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Temps de lecture estimé : 13 mn
25/09/14
Résumé:  Une jeune libertine rencontre ses internautes.
Critères:  fh grp inconnu fête fellation cunnilingu 69 fsodo jouet jeu québec
Auteur : Fantasmes&Frissons  (Homme passionné d'érotisme)            Envoi mini-message
Tango pour Luna

Montréal — 11 mai 2010.



J’avance rapidement le long du boulevard St-Michel dans le quartier de Rosemont-Petite Patrie, le temps est gris et couvert et il fait assez froid. Je n’y prête cependant aucune attention, mes pensées sont ailleurs.


Ce soir, je vais rencontrer un de mes fidèles internautes avec qui j’ai échangé des fantasmes torrides. C’est le deuxième que je rencontre. Je suis à la fois excitée et curieuse. Mon rendez-vous précédent avec Damien, un autre internaute, avait été prometteur, nous avions fais l’amour sans aucune retenue chez lui, et quand j’y repense j’ai du mal à retenir ma main qui se dirige presque naturellement vers mon sexe.


Mon amant ce soir, se nomme Gabriel, il est brun, il a les yeux bleus et, je pense, une dizaine d’années de plus que moi. Ses tempes son grisonnantes et il a un sourire craquant. Il est français, je crois. Je le trouve un peu moins beau que Damien mais il dégage un charme envoûtant, quelque chose que je n’arrive pas à définir mais qui m’attire. Il m’a beaucoup excitée par ses récits érotiques et je me suis souvent masturbée en le lisant. Ce soir, ma libido, nourrie par ses récits et par l’approche de ce rendez-vous, est à son comble. J’ai envie de sexe, j’ai envie qu’il me possède, qu’il me prenne totalement.


Mais je ne me suis pas présentée, Je m’appelle Luna, je suis une jeune femme qui approche de la trentaine, blonde aux yeux verts. J’aime la vie, le sexe, l’aventure. J’ai un homme que j’aime mais je m’autorise des extras (chut il ne le sait pas !). Un peu exhibe, je vous raconte mes tumultueuses aventures sur mon Blog Les fantasmes de Luna.


Gabriel a souhaité que je m’habille avec une robe et, pour lui faire plaisir, j’ai revêtu une robe longue, empire, aux motifs animaliers. J’aime beaucoup cette robe, elle met en valeur mes seins grâce à une bande de satin sous-poitrine qui se prolonge dans le dos et rejoint de larges bretelles croisées. Mes épaules, mon dos et mes hanches sont nues, laissant la place, je l’avais déjà expérimenté avec mon homme, à de nombreuses et délicieuses caresses.


Je me suis maquillée légèrement mais avec efficacité. Fard à paupière brun et mascara de façon à mettre mes yeux verts en valeur. J’ai fait particulièrement attention à mes lèvres, bien dessinées, j’ai appliqué un rouge à lèvre fuchsia. Gabriel apprécie la forme de ma bouche, je ne voudrais pas le décevoir. J’ai rangé mes cheveux mi-longs en un chignon banane de façon à dégager ma nuque (j’aime les caresses de mes amants à cet endroit ou je suis très réceptive). J’ai complété ma tenue par un collier et des boucles d’oreilles en or.


Le choix de mes sous-vêtements a été plus difficile. Je sais que Gabriel aime beaucoup la lingerie, aussi je souhaitais trouver un ensemble excitant pour accueillir non seulement mon petit minou fraîchement épilé mais aussi les mains, la bouche et le sexe de cet homme qui m’attire. J’ai fait mon choix sur une culotte en dentelle, un porte-jarretelles et des bas noirs qui constituent le bas d’un de mes ensembles sexy nommé Interdit. Dans ce cas, c’est plutôt Interdit de s’arrêter là !


Des chaussures noires ouvertes pour montrer mes pieds aux ongles vernis, mon manteau, une touche d’eau de Guerlain et me voilà partie vers mon rendez-vous.


