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n° 16419Fiche technique26078 caractères26078
Temps de lecture estimé : 16 mn
27/09/14
Résumé:  Un SMS vu accidentellement m'entraîne vers des observations auditives très chaudes.
Critères:  fhhh extracon nympho grossexe hotel cérébral revede -cocucont
Auteur : Heurmat Brulique
Écouter, imaginer

À la suite d’un SMS vu accidentellement, j’apprends que ma femme a un rendez-vous deux jours plus tard, à 14 h 30. Le lieu du rendez-vous n’est pas précisé mais comme il correspond à ses horaires de travail et que je n’ai aucune raison particulière de douter d’elle, j’en déduis qu’il s’agit d’un rendez-vous professionnel.


Le matin du jour du rendez-vous, son téléphone est posé dans le salon et je suis dans le canapé juste à côté. Une notification sonore de SMS attire mon attention. Je regarde le téléphone et vois défiler dans la bande de notification « akena villette ch 17 14 h 30 ». Je suis intrigué. Akena est un hôtel situé à la porte de la Villette. Je ne vois pas pourquoi un rendez-vous professionnel se tiendrait dans cet hôtel. La piste du rendez-vous amoureux est la première qui me vient à l’esprit.

Ma femme doit être largement sollicitée en raison de son physique agréable et généreux mais elle n’est pas une folle de sexe. Un rendez-vous galant me laisse perplexe.

Nous partons travailler et la matinée se passe avec pas mal d’activités qui me distraient de ce sujet.


Après le repas, la question me revient à l’esprit et j’ai très envie de savoir si ma femme a un amant. Je prends ma moto et me rends à quelques pas de l’hôtel Akena de la porte de la Villette. Garé assez loin pour qu’elle ne voie pas ma moto, je me positionne pour observer l’entrée de l’hôtel sans être vu.

Elle arrive en effet un peu avant 14 h 30. Contrairement à son habitude d’être en pantalon, elle a mis une jupe longue et légère et un corsage un peu transparent que je ne lui connais pas. À travers le corsage, je reconnais un soutien-gorge noir balconnet en dentelle. Ses cheveux bouclés dans le vent, elle est resplendissante. Et, elle n’est pas seule. Elle est accompagnée de deux hommes qui de loin semblent un peu plus jeunes qu’elle. Un grand brun un peu frisé avec des cheveux assez longs, l’autre avec une coupe en brosse et des cheveux clairs. Ils ont une belle silhouette et sont habillés un peu sport.


Ils entrent tous les trois dans l’hôtel. Je chauffe un peu du raisonnement. J’avais envisagé un amant pour ma femme mais pas plusieurs en même temps. Soit ma femme a une réunion professionnelle dans cet hôtel, soit elle a un rendez-vous pour se faire tringler sans manière par plusieurs mecs. Ces idées me donnent vraiment chaud. J’hésite sur la conduite à tenir. Que ma femme ait une aventure pareille m’effraye et m’excite. Dois-je partir ou dois-je continuer à observer la situation tant que je le peux ?

Toujours hésitant, je vois un des deux hommes qui accompagnait ma femme ressortir de l’hôtel, faire quelques pas dans un sens puis dans l’autre comme s’il cherchait quelqu’un et enfin, lever le bras pour se signaler à quelqu’un. Un homme en costume s’approche de lui, ils se serrent la main en échangeant quelques mots puis rentrent tous les deux dans l’hôtel. Un troisième lascar… On me l’aurait dit je crois que je ne l’aurais pas cru. Il reste tout de même à vérifier que c’est bien ce à quoi je pense.


Je me déplace pour essayer de voir ce qui se passe sans me faire repérer. Il faut au moins que je reste dos à elle. Que je ne sois pas dans son champ visuel.


