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Temps de lecture estimé : 29 mn
15/09/14
Résumé:  Elle fait connaissance d'un homme, d'un amant, qui la guide vers des plaisirs qu'elle ne pensait pas pour elle. Elle rentre chez elle après une absence de 24 heures qu'il lui faut justifier à son mari...
Critères:  fh 2couples fplusag cocus fsoumise facial fellation cunnilingu pénétratio double sandwich fsodo hsodo partouze attache yeuxbandés confession
Auteur : Viona      
Amnésie

Hélène est devant la porte. Sa porte, celle de l’appartement qu’elle a quitté seulement vingt-quatre heures plus tôt. Si peu de temps, mais tout un monde.


Son doigt effleure la sonnette. C’est le moment, l’instant critique. Son amie, Alexandra, lui a dit : Plus le mensonge est gros, plus il passera. Elle va le vérifier et prie pour que son amie ait raison. Pendant tout son voyage, train et taxi, elle s’est construit un argumentaire pour se préparer à ce qui va se passer. Elle est au point. Enfin, elle le pense. Sa tenue est en désordre, le visage blafard, les yeux éteints. Elle va sonner. Si tout se passe comme prévu, il va ouvrir. Oui, lui, son mari, Marc qu’elle a laissé un jour plus tôt, simulant une dispute et claquant la porte derrière elle. Il va s’étonner.



Et Hélène va répondre.



Il va s’interroger.



Voilà ce qu’elle attend. Après ce n’est que du remplissage. Faire semblant d’aller voir un médecin, etc. L’important, c’est que son mari ne se doute de rien. Surtout qu’il ne sache jamais ce qu’elle a fait pendant son absence. D’ailleurs pourrait-il imaginer ce qu’elle a vécu ? Non, sûrement pas. Elle, la femme fidèle, exemplaire, compagne de tant d’années de vie en commun…




oooOooo




Tout a commencé six mois plus tôt. Hélène et son mari avaient été invités chez Alexandra, amie de longue date. Alex, pour les intimes, est veuve et après une période difficile, l’assurance-vie de son mari lui a redonné goût à la vie, mais elle reste discrète sur le sujet.


Ce soir-là, il y avait au moins vingt personnes à table et Hélène s’est retrouvée à côté d’un jeune homme qui a passé la soirée à lui faire la cour. Oh, pas une cour qu’une femme de son âge a l’habitude de se voir offrir par un garçon beaucoup plus jeune. Non, quelque chose de plus actuel, marque d’une époque où le sexe est un plaisir comme un autre. Bien sûr, il y a eu des sourires, mais surtout une main égarée sur ses cuisses alors que l’autre guidait la sienne sur la bosse masculine que le pantalon bridait mais qu’Hélène a sentie prête à jaillir.


Bel hommage de la jeunesse à sa féminité qu’elle croyait déclinante. Il y a bien longtemps que son mari et elle avaient fait le tour du sexe, surtout qu’elle s’était toujours montrée assez réservée sur le sujet. Il est vrai que ce garçon était bel homme, contraste d’un visage d’ange avec un corps tout en muscles. Une grande partie de la soirée – oh la honte – elle n’a cessé de se demander si tous les muscles étaient aussi fermes. Il faut croire que ce garçon l’avait troublée… Elle se traitait d’idiote, tentant de revenir sur terre en se forçant à se rappeler que le muscle objet de ses pensées n’en n’est pas un…


Le lendemain, appel de son amie Alexandra.



Hélène se sent obligée de faire l’innocente alors que cette demande la ravit.



C’est une évidence qu’Alexandra drague mon mari mais que lui ne voit rien.



Elle m’énerve à me donner des conseils ! Quoi, je suis une gamine qui ne sait pas se contrôler ? Normalement j’aurais refusé ce numéro de téléphone. Ce n’est pas à mon âge que je vais tromper Marc, même si quelquefois j’aimerais plus de fantaisie entre nous. Mais Alexandra m’énerve avec sa remarque condescendante.





oooOooo





Comme présentation on ne fait pas plus simple. Pas de nom ou de prénom. Bien sûr je sais que c’est lui, Stephan.



Mais dans quel monde ils vivent ces jeunes ? Un coup de fil et ils pensent que nous allons accourir ! Des malades. Qu’il aille se faire foutre… Pourtant l’avertissement d’Alex me pousse à aller voir. Après tout, je suis une grande fille et je sais me défendre. Le lendemain, je suis donc devant sa porte.