Je retrouve Gabriel facilement, il m’attend à l’endroit convenu. Il est plus grand que je le pensais mais les photos de lui qu’il m’avait données correspondent. Il s’est, lui aussi, habillé pour l’occasion. Comme pour Damien, il n’y a pas de glace à briser, le contact se fait naturellement comme si on se connaissait depuis longtemps. Nos mains se rencontrent et se caressent.


Au bout d’un instant, il me propose de m’emmener manger dans un restaurant de sa connaissance et même si ce n’est pas cette faim-là qui me tenaille, j’accepte volontiers. C’est bras dessus bras dessous que nous nous rendons au « Restaurant Argentin » qui se trouve pas loin.


Le restaurant n’a rien de clinquant, une grande salle équipée d’une piste de danse en bois en son centre. Des tables de toutes les tailles sont disposées, sur plusieurs niveaux, autour de cet espace. L’éclairage indirect est chaleureux et la multitude de bougies allumées sur les tables rend l’endroit assez intime. La décoration est simple, les tons rouges et noirs dominent, de nombreuses photos de danseurs de tango en noir et blanc trônent sur les murs.


Un spectacle de danse est prévu ce soir et de nombreux couples de tous les âges se pressent déjà devant l’entrée. Je remarque l’élégance des hommes et la beauté des robes de soirée des femmes. Gabriel a réservé. On nous place à une table surplombant légèrement la piste de danse, et nous avons depuis cet endroit une bonne vue sur le spectacle qui s’annonce.


Galanterie toute française, Gabriel m’aide à enlever mon manteau, me félicitant pour ma tenue et laissant ses mains parcourir mes épaules dénudées. Ses mains sont douces… Un délicieux frisson me parcourt du haut du dos jusqu’à l’ouverture de mes fesses. Une force et un charme indéfinissable irradie de cet homme. Nos parfums se mêlent un instant.



Le restaurant est maintenant complètement plein. Le léger brouhaha des conversations feutrées vint s’ajouter aux tangos diffusés en boucle dans la pièce. Gabriel commande du vin et me conseille sur des mets à goûter. Les lumières indirectes diminuent en intensité et c’est le visage éclairé par les bougies de notre table que nous poursuivons nos conversations suggestives. Gabriel me parle de ses voyages, du Canada qu’il découvre et des expressions qu’il a du mal à cerner. « Criss » est un vrai mystère pour moi, s’exclame-il, rieur. Je lui parle de mes déplacements de mes hobbys. Le temps s’arrête.


Un observateur perspicace verrait tout de suite vu qu’une danse érotique et sensuelle se déroule à notre table. Nos pieds décrivent des pas endiablés, se frôlant et s’enlaçant de manière régulière, cherchant le contact. Sur la table, nos mains aussi se rejoignent souvent, se touchent. Gabriel fait involontairement coulisser son index entre mes doigts alors que moi je n’arrête pas de faire aller et venir ma main sur le pied de mon verre de vin, masturbant un sexe imaginaire, les yeux rivés dans ceux de l’homme que je désire. J’emprisonne sans m’en rendre compte le bout d’un de ses doigts dans les miens, créant ainsi une gangue accueillante. Nous mangeons lentement mais nos langues repassent plus régulièrement sur nos lèvres, y restant plus longtemps, gourmandes.


Une tension sexuelle palpable et électrisante s’est mise en place. Le temps de la prise de connaissance est fini, nos corps se réclament maintenant.



Gabriel se lève et va discuter avec l’orchestre qui se met en place en marge de la piste de danse une dizaine de mètre plus loin et revient derrière moi. Ses mains se placent sur mes hanches alors que sa bouche aux lèvres épaisses et humides m’adresse une suite de baisers de la base de mon cou jusqu’au lobe de mon oreille gauche avant de susurrer :



Le résultat ne se fait pas attendre, le contraste entre les manières délicates de cet homme et les paroles crues qu’il me glisse à l’oreille ont l’effet d’un ouragan. Un frisson d’excitation parcourt tout mon corps et ma culotte, jusque là moite, s’humidifie instantanément.


