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En l'attendant, au club

Ils étaient convenus de se retrouver dans leur club parisien préféré, discret et ouvert l’après-midi aux hommes, à raison de trois admis par couple. Ainsi, madame trouvait de quoi s’amuser comme elle aime le faire, en compagnie de son homme mais, aussi, en l’attendant.

Dès l’ouverture du club, elle se présenta et fut reçue aimablement par les patrons, habitués à la voir arriver seule et rejointe, plus tard par son compagnon. Dans l’entrée, elle se débarrassa des vêtements inutiles et resta juste en robe ajustée, au-dessus de ses jolis genoux, ses jambes fines bien cambrées dans des escarpins élégants. Comme elle aimait le faire parfois, elle avait porté ses boules de geisha pour venir, afin de faire vibrer son ventre profond dans l’attente d’autres excitations qu’elle venait chercher là. Dans les toilettes, elle retira lentement les boules, toutes ourlées de mouille et lécha celles-ci, en en attendant d’autres liqueurs car elle aimait aussi découvrir de jolies complices dans ces aventures.

Puis, elle se présenta à l’étage du bar, fit la bise au barman et alla faire un tour dans la pièce voisine où finissaient de déjeuner quelques couples, autour de la petite piste de danse. Confortablement installée sur un long canapé, dans la pénombre ponctuée des lumières de la boule qui tournait au-dessus d’elle, elle observait les hommes présents et attendait qu’ils viennent la séduire. Consciente de l’effet produit par ses jambes fines, elle s’amusait à les croiser lentement et constatait que sa robe suivait le mouvement en glissant lentement vers le haut de ses cuisses. D’un coup d’œil rapide elle remarqua que deux hommes avaient repéré son jeu et commençaient à masser leurs entrejambes en lorgnant la sienne…

L’un d’eux se leva et s’approcha lentement, se présenta aimablement et sollicita la possibilité de s’asseoir à côté d’elle ; en se levant un peu pour lui faciliter la tâche, elle en profita pour faire glisser discrètement sa robe sous ses fesses, afin de les libérer en vue de la suite…

Qui ne tarda pas à venir ! À coup de sourires échangés, ils allèrent vite en besogne et elle lui confia qu’elle venait seule pour s’amuser, mais que son homme la rejoindrait plus tard… Son galant comprit donc que la voie était libre et il l’explora légèrement du bout des doigts, passant sous les douces fesses nues pour atteindre la vallée chaude et déjà humide… boules de geisha obligent !

Elle refusa le baiser qu’il sollicitait mais se lança dans un jeu de langues excitant, tendues et agitées l’une sur l’autre. L’autre homme en profita pour s’approcher et se tint debout devant les deux futurs amants. De ses mains hésitantes, il glissa ses doigts vers les seins menus qui pointaient sous le tissu de la robe et s’enhardit à les pincer doucement. Elle adorait ça et le lui montra en gémissant, alors que l’autre homme avait trouvé son clito durci qu’il commençait à caresser lentement, en appuyant autour, dessous… Autour d’eux, certains clients regardaient, d’autres ne prêtaient pas attention à ces jeux encore innocents.

Habituée du lieu, elle prit l’initiative de se lever et d’entraîner ses futurs baiseurs dans l’alcôve du fond de la pièce, à la fois cachée, à la fois ouverte… tout ce qu’elle aime : montrer et voir, voir et montrer…

Sa robe tendue haut sur ses cuisses entrouvertes, elle s’assit et entreprit de sortir les deux queues déjà raides qu’elle avait tâtées en marchant vers l’alcôve. Pas de doute, ces deux-là allaient la satisfaire. Pour commencer, elle passa légèrement la langue sur leurs glands, descendit le long des veines gonflées et goba très lentement leurs couilles pour sentir le foutre les remplir, foutre qu’elle réclamerait sur elle, un peu plus tard !

Puis, alternativement, elle pompa les deux queues et laissa les deux hommes la dénuder complètement, sauf ses bas adhésifs et ses escarpins. L’un des deux s’assit à côté d’elle et lui proposa de venir se planter sur sa queue, après qu’elle l’ait couverte elle-même d’un préservatif avec sa bouche, en regardant le type dans les yeux. De dos, elle prit la queue à pleine main et se posa dessus, puis se laissa glisser… Toute à la découverte d’un nouveau sexe, sensation qu’elle adorait par-dessus tout, elle observa l’autre homme resté debout devant ce couple maintenant occupé à onduler lentement.

Elle tendit alors ses belles mains fines vers l’autre queue qui s’offrait à elle et la suça au rythme des coups de reins que son amant lui envoyait dans les fesses. Leur jeu continua longtemps, jusqu’au moment où son baiseur, ayant enduit ses doigts de la mouille qui coulait abondamment de la chatte remplie, entreprit de lui assouplir l’anus, sous elle.

Elle sursauta mais laissa faire, consciente de la suite qu’elle espérait et qu’elle adorait : une double !

Et, en effet, quand l’homme constata que le petit trou si sensible cédait bien devant ses deux doigts joints, il échangea avec son gland qu’il sortit de la chatte brûlante et engagea très doucement entre les belles fesses lisses et fermes.

Elle l’aidait et lui montrait combien elle appréciait l’initiative, en ouvrant largement ses deux fesses de ses mains et, finalement, elle se laissa descendre sur la queue qui lui emplit le fondement, complètement. Un soupir de contentement lui échappa et elle ouvrit grand ses cuisses gainées pour maintenant se caresser la chatte devant l’homme toujours debout, bandé devant elle. D’un sourire engageant elle saisit son sexe qu’elle mouilla bien de sa bouche et murmura :

• — Viens, toi ! Devant…

Le veinard réagit immédiatement et se plaqua à elle, de face, pour enfiler sa queue dans la chatte bien ouverte et gluante de la baise précédente. Les deux hommes eurent un peu de mal à se coordonner et c’est donc la femme qui le fit, grâce à de lents et profonds mouvements de ses reins, pénétrés par ces deux sexes qu’elle avait fait bander pour elle. Bientôt, ils bougèrent ensemble et assez rapidement, elle ressentit les queues qui se tendaient encore plus. Les couilles qu’elle caressait se gonflaient. Ils vont venir ! se dit-elle, alors elle accéléra pour prendre son plaisir avant eux et gémit longuement sur leurs épaules.

Puis, tout en douceur, elle se dégagea et les assit l’un à côté de l’autre pour les sucer et les branler ensemble. À genoux devant ses deux amants de passage, elle les mena au plaisir et leur demanda de gicler sur elle, sur ses seins nus, sur son ventre tendu vers eux.

Derrière elle, des spectateurs admiraient et appréciaient, certains passant une main ou une bouche sur son dos et ses fesses. Les longues giclées lourdes et chaudes se mélangèrent bientôt sur elle et elle jouit rien que du spectacle qu’elle donnait. Puis, se levant elle remercia ses baiseurs et souhaita qu’ils se retrouvent dans l’après-midi.

Puis elle se dirigea vers une des salles de bain lorsqu’elle l’aperçut. Oui, c’était lui. Il était arrivé et l’avait vue finir sa première séance de baise du jour, sans la déranger. Elle se dirigea vite vers lui, lui tendit ses bras, sa bouche puis lui dit :

• — Viens, je dois essuyer tout ce sperme ! Humm, c’était bon.
• — J’ai vu ça ! Tu vas devoir tout me raconter maintenant, coquine adorée…

Il leur restait encore beaucoup de temps pour vivre d’autres aventures, cet après-midi-là…