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n° 16393Fiche technique14089 caractères14089
Temps de lecture estimé : 9 mn
11/09/14
Résumé:  Une jeune femme, sage depuis sa jeunesse, va découvrir le plaisir d'être une femme.
Critères:  ff fépilée amour ffontaine massage rasage cunnilingu init -bisex
Auteur : Christ71  (Une femme BCBG va voir sa vie ce transformer.)            Envoi mini-message
Femme BCBG...




Je m’appelle Françoise, j’ai vingt-six ans. Je suis jolie, femme blonde BCBG, mariée à Pierre de quatre ans mon aîné, pilote de ligne long courrier sur une grande compagnie. Nous sommes mariés depuis six ans et ma vie sexuelle est celle d’une jeune fille élevée religieusement dans le respect des traditions.


J’ai perdu ma virginité lors de notre nuit de noce, comme le voulait mon éducation. Lorsque Pierre m’a pénétrée, alors que je m’étais allongée nue près de lui en sortant de la salle de bain, n’ayant même pas vu son sexe, j’ai poussé un petit cri de douleur quand il a déchiré mon hymen.


J’ai senti son sexe aller et venir rapidement dans ma grotte fraîchement ouverte et je n’ai pas pris de plaisir quand Pierre a éclaté dans ma vulve. Satisfait de lui et fatigué de notre longue journée, il s’est retourné et en quelques minutes, s’est endormi. Je l’ai entendu respirer calmement sans pour cela aller jusqu’à ronfler. J’ai somnolé jusqu’au matin, Pierre s’est réveillé, m’a embrassée tendrement, s’est couché sur moi et m’a reprise.


Sa verge a retrouvé son chemin et malgré une très légère douleur, rapidement un petit orgasme est monté dans mon ventre, Pierre a éjaculé et j’ai pu me rendormir quelques heures. Lorsque je me suis réveillée, j’étais contente, fidèle à ce que ma maman m’a inculqué, je suis devenu une petite femme respectable.


Le plus drôle de la situation c’est que je n’avais toujours pas vu, de mes propres yeux, la verge d’un homme. Je l’ai simplement sentie au fond de moi…

Ouvrant un œil, j’entends Pierre siffler dans la salle de bain. Je me lève et enfile le déshabillé offert par maman. Je passe la porte bien décidée à voir l’objet dont, depuis l’âge de quinze ans, j’ai entendu parler sans jamais ne le voir qu’en photo.


Pierre est devant le lavabo, nu. Me voyant entrer, il saisit prestement une serviette pour la mettre devant sa verge. Je lui dis que nous sommes mariés et qu’il est normal qu’entre mari et femme on puisse se voir nus. Je fais tomber mon déshabillé, lui montrant pour la première fois mon abricot doré. Après une hésitation, Pierre fait tomber sa serviette et je peux enfin voir l’objet de mes désirs de jeune fille.


J’avance jusqu’à lui, l’embrasse tendrement, le remercie d’avoir fait de moi une femme. J’ose avancer ma main vers ma convoitise pour le toucher. Pierre a un petit mouvement de recul mais se laisse faire. Nous échangeons un baiser langoureux et lui prenant la main, je le guide vers mon sexe pour qu’il me caresse. Dans ma main pour la première fois, je sens une verge d’homme grandir et atteindre une taille qui m’apparut assez petite.


Pierre me prend dans ses bras et me porte jusqu’au lit où une fois de plus, je remplis mon devoir conjugal.

Lorsqu’il a fini, nus tous les deux sur notre lit de noce, il m’explique qu’il a eu une éducation très rigoriste et que je suis la première femme avec qui il a fait l’amour.


Vierge moi-même, j’ai été dépucelée par un puceau que j’ai dépucelé, nous en avons ri.


Depuis six ans, notre vie sexuelle a été aussi platonique, Pierre me prenant tendrement lors de ses passages à la maison dans la position classique du missionnaire. Nous sommes tous les deux d’accord pour que je prenne la pilule, ne souhaitant pas avoir de grossesse avant mes trente ans. Pendant ces six ans, j’ai eu de nombreuses sollicitations d’hommes de tout genre mais mon éducation m’a obligée à les éconduire discrètement.


Aujourd’hui, j’ai rendez-vous à mon salon de beauté pour me faire les soins du corps que le salaire de mon mari me permet de m’offrir même si je ne travaille pas moi-même. Je passe la porte du salon, Virginie m’accueille et à partir de ce moment, ma vie va basculer.


Elle me dirige vers une cabine, me présente un peignoir et me demande de me mettre nue. Je m’exécute, m’allonge sur la table de travail et attends qu’elle me rejoigne.


