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Temps de lecture estimé : 11 mn
04/09/14
Résumé:  En voyage pofessionnel, je rencontre Gwendoline, une femme qui montre un aspect... inattendu.
Critères:  
Auteur : Domibec            Envoi mini-message
Gwendoline, la femme inattendue

Je suis en voyage professionnel dans cette ville du Sud-Ouest de la France. Ce soir-là, mes rendez-vous se sont terminés relativement tôt. Après être passé à mon hôtel où j’ai déposé mes documents de travail et ôté cravate et veston, je décide de flâner dans la petite ville. Il fait chaud, la ville est belle avec ses maisons à colombages, ses ruelles étroites, ses petites boutiques d’artisanat… L’ambiance est paisible. J’ai presque le sentiment d’être en vacances…


J’arrive sur une petite place entourée de colonnades et au centre de laquelle il y a une petite fontaine fleurie. Je m’assois à la terrasse d’un café qui est déjà bien remplie. Tout en sirotant ma bière bien fraîche, je me prête à un petit jeu que j’aime bien quand je suis dans une telle situation d’éloignement de mon cadre habituel et de solitude. J’observe les gens qui passent et j’imagine leur vie sexuelle !


Ce couple de personnes âgées qui marche à petits pas, Madame tenant le bras de Monsieur, semblant tout attentifs l’un à l’autre, se parlant, chacun penchant la tête pour mieux entendre ce que dit l’autre. Ils semblent paisibles, heureux d’être ensemble. J’essaie de les imaginer, nus tous les deux, dans leur lit, côte à côte, s’offrant des caresses. Et j’imagine que dans leur jeunesse, ils ont dû jouir de leur corps…


Cette femme enceinte qui pousse un landau auquel s’accroche un petit garçon de trois ans. Elle est belle avec son ventre qui pointe. Mais stricte. Les cheveux tirés en arrière en queue de cheval. Veston, chemisier… Le petit garçon est aussi habillé avec une petite chemisette blanche et une culotte courte aux plis bien repassés, les cheveux gominés. Elle me fait penser à Madame Le Quesnoy dans le film « La vie est un long fleuve tranquille »…


Je l’imagine au lit avec son mari… Lumière éteinte, sous les draps, la chemise de nuit remontée jusqu’à la taille, le pantalon de pyjama de Monsieur descendu juste ce qu’il faut pour libérer le sexe. Des petits bisous et Monsieur monte sur Madame dans la position du missionnaire, la pénètre… En trente secondes, la partie est finie. Le pantalon remonté, la chemise de nuit descendue, tous les deux allongés côte à côte en se donnant la main et récitant ensemble un Pater et trois Ave pour se mettre sous la protection de Dieu. S’Il veut qu’un enfant naisse de cet égarement, eh bien on l’accueillera comme un don de Dieu.


Et cet autre jeune couple qui passe… Elle, petite rousse, menue, mignonne, vêtue d’un jean et d’un haut hyper moulant qui met en valeur ses belles formes. Lui, un black costaud, aux épaules carrées, aux biceps énormes mis en valeur par son tee-shirt blanc. Elle passe sous ses bras sans se baisser. Ils se donnent la main, rient en marchant, se collent régulièrement l’un à l’autre. Régulièrement il se plie en deux pour embrasser sa belle sur les lèvres. Ils semblent très amoureux et très heureux de l’être. Ah ! Que j’aimerais être petite souris pour les regarder faire l’amour ces deux-là. Ce doit être gargantuesque ! Tout est contraste dans ce couple : la taille, la couleur de la peau. Quand ils font l’amour, il doit faire ce qu’il veut d’elle, la soulever, la basculer, la retourner… et elle doit aimer cela. Elle aime prendre son gros sexe en main, elle a du mal à en faire le tour. Elle aime quand ce sexe la pénètre, la remplit. Je l’imagine, elle jouissant de nombreuses fois avant qu’il la remplisse de son sperme évidemment très abondant. Une fois, il était debout, l’a soulevée et empalée sur son pieu et il la maintenait sous les fesses ; une autre fois, elle était couchée, lui sur elle et il l’écrasait de son poids ; et puis cette fois elle était à quatre pattes, il la prenait en levrette… chaque fois, elle hurlait son plaisir.


