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n° 16418Fiche technique9487 caractères9487
Temps de lecture estimé : 6 mn
26/09/14
Résumé:  La sonnerie du téléphone de Claire sonne, c'est Laurent qui lui demande de se rendre à son rendez-vous professionnel à sa place. Elle accepte mais a-t-elle bien fait ?
Critères:  fh fsoumise cérébral revede cunnilingu -amourcach
Auteur : 1cognito  (Mon plaisir d'écrire se trouve dans votre plaisir de lire.)      Envoi mini-message
Le rendez-vous

Une sonnerie sort Claire de son travail. Elle saisit son portable et répond à l’appel.



Claire géolocalise la maison sur son portable, saisit les clefs rangées dans le coffre et file sur le lieu de rendez-vous.


Elle arrive quelques minutes plus tard à l’adresse indiquée. Elle est la première sur les lieux. Elle décide donc d’entrer pour ouvrir les volets. Les clients apprécieront cette jolie luminosité matinale.


Le bâtiment est cossu. Une belle maison blanche moderne avec un petit jardin très bien entretenu. Claire arrive sur le palier d’entrée. Elle ouvre la porte et pénètre dans la maison plongée dans le noir. Elle avance de quelque pas, entre dans une pièce qui semble être le salon. Elle essaie d’adapter sa vue à la pénombre. Soudain, la porte d’entrée se referme en claquant ! Elle prend peur, plongée dans une obscurité troublante. Désorientée, elle essaie de retrouver son chemin en tendant les bras pour éviter tout obstacle. Le bout de ses doigts atteint alors le visage d’un homme. L’étonnement, puis la peur l’envahissent.



Claire recule instinctivement. Elle réalise à ce moment là que son sac est resté dans l’entrée, avec son téléphone et sa bombe lacrymogène à l’intérieur. Elle se sent piégée !

Ses yeux peuvent maintenant distinguer une silhouette devant elle. Une main lui saisit le bras pour l’attirer à elle. Un souffle lui susurre à l’oreille :



Le corps de Claire est tétanisé. La main qui lui tient le bras glisse vers la sienne. Elle connaît cette voix, mais ce murmure ne lui a pas permis de définir à qui elle appartient. La peur l’inhibe, son corps est comme ligoté à la merci de cet homme.



Les mots sont doux, la main est tendre, la voix familière. Étrangement, Claire sent la peur disparaître peu à peu.


La veste de la jeune femme glisse doucement et tombe au sol. Claire frissonne, elle ne sait plus si elle doit avoir peur ou se laisser envahir par les sensations qui naissent en elle.



Claire sait maintenant qui est cet homme. Elle reconnaît cette voix. Elle a entendu cet homme des dizaines de fois au téléphone. Elle le connaît mais ne l’a jamais vu. Rencontré quelques mois plus tôt sur internet, ils s’étaient laissés aller à flirter ensemble. Elle voulait le rencontrer mais il avait toujours refusé.



Ils se sourient. Les mains de Claire s’animent. Elle découvre la silhouette de cet homme qu’elle a ardemment désiré durant des semaines au travers d’une correspondance sensuelle, sexuelle, ardente !


La jeune femme plonge ses lèvres devant elle dans le noir en direction de sa voix. Elle découvre sa bouche au travers d’un baiser doux et chaud, le même qu’elle a imaginé et tant désiré !


Ses mains font glisser à leur tour la veste de Paul et remontent sur sa chemise pour la déboutonner. Ses doigts s’aventurent en dessous du tissu. La chaleur de sa peau l’attire. Paul imite la jeune femme. Ils se découvrent peu à peu du bout des doigts.


Elle distingue maintenant son regard, y plonge ses yeux inquisiteurs. Son corps entier réagit à cette avidité révélée par l’iris de cet homme.


