bouche glissa alors sur mon ventre pour rapidement atteindre ma toison pubienne. J’aurais pu tout arrêter là avant d’aller plus loin, mais en fait j’en crevais d’envie. Il huma mon odeur de mâle et, évitant mon sexe dressé, commença à lécher mes testicules avec une douceur presque féminine. Pas friand de ces caresses avec mes maîtresses précédentes, je découvrais avec bonheur que cette zone pouvait me procurer d’agréables sensations aussi. Sa main me masturbait toujours, mais bientôt sa bouche remonta le long de la hampe pour parfaire sa caresse.


Avant d’aller plus loin, il me fixa en silence, et le cœur battant je fermai les yeux en guise d’acceptation. Il gémit de plus belle et enfourna d’une traite mon sexe dans sa bouche humide. Je criai de surprise et de plaisir, me crispant sur le divan pour ne pas jouir.

Sa main reprit mon sexe à la base pour le maintenir tandis que sa bouche me suçait avec une lenteur exaspérante. Il serra mon gland entre ses lèvres pour mieux enfouir mon sexe dans sa bouche où sa langue prit le relais. Langue large virevoltant autour du gland, alternant avec des succions. Je n’avais jamais été sucé comme cela. Je me sentais aspiré dans un tourbillon de sensations.


J’étais aussi immobile que s’il m’avait attaché à son divan d’examen. Les mains crispées sur le cuir froid, je n’osais aucun geste vers lui, tétanisé par les sensations. Son expérience entre mecs lui permettait de chercher et de trouver presque à coup sûr la caresse qui me rendait dingue, et je gémis bientôt sans interruption. Ses gestes étaient sûrs et décidés.

Il me masturbait d’une main et de l’autre caressait puis pinçait mon sein dressé. Sa main libre remonta vers mon sein et le pinça avec vigueur. Loin de me faire mal, cette caresse virile augmenta mon plaisir et je sentis que je ne pourrais plus tenir longtemps.



Je repoussai doucement sa tête de mon sexe mais il résista, me faisant comprendre que c’était lui qui menait la danse. Vaincu, je ne résistai plus, et aux mouvements de mon bassin allant à la rencontre de sa bouche il comprit que j’allais jouir. Mon sexe gonfla une dernière fois entre ses lèvres ; il eut juste le temps de s’écarter tandis que je jouissais dans un cri rauque, lâchant de longs jets de sperme épais qui souillèrent le sol de son cabinet. Ma queue tressautait sur mon ventre dans un dernier spasme de plaisir, et Dom recueillit les dernières gouttes du bout de la langue, me faisant gémir.

Le souffle court, en sueur, je tentais de reprendre pied et ne savais quoi dire ; il respecta mon silence. C’est lui qui me « sauva » en parlant en premier avec un trait d’humour :



Je fus obligé de rire et je lui fus reconnaissant de ne rien m’imposer car j’étais trop ailleurs pour assurer une réciprocité. Il s’écarta du divan pour ne pas « m’étouffer » et alla se rincer discrètement la bouche tandis que je rajustais mon sexe ramolli dans mon string. Je le regardai avec probablement de la candeur car il devint sérieux et crut être obligé de se justifier :



Je n’étais pas obligé de le croire, mais je le laissai poursuivre.



Il prit une carte sur son bureau et me la tendit.



Rhabillé, debout, je ne savais quoi faire ni dire. Je pris juste la carte en murmurant :



Il posa son doigt sur ma bouche pour m’empêcher d’ajouter quelque chose, et sur le pas de sa porte je pris congé en lui serrant la main avec une virilité pleine de promesses.