Lorsqu’elle entre, j’admire la plastique de cette femme d’un âge certainement proche du mien. Depuis le temps que je pratique son salon, nos habitudes sont bien établies et c’est sans problème que je la laisse me prodiguer les soins habituels.


Elle débute son travail par une épilation générale, un massage facial et me fait un masque de beauté. Elle termine cette opération en me mettant une serviette chaude sur la figure qui m’empêche de voir ce qu’elle continue à me faire. Cette chaleur sur mon visage me permet d’être dans un état de somnolence très agréable. Virginie commence à me masser le corps avec des crèmes.


Est-ce l’atmosphère reposante qui me fait sentir les caresses de ses doigts se diffuser dans mon corps ? Pour la première fois, le centre de mon corps m’apparaît comme autonome. Un fourmillement très agréable est passé dans cette partie de moi que depuis des années, en bonne épouse, j’ai ignorée, voire rejetée.


Lorsque les mains de Virginie atteignent les abords de ma vulve, les sensations se font plus précises et plus fortes. Est-ce que Virginie au bout de ses doigts a senti mon émoi ? Certainement, car pour la première fois depuis que je laisse mon corps à cette professionnelle, elle augmente son massage dans cette zone. Sous la serviette, toujours posée sur ma figure, je me surprends à émettre un petit cri de plaisir.


Virginie m’enlève ce bout de tissu chaud et me regarde avec un petit sourire narquois. Mon visage est rouge, de honte ou de plaisir ? Ma raison m’empêche d’affronter la vérité en face, pour la première fois, j’avais eu un début de plaisir procuré par une femme….


Voyant mon émoi, Virginie me prend gentiment la main. La caresse légère du bout de ses doigts a vite fait de me replonger dans une torpeur encore nouvelle. Autour de nous j’entends les clientes passer et repasser devant notre cabine, accompagnées par les adjointes de Virginie vers la sortie.

La peur que quelqu’un ou quelqu’une entre, me fait, par un mouvement de pudeur, remettre prestement mon peignoir. Je me lève et remets mes vêtements sans un mot.


Virginie a quitté la cabine et m’attend à la caisse. Je règle la totalité des soins et au moment de prendre congé, elle me tend la facture avec ma carte bancaire.


Arrivée à la maison, Pierre étant absent pour six jours, je traîne mon âme en peine. Je prends un bain afin de me délasser.

Revenue au salon, je prends mon sac pour chercher mon mouchoir et mes yeux sont attirés par la facture du salon de beauté et plus particulièrement par un papier agrafé à cette dernière. Quelle n’est pas ma surprise de voir un numéro de téléphone avec ces quelques mots :


« Appelez-moi après dix-neuf heures. »


Le rouge me vient aux joues bien décidée à ne pas répondre à cette sollicitation. L’après-midi avançant, ma détermination est de moins en moins sûre.

À dix-huit heures, Pierre m’appelle de Pékin pour prendre de mes nouvelles. Nous parlons quelques minutes puis il me souhaite bonne nuit.


Le fait de m’appeler une heure avant l’heure fatidique proposée par Virginie va précipiter mon avenir. S’il n’avait pas appelé, j’aurais attendu son coup de téléphone et serais restée sagement chez nous.


À dix-neuf heures, je n’y tiens plus et compose le numéro. Virginie répond de suite et, sans me laisser le temps de réfléchir, me donne son adresse en m’invitant à venir souper « entre filles ». Je m’habile très soft et sortant de mon domicile, je monte dans le taxi que j’ai appelé.


Quinze minutes plus tard, je sonne à la porte du joli pavillon où elle habite. La porte s’ouvre et nous échangeons un chaste baiser comme de vieilles amies. Je pénètre dans une salle-à-manger où la lumière tamisée nous met tout de suite dans l’ambiance. La table est dressée avec en son centre, deux bougies allumées. Deux chaises sont placées côte à côte, Virginie m’aide à prendre place en profitant pour effleurer ma poitrine. Je sens immédiatement la pointe de mes seins se dresser. Nous dégustons quelques douceurs tous en badinant de tout et de rien.


Tout à coup, je sens sa main se poser sur ma cuisse. Quelle sensation, mon corps s’électrise !

Profitant de son avantage, elle me prend la tête et plaque un baiser sur ma bouche. D’abord surprise, je m’aperçois que mes lèvres acceptent de laisser passer sa langue qui vient entourer la mienne. Rien de comparable avec les baisers amoureux de Pierre, j’ai l’impression que mon corps ne m’appartient plus et qu’il flotte dans la pièce.