Voilà comment il m’accueille. Pas un mot sur ma tenue, alors que je m’étais longuement préparée. Il me fait entrer dans son salon. Enfin il s’approche, saisit mon visage entre ses mains et m’embrasse sur la bouche. Je reconnais un parfum de marque, fragrance au chocolat, le parfum des hommes qui veulent séduire les femmes.



Je crois avoir mal compris, mais il répète.



Sidérée, je fais un pas en arrière. Quel goujat. Pour qui me prend-t-il ? Une pute ? Une gamine de son âge qui vient se faire sauter entre deux cours ? Je ne dis pas un mot et je fais mine de partir. Il me retient par un bras et m’embrasse à nouveau. Son baiser est plus fort, plus fougueux et ce simple contact m’enflamme. Je frissonne. Il me parle à l’oreille.



Il recule pour aller s’asseoir sur une chaise et me laisse seule devant lui. Il prend un objet que je comprends être une petite caméra car au même moment l’écran de télé s’allume pour afficher ce qu’il filme. Je vais protester, mais il ne me laisse pas le temps de parler :



D’une certaine façon, c’est à cet instant que commence vraiment mon histoire. Car je l’ai fait.


Il avait raison, avant même de sonner je savais ce qui allait se passer. Mais je m’attendais à une approche plus classique, une mise à nu plus progressive, partagée, que chacun fasse un bout de chemin. Et pourtant je reste là devant lui…


Mon chemisier met ma poitrine en vedette autant que ma taille fine. Mes mains tremblent comme une adolescente lorsque je m’escrime sur les boutons. Enfin je le fais tomber, effeuilleuse amatrice devant cet homme. D’un simple zip, ma jupe suit plus facilement.



Je m’exécute, consciente que j’obéis sans rechigner.



Le soutien-gorge libère ma poitrine que je m’efforce de présenter au mieux. Le string de dentelle blanche acheté pour l’occasion en cache si peu que l’enlever me rend à peine plus nue. Et pourtant, je suis maintenant plus nue que je ne l’ai jamais été car pour la première fois de ma vie je me suis totalement épilée, pensant que pour un homme de sa génération, les poils ne doivent plus exister.



C’en est trop. Je lève la main pour claquer ce petit con qui me traite comme du bétail, mais il est plus rapide que moi et sa main bloque mon poignet.



Il bloque mes bras derrière mon dos et m’embrasse sauvagement. Une main suffit à m’immobiliser. L’autre découvre mon corps. Je ne peux pas me retenir de frissonner de son audace et de ma faiblesse. Deux visages. Cet homme à deux visages, deux personnalités. La première est rude, dominante, conquérante. C’est elle qui commande la main qui me fait mal tellement elle étreint mes poignets pour m’immobiliser. La seconde est douce, sensuelle, un visage d’ange, des lèvres qui savent caresser, une main qui survole mon corps, atterrissant par endroit pour déclencher un frisson puis qui redécolle pour aller plus loin.



J’obéis, heureuse qu’il vienne me rejoindre dans ma nudité et curieuse de découvrir ce corps que l’âge n’a pas encore marqué. La peau est lisse, les muscles agréables, les hanches étroites, les fesses deux merveilles de fermeté. Je le palpe à travers le boxer tout en tirant sur l’élastique. Instinctivement je me suis mise à genoux devant lui et si mes mains transmettent à mon cerveau la beauté de qu’elles découvrent derrière, mes yeux s’éblouissent de ce que je vois à l’avant. Le sexe pend sagement sur les bourses. Pas l’ombre d’un duvet, comme d’ailleurs sur tout le corps. Stephan a tout de l’éphèbe, si loin de mon mari dont les poils affirment la masculinité. Mais la virilité de Stéphan est bien sous mes yeux. Le sexe est long, le gland presque totalement caché par la peau qui ne laisse apercevoir, par un anneau étroit, que son extrémité. Il pend, habillant les deux couilles mais descendant bien plus bas. Cela fait une éternité que je n’ai pas regardé le sexe de mon mari, mais tout de même je suis certaine qu’au repos la tige n’est pas si longue ni épaisse.



Généralement cela me dégoûte de prendre un sexe dans la bouche. Qui peut bien aimer papouiller ce morceau de chair dont la fonction, au repos, n’incite pas à la poésie ? Je n’ai jamais aimé la fellation. Marc a longtemps essayé de me convaincre, utilisant les artifices du miel ou de la confiture dont il se tartinait le sexe, mais non, ce n’est pas mon truc. Mais pourtant, cette fois, j’en ai presque vraiment envie. Je le prends en bouche. Je fais l’effort de le sucer mais étrangement je n’arrive même pas à le faire bander.



