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n° 16365Fiche technique32036 caractères32036
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18/08/14
Résumé:  Alors que je viens tondre la pelouse d'une collègue dont le mari est absent pour un long moment, je la console de cette absence...
Critères:  fh fplusag extracon collègues fellation cunnilingu préservati pénétratio -extraconj
Auteur : Alex      Envoi mini-message
Les travaux d'extérieur ont du bon

Bonjour, je m’appelle Alexandre et je voudrais ici raconter une aventure qui m’est arrivée il y a peu. Sans aucun signe précurseur, je me suis retrouvé dans le lit de Christelle, une collègue de travail. Laissez-moi tout d’abord me présenter : j’ai trente ans, je mesure 1,85 m pour 82 kg, brun aux yeux bleus et assez sportif. Célibataire endurci, je me contente d’aventures sans lendemain. Christelle, elle, a trente-trois ans, est blonde, les cheveux coupés au carré jusqu’aux épaules, des yeux verts et un charmant sourire. Jeune maman, elle ne porte pas beaucoup de traces de ses deux grossesses. Elle a une jolie poitrine (que j’estime à un 85 C), des hanches callipyges et des fesses rebondies. Cependant, avant cet événement, il n’y avait jamais eu aucun sous-entendu entre nous, même si je la trouvais très jolie, je savais qu’elle était mariée et ne voulait en aucun cas briser un couple.


Tout a commencé un vendredi après-midi d’avril. Alors que nous travaillions tous, nous voyons Christelle revenir de sa pause-café en pleurs. Surpris, nous lui demandons ce qui se passe et elle nous annonce entre deux pleurs que son mari, militaire, en mission en Afrique depuis quatre mois, était obligé de faire encore deux mois supplémentaires. Nous nous regroupons tous autour d’elle et essayons de la consoler. En effet, non seulement son mari lui manque mais s’occuper des deux enfants seule depuis quatre mois la fatigue énormément et elle ne sait pas si elle va arriver à tenir. Nous lui demandons si nous pouvons faire la moindre chose qui pourrait l’aider. Touchée par notre attention, elle avoue qu’elle aimerait bien que quelqu’un passe pour couper l’herbe dans leur jardin qui commence à ressembler à « la forêt vierge ». Je me propose de passer le lendemain et elle me remercie. Une de nos collègues décide de la raccompagner chez elle.


Le lendemain, il fait assez chaud dès le matin et je décide donc d’aller chez Christelle uniquement en short et t-shirt. Quand j’arrive chez elle, je rentre dans le jardin dont l’herbe est effectivement très haute et me dirige vers la porte. Je sonne et après quelques secondes Christelle vient m’ouvrir vêtue d’une petite robe bleue à fleurs et de sandales. Même si ses yeux sont marqués par les pleurs de la veille, elle semble plus calme. Nous nous faisons une bise chaleureuse et elle me fait entrer. Je m’étonne de ne pas voir ses enfants mais elle me dit qu’elle les a confiés à sa mère pour le week-end.


Elle me propose un café, mais je préfère commencer rapidement avant qu’il ne fasse trop chaud. Elle m’accompagne donc vers l’abri de jardin où est rangée la tondeuse. Elle m’aide à la sortir et je m’attelle à ma tâche. Christelle reste avec moi pendant quelques minutes puis me laisse travailler. Il fait vite chaud et je peine à tondre l’herbe si haute. Je transpire assez vite et enlève mon tee-shirt. Au bout d’une heure, je fais une pause et rentre dans la maison pour boire un verre. Christelle est en train de préparer à manger et me propose de manger avec elle. J’accepte volontiers et, après m’être désaltéré, je retourne au travail. Il est près de 13 h quand j’ai enfin fini de tondre. Christelle me rejoint alors que je suis en train de ranger la tondeuse.



Nous nous dirigeons vers le salon et alors que je dégouline de sueur, je prends mon t-shirt, prêt à le remettre mais elle m’arrête.



Je la suis vers la salle de bain qui se trouve au premier étage. Je me surprends à fixer ses fesses qui s’agitent sous sa robe alors que nous gravissons l’escalier.



Je me déshabille et entre sous la douche. Après les efforts du matin, c’est un vrai plaisir de se laver ! Alors que je suis sorti et que je suis en train de m’essuyer, la porte s’ouvre et Christelle commence à entrer. Elle me voit ainsi, et après une seconde d’hésitation, ressort en se confondant en excuses.