Il glisse ses mains dans ses cheveux, pour en découvrir la texture, la douceur. Il pose à nouveau ses lèvres sur les siennes tout en décrochant le soutien-gorge de la jeune femme. La fermeture éclair de sa jupe s’ouvre. Il découvre ses hanches, ses cuisses, ses genoux, ses jambes tout en guidant sa jupe jusqu’à ses chevilles. Ses mains sont douces et chaudes, enivrantes. La jeune femme frissonne.


Il remonte maintenant pour s’arrêter à l’entrejambe de son amante, respire sa culotte avec délectation. La chaleur de son souffle transperce le fin bout de tissu, réchauffant davantage l’envie de Claire. Elle passe ses mains dans les cheveux de Paul et presse son visage contre son antre habillée de la chaleur humide du désir.


Paul retire ce petit bout de tissu qui fait obstacle à sa langue et découvre l’intimité de la jeune femme avec délicatesse puis gourmandise. Elle gémit sous cette torture exquise. Sa langue roule, glisse, pointe, pénètre son sexe sans pudeur aucune.


Il se relève en maintenant sa bouche sur le corps de Claire. Sa langue découvre son ventre, ses seins, ses épaules, son cou puis sa bouche. Claire ouvre les yeux.



Il pose son doigt sur sa bouche comme pour la faire taire et l’attire dans une autre pièce où se trouve un bureau. Paul porte Claire pour l’asseoir sur cette table. Il écarte ses jambes en effleurant ses cuisses.



Sa bouche couvre de baisers les cuisses de la jeune femme. Le plaisir de Claire est intense. Sa poitrine se gonfle, sa tête bascule en arrière, sa bouche ouverte laisse échapper des gémissements. Elle est offerte au plaisir, offerte à cet homme avide de ce corps qui s’abandonne à ses lèvres.


Il lèche son clitoris du bout de sa langue, roule autour, pénètre son sexe. Elle succombe, enivrée par cette caresse. Il peut sentir son plaisir couler sur son entrejambe.



Paul se relève et pose son pénis en érection sur le ventre de la jeune femme.



Il lui adresse un regard de braise. Ses yeux percent ceux de Claire. Leur envie est presque palpable, intense, bestiale et retenue.



Tout en maintenant son regard sur elle, il glisse maintenant ses doigts au-delà de son sexe et caresse son autre orifice. La bouche de Claire s’ouvre sous ce plaisir inattendu. Il continue son effleurement tout en laissant négligemment sa verge palpiter d’envie sur le ventre de la jeune femme.



Claire se sent envahie par le pouvoir sexuel de cet homme. Elle désire ardemment succomber au plaisir qu’il lui présente.



Paul introduit délicatement son doigt recouvert du plaisir de Claire, puis deux, puis trois. Elle succombe, en proie à un plaisir intense qu’elle découvre, qui lui fait peur tant les prémices sont intenses. Une chaleur l’envahit, son ventre brûle d’envie. Il continue de jouer avec ses doigts en elle. Elle a chaud, si chaud… Il lui glisse des mots doux à l’oreille, la folie gagne son corps qui se désinhibe. Elle lâche prise, lascive, offerte à la volupté de cette caresse extrême.



Paul pointe son gland délicatement sur cette alliance de plaisir. La chaleur de sa verge se mélange doucement à la chaleur de son vagin. Le temps s’arrête. Les hypophyses dégagent une vague d’hormones de plaisir dans les têtes et les enivrent.


Les va-et-vient de cette ardeur phallique n’en finissent pas de bousculer la jeune femme dans une luxure débridée. Ce plaisir se dévoile à elle, elle en guette toutes les étapes, chacune plus intense que la précédente. Son corps brûle et s’enflamme dans une extase nouvelle. L’orgasme a pris possession de son corps qui ne fait plus qu’un avec son amant. L’osmose de ces deux corps est belle, une ivresse charnelle extrême, excessivement voluptueuse.


Claire sent Paul répandre en elle le plaisir de leurs corps. Son jus est chaud, jouissif, apaisant, enivrant…


Paul s’allonge alors sur Claire, le souffle court, le sourire aux lèvres, les yeux emplis de bonheur.