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Temps de lecture estimé : 20 mn
23/08/14
Résumé:  Année exceptionnelle. Le bac avec mention, le permis de conduire, la majorité, la voiture de sa mère en prêt, il arrive en vacances. Seul dans cette petite maison familiale. Enfin, pas vraiment seul...
Critères:  fh fhh fplusag jeunes voisins vacances jardin voir fellation cunnilingu préservati pénétratio sandwich init
Auteur : Viona      
Mention Bien

Je suis réveillé par le bruit d’une conversation et de vaisselle que l’on déplace. Neuf heures. Merde c’est un peu tôt. J’ai roulé une bonne partie de la nuit pour éviter les embouteillages mais aussi parce que la clim’ de la voiture de ma mère ne marche plus très bien. Mais je ne vais pas faire le difficile car elle a bien voulu me la prêter.


On avait fait un deal en cours de l’année, du genre que parents et enfants qui passent le bac doivent pratiquer dans de nombreuses familles :

« Si tu as ton bac, nous serons d’accord pour… »


Et moi j’ai eu mon bac avec mention, mention bien, alors comme dans les quinze jours qui ont suivi j’ai eu dix-huit ans et le permis de conduire, me voilà dans la petite maison de vacances que mes parents ont au bord de l’Atlantique. Il est prévu qu’ils ne me rejoignent que plus tard. À moi la liberté, les copains, la plage, les filles…


Ce bruit c’est dans le jardin et ma fenêtre ouverte, pour chasser la chaleur accumulée pendant toutes ces journées de soleil, laisse passer le moindre bruit. Mais c’est pas grave. Il faut dire que la maison est mitoyenne avec une autre mais que les voisins et mes parents sont des amis de longue date.


De ce fait comme chaque parcelle est petite, ils ont décidé de ne pas clore entre eux. Ainsi lorsque les autres ne sont pas là, chacun peut profiter d’un jardin plus grand.

D’ailleurs, je reconnais la voix d’Ophélie : « Café ? Beurre ? Sucre ? »

Elle ne sait pas que je suis là, en principe ce n’était pas prévu. Je vais lui faire un petit bonjour, mais je me ravise lorsque je ne reconnais pas la voix masculine qui lui répond comme étant celle de Vincent, son mari.



Discrètement je me lève et par le volet dont des lamelles sont abîmées, je jette un coup d’œil. C’est bien Ophélie, mais pas son mari. Le gars est un jeune, d’ailleurs que j’ai déjà vu, un serveur du bar « La licorne », qui donne sur la plage du village.

Elle, est en nuisette plus que transparente, lui en boxer. Il faut dire que ce petit jardin est en bordure de forêt et que les hautes haies, taillées avec amour par mon père et son ami Vincent, sont denses et hautes assurant une bonne intimité.


Lily se penche vers le gars et tirant sur le boxer découvre une verge déjà en érection. Son visage s’approche, ses lèvres s’entrouvrent et le gland disparaît d’une succion.

J’en frémis comme si c’était ma verge qu’elle gobait. Je bande déjà. Sans bruit je me positionne pour profiter du spectacle. Combien de fois ai-je vu des vidéos pornos où la fille pompait un homme ? Des centaines, des milliers.


Mais mon expérience est quasi nulle. Si, une fois, une fille a bien voulu me sucer, mais dans le noir, enlevant la magie du regard.

Ophélie. Oh, Ophélie. Jamais je n’aurais pensé que tu… Je t’ai toujours regardée comme une amie de mes parents, évoluant dans le monde des adultes. Un peu comme ma mère, réservée, toujours sobrement vêtue, refusant d’enlever le haut sur la plage alors que Vincent te titillait souvent sur le sujet.


Ainsi tu as un amant ! Et quel amant ! Un jeune, quoi, à peine cinq ans de plus que moi. Femme cougar, toi !


Sous mes yeux je te vois sucer la queue de ce gars avec une gourmandise non feinte. Ainsi vous avez déjà fait l’amour quatre fois et tu n’es pas rassasiée. C’est ton Julien qui t’a lancée, mais maintenant il n’est plus nécessaire de t’encourager.


T’encourager ! Si, ton amant te parle mais tu ne lui réponds pas, la bouche bien pleine de son vit de belle taille, plus gros que moi. C’est par ton regard que tu lui parles. C’est par tes gestes que tu lui réponds.