J’ai vite passé la serviette autour de ma taille et attends ma collègue. Elle se contente de tendre le bras et me passe un caleçon, un bermuda et un t-shirt.



Je m’habille et me demande si elle a eu le temps de me voir nu et si oui, qu’a-t-elle vu ?


Une fois prêt, je descends et la retrouve assise dans le canapé, deux bières posées sur la table basse. Je m’assieds à côté et nous trinquons. Nous discutons de choses et d’autres, tout en dégustant notre bière. La conversation dévie inévitablement sur l’absence de son mari qui se prolonge. Elle me confie les difficultés à s’occuper seule des enfants, même si sa mère l’aide du mieux qu’elle peut, mais aussi de l’absence de vie de couple. Même si elle ne l’avoue pas clairement, je sens bien que l’absence de son mari lui pèse aussi au niveau sexuel. Inconsciemment, mon regard dévie vers ses cuisses relativement découvertes par la robe qu’elle porte mais je m’efforce de rester le plus discret possible.


Au bout d’une demi-heure, nous passons à table. Elle nous a préparé des tomates farcies qui sont un véritable régal. Je la félicite pour sa cuisine et elle rougit, bien qu’elle ajoute un petit :



Le repas se poursuit et j’essaie de la distraire le plus possible pour lui changer les idées en racontant des blagues. À la fin du repas, elle me propose d’aller prendre le café dehors, sur les bains de soleil. Vu la chaleur qui commence à monter, il s’agit en effet d’une bonne idée. Elle sort deux tasses devant la machine à expresso et me demande si je peux les préparer car elle souhaite aller se changer. Je m’installe donc devant la machine à café et lorsqu’ils ont fini de couler, je vois Christelle redescendre l’escalier en maillot de bain et lunettes de soleil. Devant ma surprise, elle m’explique :



Je détaille son maillot du regard : de couleur mauve, il n’est constitué que du minimum de tissu pour rester convenable mais suffisamment sexy pour attirer encore plus mon attention. Je remarque les pointes de ses tétons à travers le tissu alors qu’elle prend son café. Nous allons donc sur la terrasse et nous nous installons sur les bains de soleil. Le dossier incliné à 45°, nous nous faisons presque face et alors que nous buvons lentement nos cafés, je profite de mes lunettes de soleil pour admirer discrètement son corps : pour une femme qui a eu deux grossesses, Christelle a une très jolie silhouette !


Après quelques minutes, elle se relève et se dirige vers la maison et m’explique qu’elle va chercher de la crème solaire. Sage précaution car le soleil commence à taper ! Elle en revient rapidement et commence à s’enduire de protection. Je ne sais pas si la crème a du mal à pénétrer la peau ou si elle cherche à m’exciter mais je trouve qu’elle se caresse avec exagération pour étaler le produit, notamment sur ses cuisses et encore plus sur ses seins. En effet, elle glisse ses mains sous le maillot au niveau de sa poitrine et masse ses deux protubérances avec insistance. Puis, comme si de rien n’était, elle repose le flacon et reprend sa tasse de café. Nous continuons à discuter de tout et de rien mais rapidement la conversation revient sur l’absence prolongée de son mari. Elle me fait de longues tirades sur les difficultés d’avoir une vie de couple avec un militaire. J’essaie de dédramatiser en disant que les retrouvailles doivent à chaque fois être exaltantes mais elle ne semble pas complètement d’accord :



Tout en finissant de me répondre, elle se redresse pour coucher le dossier de son bain de soleil et s’allonge dessus sur le ventre, les bras le long du corps. Tout en me tendant le flacon, elle me demande :



J’accepte sans hésiter et viens m’asseoir sur le bord du bain de soleil, au niveau de ses cuisses. J’attrape le flacon et commence à asperger son dos avec le spray. Mes mains parcourent tout son dos, étalant avec soin le produit et passant sous la ficelle de son maillot. Alors que j’allais terminer, elle me demande de remettre de la crème sur le derrière de ses cuisses. Je m’exécute avec joie et caresse lentement le haut de ses jambes. C’est alors qu’avec son bras droit, elle vient attraper le tissu de sa culotte pour le tirer et le rentrer dans ses fesses comme un tanga.



