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Temps de lecture estimé : 10 mn
29/08/14
Résumé:  Un soumis à l'épreuve.
Critères:  fh hsoumis fdomine exhib fouetfesse humour
Auteur : Samuel            Envoi mini-message
Recherche jeune homme soumis

Olivier, 25 ans et en mal de dressage après avoir été jeté par une fille sévèrement dominatrice, était tombé sur cette petite annonce : « Recherche jeune homme soumis ». Il se présenta donc à l’adresse indiquée. Une jeune femme, Patricia 29 ans, le reçut fort aimablement.



Olivier se mit aussitôt en bras de chemise et attaqua la cuisine avec une énergie stimulée par la sensualité qui se dégageait de cette jeune femme autoritaire. Au bout de trois heures, il réussit à rendre à la cuisine un aspect plus fonctionnel. Il restait encore à nettoyer le sol couvert de détritus divers. Il s’y attela avec d’autant plus de fougue que Patricia fit une courte apparition en peignoir, les cheveux mouillés et enveloppée d’une douce senteur de savon parfumé à la lavande.



Olivier rentra chez lui, avec une telle émotion, après ce premier jour de soumission qu’il s’endormit presque aussitôt. Il rêva d’épreuves humiliantes et de glorieux crachats. Le lendemain, il trouva simplement sur la table de la cuisine, un petit mot : passer l’aspirateur dans toutes les pièces. Il obtempéra, mais Patricia resta invisible tout l’après-midi. Il rentra chez lui, à la fois déçu de ne l’avoir pas vue, mais ravi d’avoir passé une nouvelle épreuve. Les jours suivants furent consacrés à l’épluchage des pommes de terre et autres légumes.


Patricia le prévint que samedi soir, il serait de service, car ils avaient des invités : « Et tachez de vous trouver une tenue de larbin, Nestor ». Il en loua une dans un magasin de farces et attrapes et se présenta à 18 heures pour mettre la table pour six personnes, préparer la nourriture de façon élégante, sortir les bouteilles de la cave. À l’heure dite, il devait ouvrir aux invités et s’occuper du vestiaire. Puis il servirait à table, plats et boissons. Il resterait debout derrière les invités pour qu’il soit en permanence à portée de voix et de main. Il s’acquitta de ces diverses taches avec une certaine prestance que remarquèrent les six convives.


Après une semaine à ce régime, Patricia lui accorda un jour de repos. Et le lundi, il fallut de nouveau nettoyer la cuisine à peu dans le même état que la semaine précédente. Olivier, qui pendant sa journée de dimanche avait beaucoup réfléchi à sa condition de soumis en essayant de voir ce qui la différenciait de celle de domestique, essaya de conserver le même enthousiasme pour le ménage, mais il sembla néanmoins à Patricia qu’il manquait un peu d’entrain.



Patricia entra dans la salle de bain et Olivier se déshabilla. Il se roula dans les immondices avec délices, faisant gicler sur sa peau nue les produits ménagers, jouissant du contact des aliments en décomposition sur sa verge, des papiers gras sur ses testicules. Quand il eut presque terminé ce grand nettoyage, il entendit Patricia qui l’appelait. Il rentra avec timidité dans la salle de bain.



Ainsi fut fait. Et quand Olivier prit place dans la baignoire, il prit conscience que Patricia l’avait précédé dans cette même eau savonneuse et il éjacula aussitôt.

Le lendemain, il se mit nu pour passer l’aspirateur comme convenu. Il n’entendit pas Éric, le copain de la maîtresse de maison, entrer.



Encore une épreuve délicate, mais il fallait bien rester dans le rôle de soumis. Heureusement, il ne fit aucune rencontre si ce n’est la vieille du rez-de-chaussée, qui a la vue très basse.



Le lendemain, Olivier souhaite une conversation avec Patricia, car il voudrait lui dire qu’il est son soumis, mais pas celui d’Éric ou de quelqu’un d’autre. Mais Patricia ne veut pas entendre Nestor, car elle a du travail et lui aussi. Elle se met à son ordinateur et elle tape à la vitesse du taon qui poursuit une jument. Olivier épluche. Pas moyen de parler à la dame trop occupée.