Il a raison, comment une bouche peut-elle absorber sa queue si longue et dure jusqu’à ce que les lèvres butent sur les bourses. Ainsi c’est possible. Pas seulement dans des vidéos avec des femmes manifestement expertes et professionnelles. Non, dans la vraie vie.


J’ai un instant l’idée malsaine, que je chasse aussitôt, de ma mère dans la même situation avec mon père. Allons, Axel, ne pense pas à cela. Concentre-toi sur le spectacle grandiose que t’offre ce couple.



Lily se relève. Son visage montre des traces de salive qui coulent de façon obscène. Le gars la pousse sur la table, chassant d’une main le petit déjeuner. Elle s’allonge sur le ventre. La nuisette n’est plus qu’un chiffon roulé sur ses reins. Ses seins laiteux se frottent au bois du plateau et ses fesses blanches tranchent sur le teck patiné au soleil et à la pluie. La vision est fugitive car déjà le Julien qui s’est enveloppé le sexe avec une capote, s’est collé contre elle et l’enfourne d’un « han » conquérant. Nul doute que la chatte ne le reçoive avec envie, déjà gonflée et humidifiée par l’attente.


Ophélie sait manifestement ce qui l’attend. Ce n’est pas une découverte car alors que le gars la bourre avec force, elle s’est déjà accrochée à la table pour ne pas chavirer. Par contre on ne peut pas dire la même chose du matériel et de la nourriture qu’ils ont abandonnés à côté d’eux.

Petit à petit, tout tombe dans l’herbe et Lily a la présence d’esprit de se saisir d’une tasse en porcelaine que la puissance des secousses aurait réduite en miettes.


Combien de temps lui fait-il subir ses avancées ? Je ne sais pas, mais longtemps, à la mesure de mes quelques expériences. Ophélie ne s’en plaint pas, au contraire. À nouveau elle chasse de ma mémoire la vision de cette voisine si réservée pour laisser la place à une femme que son amant possède avec force et qui apprécie, si j’en juge par les petits cris qu’elle pousse, gardant tout de même la raison de ne pas hurler sa jouissance.


Lui aussi arrive au bout de son exploit. C’est un piston qui s’active maintenant. Il va jouir. Il grimace. Je peux imaginer…

Merde je jouis et crache ma semence sur le volet, ce qui me surprend et me fait faire un pas en arrière. Horreur, je bute dans une chaise qui manque de tomber et que je rattrape, non sans faire un bruit sourd.

Ophélie réagit aussitôt.



Lui, toujours dans sa baise et concentré sur la montée de son orgasme lui répond un « non » qui ne souffre pas de continuer une conversation.

Il dégage son sexe du vagin. Arrache la capote et d’un geste soudain attrape la tasse que Lily tient dans sa main pour s’en servir comme récipient de son sperme. Quelques secondes et il éjacule à grandes giclées sa crème épaisse dans la tasse.



Ophélie qui semble pourtant encore troublée par le bruit, ne refuse pas ce cadeau et boit la liqueur.

Incroyable. Plus jamais je ne pourrais revoir cette femme sans penser quelle salope se cache derrière ce visage si tranquille.



Un instant j’ai peur qu’Ophélie cherche l’origine du bruit, mais son amant la questionne.



Il l’embrasse.



Je crains encore que Lily ne vienne vérifier l’origine du bruit, mais non, elle remet sa nuisette et entreprend de ranger le petit déjeuner ruiné par leurs ébats. Quelques minutes plus tard, j’entends de l’autre côté de la cloison de l’eau qui coule.


Je ne sais pas quoi faire. Je tourne et vire, nettoyant mon sperme, déballant mon sac.

Heureusement Ophélie part de chez elle, j’entends la porte se refermer. Je vais pouvoir bouger un peu et ouvrir les volets. On verra tout à l’heure. J’aurai qu’à dire que je suis arrivé pendant son absence.

Merde, on sonne à la porte. Je vais ouvrir et je me retrouve nez à nez avec Lily.



On se fait la bise. Je continue.



Aïe. La question qui fâche. Impossible de dire que je viens d’arriver. Après tout pourquoi mentir.



Je peux voir la perplexité sur son visage. Elle s’interroge. Va-t-elle me demander si j’ai vu quelque chose ? Elle va le faire. La question lui brûle les lèvres, mais en réalité elle demande :



Je ne peux pas me défiler indéfiniment. D’ici là on verra.



Pendant la journée j’ai oublié ce problème. Mais à vingt heures, après la douche il a bien fallu que je sorte dans le jardin. Ophélie avait préparé une petite table au milieu, champagne et coupes trônent.