Gabriel retourne à sa chaise, cherche dans ses poches et sort un petit paquet rectangulaire qu’il pose devant moi alors je tente de reprendre une contenance.



L’excitation monte d’un cran, je dois reprendre l’initiative.



Je prends le paquet qui fait une dizaine de centimètres de long pour quatre centimètres de largeur et de profondeur et je l’ouvre. Je vois le visage souriant de Gabriel quand au bout de quelques instants de bataille avec le paquet, l’objet tombe lourdement devant moi sur la table. Il s’agit de deux boules zébrées de 3 cm de diamètre, reliées entre elles par un fil… des boules de geisha !


Stupeur, peur, honte et excitation se mêlent et je veux cacher l’objet avec mes mains, mais Gabriel m’en empêche et me gratifie d’un baiser profond. J’ai l’impression que toutes les personnes présentes dans la salle me regardent, moi et mon sextoy !



Je mets un instant à comprendre, puis rassurée sur mon environnement immédiat qui m’ignore royalement, je lui retournai un sourire complice et gourmand.



Je prends les boules de geisha et me dirige vers les toilettes au sous-sol du restaurant. Je n’ai jamais porté des boules de geisha, et je ne sais donc pas si je suis réceptive à leurs effets. Je m’inquiète plutôt de savoir si le jouet, assez lourd car rempli de petites billes métalliques, va rester en place en absence de toute culotte…


Dans les toilettes, j’enlève rapidement ma culotte toute mouillée et place facilement l’objet dans mon sexe lubrifié. Je comprends son utilité lorsqu’en remontant l’escalier, après quelques marches, je ressens de puissantes vagues de plaisir monter depuis mon sexe excité. Selon les mouvements de mon corps, les boules entrent en résonance avec les parois de mon sexe, provoquant des sensations très, très agréables…


Je retrouve Gabriel à la table, souriant.



Espiègle, excitée et ne souhaitant pas lui laissé toute l’initiative, je dégage ma chaussure, place délicatement mon pied sur son entrejambe et exerce plusieurs pressions successives. Je remarque au passage que son sexe n’est pas au repos.



Je le surprends et il ferme les yeux un instant, savourant la caresse. De mon coté, je ne boude pas mon plaisir non plus. Il rouvre les yeux:



Je lui glisse discrètement l’objet le long de la table en lui souriant. Il la prend et la déplie ouvertement devant lui alors qu’un serveur passe.



À cet instant, la musique est coupée et la piste de danse s’éclaire. Un micro grésille: À votre demande, l’orchestre va vous interpréter « La cumparsita ! »



Trop tard, il a pris ma main et nous sommes déjà sur la piste. Ce déplacement rapide provoque une nouvelle onde de plaisir dans mon sexe.



Les couples s’installent autour de nous. Gabriel m’accueille dans ses bras, il est fort, il plonge ses yeux dans les miens et nous entamons un tango inoubliable… Nos corps chargés de désir peuvent maintenant se toucher et se caresser, s’enrouler l’un sur l’autre. Gabriel s’arrange pour maintenir sa jambe dans mon entrejambe, frottant mon clitoris gonflé par l’excitation. Je mouille abondamment maintenant, les boules m’envoient régulièrement des ondes de plaisir et plusieurs fois je manque de défaillir. La musique s’arrête et un tonnerre d’applaudissements suit. Le micro grésille de nouveau annonçant un couple de danseurs professionnels, Anita et Silvio.


Une belle jeune femme, brune et élancée s’avance sur la piste dans une superbe robe fendue noire laissant apercevoir de magnifiques jambes galbées. L’homme qui l’accompagne est très svelte et je remarque son regard noir et profond, force et virilité à la fois. La musique commence, les corps des deux gitans se marient parfaitement dans un tango fascinant.


