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n° 16361Fiche technique36903 caractères36903
Temps de lecture estimé : 21 mn
15/08/14
Résumé:  Eté 2010... J'avais 20 ans, étais encore étudiant et je découvrais les joies d'être invité à dormir chez un ami...
Critères:  f fh fépilée voir exhib hmast anulingus pénétratio init
Auteur : Taz  (Zat)            Envoi mini-message

Série : Eté 2010

Chapitre 01
La mère de Thomas

J’avais 21 ans, j’étais encore étudiant.

Ce récit est en partie réel, et en partie imaginé, je vous laisse démêler le vrai du faux dans cette histoire.




Vendredi 25 juin



Enfin, cette année de cours se termine, les épreuves sont terminées, il n’y a plus qu’à attendre les résultats. Ce soir, on arrose ça chez Thomas. Il nous a invités à venir passer la soirée chez lui autour de la piscine familiale. Ça fait quelques années que je connais Thomas et nous sommes devenus de bons amis l’an passé. C’est LA fête de l’année à ne pas manquer, il vit dans une belle et grande maison en campagne et il y aura tout ce qu’il faut, de la musique, de la bière et les filles autour desquelles je tourne depuis le début de l’année.



-- 18 h --


J’arrive chez Thomas de bonne heure pour l’aider à préparer, je gare ma vieille voiture dans la cours et m’approche de la porte. Je sonne. Quelques secondes plus tard, je suis accueilli par la mère de Thomas, Anne, une très jolie femme blonde, la quarantaine épanouie, qui m’ouvre la porte en maillot et en m’offrant un large sourire.

J’en perds tous mes moyens et bafouille un « Euh, bonsoir madame ! » qui élargit encore son sourire.



Je la suis à travers la maison et je ne peux m’empêcher de regarder ses fesses dans son petit maillot de bain bleu. Nous arrivons dans le jardin où je retrouve mon pote Thomas à faire des calculs d’apothicaire avec son père afin d’obtenir un punch réussi. Anne regagne le bord de la piscine, je la quitte à regret et me dirige vers eux. Patrick, le père de Thomas, me salue et me laisse avec Thomas.


Commencent alors les vrais préparatifs, je recule ma voiture, sors la « sono » et m’attaque aux câblages des enceintes, je branche mon ordinateur portable où est stockée ma collection de musique, fais deux trois tests de son, pousse un peu le volume sur deux trois chansons et voilà qu’Anne réapparaît, toujours en bikini et elle commence à se trémousser.



Patrick en profite pour sortir son portable de sa poche.



Elle éclate de rire, et moi derrière ma sono, je ne perds pas une miette du spectacle…



À contrecœur j’arrête la musique, Anne se retourne vers moi.



Et je leur balance « Boys, boys, boys » de Sabrina. Madame est aux anges. Monsieur aussi. J’ai l’impression que ça leur rappelle quelques souvenirs. Nous les voyons se déhancher et chanter à tue-tête sur ce vieux tube.



Anne est une jolie quarantenaire, environ 1,60 m. Elle a la silhouette athlétique des femmes qui entretiennent leur corps. Ses fesses, rebondies et musclées à la fois, ses jambes effilées, sa poitrine ferme, son ventre plat, sa peau qui paraît si douce et soyeuse, complètent le portrait de cette femme que je trouve ravissante.

Elle se prend de plus en plus au jeu de la musique qui défile, et là je l’aperçois qui entame une danse du ventre en se tenant la poitrine, mimant la chorégraphie de Sabrina, en direction de son mari. J’hallucine et je la trouve décidément très charmante, la mère de Thomas, mais ça doit commencer à se voir, Thomas me regarde bizarrement.

Patrick, quant à lui semble, apprécier le spectacle, il sort à nouveau son portable et clic, une nouvelle photo de sa jolie femme dans la boîte.


Je me remets à fouiller dans mes câbles et ma collection de musique pour me redonner une contenance, mais je continue à l’observer du coin de l’œil. La musique prend fin, Patrick redit à sa femme qu’il est l’heure. Elle quitte la piste à son grand regret… et au mien.