Lily me saoule de paroles. Elle tourne et bourdonne comme une abeille, allant du jardin à la cuisine pour apporter des apéritifs. Je ne peux m’empêcher de chercher la Lily de ce matin dans cette femme qui a l’âge de ma mère. Sa tenue est des plus classiques, petite robe d’été à fleur. Cela lui va à ravir et pour la première fois je regarde Ophélie comme un homme regarde une femme.


J’ai toujours été étonné du contraste entre ma mère, blonde, grande, mince, toujours sérieuse et son amie, Lily, brune, des rondeurs partout, toujours le sourire aux lèvres. Le jour et la nuit.


La robe à fleur, tissu léger de l’été, enveloppe son corps et met en valeur ses fameuses rondeurs. Cette poitrine que je devine contenue par un soutien-gorge moulant. Ses hanches bien en chair et ses fesses rebondies que son mari claquent quelquefois pour plaisanter.


Tiens, je remarque un peu de maquillage qui souligne ses yeux mais aussi ce rouge sang qui marque les lèvres, leur donnant une profondeur inhabituelle.


Je n’ai pas l’habitude de boire et le champagne me fait délicieusement tourner la tête, surtout que je n’ai pas beaucoup dormi et que mon repas de midi s’est arrêté à un sandwich. Ce qui n’empêche pas Lily de m’en faire ouvrir une deuxième en disant :



Un homme. C’est un peu vrai, mais je n’en ai pas encore vêtu le costume. Je me sens encore entre deux statuts.

Si Ophélie boit plus que sa part, cela ne se remarque pas. Pourtant le repas terminé, c’est elle qui va nous mettre un peu de musique.



Comment refuser. L’atmosphère change, le slow incite à se rapprocher et bien vite le corps de Lily vient prendre l’empreinte du mien.



Nous y voilà. Certainement que toute la journée elle s’est demandé comment aborder le sujet sans avoir l’air d’y toucher et ne pas attirer mon attention. Je sais ce qu’elle espère et attend de tous ses vœux. « Non, c’est toi qui m’as réveillé en frappant à la porte ». Mais sa question déclenche des flashes de ce que j’ai vu ce matin. Elle avec le gars, sensuelle, érotique, salope.



Je ne comprends pas pourquoi d’un seul coup elle a deviné.



Je ne dis rien, mais elle se sépare de moi et me regarde. Mon visage parle pour moi.



Je reste toujours silencieux. Je ne sais pas quoi dire.



Bien sûr que je ne dirai rien. Bien sûr que ce sera notre secret. Bien sûr que je vais m’efforcer d’oublier le charmant spectacle de ce matin, ou plutôt, je vais effacer de ma mémoire le visage de cette femme pour ne garder que le reste.


Mais, ce que je pense, je n’arrive pas à le dire. Je suis trop intimidé, bloqué devant cette femme qui se découvre à moi.

Ophélie prend mon silence pour un refus, mais ne semble pas surprise.



Elle se rapproche de moi, me regarde dans les yeux et je sursaute lorsque je sens sa main venir flatter mon short et ce qui le déforme toujours.



Elle n’attend pas la réponse. Rassurée, elle me pousse vers le banc de teck et avant de m’y faire asseoir, se penche pour dégrafer mon short, tirer mon slip et me l’enlever.

La voici maintenant à genoux devant moi.



Elle me branle doucement, mais ce n’est plus nécessaire car je bande comme jamais. Ma queue est habillée de violet, la couleur de ses ongles peints. Un petit sourire aux lèvres et son regard rivé au mien, elle approche doucement son visage, la langue déjà sortie de ses lèvres et… Oh ! Ce petit bout de chair rose déclenche un tsunami lorsqu’elle atteint mon gland, laissant des traînées délicieuses.


Aussitôt elle enchaîne des léchages qui transforment ma queue en une glace dont le cornet est ma hampe et le parfum à son choix. Ou bien, est-ce une glace où les deux boules sont en bas, matérialisées par mes couilles qu’elle transforme bien vite en fruits qu’elle gobe et aspire.


Rien à voir. Rien à voir avec les sucettes de mes copines, qu’elles se disent pucelles ou se revendiquent comme expertes. Elles peuvent aller se rhabiller. Se rhabiller, comme mon gland que ma branleuse recouvre par moment de son habit de peau, que ma queue grossissante a abandonné vers le bas pendant sa croissance.