Bien évidemment, je ne me fais pas prier et je caresse ses fesses qui me paraissent assez fermes. Je fais durer ce moment car de son côté, Christelle me laisse faire. Ces caresses déclenchent bien évidemment en moi une réaction logique : une érection de plus en plus forte envahit mon short et je ne peux absolument pas la masquer. C’est alors que tout s’est enchaîné à la suite d’une simple question de sa part :



Je suis surpris par une telle question et reste sans voix. Elle approche alors sa main gauche de mon entrejambe et tâte mon sexe tendu.



Je commence à bafouiller quelques excuses mais elle m’arrête rapidement. Elle se retourne sur le bain de soleil, ôte ses lunettes et me rassure avec un sourire, sans lâcher mon sexe pour autant :



Pris au jeu, je n’hésite plus beaucoup.



Elle rigole quelques secondes et se redresse.



Je la regarde se lever et la suis à l’intérieur, les yeux rivés sur sa culotte à moitié rentrée dans ses fesses. Elle s’arrête dans le salon et se tourne face à moi. Elle détache le haut de son maillot et découvre ses seins. Ils ont l’air encore assez fermes, ne tombent pratiquement pas et sont terminés par deux petits tétons qui pointent fièrement.



Je fais donc glisser mon short le long de mes jambes et libère mon sexe qui se dresse devant elle. Je la vois le regarder avec envie mais elle n’ose pas le prendre en main. Puis, elle cède à ses envies et s’agenouille devant moi. Elle prend mon sexe dans sa main droite et commence à me branler lentement.



La question a de quoi surprendre et je mets quelques secondes à répondre.



Je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’elle pose ses lèvres autour de mon sexe. Avec application, elles glissent le long de ma verge, d’abord sur mon gland puis progressivement elles descendent de plus en plus pour que mon sexe en entier se retrouve englouti dans sa bouche. Sans lâcher mon sexe, elle me pousse doucement vers le canapé et me fait asseoir. Je me laisse complétement aller et profite pleinement de cette pipe de haut vol. Après quelques minutes au cours desquelles le rythme de sa bouche varie pour mon plus grand plaisir, elle relâche ma verge pour venir jouer avec mes testicules. Elle commence par les agacer du bout de la langue puis les aspire l’un après l’autre alors que sa main gauche branle lentement mon sexe. Puis elle fait remonter sa langue lentement tout le long de ma verge et titille mon méat pour l’agacer. En penchant mon sexe d’un côté ou de l’autre, elle s’assure qu’aucune partie n’est privée de cette caresse.


Elle prend vraiment son temps (ce qui n’est pas pour me déplaire, bien au contraire !), comme si elle cherchait autant à se faire plaisir qu’à m’en donner. Puis, au bout d’un quart d’heure de cette fellation si fantastique, elle reprend mon sexe bien en bouche et en attrape la base pour le branler alors que ses lèvres vont et viennent de plus en plus rapidement autour. J’ai de plus en plus de mal à retenir mon plaisir et lui fais savoir. Pour toute réponse, elle se contente de prendre mes mains et de les poser sur sa tête. Je comprends qu’elle veut que j’impose mon rythme. Je la laisse faire jusqu’à ce que je ne puisse vraiment plus retenir ma jouissance. À ce moment, j’accélère franchement les mouvements de sa tête autour de mon sexe et je le sens taper au fond de sa gorge. Mais cela ne semble pas la déranger outre mesure et elle continue ses mouvements jusqu’à ce que je jouisse et me répande dans sa bouche. Elle continue plusieurs secondes à me sucer jusqu’à ce que mon sexe se mette à ramollir. Elle se redresse alors et me regarde avec un air inquiet :



Elle m’attrape la main et m’entraîne avec elle vers l’escalier. Je laisse mon short au pied du canapé et me retrouve donc nu comme un ver à la suivre, elle qui ne porte plus que le bas de son maillot. Nous montons dans la chambre et une fois arrivée, elle se retourne vers moi et me dit :



Elle glisse les mains de chaque côté de son slip de bain et le fait descendre le long de ses jambes, dévoilant son sexe. Effectivement, il y a bien quelques poils intrus qui se baladent autour de son petit abricot mais il n’y a vraiment rien de catastrophique à mon goût. Elle s’allonge sur le lit, jambes écartées et me fixe :