Anne sort du jardin en roulant des fesses devant son mari, je le vois qui reprend une photo de la jolie croupe de sa femme. Je suis aux premières loges et ne manque rien du spectacle. Patrick se retourne vers moi et m’adresse un grand clin d’œil en me désignant les fesses de sa femme. Je suis estomaqué, non seulement il a vu que je la regardais, mais en plus il en rajoute. Je deviens rouge comme une pivoine. Thomas n’a rien vu de la scène, il est reparti chercher des verres et commence à dresser la table.


Je voudrais me cacher sous la table…

Pourquoi m’a-t-il adressé ce clin d’œil ? A-t-il voulu me prouver qu’il n’était pas dupe et m’avait grillé depuis le début ? Mon imagination file à toute allure, je revois les petites fesses d’Anne dans son bikini et me dis que Patrick a beaucoup de chance. Toujours est-il que je remets une fois de plus le nez dans mes câbles et ma collection audio pour me calmer en espérant que Thomas ne remarque rien.



Je commençais tout juste à me calmer et la revoilà dans mon imagination, nue, sous la douche. Je n’y résiste pas.



Thomas, toujours avec ses verres me répond :



Me voilà reparti dans la maison, je ne sais pas ce que j’espère, juste apercevoir une image furtive d’Anne sous la douche peut-être, l’entendre… Je ne sais pas.

Patrick est dans la cuisine, il m’aperçoit.



J’aperçois un petit rictus au coin de ses lèvres. Il le fait exprès, ce n’est pas possible, il sait très bien pourquoi je suis là. Je ne peux pas revenir en arrière, j’y vais.


J’avance aux toilettes, je passe à côté de la salle de bains, j’entends la douche couler et Anne chantonner « Boys, boys, boys ». Je ne peux m’empêcher de l’imaginer jouer avec ses seins sous la douche en ce moment même de l’autre côté de la cloison.

Patrick la rejoint dans la salle de bain, il lui dit quelque chose que je n’entends pas et ressort. Je pense aussitôt au fait que la porte n’est pas fermée, j’imagine aussitôt trente scénarii improbables qui me permettront de rentrer dans la salle de bains et de feindre de l’avoir fait innocemment. Puis je me raisonne et décide de sortir des toilettes sans rien tenter.

Je sors, et là, surprise, Patrick a laissé la porte entrebâillée. Je n’ai rien d’autre à faire que de rester dans le couloir et observer le spectacle.


Elle est encore sous la douche et continue sur le même refrain. Je la vois jouer avec sa poitrine, onduler du bassin, ses lèvres forment un O en forme de baiser qu’elle s’envoie à elle-même dans le miroir. Par chance le couloir est sombre, je fais mon possible pour bouger le moins possible, de cette façon elle ne devrait pas me remarquer.

J’adore sa peau, elle est sublime légèrement satinée et à l’air si douce. Ses fesses et sa poitrine, que je n’avais pu admirer jusqu’alors qu’au travers de son bikini, sont blanches, fermes et soyeuses. Je commence à me sentir à l’étroit dans mon caleçon !

C’est alors qu’elle se retourne, me laissant apparaître son petit minou, qu’il conviendrait d’ailleurs d’appeler différemment. En effet Anne est totalement épilée, cela ressemble plus à un petit abricot. C’est la première fois que je vois une femme avec le sexe complètement lisse, l’eau qui ruisselle sur son corps ne fait qu’ajouter à l’érotisme de la scène.


Quant à elle, elle ne m’a pas vu, elle continue son « Boys, boys, boys » en ondulant des fesses, puis je vois sa main lentement glisser vers son sexe. Elle se savonne, mais j’ai la nette impression que sa main reste longuement sur son sexe, elle écarte les lèvres, laissant apparaître son clito tout rose, puis je vois un de ses doigts glisser entre ses lèvres et lentement disparaître dans son intimité.

N’y tenant plus je commence à me caresser. Son autre main joue avec sa poitrine, l’eau continue de couler sur son corps. Ses joues commencent à rosir et les ondulations de son bassin s’accentuent en mouvements saccadés sur l’unique doigt qu’elle maintient au fond de sa chatte. J’ai envie de sortir ma queue et de me masturber, mais ce serait trop risqué ici, je continue malgré tout à regarder ce spectacle inattendu.


