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n° 16386Fiche technique14317 caractères14317
Temps de lecture estimé : 9 mn
04/09/14
Résumé:  Un coup de bol qui ne s'est jamais reproduit.
Critères:  h fh couple voir vidéox photofilm hmast fellation fsodo
Auteur : Marius33      Envoi mini-message
Souvenirs d'un branleur

Je n’étais pas bien vieux lorsqu’il m’arriva une aventure assez incroyable, que je n’ai jamais confiée à personne, mais dont je me souviens encore parfaitement. Je dus partir faire deux années d’étude dans une grande ville de province assez éloignée de chez moi. La première année en collocation s’était mal passée et un couple d’amis de mes parents qui habitait cette ville, et qui n’avait pas d’enfant, accepta de m’héberger pour l’année suivante. Paul et Sylvie, puisque c’est ainsi qu’ils s’appelaient, formaient un couple paisible, attachant et sympathique, même s’ils m’intimidaient.


Enfin, c’est surtout Sylvie qui m’intimidait. Brune aux lèvres très pulpeuses, assez séduisante et légèrement potelée, elle dégageait une sensualité presque animale qui produisait d’indéniables effets sur le petit branleur que j’étais à l’époque. Je parle ici bien sûr au sens propre. Enfin, propre, c’est vite dit.


La chambre qu’ils occupaient se trouvait à l’autre bout de la maison et, si je n’ai jamais surpris aucun de leurs ébats intimes, c’est en y fouinant sans vergogne que je suis tombé un beau jour sur un objet qui m’a fasciné durant de longues heures de solitude.


Je fantasmais terriblement sur Sylvie. À table, j’adorais la voir déguster un yaourt nature bien crémeux en fin de repas. En essayant de rester discret, je surveillais sa façon de faire entrer la cuillère dans sa bouche et, si elle laissait traîner un peu de crème blanche à la commissure de ses lèvres, voir sa langue venir nettoyer tout ça d’un petit coup lent, délicat, soyeux et humide était un pur plaisir. À sa façon, elle était très classe, Sylvie. Langoureuse pour tout dire. C’était typiquement le genre d’image qui me faisait gonfler la bite le soir dans mon lit lors de mes séances de masturbation quotidiennes.


Un matin, j’ai même croisé Sylvie dans la cuisine alors qu’elle n’était vêtue que d’un t-shirt et d’une petite culotte. Le t-shirt était copieusement garni et la culotte… mon dieu, la culotte… comme je m’en souviens encore de sa culotte. J’ai dû bredouiller un bonjour confus tant l’émotion fut grande. J’avais bien évidemment été incapable de détourner le regard du haut de ses cuisses dodues et je revois encore le renflement de son sexe dans le tissu. Juste après qu’elle fût passée devant moi pour se diriger vers la salle de bain, je revois aussi le balancier moelleux de sa superbe croupe, dans laquelle j’avais eu une très grosse envie de plonger la tête la première. Ça aussi, croyez-moi, avait provoqué d’intenses séances de tripotage en tous genres.


La salle de bain, justement. C’était là, dans le panier à linge sale, que Sylvie déposait ses petites culottes. Je chavirais totalement lorsque, par chance, j’en trouvais une un peu sale et encore humectée, que je pouvais renifler, lécher, et dans laquelle je pouvais me branler un instant, en faisant toujours attention à ne pas me finir dedans. Il fallait tout de même rester correct. Et discret.


Bref, Sylvie me faisait sérieusement perdre la tête, mais je crois pouvoir dire qu’elle n’en a jamais rien su. Ou alors, elle l’a bien caché.


Nous étions début mars, si mes souvenirs sont bons. Paul et Sylvie partirent en vacances, me laissant seul à la maison pendant une semaine.


N’en pouvant plus, j’ai aussitôt entrepris d’explorer un peu leur intimité. Pour le coup, ce n’était pas très correct, mais je n’ai pas pu résister à cette curiosité. Sylvie, si tu me lis aujourd’hui, je tiens à te présenter mes plus humbles excuses.


J’ai bien sûr commencé par aller reluquer les petites culottes de Sylvie dans sa commode. Elles étaient propres et c’était moins excitant. C’est dans le grand meuble de leur chambre, juste en face de leur lit, que, sous le téléviseur et le magnétoscope qu’il renfermait, je suis tombé sur toute une collection de cassettes VHS pornographiques. À cet âge-là, j’avais déjà découvert l’unique (je crois) cassette de film porno que mon père cachait (mal) dans son bureau et ça m’avait beaucoup plu. Si elle n’était pas unique, c’est que le bougre ne les cachait finalement pas si mal que ça. En utilisant le magnétoscope du père, je faisais toujours attention à bien mémoriser le compteur pour recaler la bande à l’endroit exact où je l’avais trouvée. Discret, on a dit. Et prudent. Et moyennement envie de chier la honte en me faisant démasquer.


