n° 16394 | Fiche technique | 11526 caractères | 11526Temps de lecture estimé : 7 mn | 12/09/14 |
Résumé: Une rencontre dans un TGV va se concrétiser... | ||||
Critères: fh hotel fellation cunnilingu fsodo | ||||
Auteur : Hipolyte (Amoureux des mots et des femmes.) |
J’ai connu Claire dans le TGV qui me transportait à Paris.
Je ne pus avoir, cette fois-là, de siège isolé. Je pris donc place dans le wagon qui m’avait été assigné. Je m’installai confortablement, pris le livre que je venais d’acheter sur les conseils d’un ami et commençai à le lire. En gare de Montpellier, une jeune femme s’installa à côté de moi et, après un court échange de formules de politesses, je me replongeai dans la lecture. Je remarquai qu’elle faisait de même.
Au bout de quelques instants, une exclamation :
Je me tournai vers elle et la détaillai plus en détail. Elle était vraiment charmante, habillée avec goût. La longueur de sa jupe me laissait entrevoir de bien belles jambes.
Je remarquai qu’elle portait une attention toute particulière au roman que je lisais et la regardai plus attentivement. Elle comprit mon interrogation muette et me montra la jaquette du livre qu’elle même dévorait : il s’agissait du même roman, Le Bonheur, de Denis Robert.
Je perçus alors comme une gêne s’installant entre nous ; elle rougissait de confusion en bafouillant et s’excusant pour m’expliquer que ce n’était pas son habitude d’interpeller un homme comme ça. Elle essaya, maladroitement, de justifier sa lecture et je la rassurai, tout aussi maladroitement d’ailleurs.
Nous parlâmes un peu plus longuement de la trame de ce roman. Elle me fit part de ses impressions et notre discussion, autour de ce livre, était si prenante que j’en oubliai de prendre mon habituel café au bar du TGV.
J’appris beaucoup plus de choses sur elle que l’inverse : mariée, deux enfants et un mari ingénieur. J’estimais son âge aux environs de 35 – 38 ans. Je me trompais, elle m’avoua, quelques semaines plus tard, qu’elle en avait 42.
Je l’invitai à déjeuner ou à dîner un de ces jours. Je la sentais réticente et perplexe sur l’attitude à adopter.
Je n’insistai pas. Nous nous quittâmes sur le quai de la gare à Paris et je profitai de l’occasion pour lui donner mon numéro de portable en la priant de me contacter, en tout bien tout honneur, comme deux adultes responsables.
Ce qu’elle fit deux jours plus tard. Rendez-vous fut pris, un soir, à 20 h 30, dans un petit restaurant que je connaissais pour y avoir déjà dîné bien des fois. Avantage, il était situé près de mon hôtel.
J’étais décidé à prendre les choses en main et attaquai la discussion sur le roman qui nous avait permis de nous rencontrer. J’abordai la question centrale du livre : la rencontre de deux personnes et leur attirance physique mutuelle, sans raison apparente. Nous parlâmes également de l’héroïne qui, sans renier son passé et son présent, ses amis, son mari, ses enfants, plongeait avec délices et volupté, non sans interrogations, dans cette recherche du plaisir et de fantasmes librement partagés.
Très troublée par le souvenir de cette lecture, elle m’avoua que c’était la première fois qu’elle lisait ce genre de littérature et que le titre de ce roman l’avait trompée. Je décidai de la bousculer et lui demandai de donner son avis sur cette femme qui trompait son mari, qui laissait même son jeune enfant à sa grand-mère pour assouvir sa passion dévorante. Alors même qu’elle n’envisageait pas un seul instant de quitter son mari.
Je la sentais gênée et prête à me quitter car mes questions, visiblement, l’embarrassaient. Je dus la rassurer et parlai de tout et de rien, éloignant la conversation vers des sujets plus anodins. Au fil de la soirée, charmante au demeurant (j’avais affaire à une femme sensible et intelligente), je sentis qu’elle se mettait en confiance et elle me parla longuement de sa vie, de son mari, de ses enfants. Loin de la brusquer, je pris le parti, au contraire, de la laisser parler, de la rassurer et lui proposai de nous revoir à l’occasion d’un prochain déplacement à Paris.
Quelques semaines plus tard, entrecoupées par quelques coups de fil où nous parlions de tout et de rien, simplement le plaisir de nous entendre, nous primes rendez-vous pour une nouvelle soirée. Je m’empressai de réserver deux places pour l’opéra Bastille où se tenait un spectacle particulièrement prometteur.
Attablé à l’extérieur, place de la Bastille, je la vis arriver d’un pas alerte. En me voyant, elle sourit et je ne pus m’empêcher de l’admirer : elle était particulièrement désirable. Je lui fis quelques compliments, commandai deux boissons et lui révélai que j’avais réservé deux places pour la représentation du Parsifal de Wagner. Devant son hésitation, je crus avoir, une nouvelle fois, été trop rapide et directif… Elle m’avoua que c’était une surprise, charmante, et qu’elle en appréciait d’autant plus l’inspiration.