Que répondre ? J’essaie de le branler, mais je n’ai pas plus de succès.



J’obéis, me rendant compte combien je suis cruche et inexpérimentée. Il me guide. Quelques pas et un bureau s’interpose. D’une main rageuse Stéphan balaye les quelques objets qui décorent sa surface. Il me fait allonger. C’est trop court pour que je puisse tenir entièrement. Des mains me guident. Me voilà sur le dos, les jambes et la tête dans le vide. C’est plus qu’inconfortable. Stéphan fait le tour. La tête renversée en arrière, je le vois d’en-dessous se branler contre mon visage. La tige souple que je n’ai pas réussi à réveiller se raidit sous la main de son maître. Ce n’est pas encore le bâton que l’on s’attend à voir mais elle est suffisamment tendue pour que, la guidant de la main, il dépose le bout entre mes lèvres que je n’ai pas osé garder closes. Des mains puissantes saisissent ma tête et je dois accepter que le bout fasse son chemin dans ma bouche.


C’est encore une tige dont la souplesse est suffisante pour fléchir et se laisser diriger, mais à chaque seconde elle devient plus dure et longue. Les mains ne faiblissent pas et la tige devient roseau, puis bâton, et je m’étouffe. La tête toujours renversée en arrière, je pleure, je tousse, j’ai des renvois, des flots de salive me noient. Régulièrement mon tyran retire sa queue pour me laisser reprendre mon souffle, chassant de ma gorge un torrent de liquide qui me coule dans les narines et sur les yeux. Mais c’est pour mieux m’envahir à nouveau. Chaque fois le monstre trace sa route un peu plus loin dans ma gorge jusqu’à ce que ses couilles viennent se frotter à mon nez. Il me force une ou deux secondes dans cette position ou j’ai la sensation que son gland est dans mes poumons. Puis il me laisse respirer et chasser la salive qui coule.


Je dois avoir la tête d’une folle, le visage renversé ruisselant de bave, le front et les cheveux trempés. D’ailleurs je suis folle. Folle d’accepter ce traitement. Pourquoi ne dis-je pas non ? Pourquoi me faire martyriser de cette façon ? Si ma tête est prisonnière le reste de mon corps est libre et il suffirait que je me lève, ou même que pendant ces instants de respiration je dise assez !


Malgré ma vision inversée et perturbée par les larmes, je découvre ce que la longue tige est devenue. Maintenant elle se tient seule, horizontale, le gland pointu totalement dégagé. Elle me paraît si longue et si grosse que j’en arrive à croire que le mélange de larmes et de salive fait un effet de loupe. Mais après un battement de paupières, c’est toujours une queue impressionnante qui se tient contre mon visage. Même si ma position amplifie la perspective, j’ai du mal à croire que mon tyran arrive à faire tenir son mandrin dans ma gorge. Ce n’est pas possible !


Mais ses mains donnent le signal, la pression se fait de nouveau plus forte. Instinctivement j’ouvre la bouche. Un mot ! Il suffit d’un mot ! Allez Hélène, dis-le ! Dis-lui d’arrêter. Dis-lui que tu ne veux plus ! Ma raison me hurle de le faire. Mais rien. Je ne fais rien. Si, plutôt, celle que je ne connais pas et qui prend ma place, décide de regarder. Oui, surtout ne pas fermer les yeux.


Je vois passer le monstre, le gland rose et baveux, champignon dont le pied suit, avance, avance, tige sans fin qui fraye son chemin dans ma gorge. Je pleure mais m’oblige à conserver les yeux ouverts. Les couilles passent, ballons gonflés qui tendent la peau. Elles m’aveuglent alors que les mains me bloquent les mâchoires et poussent encore plus pour gagner quelques millimètres. Son petit trou. Oui je vois son trou du cul, œillet à peine plus sombre que la peau autour, à un centimètre de mes yeux.


Chemin inverse. Reflux de la marée qui m’a envahie. La bave m’aveugle à nouveau. Je respire, déglutit, avale, crache, tousse. Un peu moins, peut-être que les premières fois.



Dire que je prends sa remarque comme un compliment, c’est un peu exagéré. Mais au moins il ne me ridiculise pas. Il disparaît de mon champ de vision, mais ses mains tracent un chemin le long de mon corps pour venir se saisir de mes jambes, les soulever et les écarter.