Seulement là c’était une toute autre affaire. J’avais à faire à de vrais fanatiques. Il y avait au moins une quarantaine de films, aux titres si évocateurs que je me souviens avoir regretté de ne pouvoir les visionner tous en même temps. C’était un casse-tête mais il me fallait choisir. J’hésitais et j’étais déjà très excité par la situation et la belle aubaine. J’allais pouvoir m’adonner à mon vice dans la chambre de Sylvie. C’est alors que, dissimulée derrière le magnétoscope, je suis tombé sur une cassette sans jaquette. C’est immédiatement celle qui m’a le plus intrigué. Elle était rembobinée au début, nul besoin de mémoriser le compteur pour celle-là. Je l’ai donc insérée dans le magnétoscope, j’ai allumé le téléviseur et j’ai appuyé sur le bouton Play.


Le choc fut conséquent.


Sur ce qu’on appelle aujourd’hui une sex-tape j’ai vu la chambre où je me trouvais apparaître à l’écran. Sur le lit, Sylvie était avec un homme très poilu et baraqué, qui n’était pas Paul. C’était Paul qui filmait puisqu’on l’entendait lui parler. Le type était nu et particulièrement bien muni (en tout cas, je fus très impressionné par la taille de son membre). Nue aussi, et à genoux sur le lit, Sylvie était en train de lui prodiguer une experte branlette. Quelle énorme paire de nichons elle avait, d’ailleurs… du lourd, du massif, du très copieux, du bringuebalant. Elle s’appliquait et avait l’air très concentré sur son activité de l’instant. Paul faisait des commentaires en l’excitant par des mots crus, on sentait que lui aussi était déjà très excité. Il lui disait qu’elle devait être bien contente car elle était bien servie sur ce coup-là (y en avait-il eu d’autres ?), qu’elle allait pouvoir s’en mettre un bon paquet, ce genre de choses. Voir Sylvie en pareille situation me stupéfiait autant qu’entendre l’aimable Paul parler ainsi à sa tendre épouse, et cela vérifiait le célèbre dicton qui parle de l’eau qui dort.


Encouragée par Paul, Sylvie se prêtait au jeu avec une satisfaction évidente et se penchait sur ce beau sexe pour le sucer avec avidité. J’avais immédiatement repensé au yaourt. C’était exactement ça. Paul jouant avec le zoom, on voyait la langue gourmande de Sylvie tourner autour du gros gland parfaitement décalotté en salivant beaucoup, puis sa bouche le gober, puis la bite maousse presque entièrement. Les bruits qu’elle faisait étaient diaboliques et j’ai mis le son plus fort. Elle semblait littéralement se régaler. On aurait dit qu’elle essayait de s’étouffer avec et en avait les larmes aux yeux. Mais la dame était ravie.


Infernale créature.


J’ai dû mettre moins de trois minutes à produire ma petite giclée et, ayant perdu tout contrôle, mon largage a terminé sa course folle, et incurvée, sur la moquette. J’étais habitué à plus de maîtrise. Déçu, j’ai été contraint d’appuyer sur Pause pour aller chercher de quoi nettoyer ma faute.


J’étais chamboulé par ma découverte et j’ai prestement appuyé sur Play à nouveau.


Le type avait passé une main derrière les fesses de Sylvie et sa façon de s’activer à cet endroit obligeait cette dernière à interrompre sa fellation de temps en temps pour prendre de plus amples inspirations. Il avait l’air doué avec ses doigts et Sylvie, dont les joues s’étaient bien empourprées, semblait elle aussi toute chamboulée. Elle poussait d’étranges grognements et des râles que je n’avais encore jamais entendus. Paul a fait d’autres commentaires salaces en demandant où il lui fourrait la main comme ça, si ça lui plaisait… tu parles que ça lui plaisait.


Ils ont ensuite paru se mettre d’accord de concert sur la stratégie suivante. Quel ballet ! Le type s’est allongé sur le lit et, tournant le dos à la caméra, Sylvie s’est accroupie sur lui. Vision étonnante que celle de son plantureux popotin suspendu dans les airs et de ses belles et larges cuisses qui tenaient ferme la position. Elle était motivée par quelque chose. D’une main, elle s’est saisie de la queue et s’est mise à se frotter le sexe avec, assez salement. Je n’avais jamais vu ça et n’avais même jamais imaginé qu’une femme puisse s’outiller de la sorte pour satisfaire ce genre de besoin – ou d’envie (j’ai depuis souvent pris ce genre d’initiative au plus grand plaisir de quelques-unes de mes partenaires – certaines en raffolent – faut dire que ça peut être délicieusement dégoûtant). À l’entendre baragouiner je ne sais quoi, il était évident que ce curieux et très indécent barbouillage de figue lui procurait beaucoup de plaisir.