Mais les mains quittent le mât pour se consacrer à mes fesses et mes couilles. C’est l’instant magique, celui que j’ai pu voir ce matin, le moment où la queue ne vient pas se plaquer contre le pubis, mais reste tel un mât fiché en terre et que des lèvres maintiennent au bon angle. Ces lèvres rouge sang, qui forment un cercle continu sur le haut de mon gland rose, hypersensible et si fragile qu’un homme a toujours peur qu’une mâchoire trop possessive martyrise avec les dents.


Le cercle s’agrandit à la mesure de ce qu’il entoure. Cercle rouge qui marque déjà le rétrécissement à la liaison du gland et de la hampe pour repartir maintenant et rester constant à mesure que la bouche descend, descend, lentement, lentement, pour finir un peu plus gros lorsqu’il bute sur les couilles.


Une idée idiote me vient. A-t-on jamais vu la queue et les couilles disparaître dans une bouche. Bien sûr c’est impossible. Mais je n’ai même pas le souvenir d’une vidéo « Hentai », pourtant souvent peuplée de créatures très « imaginaires » qui le montre.


Waouh. Ma suceuse remonte, redescend, pompe, aspire, suce, lèche, mordille. Mes yeux ne quittent plus le spectacle, tout étonné de voir réapparaître chaque fois ma bite encore plus grosse, encore plus raide, dégoulinante de salive qui ruisselle le long de la hampe et lessive mes bourses.


À ce rythme-là, je ne vais pas tenir longtemps. Mes couilles sont des usines à foutre qui s’activent et gonflent par les réserves qu’elles préparent. Je sens les prémisses. Une envie d’uriner longtemps retenue mais qui ne peut être que la jouissance qui arrive.



J’ai retrouvé l’usage de la parole. Ma pompeuse reste en place. J’imagine que si elle est capable de boire le sperme que son amant a versé dans une tasse, le recueillir à la source doit lui être un plaisir.

J’ai déjà goûté mon sperme. C’est bizarre, c’est tout.


Lily s’immobilise les lèvres autour de mon gland. Elle a raison, je me sens de taille à lui balancer une purée qui la ferait s’étouffer si ma queue faisait bouchon.


La cavalerie arrive. Une secousse et j’imagine un jet puissant qui balaye tout devant son passage, mais qu’une langue experte dirige et canalise. Le second. Le troisième. À chaque fois, je ne peux retenir un coup de reins, reste du temps des cavernes où la survie de l’espèce était gravée dans nos réflexes, qui me poussent un peu plus loin dans la bouche maintenant inondée par mon foutre.


Voilà, j’ai fini. Même la jeunesse a des limites. Lily doit se contenter de ce que je lui donne. Ma queue ramollit déjà. L’ingrate.

Elle ne demande qu’à quitter les lèvres rouge sang que quelques traces blanches polluent. La gorge déglutit.


Ma semence va rejoindre celle de l’amant du matin. Dommage j’aurais aimé voir la bouche et la langue jouer avec mon lac de sperme avant de le voir disparaître, avalé avec envie dans une vision obscène de l’acte. Que voulez-vous, nous les jeunes sommes formatés par ce que le Net nous montre et les exploits des artistes dans l’art du sexe et de la baise.



Un sourire suffit pour la rassurer.


Mais moi aussi je voudrais apporter ma part à l’édifice de l’amour. Je me lève. Aide Ophélie à me rejoindre. Je l’embrasse délicatement sur les lèvres, ne pouvant m’empêcher de signer ce mouvement par un « Lily, tu sens le foutre » d’une grossièreté finie, mais qui la fait sourire. C’est à mon tour de m’occuper d’elle.


Lui enlever la robe est d’une facilité déconcertante bien que les boutons résistent. C’est le charme de la découverte. Elle m’apparaît en petite tenue. Ce n’est pourtant rien de plus que sur la plage en maillot de bain, mais la dentelle change tout et l’érotisme fait le reste.


Ses seins restent fermes lorsque j’arrive à défaire cette putain d’agrafe conçue par un sadique qui retient son soutien-gorge. La terre s’ouvrirait sous moi qu’elle ne pourrait pas m’empêcher de me saisir à pleines mains, des deux melons blancs qui me font face. C’est vrai que la peau est d’une douceur particulière ici mais que dire de ces deux pointes qui déforment la belle harmonie de la rondeur.


Bien sûr je sais que la concentration de nerfs est au maximum dans les tétons, c’est ce qu’on nous apprend à l’école en cours d’éducation sexuelle, enfin je crois, à moins que ce soit sur Wikipédia !