Je ne peux retenir un cri lorsque je sens son visage entre mes cuisses et sa langue glisser le long de ma fente. J’ai droit au plus doux des cadeaux, de ceux que des lèvres et une langue experte peuvent apporter à une femme. Sa douceur est infinie, son toucher parfait. Il me fait jouir longtemps et je le régale de ma liqueur.


Puis il se redresse, m’écartant encore plus de ses mains puissantes pour que son long mandrin vienne se glisser dans ma fente. Il rampe lentement, avance, recule pour repartir en avant et terminer sa course tout au fond de ma matrice, dans une région encore inexplorée. Que c’est bon de se sentir possédée par une queue dont la dureté et la vigueur vous remplit entièrement ! Stephan me prend lentement au début mais très vite sa fougue prend le dessus et il me bourre avec force. C’est violent, mais étrangement j’aime cette façon de me baiser. Sa bite m’envahit et m’abandonne, encore et encore. Je ne suis plus qu’une poupée entre ses mains, mais une poupée qui avance sa main pour caresser son clito et parfaire son plaisir.


Il sort de moi. Je crois alors qu’il veut jouir sur moi, mais en réalité c’est pour placer sa queue contre mon petit trou.


Il va me sodomiser.



J’ai toujours refusé ce chemin à mon mari qui a depuis bien longtemps abandonné toute velléité d’insister.



Il revient alors à ma bouche et bloque son sexe au fond de ma gorge. Il tient de nouveau son visage et fait de courts allers-retours qui branlent son gland contre ma glotte jusqu’à ce que jaillisse le liquide âcre et gluant que je ne peux lui refuser de recevoir et que je ne peux qu’avaler.


Une heure plus tard, descendant l’escalier quatre à quatre, c’est une femme furieuse qui s’enfuit. Furieuse contre cet homme qui a abusé d’elle et l’a soumise aux pires des horreurs. Furieuse contre elle-même de s’être laissée faire, emportée par je ne sais quelle recherche de sensations fortes.



Croit-il qu’elle va revenir ? Il se fourre le doigt dans l’œil ! Pervers. Sadique. Manipulateur.




oooOooo




En débouchant dans la rue, elle a un moment de recul. Tout le monde doit lire sur son visage ce qui vient de se passer. Il lui semble que les passants la regardent à la dérobée, détaillant son visage, sa tenue. Oh, mon dieu, peut-être ai-je encore des traces de salive ou de sperme sur la figure ? Elle s’était laborieusement essuyée : Stéphan n’avait pas voulu qu’elle fasse une toilette plus approfondie afin qu’elle reste dans son jus jusqu’à chez elle. Et son jus, elle en a encore le goût dans la bouche. Le soleil s’est caché et le vent annonciateur d’un orage lui fait ressentir sa nudité. Culotte et soutien-gorge sont restés en otage chez l’homme afin qu’elle se sente libre, a-t-il dit. Elle sent parfaitement le vent effleurer ses seins et que dire des tourbillons qui passent sous sa jupe pour caresser sa chatte encore humide…


Le soir même, Alexandra vient aux nouvelles. Hélène n’a pas voulu, par défi, lui cacher qu’elle avait rendez-vous avec Stéphan.



Hélène reste muette. Elle se rend compte qu’il lui est impossible de raconter ce qu’elle a vécu. Soit elle passe pour une femme qui s’est laissé dépasser par les événements, soit elle passe pour la pire des salopes qui a pris son pied dans des conditions limites. Alexandra prend son silence pour une faiblesse.



Hélène se sent humiliée. Humiliée par son amie qui la considère comme une femme honnête. Une femme triste, ayant perdu tout contact avec la vraie vie, la féminité, le sexe, le plaisir. Humiliée aussi par un amant qui s’est servi d’elle sans vergogne, mais qui lui a donné du plaisir. Plaisir de la jouissance et plaisir de se dépasser.




oooOooo




Trois jours plus tard, je me suis présentée à l’heure dite chez mon amant. Mon amant, Stéphan. J’avais pris ma décision. Aussitôt il m’a entraînée dans sa chambre. Son sms me demandait de venir sans lingerie, nue sous ma robe. Je commençais à apprécier la caresse de l’air qui se glisse dans tous les recoins alors que je marchais dans la rue. Il m’a ouvert la porte sans un mot et m’a conduite à sa chambre. Toujours silencieux, il m’a attachée sur son lit, nue et écartelée, bras et jambes aux quatre coins, puis m’a placé un bandeau sur les yeux. Ce n’est qu’alors que j’ai entendu une autre voix que la sienne et que j’ai compris qu’il n’était pas seul. Il y avait un autre garçon dans la pièce.


