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n° 16382Fiche technique25107 caractères25107
Temps de lecture estimé : 15 mn
01/09/14
Résumé:  Pour échapper à un suiveur, Mathilde se retrouve dans une boutique de lingerie et alors...
Critères:  fff essayage collection exhib lingerie intermast 69 -fbi
Auteur : Naipas  (En retraite, j'écris pour mon plaisir et celui des lecteurs)      Envoi mini-message

Collection : Petits romans
La boutique

II





Le soleil est déjà haut dans le ciel et pourtant il n’est que dix heures. Je revois le corps de Myriam, ses seins ronds aux pointes bien plantées sur de larges aréoles brun foncé, ce qui est rare pour une rousse. À croire que sa couleur de feu serait artificielle, ce qui n’est pas le cas, je l’ai vu.

Est-ce que ça sent, une rousse ? Faut-il croire ce que certains prétendent ? Il paraît que leur chatte exhale un parfum très fort, comme du musc. J’ai hâte d’être ce soir pour en goûter toutes les saveurs. Mes pensées lubriques commencent à m’exciter et je sens que mon petit string va se mouiller de ma liqueur.

Bien sûr, il est hors de question que je me passe les doigts dessus en pleine rue, on aurait vite fait de m’emmener dans la petite maison, comme disait ma grand-mère en parlant de l’asile psychiatrique.


Je m’arrête pour regarder une vitrine de lingerie. Un coup d’œil discret dans la vitre et je m’aperçois que je suis suivie. J’entre dans la boutique où une accorte vendeuse m’accueille avec un sourire à faire fondre un archevêque aveugle.



J’hésite à répondre car je n’ose lui avouer que je suis entrée uniquement pour trouver refuge.



Je fais le tour de la pièce, m’arrête devant un petit ensemble, transparent bleu ciel : le soutien, aux bonnets fendus à la verticale, laisse les seins nus et le slip assorti est ouvert pour laisser la chatte bien à l’air. La vendeuse s’approche.



Je sens qu’il va se passer quelque chose de bon. La vendeuse entre avec moi, tire le rideau.



La demoiselle me regarde d’un air ébahi.



Elle soulève sa jupe. Elle n’a pas menti. Elle porte une culotte en coton côtelé, comme en portait ma grand-mère. Pourtant le tissu bien ajusté épouse la forme du pubis enflé et le creux fait par l’ouverture de la fente du sexe. Elle doit avoir un sacré tempérament.



Je lui tends le slip fendu du petit ensemble. Rapidement, elle ôte sa culotte et enfile le petit dessous léger. Elle s’approche du miroir en soulevant sa jupe. Je louche vers le miroir et je vois une jolie chatte presque noire mais fendue et bien ouverte d’où sortent les petites lèvres bien pendantes. J’ai envie d’y mettre les doigts mais je me retiens pour ne pas effaroucher la gentille vendeuse à qui je viens de faire découvrir les charmes de cette fine lingerie.



Elle quitte la cabine. Je la suis des yeux qui va fermer la porte du magasin et revient aussitôt. Elle ôte sa jupe, son corsage et le soutien de coton qui couvre ses seins comme ceux des sportives. Elle a tôt fait de passer le petit vêtement que j’aide à ajuster et j’en profite pour frôler du bout des doigts les mamelons, qu’elle a comme des guignes, plantés sur une large aréole rose légèrement granuleuse.



Elle rougit de plaisir ou de honte ? Elle me regarde.



Je m’approche, pose mes mains sur ses seins nus et doucement je masse les pointes qui durcissent brusquement comme des fraises des bois. Je me penche, passe mes lèvres dessus et me mets à les sucer l’un après l’autre. Elle soupire mais se presse contre moi. Je sens alors sa main se poser sur ma chatte et deux doigts s’insinuer dans ma fente que je sens mouillée. Elle s’en rend compte.



Elle ne répond pas, me prend par le bras et m’entraîne à l’arrière de la boutique. Il y a un divan large et profond. Elle m’attire sur elle, m’embrasse à pleine bouche et glissant sa main entre nos corps, atteint ma chatte et y plonge deux doigts fureteurs. Elle titille mon clitoris qui doit être dans tous ses états. Je me tortille et tente de me relever. Elle me tient entre ses cuisses et a saisi un mamelon entre ses doigts.

Je me sens fondre, je soupire puis me mets à râler. Tout à mon désir, j’arrive pourtant à me libérer, me place en soixante-neuf et je plonge vers sa chatte ma langue que je sais râpeuse. Je sens la sienne se coller contre ma fente et jouer avec mes lèvres.



Je me rends compte qu’elle cherche à imiter mes gestes. Sa langue se frotte contre mon clito et soudain sa bouche toute grande s’empare de mes petites lèvres et du clito et les suce ensemble. Je m’entends hurler de plaisir et mes plaintes se mêlent aux siennes car elle aussi crie sans retenue. L’orgasme alors se déchaîne en même temps sur nous. Elle s’arc-boute, me serre la tête entre ses cuisses et pousse un long cri de plaisir. Je retombe sur elle en sueur. Ciel ! Que j’ai joui !