Il va de soi que je ne profitai pas trop du spectacle si ce n’est celui de la regarder avec passion. Mon attitude semblait la gêner et à son interrogation muette, je commentais avec ferveur et passion ce que mon regard apercevait. Je profitais de sa confusion pour lui voler un baiser. J’insistai une nouvelle fois en la serrant dans mes bras. Elle ne me repoussa pas et je compris, à cet instant, qu’elle était prête à sauter le pas. Timide, réservée mais consentante, elle acceptait mes caresses et allait même au-devant d’elles.
À la sortie du spectacle, enlacés, je lui proposai de rejoindre mon hôtel. Elle ne dit mot mais me suivit sans résistance. Arrivés dans ma chambre, après des baisers fougueux, je m’assis sur le lit et l’invitai à se déshabiller, lentement, très lentement. Comprenant que c’était sa première expérience de l’exercice, je me levai, m’approchai d’elle et lui susurrai dans l’oreille un scénario érotique.
Avant qu’elle ne puisse répondre je lui bandai les yeux et l’invitai une nouvelle fois à se déshabiller. Quand elle ne fut plus qu’en soutien-gorge et en string, je lui demandai d’arrêter et m’approchai d’elle.
Lui laissant toujours le bandeau sur les yeux, tout en la caressant, je lui dis de voir avec son corps, de sentir chacun de mes doigts parcourant sa peau, de se représenter visuellement la scène, de la vivre intensément et de laisser ses sens découvrir une facette nouvelle du plaisir. Ainsi complètement nue, je la contournai et me plaçai derrière elle pour introduire un doigt dans son sexe tout en caressant tendrement son clitoris puis je la poussai sur le lit où elle tomba à plat ventre.
Je pris alors ses deux fesses dans mes mains, la relevai légèrement et m’introduisis dans son sexe maintenant ouvert et disponible. Je la pilonnais sans répit, m’étonnant moi-même de mon endurance. Nous arrivâmes ensemble au plaisir et je m’écroulai sur elle.
Elle se leva pour prendre une douche et je la suivis. Tous les deux sous la douche nous nous embrassâmes fougueusement. Elle prit ma verge à pleine main, la branlant et lui redonnant de la vigueur. Elle la prit ensuite dans sa bouche et, jouant avec sa langue et ses mains, m’amena rapidement à la jouissance une nouvelle fois, avalant le sperme et léchant avec délicatesse ma verge.
Elle m’avoua que c’était la première fois qu’elle avalait.
Après nous être séchés, je la couchai sur le lit et parcourus son corps, ne laissant aucune partie non explorée. Je lui fis un cunnilingus et l’amenai à une jouissance très bruyante. Elle m’avoua, également, que c’était la première fois qu’elle se laissait aller à cette pratique, jusqu’au bout. Devant de tels aveux et touché de sa sincérité, une nouvelle envie me tenaillait. Voyant ma verge en érection, elle la prit et entreprit, une nouvelle fois, une fellation. Je dois dire que sa bouche était douce, chaude, sa langue agile et ses mains expertes.
Ne voulant pas cette fois me contenter de sa bouche, je la repoussai sur le dos et guidai mon sexe vers son entrejambe. Elle ceintura mon dos de ses jambes et se cambra pour me permettre de mieux la posséder encore. Au bout d’un moment, je me retirai, la retournai et la pilonnai cette fois en levrette tout en laissant mon index jouer avec son anus. Après un premier réflexe de recul, elle en accepta l’introduction. Lentement, tout en continuant de lui faire l’amour, je pris la cyprine qui s’écoulait de son sexe et lui caressai l’anus, introduisant mon index tout en exerçant une rotation.
Quand elle sentit mon sexe se retirer et appuyer sur son anus, elle me dit de faire attention, que c’était la première fois et qu’elle avait très peur d’avoir mal. Je la rassurai et tout doucement poussai, puis m’arrêtai, pour continuer. Petit à petit, mon sexe la pénétrait et écartait son sphincter.
J’allais aussi doucement qu’elle me l’avait demandé : elle ne se retira pas et accepta cette introduction. J’entrepris alors un va-et-vient de plus en plus rapide, tout en malaxant ses seins. Au fur et à mesure, je sentais qu’elle se détendait et participait d’elle-même à l’introduction de mon sexe en poussant son derrière vers moi. Je ne pus retenir plus longtemps ma jouissance et explosai en elle.
Je l’embrassai et la remerciai de ce don. Elle me dit alors qu’au début, elle avait beaucoup souffert mais, petit à petit, se sentant possédée comme jamais, elle avait éprouvé un réel plaisir. Certes moins intense que le plaisir vaginal mais beaucoup plus agréable qu’elle ne l’aurait cru.
Cette nuit-là, je dois avouer que nous ne dormîmes pas beaucoup, inventant toutes sortes de jeux et de scénarios érotiques. Et nous parlâmes. Ou plutôt, je l’écoutai me parler de sa vie professionnelle et familiale, de ses rapports avec son mari et du train-train quotidien ou la sexualité a laissé la place à l’habitude du samedi soir et son si sinistre devoir conjugal…
Nous nous sommes vus quelquefois encore à la recherche de nouvelles sensations.
Mais c’est une autre histoire !