Pendant des heures, j’ai été à la merci des deux hommes. Ils m’ont baisée, craché leur sperme dans la bouche et même, pour la première fois, un homme a glissé sa bite dans mon cul.


Stéphan m’avait prévenue la fois précédente, je savais ce qui m’attendait. Et vous me croirez si vous voulez, mais cette première sodomie m’a attachée vraiment à mon amant. J’avais toujours les yeux bandés et ils m’avaient placée à quatre pattes. Et j’ai bien senti que l’homme qui m’a sodomisée pour la première fois avait un sexe bien trop petit pour être celui de mon amant. Eh oui, le dominateur, le démon, avait eu la délicate attention de me faire déflorer par plus petit que lui, et je lui en étais reconnaissante. Il m’avait rendue prête à le recevoir.


Dans les semaines suivantes tout s’est enchaîné. Je suis vraiment devenue l’esclave consentante de Stéphan. J’acceptais tout. Avec lui, le sexe c’était l’aventure. Il m’a fait l’amour de toutes les façons dans les lieux les plus insolites : ascenseur, porte cochère, parking souterrain et même une fois sur un parking d’autoroute, sous les yeux de routiers qui se branlaient. Certains sont venus assez près pour éjaculer sur moi.


Je suis même devenue une complice. Une fois il m’a cachée dans sa salle de bains pendant qu’il recevait une nouvelle conquête. Alors qu’il l’avait allongée nue sur son lit et aveuglée, pour augmenter les sensations lui avait-il dit, il m’a fait venir pour que je la caresse. Elle a été ma première expérience lesbienne. J’ai fait jouir cette gamine d’à peine vingt ans uniquement avec ma bouche et ma langue. Finalement c’est facile pour une femme de trouver la bonne façon. Ensuite il l’a prise longuement pour la faire jouir à nouveau sous mes yeux et j’ai adoré cela. Il est devenu ma drogue, acceptant même de lui obéir à distance.


Sur son ordre, j’ai fait de plus en plus rarement l’amour avec mon mari. J’ai accepté d’autant plus facilement que je n’étais plus à l’aise avec Marc. J’avais peur de me trahir et de laisser remonter à la surface la femme nouvelle et salope que Stephan façonnait jour après jour. Je me suis également promenée avec un gode dans les fesses ou des boules dans la chatte, dont il pouvait activer les vibrations par sms.


Et puis un jour, il m’a dit :



Alexandra a refusé de me servir de couverture et je ne voyais personne à qui demander ce service. Mais elle m’a donné une idée.





oooOooo




Voilà comment ce samedi, vers seize heures, je me suis débrouillée pour avoir une dispute avec mon mari et partir en claquant la porte, avec mon sac à main comme seul bagage. Train et taxi m’ont emmenée à la porte d’une grande maison dans la banlieue à Rambouillet. C’est Stephan qui m’ouvre.



Toujours aussi bavard. Pas tendre pour un sou, mais la main qui se saisit de la mienne est douce et rassurante. Nous montons deux étages, la maison semble vide. Enfin, après une porte et quelques marches de bois brut, j’entends du bruit. Des conversations semblent passer par les interstices de la porte qui se dresse devant nous.



Je m’arrête et il me place un bandeau sur les yeux. Une porte qui grince, des conversations qui s’arrêtent, quelques marches et je foule le plancher de ce que je devine le grenier de la vieille demeure. Il me guide. Des mains se saisissent de mes bras pour les lever et les attacher au plafond.



Stephan m’abandonne.



Je sens que l’on s’approche de moi, que des mains indiscrètes me palpent comme une marchandise. Un bruit étrange. Frottement de métal. J’ai peur. Et si Stephan m’avait donnée en pâture à des malades ? Des pervers violents ? Des maquereaux qui vont m’envoyer dans un lointain bordel ?


On tire sur ma robe. Un froissement et le bruit caractéristique du tissu que l’on coupe. On tire ailleurs. Encore le même bruit. Plus bas. Plus haut. Toujours ce feulement. Je sens maintenant sur ma peau que le tissu est ajouré. Un bruissement et une bretelle de soutien-gorge se relâche. Un nouveau et je sens le métal froid qui se glisse entre chair et tissu pour couper la fine lanière de mon string. Je ne suis plus revêtue que de haillons.


Je saurai plus tard que c’est le travail des femmes de l’assemblée de découvrir mon corps pour leurs maris, amants, maîtresses. C’est leur façon de m’inclure dans leur clan, et de donner toute liberté aux hommes présents.