Gabriel m’attire sur le bord de la piste, dans un coin plus sombre et il m’embrasse passionnément, ses mains me caressent ouvertement les seins et les fesses et moi, affolée et tremblante de désir, je glisse ma main sur son sexe en érection, le branlant à travers le tissu.


Soudain, il me retourne vers la piste où le couple de danseur exécute un tango d’un érotisme rare, et tout en restant derrière moi, il applique sa main sur mon sexe et exerce de fortes pressions régulières.


C’en est trop ! La danse endiablée, l’érotisme ambiant, les vibrations sonores qui remontent de la piste en bois dans les boules geisha agissent comme un vibromasseur puissant, électrisant mon sexe, et mon amant qui me caresse maintenant ouvertement le clitoris à travers ma robe… presque en public !


Un orgasme violent me foudroie, envoyant des ondes de plaisir dans toutes mes terminaisons nerveuses. Je dois taire un cri strident venu du plus profond de mon être en pinçant mes lèvres alors que mes ongles s’enfoncent profondément dans les bras de mon amant. La dernière chose que je vois avant de fermer les yeux, perdue dans les limbes du plaisir, est le couple de danseurs à quelques mètres de moi, qui virevoltant, me jettent un regard intéressé.


Gabriel m’embrasse et m’aide à regagner notre table, je tremble encore de bonheur et j’ai des vertiges. C’est le premier orgasme de la soirée.


Nous terminons le repas plus sagement, mais je récupère vite et je le désire toujours. Au moment de partir, alors que j’attends qu’il me propose d’aller chez lui, un couple vient se joindre à notre table.


Je reconnais rapidement Anita et Silvio, le couple de danseur. Je ne sais plus ou me mettre. La jeune femme s’adresse à nous les yeux dans les yeux, souriante, alors que le dénommé Silvio n’a d’yeux que pour moi :



Sa voix est chantante, dévoilant un accent sud américain. C’est Carmen réincarnée ! Elle reprend :



Je n’ai pas le temps de répondre, Gabriel s’en charge :



Décidément, plus rien ne se passe comme je l’avais imaginé… J’ai joui en public sur le bord d’une piste de danse sans même que l’homme que je désire me pénètre et voilà que ce même homme me livre à un couple, plutôt sexy je dois dire, pour une partie fine à quatre, sans même me demander mon avis ! Je suis à la fois affolée par la tournure que prennent les événements mais aussi excitée à l’idée de continuer cette soirée peu banale.


Anita m’enlace et m’embrasse pendant tout le trajet qui mène à leur maison et moi, grisée par l’alcool et l’excitation, je participe très volontairement. L’idée de lécher intimement cette femme germe en moi et une douce chaleur recommence à irradier de mon bas-ventre.


Le salon est décoré avec goût. De nombreux tableaux représentant des couples de danseur stylisés ornent les murs, plus fascinant les uns que les autres. Je reste interdite devant les cadres…



Je me déplace vers le couloir quelques mètres plus loin pour découvrir une collection de photos du couple nu, dansant le Tango. Ils sont magnifiques !


Je sens soudain des mains sur ma taille et des baisers chauds et humides dans mon cou.



Silvio se tient derrière moi, fou de désir, ses mains caressent mes seins qu’il sort de ma robe, puis sa main droite se dirige vers mon sexe, retroussant ma robe, remontant sur mes bas. Elle découvre mon sexe épilé et le sextoy qui l’habite. La caresse est précise et ses doigts agiles, je commence à respirer fortement sous les vagues de plaisir, lançant mes fesses vers le sexe durci que je sens dans mon dos.