D’un coup son corps se contracte, elle serre les cuisses autour de sa main et soupire profondément.



Elle reprend lentement ses esprits, et entame alors le savonnage de tout son corps, elle passe et repasse sur sa petite chatte. Elle se retourne à nouveau et j’ai la chance de voir ses fesses alors qu’elle les frotte énergiquement.

Elle écarte sa fesse droite afin de bien laver toutes ses parties intimes. Si j’osais, j’entrerais même lui donner quelques conseils afin qu’elle n’oublie rien. J’aperçois sa petite rondelle, toute rose elle aussi, entre deux coups de gant.

Je ne sais pas quelle partie du show j’ai le plus apprécié finalement, la masturbation ou le lavage ?


Puis, je la vois reposer le gant et fermer l’eau.



Putain, je l’avais complètement oublié lui !

J’essaie tant bien que mal de cacher la bosse qui déforme mon caleçon et traverse le couloir. Je le croise juste lorsqu’il sort de la cuisine alors qu’il se dirige vers la salle de bain.

Je suis cramoisi, il a forcément vu que la porte de la salle de bain était entrouverte.



Mais ce n’est pas facile de se donner une contenance lorsqu’on a un caleçon déformé, le visage empourpré et les yeux encore brillants de désir.

Il a encore son rictus au coin des lèvres.



Je n’ai pas, mais alors pas envie du tout d’entamer ce genre de conversation ici et maintenant.



Ouf, sauvé par le gong !



Et il me destine le même clin d’œil que tout à l’heure. Ne trouvant rien à répondre, j’éclate d’un rire qui sonne aussi faux qu’une fanfare municipale. Je cours essayer de me trouver une cachette dans le jardin.


Thomas m’interpelle :



J’essaie de couper court à ses interrogations.



Voilà ce que je craignais, il faut que j’y retourne. Je le craignais mais en même temps j’espérais trouver une excuse qui me permettrait de voir Anne à nouveau. J’arrive dans la cuisine et me mets à chercher dans tous les placards, les portes claquent. Soudain j’entends Anne qui me demande :



Là, je manque de m’étrangler. Anne est devant moi, habillée seulement d’une serviette, entourée autour de ses seins et qui descend jusqu’en haut de ses cuisses. Une autre serviette est nouée dans ses cheveux pour les sécher. Elle est encore plus belle comme ça, sa gorge, son cou et ses épaules toutes dégagées.

J’en suis bouche bée et reste planté là à la regarder pendant quelques secondes.



Elle s’approche de moi, me demande de me pousser, ouvre la porte du placard en question, et machinalement elle se penche pour prendre une pile d’assiettes. J’ai une vue imprenable sur ses fesses magnifiques et les lèvres toutes roses et lisses de son abricot, et tout cela à portée de main. Je me prends à rêver de pouvoir m’approcher encore, poser mes mains sur son corps et m’insinuer dans son intimité…

Mais la belle a dû sentir mon émoi, ou simplement se rendre compte de la vue qu’elle m’avait offerte, car elle réajuste sa position et s’accroupit dans une position plus décente.

Elle se retourne et me demande :



J’essaie de reprendre mes esprits :



Je la vois alors qui écarquille les yeux en regardant mon caleçon. Accroupie devant moi, il faut dire qu’elle ne pouvait pas manquer mon début d’érection.

Elle se retourne vers sa pile d’assiettes, visiblement gênée, les attrape, se relève et me les tend. Mes mains effleurent les siennes quand elle les y dépose. Ce contact me fait l’effet d’une décharge électrique. Je la sens elle aussi troublée et il me semble que ses mains s’attardent un peu plus longtemps qu’elles ne le devraient dans les miennes. Ou alors est-ce mon imagination ? Ce n’est pas impossible…

J’aimerais que ce moment dure des heures…



Je ne sais pas si elle saisit le double sens de mon merci.



Ses joues commencent à rosir, elle m’envoie son plus grand sourire. Je suis subjugué.



Elle tourne les talons et sort de la cuisine. Je retourne au jardin aider Thomas à dresser la table. Il est toujours à fond dans la préparation et est à cent lieues de penser que sa mère suscite un tel émoi en moi.