La liberté, ils n’en manquent pas. Je suis nue maintenant et le dernier coup de ciseaux est pour mon bandeau. Je peux voir. Ils font cercle autour de moi. Certains ont déjà sorti leur verge du pantalon et se branlent, d’autres laissent ce soin à leur compagne.


Un homme s’avance, nu, le sexe dressé. D’un coup de rein il pousse sa queue entre mes cuisses et envahit ma chatte. Un second le suit, fait le tour par derrière et quelques secondes plus tard, c’est une femme embrochée entre deux conquérants qui se balance entre eux.


La suite… la suite, ce n’est que du bonheur. Bonheur reçu, bonheur donné. Combien ? Hommes et femmes, j’ai tout pris. Le lendemain, Stephan n’est pas là à mon réveil et c’est la maîtresse de maison qui me prête une robe. Train, taxi. J’attends seize heures et je gravis les marches de mon immeuble.




oooOooo




Voilà toute mon histoire, pas banale j’en conviens, mais que de souvenirs… Des souvenirs, mais oui, car j’ai décidé de ne plus revoir Stephan. Il m’a fait vivre des choses que je n’aurais jamais imaginées, me transformant, moi la femme coincée, en femme soumise toute entière tournée vers son plaisir et le mien. Ces dernières vingt-quatre heures ont été une apogée et je ne vois pas ce que je pourrais découvrir de plus. Car j’aime mon mari comme au premier jour. Il n’est pas besoin de prouesses sexuelles pour se forger un amour et une complicité comme la nôtre. Il est temps que je redevienne sa compagne et que notre vie reprenne son cours. Et puis, peut-être, si l’occasion se présente, lui faire profiter de ce que j’ai appris. Oh, une fraction, une petite fraction. Plus serait dangereux et pourrait l’intriguer.


Une profonde respiration et je sonne. Il ouvre.



Et je réponds, enchaînant mon laïus bien rodé, l’amnésie, la chute dans l’escalier, la douleur imaginaire à la tête, etc.



Ouf, il a gobé mon mensonge. Alexandra avait raison. Le plus dur est fait. Il faut juste gérer la suite. Il n’a même pas remarqué que je portais une robe différente de la veille.



Il se sert et vient s’asseoir à côté de moi. Je remarque seulement alors, qu’il est en short. Il doit voir mon regard :



Notre appartement est au dernier étage de l’immeuble et nous avons un accès privatif à la terrasse. Le silence s’installe. Je sens son regard sur moi.



Un silence et il nous ressert à boire. Encore une fois il m’observe à la dérobée.



Marc met notre écran plat en marche. Il vient de l’acheter et en est très fier. Une merveille coûteuse, de la technologie. Il tâtonne un instant, sélectionnant les icônes qui s’affichent. L’image jaillit, remplit la pièce de sa présence avec son mètre soixante de diagonale. En réalité, l’écran diffuse quatre programmes, chacun occupant un quart de la surface. Et il me faut quelques secondes pour réaliser que ce qui s’affiche est un film porno. Un film, non quatre films. Et l’actrice principale des quatre, c’est moi.



C’est tout ce que j’arrive à dire, tant je suis stupéfaite.



La stupeur passée, mon cerveau travaille à toute vitesse pour trouver une explication, une excuse…



Il me montre sur l’écran, nue, aveuglée, attachée sur le lit de Stephan alors qu’un homme me possède.



Une autre vidéo prend la place. On voit très bien que ma tête est prisonnière des mains de Stéphan qui baise ma bouche. J’ai une mine à faire peur, le visage quasiment recouvert de bave et je ne parle pas du son, que Marc met à fond pour que les haut-parleurs remplissent la pièce de mes gargouillis obscènes.



Je saute sur l’occasion, cherchant une échappatoire.



Je laisse mes paroles faire son chemin, et j’insiste.



Il me regarde. Je prie pour qu’il me croie.



Sur l’écran il fait apparaître des vidéos, tournées pendant le week-end où la femme qui en est la vedette est tout sauf une femme forcée par son amant. Je comprends que, pour une raison que j’ignore, Stephan a tout envoyé à mon mari. Je n’avais même pas remarqué que nous étions filmés. La femme qui suce, pompe, se fait prendre, les seins déformés par les sangles, les tétons pincés n’est pas sous la contrainte. S’il y a soumission c’est manifestement une soumise consentante et volontaire. Je suis perdue.



En tournant la tête je découvre Alexandra, nue avec juste un chapeau de paille sur la tête. En un instant je comprends. Elle a profité de mon absence et de mes confidences pour séduire mon mari. En plus, la garce a dû s’arranger avec Stephan pour les vidéos et me ruiner devant Marc. Je suis anéantie.