Une petite bande de jeunes de 18-20 ans envahit la fontaine. Quatre filles, deux garçons. Ils rient fort, chahutent gentiment. Apparemment, les filles chambrent les garçons. Ils sont mignons tous les six. En uniforme d’jeune ! Tee-shirt et jeans. Les filles sont belles… presque semblables par leur taille, leur finesse, leurs formes mises en valeur par leurs vêtements moulants. Leurs petits seins pointant, leurs fesses rondes, leurs cuisses fines. J’essaie de les imaginer nues, seules sur leur lit, se caressant, jambes ouvertes… et je ne les vois pas avec un autre homme. Je me plais à les imaginer avec moi, je les tiens dans mes bras, une main sur les fesses, l’autre sur un sein. Avec elle ? Non, plutôt elle, ou bien les deux. Et pourquoi pas les quatre ? Le rêve inaccessible, bien sûr…


Les garçons ne me laissent pas indifférents non plus. Surtout l’un d’eux, petit minet, bel éphèbe. Plait-il aux filles ? Sans doute, mais je suis sûr qu’il fait bander bien des garçons et bien des hommes… dont moi. J’aimerais le serrer contre moi, l’embrasser à pleine bouche, glisser ma main sous son tee-shirt, caresser son torse que j’imagine glabre. Et descendre ma main, ouvrir son jean, plonger ma main dans son caleçon pour me saisir de son sexe que je sentirais gonfler sous ma caresse…


Je suis maintenant avec ces six jeunes. J’ai été les saluer, nous avons sympathisé et l’un d’eux nous a tous invités chez lui. Nous sommes nus tous les sept, nous échangeons des caresses…



C’est une femme qui m’adresse la parole et me sort de ma rêverie. Une belle femme, la trentaine.



Pendant qu’elle s’installe, je la regarde discrètement. Une très belle femme, en vérité. Un mignon petit minois. Des cheveux noirs mi-longs. Elle est vêtue d’une robe bleue, serrée et décolletée. Lorsqu’elle se penche en avant, elle offre une vue plongeante sur ses deux seins qui semblent absolument libres, sans le carquois d’un soutien-gorge. Le bas de sa robe lui arrive à mi-cuisses. Elle a deux belles longues et fines jambes. Voilà le genre de femmes que j’aime. Et toute mon attention, toutes mes envies, tous mes fantasmes se détournent de ces jeunes qui me sont de toute façon interdits, pour aller vers elle. Ça ne me coûte rien d’essayer de la draguer et de faire en sorte que ma nuit ne soit pas celle d’un solitaire.



Eh bien, elle a été plus rapide que moi. C’est elle qui entreprend la conversation.



Là, elle a marqué le premier point et elle m’a salement mouché. Mais après tout, elle a raison. Et si je veux l’avoir dans mon lit, soyons plus offensif !



Elle rit.



Je ne peux m’empêcher de regarder ses seins, ses belles cuisses avec la grande envie de poser ma main dessus. Alors, j’ose rajouter :



Elle rit de plus belle.



Et nous voilà partis à la recherche d’un restaurant qui nous convienne à tous les deux. Nous optons pour un petit restau qui fait de la cuisine locale avec des produits locaux : foie gras, magret de canard, que des bonnes choses. Un apéro et une bonne bouteille de vin achèvent de nous désinhiber.


Nous commençons par parler de choses diverses et variées : les derniers films vus, les derniers livres lus, la musique qu’on aime, nos dernières vacances, des souvenirs humoristiques de nos voyages professionnels. Et de là, nous en venons à raconter des souvenirs érotiques de ces voyages, des aventures sexuelles que nous avons pu avoir. Bien sûr, nous avons laissé tomber le « vous » et employons le « tu » et nous nous appelons par nos prénoms. Elle s’appelle Gwendoline.