-- 19 h --



Anne sort de la maison à cloche-pied en finissant de serrer la boucle de sa chaussure droite.

Elle porte une magnifique robe noire qui lui descend juste au-dessus du genou et dont un côté est fendu jusqu’en haut de ses cuisses avec un effet plissé. Le décolleté de la robe est sexy sans être vulgaire et le dos est nu, si ce n’est les deux bretelles qui se referment derrière son cou.


J’adore ce type de robe car, à moins d’une énorme faute de goût, les femmes qui les portent se doivent de se passer de soutien-gorge, pour le plus grand plaisir des hommes qui les côtoient.

J’adore aussi les femmes qui serrent leurs boucles de chaussure…

Et quand une belle femme, habillée d’une robe décolletée, sans soutien-gorge, resserre ses boucles de chaussures, le spectacle est au rendez-vous.


Voici que pour la troisième fois de la journée, je peux apprécier les formes magnifiques de la mère de Thomas. Sa belle poitrine ferme oscille et je ne manque pas une miette de chacun des balancements des deux globes dans son giron.


Le spectacle est fini, la boucle est bouclée…

Elle se reprend et réajuste sa robe. Patrick la gratifie d’un magnifique sifflement



Il sort à nouveau son portable et la photographie.



Puis elle s’approche de Thomas et moi. Le tissu léger de sa robe épouse parfaitement les courbes de son corps et accentue la sensualité de chacun de ses mouvements. Elle est maquillée, coiffée, parfumée, en un mot, resplendissante.


Le trouble qui règne en moi est à son comble. Je feins l’indifférence et continue de dresser la table.


Elle se dirige vers Thomas et lui fait un énorme bisou sonore en lui souhaitant bonne soirée. Thomas n’aime pas ça : embrassé par sa mère devant son copain, comme un gamin de huit ans !



Puis elle se dirige vers moi et me réserve le même traitement. Elle m’embrasse et me souhaite bonne soirée. Elle repart à sa voiture.



Je ne m’attendais pas à ce qu’elle vienne m’embrasser. Mais, bien que fugace, ce baiser m’a permis de sentir sa poitrine collée contre moi. Il m’a encore semblé que ce contact était un peu plus appuyé qu’il n’aurait dû l’être. Décidément, chaque fois qu’elle s’approche, mon trouble s’accentue.

Elle arrive à la voiture dont Patrick a déjà démarré le moteur. Elle s’assied sur son siège, remonte sa jupe afin d’enfiler ses jambes dans la voiture. Je ne sais pas si les constructeurs de voiture le font sciemment, mais toujours est-il qu’il est impossible pour une femme d’entrer dans une voiture avec une robe serrée sans offrir une vue de son entrejambe à tous les voyeurs des environs.

Anne m’offre un jeu de jambes unique, digne de Sharon Stone, pour se glisser dans son siège, l’espace d’un instant j’aperçois le haut de ses cuisses et un joli string en dentelles, noir lui aussi. Elle me fait chavirer.

Lorsque que je relève la tête, elle me regarde droit dans les yeux et nous lance un « À tout à l’heure » en envoyant un baiser avec sa main dans notre direction.


Plus aucun doute n’est permis, elle m’a vu, elle sait !



Nous finissons de préparer la table, Thomas à fond dans son organisation et moi perdu dans toutes les images d’Anne qui tournent dans ma tête.




-- 20 h --


Les convives arrivent, ce soir la parité est parfaitement respectée, neuf filles et neuf garçons. En revanche parité ne signifie pas égalité en matière de séduction et je ne fais pas partie des Don Juan auxquels les filles s’intéressent généralement. Je m’apprête donc à passer ma soirée seul, derrière ma table de DJ.


La soirée débute autour du punch préparé par Thomas et son père, il est bon mais traître et l’alcool fait rapidement son effet sur tous les invités. Quant à notre hôte, Thomas, je l’observe du coin de l’œil, et au rythme auquel il enchaîne les verres, il risque de ne pas tenir longtemps.


Je n’arrive pas à me mettre dans l’ambiance de cette fête, pourtant tous mes amis sont là. Mais je ne pense qu’à elle : Anne, à ses formes généreuses, à sa peau douce et satinée, à son petit abricot tout rose et lisse, ses seins magnifiques, et ses fesses à se damner.