Je viens me mettre à genoux devant elle et penche ma bouche vers son sexe que j’embrasse délicatement. L’humidité qui règne entre ses cuisses me confirme bien l’état d’excitation dans lequel elle est. Je commence par déposer de petits baisers le long de ses lèvres et sur son clitoris mais vu comme elle plaque ma tête sur son sexe, je comprends bien qu’elle veut que je passe aux choses sérieuses tout de suite. Je me mets donc à la lécher avec de grands coups de langue entre ses lèvres et elle réagit par de profonds soupirs qui se transforment vite en gémissements. Mes mains quittent ses cuisses pour remonter vers ses seins que je masse avec envie. Soit je titille ses tétons qui pointent fièrement, soit je pétris un peu plus fort ses seins, et les deux traitements semblent lui plaire. Après plusieurs minutes, une de mes mains redescend vers son sexe et je glisse deux doigts en elle alors que ma langue va jouer avec son clito. Ses gémissements sont vite remplacés par des cris de plaisir. Alors que j’accélère progressivement le rythme, elle m’encourage :



Je m’exécute et agite mes doigts aussi vite que je le peux en elle. Effectivement, je vois le plaisir monter en elle et elle ne tarde pas à jouir bruyamment. Une fois que son vagin a fini de se contracter autour de mes doigts, je les retire, me redresse à genoux et la laisse reprendre ses esprits. Il lui faut une bonne minute pour qu’elle retrouve son souffle et rouvre les yeux. Elle me regarde avec un grand sourire de satisfaction :



À ce moment, son regard se fixe sur mon sexe revenu au garde-à-vous.



Je file vite vers la salle de bain où sont restées mes affaires et attrape mon portefeuille. J’en sors un préservatif et retourne vers la chambre. Alors que j’entre, je découvre Christelle en train d’enfiler un deuxième bas stay-up noir, le premier couvrant déjà une jambe. Je la regarde avec un sourire ravi.



Je la regarde terminer d’enfiler le bas et couvre mon sexe du préservatif. Elle s’allonge sur le lit, jambes écartées et je viens m’allonger sur elle. Alors que je présente mon sexe à l’entrée du sien, elle l’attrape d’une main et me fixe :



J’acquiesce d’un hochement de tête et elle pose mon gland entre ses lèvres. Je la pénètre lentement mais complètement dès le premier coup de reins. Alors que je commence à bouger en elle, elle me murmure à l’oreille :



Cela tombe bien, je comptais aussi profiter ce moment. Je prends donc une cadence assez lente dans mes allers-retours en elle. Pendant de longues minutes, je varie la profondeur et l’angle de pénétration ainsi que le rythme mais toujours avec une allure modérée. Les yeux toujours fermés, elle participe pleinement à nos ébats en orientant son bassin comme elle le souhaite et en promenant ses mains entre son dos et mes fesses, elle me donne des indications sur le rythme qu’elle veut que je prenne.


Bien qu’elle ne veuille pas que nous nous embrassions lèvres contre lèvres, ma bouche n’est pas inactive : je l’embrasse sensuellement dans le cou, descends parfois sur ses seins que je couvre de baisers et agace ses tétons qui pointent toujours. Je me redresse parfois pour la regarder pousser des gémissements de plaisir. Mes mains, elles aussi, s’activent, l’une d’elle est toujours en train de lui caresser les jambes. J’apprécie le contact du nylon des bas et serre régulièrement ses cuisses au niveau du liseré. Parfois, ma main monte jusqu’à ses fesses et se glisse entre elles et le lit. Quand mes coups de reins se font plus profonds, je serre cette partie charnue de son anatomie, cherchant soit à les écarter soit à les resserrer, pour varier la pression qui s’exerce autour de mon sexe. Au bout d’un moment que je ne pourrais vraiment estimer, elle rouvre les yeux, me sourit et me dit :



Je me retire donc et viens m’allonger à côté d’elle. Elle se redresse et vient s’asseoir à califourchon sur moi, sexe contre sexe. D’un habile coup de bassin, elle fait rentrer ma verge dans son corps. Elle commence à faire onduler son bassin autour de mon sexe, d’avant en arrière ou circulairement et en faisant varier la profondeur de la pénétration. Alors que mes mains se baladent sur ses cuisses, ses seins, ses fesses ou son dos, elle ferme à nouveau les yeux, ses dents serrant sa lèvre inférieure. Ses mains sont posées sur mon ventre et ses bras légèrement serrés autour de sa poitrine la font paraître plus volumineuse encore. Au bout d’un moment, elle rouvre les yeux et vient placer ses mains de chaque côté de ma tête. Ainsi penchée vers moi, elle en profite pour faire frotter son clito contre mon os pelvien. À un moment, j’essaie de jouer sur ses mouvements en serrant ses fesses, mais elle attrape mes poignets et vient poser mes bras au-dessus de ma tête. Penchée sur moi, ses lèvres à quelques centimètres des miennes, elle me murmure avec un regard qui en dit long :