L’ambiance entre nous devient petit à petit plus feutrée, plus intime. J’ai grand plaisir à avoir cette vue plongeante dans son décolleté, sur ces seins magnifiques. Elle s’en rend compte et ne fait rien pour se cacher. Sous la table, je lui emprisonne ses chevilles entre les miennes. Sur la table, je pose une main sur la sienne qui est posée là. Et comme si de rien n’était, nous continuons à parler…



Elle a choisi que nous allions plutôt dans sa chambre. La porte à peine refermée, enfin nous pouvons nous offrir l’un à l’autre. Nous nous étreignons, nos bouches se soudent, nos mains voyagent sur nos corps.

Très rapidement, je descends le zip dans le dos de sa robe. Je lui dégage les bras. Enfin, tenir ces seins nus dans la main, les caresser, les lécher, les téter…


Elle n’est pas inactive. Elle déboutonne ma chemise et me l’arrache presque. Puis elle tombe à genoux à mes pieds, ouvre mon pantalon et le fait glisser en entraînant mon shorty avec jusqu’à mes pieds. Et sans attendre davantage, elle commence à me masturber puis prend mon sexe en bouche. C’est magnifiquement bon mais je ne veux pas jouir ainsi. Alors je la fais se relever, sa robe est restée au sol, à ses pieds. Il n’y a plus que le tissu de sa petite culotte qui nous sépare. J’aime sentir le contact de ses seins contre mon torse. Je glisse mes mains sous l’élastique de sa culotte et lui caresse longuement les fesses. Elles sont fermes, bien rondes, portées haut. Puis je fais glisser une main vers l’avant…


… et je retire brusquement ma main, comme si je m’étais brûlé…



Et elle ôte sa culotte se montrant dans sa nudité obscène. Là, un sexe. Oui, je sais, c’est la place des sexes, les culottes. Mais un sexe tel ceux qu’on a plus l’habitude de trouver dans le caleçon des mecs que dans les petites culottes des femmes. Un phallus, une verge, un vit, un mandrin, une bite, quoi ! Cette femme magnifique, avec ses seins adorables et son petit cul tout rond a une bite. Avec les couilles qui vont avec…



Je continue à la regarder. Ou à le regarder. Homme ou femme ? Femme ou homme ? Disons « elle ». C’est ce qu’elle souhaite. C’est en tant que femme qu’elle m’a séduit.


Je suis fasciné par ce corps. Ces seins, ces cuisses, ces fesses tellement féminines… et ce sexe d’homme ! De taille moyenne, entièrement rasé, je le sens gonflé de désir, pendant encore entre les cuisses.

Petit à petit, mon propre sexe qui avait perdu, sous l’effet de surprise, toute sa superbe et s’était recroquevillé, retrouve de la vigueur, se gonfle, se déploie, commence à se redresser…


Comme aimantés, nos deux corps se collent de nouveau l’un à l’autre, nos bouches se joignent, nos langues s’emmêlent, nos mains glissent sur nos corps, ses seins s’écrasent contre mon torse, nos sexes se frottent l’un à l’autre. Nous basculons sur le lit, roulons l’un sur l’autre, nous nous caressons, nous nous léchons, nous nous mordillons, nous nous embrassons. Nous prenons diverses positions, nous offrons un superbe 69. J’ai plaisir à sucer ses seins tout en masturbant son sexe, j’ai plaisir à sentir son sexe entre mes fesses mais je me refuse à une pénétration qu’elle ne cherche d’ailleurs pas.


Impression de faire l’amour à trois. Tenir un corps féminin dans les bras en ayant la raideur de son sexe contre la hanche. Glisser mon sexe entre ses deux fesses, pénétrer ses entrailles en caressant d’une main ses seins et de l’autre son vit et ses testicules. Prendre en bouche ce même sexe en faisant coulisser le mien entre ses deux seins qu’elle tient serrés l’un contre l’autre. Une merveilleuse et excitante expérience !


Nous avons fait l’amour une bonne partie de la nuit, jouissant plusieurs fois l’un et l’autre.


Et puis je ne l’ai plus jamais revue. L’adresse mail et le téléphone qu’elle m’avait donné étaient tous les deux faux.


Si tu me lis, Gwendoline…