Rien qu’en évoquant ce souvenir, j’ai à nouveau un début d’érection, heureusement, caché derrière ma table de DJ, j’arrive à masquer mon émoi.


Je ne peux m’empêcher de repenser à l’équivoque des différents épisodes de l’après-midi. Le regard qu’Anne m’a lancé alors que je la regardais monter dans la voiture ne me laisse aucun doute sur le fait que j’ai été pris sur le fait. Cette situation me gêne vraiment, si elle venait à en parler à Thomas, ou pire, à Patrick, j’aurais probablement la honte de ma vie.

D’autant plus que Thomas m’a invité à dormir chez lui cette nuit après la fête, car nous nous rendons le lendemain à un festival de musique. Il faudra à tous prix que je les évite demain au réveil.

Par contre je ne me connaissais pas ce côté voyeur, je trouve cela terriblement excitant de regarder une si jolie femme, naturellement belle et sexy.




-- 1 h --


Je suis perdu dans mes pensées lorsque Julie, une des convives, vient me chercher, catastrophée.



Je cours rejoindre Thomas, un petit attroupement s’est formé dans le couloir. Les garçons, bêtes et saouls, comme à leur habitude, se piaffent en regardant Thomas alors que les filles manquent de tourner de l’œil. Je leur demande de s’en aller.

Il est une heure du matin, et je me retrouve à aller coucher Thomas, en essayant de le déshabiller tant bien que mal, dans son lit. Et dire que je vais devoir dormir dans sa chambre dans quelques heures, j’en frémis d’avance.

Une fois que je l’ai couché, je dois encore nettoyer ses catastrophes…



Je cherche de quoi nettoyer tout ça, j’entre dans la salle de bain et fouille un peu partout afin de trouver une serviette. Sur les portes manteaux, pas de serviettes, en revanche, j’aperçois une jolie petite (très petite) nuisette en satin, avec un liseré de dentelles en bas, j’esquisse un sourire et me dis que je n’ai pas le temps. J’ouvre un premier placard, la corbeille de linge sale, je referme. Deuxième placard, ça y est voilà les serviettes. J’en attrape une et repars nettoyer.

Pendant que je frotte, une image flash me revient, la corbeille de linge sale. Il y avait, sur le haut du linge un string rouge jeté en vrac. Je ne pense plus qu’à ça… Il faut dire que cette image est nettement plus agréable que ce que j’effectue en ce moment.


Une fois le nettoyage terminé, je repars à la salle de bains, j’ouvre le placard, trouve la corbeille de linge sale. Le string d’Anne est là, comme une offrande. Je n’y résiste pas, je l’attrape et y plonge mes narines.

J’ai l’impression de m’être emparé du Graal. Ce moment est merveilleux, je me trouve au milieu des affaires d’Anne, dans son intimité. Je la revois sous la douche, son corps sublime. Avec son string dans les mains, j’ai maintenant l’impression que je connais tout d’elle.

Je reste quelques secondes à contempler, humer, goûter ces trésors, mais je dois me résoudre à sortir de la salle de bains. Je repose le string sur le reste du linge et sors. J’aurais aimé l’enfouir dans ma poche mais j’ai trop peur qu’ils s’en aperçoivent.


Dehors, la musique s’est arrêtée et l’ambiance est complètement retombée. « Merci Thomas », me dis-je. Les plus téméraires parlent d’aller finir la soirée en boîte de nuit. Les autres pensent à rentrer se coucher.

Moi je suis bloqué là, à jouer les garde-malade.


Ils viennent tous me saluer, les uns après les autres :



Et ils partent, tous. Pas un pour rester m’aider.

N’ayant plus rien d’autre à faire, je commence à ranger. Soudain, des phares apparaissent dans la cour, Anne et Patrick rentrent enfin.

Je peste, je me dis qu’ils auraient été là dix minutes plus tôt, ils se seraient occupés de leur rejeton et moi je serais parti avec les autres.