Après un instant, il me retourne et m’embrasse à pleine bouche. Ses mains fébriles travaillent à faire tomber ma robe qui maintenant gêne sa progression jusqu’à mon intimité. J’en profite pour dégager son sexe et commence à le masturber. Il est fin, long et tendu au maximum. Silvio grogne de plaisir. Où est Gabriel ?


Nue et suivie de près par Silvio, je regagne le salon. Je découvre Gabriel nu, son torse est puissant. Son sexe épais et légèrement courbe se dresse fièrement. Anita, vêtue uniquement de ses bas embrasse goulûment Gabriel, ses jambes sont largement ouvertes pour permettre à Gabriel de la caresser à pleine main tandis qu’elle le masturbe vigoureusement.



Descendant à genoux d’un seul coup, elle enfourne Gabriel dans sa bouche de tout son long, malaxant en même temps son joli petit cul. Gabriel grogne levant les yeux au ciel sous l’intensité de la caresse et je ne peux m’empêcher d’avoir un pincement de jalousie devant la scène.


Heureusement, Silvio s’active et m’allonge sur le dos avant de plonger sa langue dardée dans mon sexe lisse. Rapidement je laisse échapper des gémissements sonores de plaisir, criant même lorsque Silvio enlève les boules de Geisha, libérant ainsi mon sexe dégoulinant de cyprine.



Anita s’est déplacée sur le canapé pour se mettre tête bêche avec moi dans la position du 69, m’offrant son sexe humide et rasé. Je lèche goulûment et à son tour, Anita gémit et crie son bonheur tout en me masturbant. Son sexe a bon goût, elle est très excitée et son clitoris se dresse devant ma langue. Folle de plaisir, Anita s’exprime parfois dans en espagnol, sa langue natale.



Des préservatifs apparaissent comme par magie sur les sexes des hommes et je sens tout à coup mes jambes se relever et le sexe roide de Silvio me pénétrer de tout son long. Il pousse un Han de bûcheron. Je crie de plaisir sous cet assaut. Silvio grogne et me traite de tous les noms en espagnol. Gabriel apparait rapidement au-dessus de moi et pénètre Anita qui doit interrompre ma masturbation, concentrée sur le sexe qui la remplit. Nous trouvons nos rythmes, tout n’est qu’ahanements, cris, grognements et bruits humides de corps qui s’entrechoquent.



Je vois le sexe de Gabriel, énorme depuis ma position et lustré de cyprine, quitter son fourreau humide pour venir s’enfoncer d’une poussée lente et continue un peu plus haut, dans le petit trou d’Anita. Je sens le corps d’Anita s’arrêter un bref instant et je l’imagine fermant les yeux, savourant l’introduction. J’entreprends de la masturber.


Les gémissements atteignent leur paroxysme… Anita vient la première, hurlant son plaisir, tremblante de tout son corps. Silvio grogne comme un sauvage, retire la capote et envoie de puissants jets de foutre sur mon sexe. Gabriel se cambre violemment, et, gémissant en continu, s’extirpe de la protection de latex pour se répandre en longues coulées blanches sur les fesses et la raie d’Anita.


Voyant que, sans doute fatiguée par le premier orgasme de la soirée, je ne viens pas en même temps que tous, Anita, dans un dernier réflexe, m’introduit son index dans l’anus et déclenche une suite d’orgasmes bruyants, me laissant étourdie sur le canapé, le corps parcouru de délicieux soubresauts.


C’est mon deuxième orgasme de la soirée, je suis exténuée.


Après une douche et un dernier verre, nous quittons nos hôtes. Gabriel me ramène devant chez moi et m’embrasse avec tendresse avant de partir. Je me couche rapidement et dors d’une seule traite.


J’ai un troisième orgasme le lendemain matin, au réveil, en masturbant mon sexe endolori, en pensant à la soirée et en imaginant que c’était sur mes fesses que Gabriel se répandait.


Quelle étrange soirée: j’ai joui sans connaitre les bras ni le sexe de mon amant.


Nous allons nous revoir je pense.