J’obéis à sa requête et la laisse s’agiter sur moi à sa guise. Elle commence à accélérer les mouvements de son bassin faisant entrer et sortir mon sexe presque entièrement de son vagin. Elle m’agace d’autant plus qu’elle accélère d’un coup pour stopper quelques secondes après. À chaque fois, je crois que nous allons partir pour la « chevauchée finale » mais à chaque fois la même déconvenue. Elle le remarque bien et me le fait savoir :



En souriant, elle se redresse pour à nouveau onduler du bassin autour de ma verge, mais en la laissant cette fois-ci bien enfoncée en elle. Je la regarde faire, les bras toujours bloqués au-dessus de ma tête. Au bout de quelques minutes, elle s’arrête de bouger :



Je ne me fais pas prier et reprends ses deux seins à pleine main. Elle ne bouge plus, me laisse faire et semble savourer ce que je lui fais. Puis, après quelques minutes, elle retire mon sexe du sien :



À ces mots, elle vient se placer à quatre pattes à côté de moi, me présentant sa croupe callipyge. Je la regarde quelques secondes et viens me placer derrière elle. Je glisse mon sexe en elle et commence de lents allers-retours. Les mains sur ses hanches, j’accélère progressivement le rythme et ses gémissements forcent eux aussi. Alors que j’admire sa silhouette et son corps ainsi offert devant moi, je commence à caresser son anus avec un de mes pouces. Elle me laisse faire mais lorsque j’essaie de le rentrer dedans, elle m’interrompt aussitôt :



Immédiatement, je la saisis fermement aux hanches et me mets à la prendre le plus vite que je le peux. Ses gémissements se transforment vite en cris et entre deux, je l’entends murmurer :



Je réalise ainsi que si elle ferme tout le temps les yeux, c’est qu’elle s’imagine en train de faire l’amour à son mari. Peut-être une façon de moins avoir l’impression de le tromper… Cependant, cela ne me dérange pas d’être relégué au rang d’objet sexuel et je continue à donner tout ce que je peux. Mes cuisses claquent contre ses fesses à chaque coup de reins et je sens le plaisir monter en moi. Approchant de la jouissance, j’arrive à encore accélérer un peu alors que ses cris se font de plus en plus démonstratifs. Dans un même élan, nous jouissons ensemble. Alors que j’ai fini de bouger en elle, nous nous écroulons sur le lit, elle à plat ventre et moi sur elle, mon sexe qui ramollit encore en elle. Je me retire quand même avant qu’il ne réduise trop et que le préservatif ne reste en elle et m’allonge sur le dos à ses côtés. Nous prenons quelques minutes pour reprendre nos esprits après cette folle partie de sexe. Je me tourne ensuite vers elle et commence à lui caresser les reins et les fesses du bout des doigts. Elle saisit ma main et se retourne pour me faire face :



Je me lève et vais dans la salle de bains. Je prends rapidement une douche et me rhabille. Quand je sors, j’entends qu’elle est redescendue au salon. Je la rejoins et la trouve en train de vider le lave-vaisselle. Elle a remis sa petite robe bleue et, penchée ainsi vers la machine, est toujours aussi désirable. Je me retiens de plaquer mes mains sur ses fesses quand je m’approche d’elle. Elle se redresse et nous restons quelques secondes sans rien dire, un peu gênés par la situation. C’est moi qui brise la glace :



Je me dirige vers la porte d’entrée. Alors que je vais pour l’ouvrir, elle m’arrête :



Elle me rejoint et me regarde droit dans les yeux.



Je souris et sors de chez elle.


Le lundi suivant au travail nos regards se fuyaient un peu mais assez vite la situation est redevenue normale. Son mari est finalement rentré deux semaines après mais fut muté l’été suivant. Christelle quitta donc rapidement le bureau. Nous n’avons jamais recouché ensemble mais avons gardé contact…