Que dire ? Que faire ? Alexandra ne m’a pas seulement pris mon mari, elle m’a totalement déconsidérée devant lui. La garce ! La salope ! Moi qui la croyais mon amie ! Je comprends mieux ses tentatives de séduction envers Marc. Et ce n’est pas un amant qu’elle cherchait, mais un mari, un compagnon. Que vais-je devenir ? Il va divorcer, c’est sûr. Et je n’ose imaginer ce qui va se passer s’il se sert des horreurs qui passent sur l’écran.



Mon ton doit les surprendre car ils me regardent.



La colère m’étrangle.



C’est Alexandra qui répond.



Marc m’interrompt :



J’hésite, mais à quoi bon mentir. De toute façon, j’ai perdu mon mari.



Il est là lui aussi, venant de l’escalier qui monte à la terrasse, nu comme Alexandra.



Tous ont le sourire, comme s’ils regardaient le résultat d’une farce. Je commence à comprendre. Mais c’est mon mari qui répond à mon regard.



Je ne saisis pas bien et manifestement cela se voit sur mon visage.



Que dire d’autre ? Moi qui pensais que la salope tournait autour de mon mari sans succès.



Cela me fait une belle jambe.



C’est Stephan qui continue.



Je ne peux m’empêcher de réagir.



Et il pousse le son du film qui ne s’est pas arrêté. Je m’entends crier ma jouissance à grand renfort de « encore, encore » ! Enfin, il coupe la télé. Le silence s’installe. Stephan avance. Il prend mon visage entre ses mains et m’embrasse. Un flash et je me retrouve le jour où je suis allée chez lui la première fois. Même baiser, même parfum.



C’est une femme désemparée qui, sous le regard de son mari, défait cette robe qu’une autre lui a donné. Comme mes sous-vêtements ont subi un sort tragique, je suis nue dessous.



Marc est assis juste en face de moi. Il se soulève pour que je tire son short, le dernier vêtement dans la pièce. Je découvre son sexe déjà en érection. Assez bizarrement, je suis fière de cette réaction. Sa femme le fait encore bander. Mais est-ce sa femme ou la salope qu’elle est devenue ? Peu importe. Je vais lui montrer que la souris de laboratoire a bien appris sa leçon.


C’est la première fois que je suce vraiment la queue de mon mari sans me contenter de simples léchouilles. Mon plaisir est entier. C’est comme si je la découvrais vraiment. Son gland est beau, pyramide de chair à la peau si tendre et délicate qu’elle frémit à chacune de mes caresses. Bien sûr, mes mains s’occupent de ses couilles, elles aussi tendues et déjà plaquées contre la hampe. Je n’ose le regarder dans les yeux, mais je sais qu’il suit ma progression. Sa bite est noueuse mais pas très longue et il m’est facile de la gober. Que de temps perdu ! Je le pompe, aspirant son dard. Je l’astique de mes lèvres, laissant couler des flots de salive qui déclenchent le bruit de succion que les hommes adorent.


J’attends la montée de son jus que je m’apprête à recevoir dans ma gorge en signe de soumission et de retour de la femme adultère, mais aguerrie, à la maison. Mais une main me retire et me guide vers le sexe de Stephan qui s’est assis à côté. C’est à son tour de se faire pomper. La sienne, je la connais de fond en comble. Les yeux fermés, je pourrais en dessiner les contours, chaque veine, le grain de la peau, la grosseur des couilles. La sienne est bien plus longue et grosse et j’ai plus de mal, mais fidèle à son habitude, il plaque ses mains sur ma tête me force à le gober bien à fond. Je pleure et à travers les larmes je vois mon mari qui regarde le travail du dresseur avec intensité. D’autres mains me caressent le dos et les fesses.


Mais Stephan aussi se retient et ne crache pas entre mes lèvres. Je le regrette car, preuve de ma nouvelle perversité, j’aurai aimé montrer à mon mari sa femme boire le jus de son amant et le faire disparaître au fond de sa gorge. On me pousse vers la table où Alexandra s’est allongée. La main de Stephan me force à plonger mon visage entre les cuisses ouvertes. La chatte est gluante et poisseuse.