Mais en plus c’est sûrement vrai car les effleurer les transforme en pointes hardies qui se dressent à vue d’œil. Et que dire du gémissement de la propriétaire ?


Descendre la petite culotte, quelques grammes de dentelle blanche, fait partie des fantasmes de mon âge. Moi aussi je m’agenouille pour profiter du spectacle, à peine entrevu ce matin, de l’intimité de Lily. Pas un poil ne fait de l’ombre au soleil de mon regard. Cette fente que l’on devine profonde et qui brille. Ces deux excroissances qui la surplombent pour lui donner encore plus de relief. Et vers le haut, là où le regard voit la fissure se refermer une masse de chair, informe, plissée qui, je le sais, cache et protège la bite des femmes, le clitoris.


Lily recule. C’est à elle de s’asseoir sur le banc. Je rampe vers elle. Ses pieds se posent sur mes épaules pour s’ouvrir à moi. Elle se saisit de ma tête entre ses mains.



À partir de cet instant, je suis aux ordres. J’obéis et je préfère. Je ne voudrais pas que mon inexpérience des femmes, de leurs secrets, de ces régions lointaines inconnues au néophyte que je suis, nuise à la suite de cette soirée.

Brave petit soldat, je suis. Pourrait dire le grand maître Jedi, Yoda.



Je suce.



J’aspire.



Je lèche. Ma langue. Ma bouche. Mes lèvres. Mes doigts. Tout est à sa disposition.

Je découvre les secrets que les photos et vidéos ne montrent pas. La délicatesse de la peau, le goût de cette humidité latente et de celle que je provoque, signe de mes capacités.

Et ce fameux petit bouton, toujours caché, toujours mystérieux, le but à atteindre après tous ces détours. Quel plaisir de l’extraire de sa gangue protectrice, de le sentir s’ériger comme une bite en miniature, vivre sous mes lèvres et transmettre tant de plaisir à sa maîtresse.


Mais le top du top c’est le résultat. Sentir Lily perdre pieds grâce à mes caresses. Goûter à la liqueur qui coule de sa chatte. La voir vibrer et frissonner dès que je la touche. Et les cris. Oh oui, ces cris, indistincts, gutturaux, obscènes, mais si beaux à entendre d’une femme que la jouissance submerge grâce à mes caresses et non pas celles artificielles, orchestrées et tarifées du Net.



Quel homme, encore plus, un débutant, ne serait pas fier de cette demande.


Lily s’est levée. Elle cherche une capote, me la donne, me demande de m’allonger dans l’herbe. J’obéis et le latex recouvre ma bite douloureuse d’être si dure. Lily vient sur moi, me chevauche, me montre sa chatte qui brille à la lueur des bougies de ce dîner traquenard et s’empale sur ma queue qu’elle guide d’un doigt.


De la crème. Un pot de crème, c’est l’impression que j’ai alors qu’elle descend sur moi. Ma queue se fraye un chemin facilement dans ce vagin large, dilaté et humide, mais aussi bien plus serré que je pensais trouver chez une femme de son âge et de son expérience.

Les fesses arrivent sur mes cuisses. Me voilà bien enchâssé.



Ma queue est une cheville autour de laquelle Lily ondule.

Lily d’ailleurs ferme les yeux. Elle se penche un peu sur moi pour certainement profiter encore mieux de mon bâton, apportant le cadeau de ses seins que je peux alors saisir de la bouche.

Les abdominaux que je me suis forgés cet hiver sont des aides précieuses. Je virevolte d’un téton à l’autre, en abandonnant un, pour aussitôt m’en saisir des doigts et le faire rouler.



Toujours les conseils de la femme experte au petit jeune que je suis. Moi j’avais peur de lui faire mal, mais je ne retiens plus mes gestes.



Surprise, Ophélie ouvre les yeux et je peux voir la stupeur sur son visage.



Mais cela sonne faux. Le gars paraît tout à fait sincère. Pourquoi inventerait-il une histoire pareille ? Mes parents avec leurs amis ? Mes parents, des échangistes ? Impossible. Mon père encore, je veux bien le croire. Mais ma mère. Cette mère la vertu, toujours à cheval sur tout, tirée à quatre épingles, que je n’ai jamais vue en deux pièces sur la plage. Non toujours en maillot une pièce très sage qui ne laisse rien voir, même en jouant au volley.