Ils sont assis tous les quatre à une table du bar de l’hôtel. Ma femme a un mojito devant elle et deux des hommes vraisemblablement du whisky. La discussion a l’air calme. Les deux hommes face à moi dont je peux observer le visage lui sourient l’air entendu. Celui que je vois le mieux, le brun frisé approche sa main de son visage et lui soulève le menton comme pour capter son regard. Je crois que ma femme a bien un rendez-vous galant… mais avec plusieurs amants. Cette idée me fout une trique monstrueuse, raide, raide.


Pendant qu’ils vident tranquillement leurs verres je rentre dans l’hôtel et cherche la chambre 17 comme indiqué dans le SMS du matin. J’arrive à m’y introduire par une fenêtre sur coursive en enjambant quelques cloisons de balcon. Je suis surpris par ma propre curiosité et mon audace à m’introduire jusque dans la chambre. S’il s’agit bien d’une aventure de ma femme, j’ai vraiment très envie de voir. J’ai envie de la voir se faire déshabiller par un homme, j’ai envie de la voir déshabiller un homme. La voir découvrir un nouveau sexe, la voir sucer un nouveau sexe. Peut-être la voir avaler le sperme de ses amants. J’ai envie de la voir sous les caresses d’autres hommes. J’ai envie de voir un autre sexe que le mien dans sa chatte.


Heureusement, il y a une armoire dans la chambre. Certaines chambres d’hôtel ont juste une penderie ouverte. Là, il y a une armoire à glace dont les portes ferment. Je m’y cache. Je ne verrai donc rien de ce que j’aimerais voir mais j’entendrai tout… Quel bordel si je m’y faisais découvrir. Tant pis, mon excitation est trop forte. C’est parti, s’ils viennent bien dans cette chambre faire des exploits, je serai aux premières loges.

Ils sont arrivés tous les quatre dans la chambre. J’avais réussi à refermer les portes de l’armoire. Dans le noir, je ne voyais rien. Je ne pouvais qu’entendre. L’un des gars, avec une voix grave et un léger accent (Robert) a commandé des boissons. Puis il a dit à ma femme :



Elle n’a pas répondu et un silence s’est installé. Ça a duré un bon moment. J’imaginai la tension de la découverte des corps. Elle, sous les caresses. Leurs quatre désirs prêts à se déchainer.

La même voix (Robert) se mit à parler :



Puis il s’est tû. Bruits de chiffons, bruits de fermeture éclair. Plus de parole. Elle doit être en train de le sucer. Une autre voix intervient :



Un peu plus fort :



Puis il se tut aussi.

J’entendais assez distinctement la bouche en train de sucer. Les petits plop que produit la salive quand la queue sort presque de la bouche, les petits han de la suceuse et les gémissements du sucé.



Il venait manifestement de lui jouir dans la bouche. Elle avait poussé un gémissement assez long pendant les premières giclées. J’imaginai qu’il devait lui tenir la tête pour qu’elle ne le lâche pas encore.

Une deuxième voix (Yasser) dit en riant :



Un moment, de petits bruits de déplacements, de tissus frottés puis les halètements qui montent en intensité ne laissent pas de doute. L’un des mecs est en train de lui fourrager la chatte alors qu’elle suce le deuxième. Elle arrive tout de même à dire :



Léger bruit que je suppose être la déglutition. Elle avale le sperme du deuxième mec. J’ai une trique d’enfer mais je ne suis pas dans une position où je peux me branler. Si l’excitation monte encore, ça va partir tout seul…



Ma femme tousse à deux reprises, il doit lui mettre au fond de la gorge pour gicler en lui tenant la tête bien enfoncée sur sa bite. C’est un truc que j’aime bien de tenir la tête de celle qui me suce pendant que je décharge. Si je ne vois pas la scène, je prête facilement cette intention à celui qui se fait sucer.



Je ne vois évidemment pas si elle avale le sperme de ses partenaires, mais elle n’avale jamais le mien. Un mari n’est pas un amant.

De nouveau la première voix (Robert) intervient :



Elle ne répond pas, les petits bruits de succion me font penser qu’elle doit avoir à nouveau une bite dans la bouche. Elle commence à couiner un peu.

À chaque coup de queue, elle fait un petit hon que je reconnais bien. Elle fait toujours cela quand je la secoue un peu.