Et voici qu’Éric intervient :



Olivier se redresse et ne peut que balbutier un « Bonsoir Madame ». Il sort avec émotion de cet appartement où il a l’impression d’avoir déçu sa maîtresse. Toute la soirée, il se demande quelle était la bonne position à prendre dans cette situation délicate. Faut-il tout accepter ? Se faire dresser par un homme, il le supporte très mal. Cela lui rappelle une période difficile où il était devenu le bouc émissaire de toute son école d’ébénisterie. Subir toute sorte de plaisanteries douteuses, se retrouver à poil à la cantine, se faire uriner sur les pieds. En plus, un soir de beuverie on l’avait entraîné dans les sous-bois, pour l’initier à la fellation… Non, vraiment pas de bons souvenirs. De la femme, il pouvait tout accepter, comprendre, admettre. De l’homme, il ne voulait rien supporter.


Pendant ce temps, Patricia avait une conversation animée avec Éric.



Le lendemain, Olivier se présente devant Patricia, tout penaud, avec un air de repenti qui attendrit la jeune femme.



De toutes ses tâches, c’est ce qu’il préférait : s’occuper des petites culottes. Elles étaient toutes en dentelle fine, tressée, superbement dessinée, avec des petits nœuds. Il faisait d’abord une savante inspection, épuisait toutes les odeurs qui se mélangeaient au fond du string ou du tanga, goûtait toutes les saveurs qui s’échappaient de cette lingerie intime. Puis ils les laissaient tremper dix minutes et ils les lavaient à la main dans une eau tiède avec un savon doux. Souvent il pleurait d’émotion devant ces écrins qui reprenaient vie.

L’après-midi se passa fort bien et réconcilia Olivier avec son statut d’obéissant actif. Les deux femmes lui firent des compliments sur sa façon de servir et même sur sa plastique. Jeanne prit un moment ses bourses en main et elle lui caressa les fesses. Pour un peu, il éjaculait à l’heure du thé, mais les deux femmes voyant la verge donner des signes avant-coureurs la calmèrent avec des glaçons.


Le lendemain déjà Jeanne était à nouveau de visite. Mais cette fois, elle avait amené sa sœur Jacqueline. Ce fut tout aussi joyeux et ces dames se montrèrent très actives. À la longue, Olivier n’en pouvait plus. Les trois femmes voulaient aller jusqu’au bout. Il alla chercher un plateau d’argent et sous la pression de six mains et de trente doigts, il éjacula silencieusement, mais copieusement.


Un soir cependant, il tomba nez à nez avec Éric qui revenait de son club d’équitation, alors que Patricia était au cinéma.



Par amour pour Patricia, Olivier obtempéra. Il avait 47,50 euros. Le reste, il fallut le payer le soir même. Il se renversa sur le canapé et Éric frappa de toutes ses forces avec sa cravache en comptant chaque euro qui manquait : 48… 49… 50… et ainsi jusqu’à 200. Les fesses d’Olivier furent d’abord marquées de stries rouges, puis brunâtres. Mais sur les derniers coups, plus violents que les autres, le sang avait jailli. Olivier n’avait pas dit un mot, pas émis une plainte. Éric, le souffle court, les yeux révulsés, voulut sodomiser ce cul maltraité pour entendre au moins un cri de douleur. Il voulait que l’autre lui avoue sa souffrance. C’est juste à ce moment que la maîtresse de maison est rentrée, indignée et révoltée par ce qu’elle découvrait. Éric voulut se défendre, mais empêtré dans son slip qu’il avait descendu, il reçut sur le visage un coup de cravache qui le marqua et elle le mit à la porte. Définitivement. Nestor est parti aussi. Olivier est resté. Elle l’a soigné pendant des semaines et elle ne l’a plus quitté. Elle est tombée amoureuse de cet être qui sait si bien aimer dans la plus grande humilité, en ne demandant rien d’autre que ce qu’on veut bien lui donner. Ils vivent ensemble en se programmant de temps à autres des séances de soumission douce, de plus en plus douces, et réciproques.