La salope. C’est vrai que sa chatte et toute sa fente sentent le sperme. Manifestement, elle s’est fait mettre par Marc tout en m’attendant. Je me retiens de lui mordre le bouton, mais j’ai plutôt l’idée de lui montrer à elle aussi ce que j’ai appris ces derniers mois. Très vite, le pouce sur son capuchon afin d’en extraire sa petite bite que je suce comme une grande, deux doigts dans sa chatte, deux autres dans son cul, je la ramone et la baise. Elle ruisselle et sa liqueur dilue celle de mon mari. Elle est totalement à ma merci et ma première vengeance est de la faire jouir à la faire crier.



La garce, je suis toujours la souris savante et c’est le dresseur qu’on encourage. Mais je n’ai pas vraiment le temps de continuer mes réflexions philosophiques que des mains se saisissent de mes fesses, qu’une jambe fait écarter les miennes et qu’un queue vient se placer à la porte de ma chatte. Un poussée et il m’enfile. C’est Marc que je découvre en tournant la tête.


Mon mari aussitôt s’active en moi à grands coups de reins, claquant son pubis sur mes fesses dans un battement de métronome. On est loin des délicates baises d’antan. L’homme veut prendre sa part de ce qu’il a vu et de ce que Stephan a dû lui raconter. Je suis encore crispée de toutes ces révélations pour vraiment apprécier le mandrin qui me bourre, mais Marc y met tant d’ardeur que je l’encourage de mes gémissements. Alexandra l’encourage aussi mais bien plus directement.



Mon Marc, et puis quoi encore ! Attends, je vais te montrer ! Sans appuyer trop fort, je lui mords la délicate peau à l’intérieur de la cuisse. Relevant la tête, je croise le regard d’Alexandra mais n’y trouve qu’une lueur complice. Elle joue. Elle joue avec moi. Je creuse les reins un peu plus.



Je tiens à leur montrer que la maîtresse de maison est bien de retour. L’effet sur Marc est immédiat. La queue sort de ma chatte et quelques millimètres plus hauts, vient sans préparation forcer mon œillet. Il m’encule sans hésiter, force sans ménagement mes entrailles et vient buter contre mes fesses. À sec, je l’ai sentie passer. Mais pour rien au monde je ne ferais un reproche ou laisserais échapper un gémissement.


Mon nouveau maître prend possession de son bien si longtemps refusé. Mais c’est plus lentement qu’il en fait la découverte. Je l’aide en bougeant mon bassin, lui faisant comprendre qu’il est chez lui. Il me baise le cul lentement, avec tendresse. Enfin, c’est ce que je pense. Puis Marc se penche sur moi, venant me couvrir comme une chienne. Sa poitrine pèse sur mon dos. Son souffle chauffe ma nuque. Il s’immobilise, bien à fond. Mâle dominateur qui, non seulement possède mon cul de son vit, mais soumet de son corps sa nouvelle femme.


Sa pression devient très grande. On dirait qu’il cherche à m’enculer encore plus. Il respire avec force. Son corps me pousse en avant au rythme d’une baise mais pourtant sa queue reste au fond de moi. Un regard en arrière m’apporte l’explication.


Impossible. Jamais je ne l’aurais pensé, ni imaginé. Lorsqu’il disait :elle m’a fait connaître Stephan quelques mois après, je ne pensais pas que connaître soit biblique. Stephan est en train de prendre Marc et les vibrations que je ressens ce sont celles des coups de la queue de mon amant qui encule mon mari. La bite qui m’a souvent fouillé les entrailles faisait de même avec mon mari ! Incroyable. Stephan lui fait-il pomper et boire son foutre, comme il le faisait avec moi ?


Alexandra sourit lorsqu’elle croise mon regard. Un cri résonne à mes oreilles. Un liquide fuse dans mes entrailles, puissant, généreux, jaillissant de la queue maritale si gonflée, si profondément enfoncée, que je crains qu’elle ne puisse plus sortir de moi. Marc a joui dans mes entrailles alors que les siennes sont soumises au sexe de Stephan. Longtemps encore, celui-ci continue son labeur, s’activant dans mon mari.


J’ai fait ces derniers mois un long chemin sur la route du plaisir et en revenant chez moi, je pensais tourner définitivement cette page. Mais Marc a fait le même chemin. Lui et moi évoluions sur des voies parallèles qui viennent de converger. Je ne lui en veux plus de m’avoir fait évoluer si sournoisement. Lui aussi est un autre homme. L’avenir est radieux. Je vois déjà des séances mémorables où nous serons côte à côte, unis par nos amants et maîtresses.


Le calme se fait. Stephan cesse de nous secouer. Il fait le tour de la table. Son sperme jaillit, éclabousse mon visage mais aussi celui de Marc, et coule sur le ventre d’Alexandra.


C’est parti pour une nouvelle vie…