Puis Anne descends, et je ne peste plus du tout…

Apparemment elle aussi a un peu trop bu, sa démarche et ses yeux brillants le dénotent. Ils viennent vers moi :



Je leur relate la soirée et les exploits de leur fils ! Ils ont l’air de s’en moquer comme de l’an 40.



Anne essaie de protester, elle dit que ça va très bien et qu’elle est prête à le prouver, Patrick lui demande alors de faire cinq mètres en ligne droite. Elle accepte et se lance, au bout de trois pas, elle titube sur ses talons hauts. Je me précipite pour la rattraper, de justesse, nous tombons tous les deux.

Elle m’est tombée dessus, sa jupe s’est relevée et ses fesses sont presque entièrement découvertes. Je la sens, tout contre moi, presque nue tant le tissu de sa robe est fin. Grâce à la pénombre qui règne dans le jardin, je profite de ces quelques moments pour laisser mes mains explorer son corps. Je la soutiens par dessous les bras en frôlant ses seins, je la tiens par la taille en glissant sur ses fesses, le contact de sa peau nue m’électrise et je ne peux réprimer quelques mouvements de bassin. Heureusement elle a trop bu et ne s’en aperçoit pas.


Patrick nous regarde, amusé.



Je deviens à nouveau rouge comme une pivoine, heureusement qu’il fait noir. Anne proteste que ce n’est pas vrai, mais qu’il se pourrait que peut-être, effectivement, elle ait un ou deux verres de trop.

Patrick lui tend la main pour la relever, je l’aide en la soutenant par la taille. Patrick m’adresse à nouveau un clin d’œil, puis il me dit :



Il sort son portable, et prend en photo la moue que sa compagne vient d’effectuer.



Ils filent vers la maison. Je les suis quelques minutes plus tard.


Quand j’arrive dans le couloir, je les entends discuter dans la salle de bain, j’allume la lumière. Au même instant, la porte de la salle de bains s’ouvre, et Anne en sort, habillée de la petite nuisette que j’avais vue, accrochée au porte-manteau. J’ai la confirmation de ce que j’avais vu dans la salle de bain : la nuisette est sexy et très (très) courte.


Anne me voit, elle essaie de tirer sur le bas de sa nuisette tant elle se sent impudique. Ceci me confirme une deuxième chose, Anne ne met pas de culotte pour dormir. En tirant sur sa nuisette, l’un de ses tétons est sorti de sa cachette.

Elle a suivi mon regard et s’est aperçue de ce qui avait attiré mon attention. Elle me sourit, gênée, et s’engouffre dans sa chambre le plus vite possible, j’ai juste le temps d’apercevoir ses jolies fesses qui oscillent sous sa nuisette.

Patrick sort à son tour et me surprend encore une fois en train de mater sa femme. Il me sourit simplement, me tape sur l’épaule et me dit :



Je me dis qu’il a de la chance et que je donnerais cher pour être à sa place en ce moment.

J’ouvre la porte de la chambre, il y règne une odeur pestilentielle et Thomas ronfle autant qu’un Boeing 747 en phase de décollage. J’en pleurerais…


Pas facile de trouver le sommeil dans ces conditions… J’essaie de siffler pour calmer ses ronflements mais rien n’y fait, d’autant que le corps d’Anne me hante.

J’ai soif, je décide de me relever pour aller chercher un verre d’eau. Arrivé dans le couloir, je perçois un rai de lumière. Je laisse le couloir éteint. J’avance à pas de loup, je dois avouer que je n’avais pas vraiment soif, mais le prétexte me semblait acceptable pour continuer à arpenter la maison.


La chambre des parents de Thomas est encore éclairée et la porte n’est pas close. Je m’avance lentement et pousse un peu le battant en priant pour que la porte ne grince pas. Le ciel est avec moi, la porte s’ouvre lentement et sans un bruit. Le spectacle que je découvre est magnifique.


Je me découvrais voyeur un peu plus tôt, je trouve que j’apprends très vite, cela est terriblement excitant. Anne est allongée sur le ventre sur le lit, la tête dans l’oreiller ce qui me permet d’avoir une vision parfaite sur ses jambes et ses fesses. Patrick est sur le côté, il lui caresse les fesses et le bas du dos. À chacune de ses caresses, la nuisette remonte un peu plus.

