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Temps de lecture estimé : 7 mn
09/09/14
Résumé:  Étudiant, je donnais des cours particuliers de piano pour me faire un peu d'argent de poche.
Critères:  fh fplusag extracon grosseins groscul amour fellation pénétratio
Auteur : Juliano            Envoi mini-message
La leçon de piano




Je vous conter une histoire qui m’est arrivée il y a une vingtaine d’années. Je doute que la femme dont je vais vous parler me lise un jour, mais qui sait, si elle tombe sur ce texte et qu’elle se reconnaît, elle n’a qu’à m’écrire, et j’espère ne pas la décevoir en relatant le passé.


C’était à l’aube de mes vingt et un ans, je faisais des études de musicologie en province, et je donnais des cours de piano durant l’année, histoire de me faire un brin d’argent de poche.


Cette année-là, j’avais en tout et pour tout six élèves à qui j’enseignais les rudiments de l’instrument à domicile. Tous les jeudis, à 18 heures pétantes, je me rendais dans une banlieue cossue de la ville, pour donner un cours à un petit garçon de dix ans. Il vivait avec ses parents dans une vaste maison bourgeoise. Dans le salon trônait un majestueux piano à queue, il y avait pire pour apprendre à jouer.


À chaque fois que sa mère m’ouvrait la porte, j’avais le cœur serré. Sa mère, cette femme magnifique aux formes généreuses et à la classe nonchalante m’hypnotisait. De plus, elle était d’une gentillesse désarmante, ce qui ne gâchait rien.


Soyons honnête, j’avais le béguin pour elle.


Et chaque semaine, le même rituel, elle me faisait entrer, je la suivais dans le long couloir qui menait au salon en reluquant ses formidables fesses. Je donnais le cours à son fils, après quoi elle me proposait une petite collation, et je repartais comme j’étais venu, avec des rêves plein la tête.


Ce jour-là, lorsqu’elle vint m’ouvrir, j’en eus le souffle coupé. Elle revenait du sport, et était vêtue d’un legging blanc qui moulait parfaitement son entrejambe et d’un top qui ne laissait aucun doute sur la lourdeur de ses seins et la générosité de ses tétons. Elle était encore transpirante de ses efforts, et je crus défaillir tellement la vue de ce corps magnifiquement moulé et de ses ondulations me collait une barre douloureuse dans le futal.

Elle ouvrit de grands yeux sur moi, et sembla gênée :



Je lui rétorquai que ça n’avait aucune importance. De toute façon, le déplacement valait le détour, j’aurais fait deux mille bornes pour ne serait-ce que pour l’apercevoir dans cette tenue. J’allais tourner les talons pour repartir quand elle me reteint par le bras :



J’acceptai volontiers, et j’étais à deux doigts de faire péter mes boutons de braguette en reluquant son fantastique cul et ses mouvements pour me guider au salon. Ce pétard, je l’aurais suivi au bout du monde, il m’hypnotisait littéralement. J’en avais le frisson, la chair de poule, le vertige.


Nous nous installâmes sur le grand canapé d’angle, chacun à un bout. Elle nous servit une tasse de thé vert. J’étais un peu emprunté en buvant ce breuvage, moi qui étais plutôt habitué à écluser de la bière bon marché. Intimidé, j’évitais au maximum son regard pendant que nous conversions. Nous parlâmes de sport, elle en était très friande : footing, stretching, aquabiking la maintenaient en forme, et quelles formes. Cette femme était voluptueuse, sa bouche était pulpeuse, sa poitrine très généreuse, ses fesses idéalement volumineuses. Elle portait sa petite quarantaine à merveille. Et ce regard scintillant et pénétrant me secouait vertigineusement ; une paire d’yeux qui respirait la sensualité, le désir, l’amour.


Puis, d’un coup, sans crier gare, elle fondit en larmes, de grandes larmes de crocodile. Elle était là, à deux pas de moi, à pleurer sans retenue. J’étais pétrifié, je ne savais que faire, entre deux sanglots, elle me parlait, se confondait en excuses, gênée de craquer comme ça devant moi. Sans y penser, je me rapprochai soudain d’elle, et la pris dans mes bras pour la réconforter.


Elle finit par se calmer, et me raconter qu’elle avait du chagrin à cause de son mari. Elle venait d’apprendre qu’il la trompait. Ce tocard, cette sous-merde, ce ringard, ce bon à rien, ce baltringue, comment osait-il blesser cette magnifique femme ?


Elle avait posé sa tête sur mon épaule. De ma main gauche je lui caressais les cheveux, la joue, et de ma droite, je la tenais tendrement par la taille.

Impossible de me contrôler, de gérer mes émotions, la sentir tout contre moi me faisait bander comme un âne. On pouvait voir la bosse qui déformait mon jean, je n’avais jamais eu une gaule pareille. Et sa main posée sur ma cuisse n’arrangeait rien.