La remarque de ma cavalière me tire de mes interrogations. Elle ne manque pas de sang-froid. Si j’ai bien compris, elle invite Julien à se joindre à nous.

J’ai la réponse sous les yeux, plutôt au-dessus de moi quelques secondes plus tard. Deux jambes poilues se placent de part et d’autre de moi, m’affichant un entrecuisse inhabituel. C’est vrai que c’est la première fois que je regarde un homme de cette façon. Bien sûr, je me suis déjà regardé ainsi avec un miroir, pour vérifier que la crème à épiler a bien fait son travail, mais ici c’est différent.


Le sexe pend et si je devine la tige c’est surtout son extrémité, calée contre les couilles, qui me nargue. Mais très vite une main manucurée s’en saisit pour le porter en bouche. Quelques secondes de ce traitement et la main n’est plus nécessaire, la tige ayant gonflé et trouvé son chemin entre les lèvres de Lily.


C’est drôle de voir cela par-dessous. Le menton qui vient frapper les couilles, elles aussi remontées.

Lily ne perd pas le nord. Tout en suçant son amant elle reprend ses mouvements sur ma queue qui n’a même pas faibli de cette apparition. La salive déborde à nouveau, coule sur mon torse. Maintenant c’est Julien qui la baise dans sa gorge, agrippant la tête de sa maîtresse entre ses mains et poussant son pieu en avant.



J’ai des flashes. Des visions. Des souvenirs qui me reviennent. L’année dernière, alors que je m’étais cassé la figure en vélo et que je rentrais à la maison pour soigner mes égratignures, je n’avais trouvé personne, mais au bout d’un moment ma mère était arrivée par le jardin, perturbée par ce que j’avais pris à l’époque pour de l’inquiétude sur mes blessures. Et si en réalité elle était avec les autres, ou même seule avec le voisin à côté ?


Aussi, je construis des situations dignes des orgies du web mélangeant les deux couples.

Il faut que j’arrête de penser, je vais finir par débander. Heureusement Julien bouge, me ramenant à la réalité. Il fait le tour de Lily tout en mettant une capote. Pour la première fois ce soir, je vois son visage. Il me fait un clin d’œil avant de s’agenouiller derrière elle. Il ne va tout de même pas !



Je sens Lily se raidir sous la poussée mais Julien la tient bien aux hanches. De toute façon elle n’a manifestement pas envie de s’enfuir, mais plutôt se prépare.


Ainsi c’est vrai, elle ne dément même plus. Mon père, ma mère, eux, dans des échanges et aussi comme tout de suite. Lily se couche sur moi ajoutant son poids à la pression que je sens sur ma queue. Sa respiration est forte, son haleine me brûle le cou dans un soupir qui ne cesse que lorsque le serpent qui rampe le long de ma tige semble avoir atteint son but.

Julien nous tombe dessus. Non, il s’appuie sur les bras, couvre sa maîtresse de son corps. Nos visages sont tout près.



De toute façon mon opinion est faite. Il dit vrai. Mais pour l’instant il faut que je savoure et profite un max. Julien, toujours en appui sur les bras commence à donner de grands coups de reins pour bien enculer notre Lily. Elle et moi ne faisons qu’un. Il s’active longuement. Sa queue branle la mienne à chaque mouvement. C’est étrange, perturbant.


Enfin Lily semble se réveiller. Elle se redresse, repoussant son enculeur. Maintenant c’est elle qui se charge de la danse. Ses mouvements de bassin deviennent délicieux. Elle se baise sur nous, deux mandrins à son service. Je me saisis de ses seins qui se balancent doucement, masses de chair gonflées aux tétons hypersensibles.


La suite, je ne sais plus très bien. Qui a joui le premier ? Mystère. Que Lily ait eu son plaisir, sans aucun doute. J’ai encore dans les oreilles les « oui, oui » qu’elle essayait d’étouffer dans mon cou pour ne pas réveiller le voisinage.


L’herbe me caresse le dos. Les étoiles sont des amies et complices. Je suis bien. Lily est à côté de moi, Julien à côté d’elle. Je me souviendrai longtemps de ce jour.

Mais je sens une main glisser sur mon ventre pour aller flatter mon sexe au repos.


Certains disaient « À nous les petites Anglaises ». Pourquoi aller si loin. J’ai tout ce qu’il me faut à la maison, enfin je veux dire, dans la maison d’à côté. Ces vacances vont être remarquables. Ophélie ne pourra rien me refuser. Je connais son secret. D’ailleurs a-t-elle envie de me refuser quelque chose ?