Anne a maintenant les fesses entièrement découvertes. Elle écarte un peu les jambes, sa chatte est trempée. Sa main glisse jusqu’à son sexe, elle s’écarte les lèvres et commence à jouer avec son clitoris. Son bassin accentue le pouvoir de ses caresses en ondulant de bas en haut, afin que ses doigts coulissent plus profondément en elle.

Patrick lui masse l’anus, d’abord avec un doigt, qu’il a pris soin d’humecter de sa salive, il fait le tour de sa petite rondelle. Elle semble apprécier, les mouvements de sa main sur sa chatte s’accentuent. Puis Patrick lui écarte les fesses et vient se placer juste au-dessus.

Il attrape son téléphone portable et la prend à nouveau en photo. Elle proteste :



La position que j’occupe dans la porte m’offre une vision parfaite d’Anne si impudique et offerte en ce moment, mais je donnerais cher pour donner un coup d’œil aux clichés que vient de faire Patrick. Me sentant trop à l’étroit dans mon caleçon, je sors ma queue et commence à me caresser. J’aimerais moi aussi la sentir sous mes doigts, masser ses fesses, goûter sa chatte, téter ses seins…


Patrick commence à lui lécher l’anus, je la vois tendre son cul. Les mains de Patrick ont rejoint celle de sa femme, dont il accompagne les caresses. Elle se retourne, se met à genoux, et se jette sur la bite de Patrick qu’elle avale d’un seul coup, il rejette sa tête en arrière de plaisir.


N’y tenant plus, je vais à la salle de bain chercher le string d’Anne. Avec joie, je découvre le string noir qu’elle portait ce soir sur le haut de la corbeille. Je le prends et retourne à mon poste d’observation. Le string est encore tout chaud et porte les effluves de sa propriétaire, je me délecte de son odeur musquée et encore moite.


À mon retour, Anne s’est mise à lécher les couilles de son mari, elle le couche, dos sur leur lit, et continue à le lécher, le cul en l’air face à moi. Les lèvres de sa chatte toute lisse sont gonflées de plaisir, elle continue à se caresser, et j’aperçois ses doigts qui montent et descendent de son cul à son clitoris.

J’ai enroulé son string autour de ma queue, et je me branle maintenant en les regardant.


Sentant son mari proche de l’explosion, Anne se relève et vient se mettre à califourchon sur lui. Elle s’empale sur sa queue qui coulisse en elle sans aucune difficulté. Elle entame aussitôt des mouvements de bassin secs et violents auxquels Patrick répond en se mettant en action à son tour.

Après quelques minutes de ce traitement, je la vois qui se contracte convulsivement à plusieurs reprises, un cri rauque sort de sa gorge et elle s’effondre sur son mari. Son anus se contracte et se relâche à chacun de ses spasmes, prouvant que son plaisir a été intense.

Patrick continue de la pilonner, les fesses de la belle qui rebondissent sous les assauts de son mari.


Je ne tiens plus, j’explose dans son string et y répands mon foutre. Patrick jouit lui aussi, en elle, les deux amants s’enlacent et s’embrassent pendant de longues secondes.


Anne se relève, le sperme de son mari coule de sa chatte. Son petit abricot rose est devenu bien rouge et gonflé maintenant. Elle se dirige vers la porte. J’ai juste le temps de courir me cacher dans la cuisine, fort heureusement elle est partie de l’autre côté, vers la salle de bains.

J’essuie ma verge avec son string et remonte mon caleçon. Puis j’attends que plus rien ne bouge.

Anne regagne sa chambre. Je remonte le couloir à pas feutrés pour rejoindre la chambre de Thomas.

En passant devant leur chambre, j’entends Anne et Patrick discuter :



C’est la seule réponse qu’il a de sa part, elle éteint la lumière. Je regagne la chambre de Thomas, au passage je retourne dans la salle de bains jeter le string d’Anne dans la corbeille, j’essaie de l’enfouir sous les autres habits.




-- 3 h --


Je me couche, j’ai finalement eu la confirmation de mes craintes. Ils ont bien vu toute la journée que je regardais Anne, par contre ils ne m’ont pas vu observer leurs ébats, il va falloir faire profil bas au petit déjeuner.



À suivre…