Je la regarde, elle est jolie avec son petit deux-pièces de nylon bleu ciel, les mamelons gonflés et la chatte ouverte qui brille encore de sa cyprine. Je lui caresse les seins, descends vers le ventre. On frappe à la vitrine. Elle se relève d’un bond, passe sa blouse et sa jupe, se précipite pour aller ouvrir, me laissant alanguie sur le divan.

Je me lève à mon tour, enfile ma petite robe et, abandonnant mon string noir, je me glisse doucement dans la boutique jusqu’à la cabine où j’ai laissé mon sac. La jolie vendeuse, encore toute rose et les yeux brillant de son plaisir, accueille la cliente avec un sourire un peu fatigué.


J’entrouvre le rideau pour observer la dame. Elle porte une petite robe légère à mi-cuisses qui cache mal ses longues jambes. Elle s’assied sur le tabouret, croise les jambes en découvrant sa fourche que rien ne protège. Autrement dit, elle n’a pas de culotte, ce qui m’émoustille. Pour peu ma chatte va se remettre à suinter. Je me sens encore toute moite d’avoir joui. Je sors de la cabine, m’approche de la cliente et plonge mes yeux dans les siens. Elle rougit, tourne la tête vers la vendeuse. Je lui souris et pose ma main sur son épaule.



Ce disant, elle emmène la cliente dans la cabine, relève sa jupe et lui fait découvrir le slip fendu avec lequel elle m’a fait l’amour. La culotte sent encore ma cyprine. Elle l’enlève et la présente encore moite à la dame qui la caresse.



Elle relève son corsage et montre le petit vêtement qui laisse à nu une poitrine ferme ornée d’une petite pointe dure sur des aréoles sombres. La cliente ouvre des yeux tout ronds.



Elle ôte la blouse et le soutien et tend celui-ci avec la culotte encore mouillée. Sans rien dire, la cliente enlève sa robe apparaissant aussi nue que la vérité sortant du puits. Elle est vraiment belle avec ses longues jambes galbées, son ventre plat et ses seins hauts et fermes.

Deux mamelons durs gros comme des griottes émergent des aréoles brunes et légèrement enflées comme si elles venaient de se faire sucer. Je m’assois sur le petit fauteuil bas et, tout en regardant la scène qui se déroule dans la cabine d’essayage, je glisse lentement ma main entre mes cuisses et pousse mon médius entre les lèvres de ma chatte déjà copieusement mouillée.


Dans la cabine dont le rideau est resté grand ouvert, les deux jeunes femmes se lutinent. La vendeuse s’est penchée vers la cliente, pour lui sucer les pointes des seins bien durcies tandis que l’autre a engagé ses doigts dans la chatte de sa partenaire qui commence à gémir. La vendeuse se redresse, et, tandis qu’elle aussi a pris possession de la chatte de la cliente, embrasse celle-ci à bouche-que-veux-tu.


Leurs langues se mêlent, se fouillent, provoquant des soupirs qui bientôt se transforment en râles puis en gémissements de plus en plus sonores. Je ne suis pas en reste, et tout en enfonçant trois doigts dans mon vagin, je frotte mon clito tout sorti de sa gaine rose. Soudain nous jouissons ensemble. Les deux femmes se laissent glisser sur le sol tandis que moi aussi je glisse du fauteuil et me retrouve, cuisses béantes me donnant en spectacle aux jolies partenaires qui me découvrent leurs trésors.


La cliente a tôt fait de se rhabiller, sort de la cabine, s’approche de moi et me prenant la main, me fait sentir la douceur de sa langue.



La cliente paie son petit deux pièces et nous sortons bras dessus bras dessous.




Nous nous asseyons à une terrasse de café pour siroter un jus de fruits. Nos jupes ultra courtes doivent bien laisser entrevoir que nous sommes nues en dessous, même si nous faisons des efforts pour rester bien serrées quand nous croisons nos jambes. Les passants nous regardent car, sans le vouloir, nous rions aux éclats à la moindre réflexion que nous faisons l’une l’autre. On va nous prendre pour deux petites folles.



Nous rions toutes deux et je la prends par le bras.



À ce moment, un monsieur d’environ quarante ans s’installe à la table voisine. Il jette vers nous un regard amusé mais insistant. Ma compagne se tourne un peu vers lui, fait pivoter sa chaise et lentement écarte ses jambes, juste de quoi laisser percevoir au monsieur qu’elle a sa chatte à l’air libre.


Le regard du voisin plonge dans l’entrecuisse. Qui se referme aussitôt. Le quidam se détourne, l’air un peu gêné. Puis, s’enhardissant, replonge son regard vers les jambes de ma voisine qui entrouvre de nouveau ses cuisses d’un air innocent en regardant ailleurs. Je vois les yeux du bonhomme s’allumer car il a dû voir une petite fente rose déjà ouverte et humide de la cyprine, reste de l’orgasme de la jeune femme. Il se lève, contourne sa table et s’approche de nous le regard brillant.