Ma nouvelle amie avance sa main vers ma vulve et commence à la caresser très, très doucement. Rapidement cette simple caresse fait monter en moi un plaisir jamais atteint avec la pénétration de mon homme. Continuant son avantage, Virginie enlève mon soutien-gorge et, avec sa langue, commence à me sucer les mamelons. Là encore, ma vulve réagit et un nouvel orgasme saisit tout mon corps.


Nous nous levons et elle m’entraîne dans sa chambre heureusement à quelques mètres, mes jambes ayant du mal à me soutenir. Dans un état second, je sens qu’elle me déshabille et que prestement, elle se met nue. Tout en nous embrassant, de plus en plus goulûment, nous chutons sur des draps de soie ce qui augmente encore mes sensations.


Elle commence à parcourir mon corps de baisers, léchant les partie les plus sensibles, mes seins, mon nombril, remontant vers ma bouche, mes oreilles et enfin arrive à ma touffe blonde qu’elle a si bien entretenue en début d’après-midi.


Des cris de jouissance parviennent à mes oreilles. Je mets quelques secondes à comprendre que c’est moi qui jouis fortement. Pendant un temps que je ne peux définir, mon corps jouit, jouit et jouit encore. J’ai dû perdre légèrement conscience, car lorsque je remets les pieds sur terre nous sommes allongées toutes les deux enlacées comme des amantes que nous sommes devenues.


Enfin amantes, presque, car rapidement je prends conscience que j’ai été la seule à jouir des caresse de mon amie. Elle me regarde amoureusement, elle aussi, et comme je la remercie de m’avoir fait découvrir des plaisirs que je ne connaissais pas alors qu’elle n’avait pas eu son plaisir, elle éclate de rire me disant que l’avenir nous satisfera toutes les deux.



Lorsque pendant quelques minutes, je me surprends à lui expliquer ma vie amoureuse depuis ma jeunesse, mon mariage, n’atteignant pas le dixième de ce que j’ai ressenti depuis le début de l’après-midi avec elle. Elle me serre plus fort dans ses bras me promettant de me faire rattraper ces années perdues.


Elle est très étonnée lorsque je lui explique ma jeunesse, ma vie de jeune fille et surtout ma vie de femme depuis mon mariage. Elle comprend mieux ma réaction lorsque, caché par la serviette, mon corps s’est ouvert au plaisir lors de sa caresse près de mon abricot qui pourtant n’a pas été très appuyée.


Elle me demande si, depuis que je suis adolescente et que mon corps s’est transformé pour obtenir cette petite merveille de femme que je suis devenue, avec mes propres doigts je me suis donné du plaisir. Voyant mon embarras et le rouge qui me monte aux joues, elle resserre son étreinte, me donnant un léger baiser sur les lèvres.


L’envie revient en moi mais, là, je veux être active. Les yeux fermés, je détache ma bouche, je descends vers ses seins magnifiques et je prends l’un de ses tétons dans ma bouche. Celui-ci grossit sous ma langue et la sensation de revenir à l’âge où je tétais ma mère, m’envahit. Tétant le deuxième, Virginie se met à pousser des gémissements qui sont pour moi une immense satisfaction. Pour la première fois, je donne du plaisir à une femme.


Me sentant de plus en plus hardie, je fais descendre mes lèvres le long de son ventre, n’oubliant pas de passer ma langue au fond du petit trou formé à la naissance et qui forme son nombril.


Enfin j’arrive à sa source, elle écarte tendrement ses longues jambes et osant enfin ouvrir les yeux, je peux admirer le sexe que je convoite. Nue, comme au jour de sa naissance, le sexe de Virginie est aussi nu et lisse que mon abricot lorsque j’avais douze ans.


Prenant ma tête dans ses mains, elle me guide vers sa fente, j’ai un petit moment de recul, mais me souvenant du plaisir que j’avais eu lorsque sa langue m’avait labourée quelques minutes auparavant, je fais tomber cette dernière barrière et, moi aussi, j’aspire goulûment ses lèvres intimes. Malgré mon manque d’expérience, son bassin oscille sous ma langue, et un jet de liquide vient inonder ma bouche. Un premier, un deuxième, un autre et encore un autre. Mon visage est inondé et ma petite maîtresse n’arrête pas de pousser des cris de jouissance.


La tension retombe, je remonte jusqu’à sa figure, lui reprends les lèvres et nous échangeons un baiser très langoureux. Cette fois-ci, elle a joui. Moi, je n’ai pas joui mais je suis la plus heureuse des femmes. C’est ainsi que nous nous endormons blotties, étroitement enlacées.


Je crois que le premier chapitre de ma vie amoureuse est terminé pour aujourd’hui, le temps de dormir un peu, de récupérer quelques forces et je vous raconte la suite dans le chapitre deux.