Semblant ne plus y tenir, Sylvie s’est lentement laissée retomber sur cette bite en savourant sa longueur et son épaisseur, jusqu’à tout faire entrer jusqu’aux couilles, qui sont venues se plaquer sur ses fesses. Elle s’est alors mise à onduler du bassin en gardant tout le morceau bien enfoncé à l’intérieur et elle a joui aussi simplement que ça. Elle a semblé recouvrer ses esprits assez vite et le type a commencé à la limer avec une certaine férocité en la faisant carrément rebondir sur lui. Voir les lourdes fesses de Sylvie remuer en redescendant, claquer sur les cuisses de l’homme, faillit me faire sortir les yeux de la tête. On aurait dit qu’elle était en train de devenir dingue. Paul persistait à faire des commentaires extrêmement inconvenants. Il donnait à Sylvie de drôles de noms, que d’aucuns auraient considérés comme des insultes de bas étage, mais Sylvie, étonnamment, semblait au contraire apprécier puisqu’elle en répétait certains en confirmant que c’était bien vrai, qu’elle était bien ce qu’il disait qu’elle était…


Femelle lubrique.


C’est à peu près là que j’ai envoyé la deuxième tournée. Encore sur la moquette.


J’ai fini par aller me chercher une serviette pour la suite du spectacle.

Et j’ai bien fait car du spectacle il y en a eu.


Ce fut une initiative de Paul. Il continuait à lui dire de bien vilaines choses et plus il lui en disait, plus Sylvie se déchaînait. Elle lui parlait aussi, lui disant que cette chose-là était bien grosse, très grosse même. Paul lui disait qu’elle les aimait comme ça et qu’elle savait même très bien où elle allait finir par se la prendre. Sylvie a dit oui. Paul a dit « tu vas te la prendre dans le cul ». Et Sylvie a dit oui immédiatement, qu’elle la voulait « dans le cul ».


J’étais quand même un peu choqué de les entendre parler comme ça, mais de plus en plus excité. Sylvie s’est alors relevée, retournée, et toujours lentement et en savourant la chose, elle a fait pénétrer le sexe du type dans son anus. Et c’est rentré super facilement. Vu la taille du truc, j’étais impressionné et j’avais presque mal pour elle. Il fallait la voir empalée sur cette tige, avec, au-dessus, son sexe luisant ouvert impudiquement devant la caméra et ses gros seins qui ballottaient dans tous les sens. Sylvie s’est mise à beugler plus fort en ajoutant des mots fleuris pour corser l’ambiance. Je n’imaginais pas qu’elle puisse être si vulgaire. Elle insultait le pauvre mec bloqué sous elle avec des salauds et des gros salauds, mais elle raffolait visiblement de ce traitement. Elle fournissait à Paul des détails obscènes sur ce qu’il était en train de lui faire subir.


La caméra était sur trépied car Paul, certainement arrivé au bout de son supplice, a fini par venir présenter son sexe devant la bouche de Sylvie en la tirant presque par les cheveux. Il s’est masturbé devant sa bouche et y a rapidement expédié tout ce qu’il avait dans les bourses. Ce coup-ci ce n’était pas du yaourt, mais Sylvie a tout mangé goulûment.


J’ai inauguré ma serviette et épargné la moquette.


Le type a passé la surmultipliée en l’agrippant par les hanches et en donnant de grands coups. J’ai vu le visage de Sylvie se crisper d’un bien étrange rictus alors que, quasi démente, elle se frottait le sexe avec vigueur. Tout s’est accéléré et le type a joui dans le cul de Sylvie qui l’encourageait à, selon ses propres termes, « tout lui mettre au fond » alors qu’elle était secouée par un bon gros spasme.


Ça a coupé. L’écran est devenu gris et neigeux. C’était terminé. Je n’arrivais pas à croire à la trouvaille que j’avais faite. J’ai passé la semaine à me branler en me passant le film en boucle. Il est regrettable qu’à l’époque on ne pouvait pas copier ce genre de document aussi facilement qu’on peut le faire aujourd’hui sur une simple clé USB. J’en garde un souvenir ému et encore très vivace, mais je donnerais cher pour revoir ça aujourd’hui.


Quand Paul et Sylvie sont revenus de vacances, mon regard sur eux avait largement évolué. L’année s’est trop vite écoulée et, rentrant chez moi le week-end, je n’ai plus eu l’occasion de me retrouver seul suffisamment longtemps dans la maison pour aller faire un tour dans leur chambre. C’est peut-être heureux parce qu’après une semaine à un rythme aussi soutenu, je m’étais mis la bite en fleur et il m’a fallu me calmer quelque temps avant de remettre ça.


Paul et Sylvie, je vous aime.