Ma voisine se rend compte qu’elle est allée un peu loin. Elle me regarde, prend son sac, fait mine d’en tirer quelque chose et se lève brusquement.



Elle me prend le bras et m’entraîne vers le passage clouté. Je pouffe de rire en voyant la tête du quidam abandonné avec ses espoirs lubriques. Nous traversons mais je m’aperçois qu’il vient lui aussi de traverser et qu’il se met à nous suivre.



Elle se retourne, me cogne le coude. Nous longeons les boutiques et nous nous retrouvons devant le petit magasin de lingerie.



Nous entrons. Un jeune couple est en train de choisir une nuisette et la vendeuse s’approche de nous l’air étonné de nous revoir de sitôt. Ma voisine s’éloigne et vient près de la jeune femme.



Je ne la croyais pas si audacieuse. Elle entraîne le couple dans la cabine après avoir pris sur un présentoir une jolie nuisette bleu ciel totalement transparente. Elle n’a pas fermé le rideau et sans façon, fait sauter sa robe par-dessus sa tête, se retrouve nue devant le couple et passe la nuisette en prenant bien soin de faire saillir ses seins qui dansent sous le fin nylon.


Elle est superbe et je sens ma chatte qui s’humidifie. Je prends la main de la vendeuse et la plaque sur mon sexe. Alors, comprenant mon souhait, elle commence à soulever ma robe, glisse deux doigts dans ma chatte et se met à me branler devant les trois autres qui sont sortis de la cabine. Je m’écarte, prenant un air offusqué, mais le jeune homme s’approche et prend le relais.



Il s’éloigne tandis que la vendeuse s’en va fermer la porte à clé et baisser le rideau de la vitrine. Je m’approche de la jeune dame et fais signe à Claire, ma nouvelle amie, de se joindre à moi. Elle enlace la jeune cliente, pose sa main droite sur un sein et doucement commence une longue caresse. La cliente soupire et gémit doucement.

Vous pensez bien, je ne reste pas inactive et, glissant ma main sous la robe de la jeunette, je commence une longue et douce caresse sur les cuisses, remontant lentement vers la fourche. Elle porte un petit string sous lequel j’insinue deux doigts. Je sens une toison épaisse et douce. Mes doigts sentent la fente déjà ouverte.



Je jette quand même un coup d’œil vers le mari qui, stoïquement regarde de tous ses yeux sa femme en train de se faire câliner par deux jeunesses qui font tout pour lui faire du bien. Je lui souris pendant que ma main continue son va-et-vient sur le clito de sa chérie qui se met soudain à gémir.

Il tente de me faire un signe mais du regard je l’invite à rester calme. La vendeuse s’approche de lui, retrousse sa petite jupe. Elle n’a pas remis sa petite culotte et montre sans aucune gêne sa chatte nue dont elle écarte les lèvres et fait saillir son clitoris déjà sorti de son étui de chair rose.



J’emmène mes deux compagnes au salon derrière, là où j’ai connu la jolie vendeuse il y a moins de trois heures. Je laisse la porte grande ouverte pour que les deux autres puissent nous voir. J’allume les spots pendant que Claire qui a dénudé les seins de la cliente continue de jouer avec les mamelons tout durs.

Je la regarde faire et c’est vrai qu’elle a l’art d’exciter la femme. Elle glisse sa main libre sous la jupe qu’elle dégrafe et fait tomber et l’insinue sous le petit slip rose. La réaction de la cliente est rapide et elle se met à gémir doucement.



Je m’agenouille et écartant les bords du slip et les lèvres de la chatte caressée par les doigts de Claire, je pose ma bouche sur le bouton qui saillit de son étui. Lentement d’abord je passe le bout de ma langue dessus et la fais tourner pour faire gonfler davantage ce merveilleux bouton d’amour.

Ah ! que le mari doit être comblé devant une telle beauté. Soudain la femme s’agite, se cabre. Elle saisit ma tête et la main de Claire et les pousse contre sa chatte en criant.



Ses seins frémissent, elle s’écroule sur le divan proche et tombe à la renverse, les jambes largement ouvertes, les yeux hagards, les joues rouges de plaisir.

Je l’étends sur le divan, me penche vers elle et l’embrasse. Claire, de son côté, continue à lui sucer les mamelons quand le mari apparaît, nu, tenant la vendeuse par un sein et un doigt planté dans la chatte tandis que celle-ci tient fermement la bite raide du bonhomme et la branle avec vigueur.


Quel tableau cette apparition doit être pour un spectateur non averti ! Heureusement les tentures sont fermées sinon, nous risquerions tous une condamnation pour outrage à la pudeur et exhibitionnisme en public.