Sa main, qui petit à petit, gagnait du terrain, se rapprochait dangereusement de mon entrejambe. J’avais l’impression d’être en plein rêve, tenir cette femme dans mes bras était tout ce que j’avais toujours désiré. Elle était là, tout contre moi, et ses doigts se baladaient maintenant aux abords de mon membre, flirtaient avec mes parties génitales.


Je n’osais bouger, pétrifié, tétanisé par le désir.


On ne disait plus rien, sa tête reposait toujours sur mon épaule.


Soudain, je crus avoir une hallucination : ses doigts étaient en train de glisser avec une douceur insensée sur mon sexe gonflé, elle les faisait aller et venir tendrement tout le long de ma tige. Ses ongles longs et vernis griffaient tendrement mes boules à travers le jean.


Elle avait relevé un peu la tête, et tout en commençant à me masser généreusement la queue, elle balada le bout de sa langue dans mon cou. J’en eus des frissons incroyables. Je me sentais comme un enfant, pétri de désir mais incapable de faire le moindre geste.


Méthodiquement, lentement, elle défit ma ceinture, et déboutonna mon pantalon. Sa main pressait maintenant fermement mon sexe, elle le jaugeait tout en me mordillant le lobe de l’oreille. Je sentais son souffle chaud, c’était absolument délicieux. Je me laissais embarquer sans bouger, ma main serrant toujours tendrement sa taille.


Elle sortit ma queue du caleçon, et se mit à me masturber. Sa main était d’une douceur hors pair, elle me branlait sans empressement. Tous mes sens étaient en éveil, j’étais en ébullition. J’espérais juste ne pas éjaculer trop vite, de peur de la décevoir.


Elle se pencha sur moi, et commença à titiller de la langue mon gland qu’elle avait décalotté avec délicatesse. Je jubilais. Ma main descendit sur la rondeur de sa fesse. Elle goba ma tige entièrement une première fois, puis commença à me pomper lentement. Je pétrissais tendrement son bon gros cul musclé pendant qu’elle s’activait. Elle suçait comme une déesse, c’était magique. Ses lèvres charnues enrobaient parfaitement ma queue, elle tétait goulûment mon gland.


Elle se redressa, me fixa de son regard de feu tout en me branlant toujours. Elle ne lâchait plus mon sexe, comme si elle avait peur qu’il s’échappe. Mon gland luisait à la lumière du soleil, humidifié par la salive de cette femme.

Elle enleva ses baskets, se mit debout, et dos à moi, fit glisser son legging et son string blanc aux chevilles.


Quel cul, mais quel cul !


Les fesses à l’air, elle s’accroupit devant moi, et m’ôta pantalon et caleçon. Sans dire un mot, elle m’enjamba, se positionna à califourchon sur moi, et s’empala lentement. Elle me chevaucha délicatement, en poussant de légers soupirs de volupté. Elle prenait son temps, elle semblait vouloir profiter de chaque seconde de notre accouplement. Mes mains étaient posées sur ses hanches, mais c’est elle qui imprimait la cadence. Elle me baisait littéralement. Elle montait et descendait sur ma queue en gémissant doucement, faisait faire à son cul des mouvements circulaires, d’avant en arrière, de haut en bas. Elle faisait l’amour comme je l’avais imaginé, avec grâce et délectation.


Elle souleva son top, ses seins étaient énormes et les tétons bruns et dressés. Je pris ces sublimes mamelles en main, et commençai à les suçoter à tour de rôle. Son vagin était chaud et humide, très humide. Elle s’activait de plus en plus sur moi, me demandant dans un souffle court de la pilonner plus fort. Je pris alors ses deux fesses entre mes mains, et commençai à lui mettre de puissants coups de boutoirs en lui pétrissant le cul. Elle gémissait de plus en plus en me disant :



Gagnant au fil des minutes un peu en confiance, même si je me sentais encore un peu timoré, je me mis à la tringler sans ménagement, à lui défoncer son magnifique minou. Je sentis son corps se contracter soudain, elle eut un long gémissement, prenant apparemment son pied. Il ne m’en fallut pas plus pour gicler en elle, envoyer la semence sans plus attendre.


On resta ainsi, dans les bras l’un de l’autre de longues minutes. Elle prit mon visage entre ses mains, et m’embrassa pour la première fois la bouche à plusieurs reprises.



Je me rhabillai alors, elle me raccompagna cul nu jusqu’à la porte, m’embrassa tendrement et me dit :



La semaine suivante, j’appréhendais de retourner chez elle, je voulais tellement qu’elle me chevauche à nouveau, qu’on grimpe aux rideaux ensemble. Mais il n’en fut rien. Rémi était guéri, et les cours de piano reprirent normalement.


Ce ne fût que lors de la dernière leçon de l’année scolaire que nous eûmes un ultime et magnifique rapport sexuel. Mais ça, c’est une autre histoire.