Sa voix est déformée par la queue qui lui encombre la bouche. Le hon est un peu différent. Sous les coups de queue qui s’accélèrent les hon se transforment en un haaaaan continus. Modulés plus ou moins fort selon la brutalité du coup de queue.

Quand son gémissement devient continu, je reconnais le bruit qu’elle fait au moment où je me vide au fond de sa chatte. Le Tonio est en train de se vider au fond de sa chatte.

J’ai l’impression qu’elle n’a pas joui complètement. Mais, il lui reste deux queues pour jouir encore.



Le Yasser se le fait pas dire deux fois et là, elle démarre un cran au-dessus. Respiration saccadée entrecoupée de hhmmmm ou de haaannnn, le claquement du bassin de Yasser contre ses fesses et quelques bruits humides de l’intimité des deux amants.

Serge commente :



Petit rire amusé d’un des deux autres.

Ma femme est là en train de se faire limer sévère et au lieu de jalousie, c’est un désir effréné qui m’envahit. Ma participation auditive et secrète m’empêche toute action dans la mêlée, mais j’ai une gaule d’enfer et je vais devoir faire quelque chose.



La lubricité des bruits, chuintements, claquements, bruits de gorge et de respirations essoufflées, c’était trop pour moi. Je réussis à détacher mon froc et à sortir ma queue. En quatre va-et-vient, je gicle dense et puissant. Je reçois mon sperme jusque sur les lèvres et un peu dans la bouche. Par le niveau d’excitation qu’elle me procurait, ma femme m’offrait ma première quasi auto fellation (j’ai pas la bite assez longue : -(().

Mon excitation retombée (un peu) je trouvais la situation plus critique. Mal installé dans mon armoire, ne pouvant que très peu bouger, j’ignorais le temps que cela durerait encore.


C’est à ce point de mes réflexions que ma femme se mit à jouir comme je ne l’avais jamais entendue. Ça a commencé par des oui ! oui ! oui !, les claquements devenant plus forts et plus rapprochés, puis elle s’est mise à râler pendant quelques instants et c’est devenu un son aigu continu modulé par l’impact des claquements. Pour ma part, j’avais instantanément retrouvé une gaule bien raide.

Un dernier claquement puis tout s’arrête. Il est en train de décharger au fond de sa chatte. Miaulements, petits bruits, aaaahhhh plus légers qu’au début. Tous les bruits de la femme bien baisée. Du foutre plein la chatte. C’est le deuxième à lui éjaculer dedans.



Comme un cri du cœur. Faut dire qu’il lui a déjà éjaculé dans la bouche puisque, si j’ai bien compris, elle a d’abord sucé les trois.



Petits bruits…



Le ton est de nouveau plein de désir, elle a de nouveau envie d’une bite dans sa chatte. Il y en avait une il y a quelques minutes et il lui en faut une autre… Certainement que celui qui a essuyé le sperme dégoulinant a dû en profiter pour jouer un peu…


La voilà repartie. Un peu moins fort que tout à l’heure mais tonique tout de même.

Les deux autres mecs ont dû se déplacer pour se trouver devant l’armoire car je les entends tenir un aparté :



Ils s’éloignent et l’un d’eux s’adresse à ma femme :



Elle ne répond pas et doit faire ce qu’il lui demande.



Moment de calme, la jouissance de ma femme n’est pas au rendez-vous de ces deux bites. C’est une performance de mecs de mettre deux bites dans une chatte mais ce n’est pas la meilleure façon de faire reluire une partenaire.

Les deux mecs finissent par décharger avec de petits han.



Le temps qu’il se déplace puis le ton reprend. Chauffée par les deux bites, elle est au bord de la jouissance. Dès la pénétration son cri de plaisir est impressionnant puis, Yasser reprend le rythme qu’il lui avait donné la première fois. Elle se lâche, elle pousse des gémissements, des sons rauques puis des cris saccadés ah ah ah ah ou en mélopée, modulés aahhhh aaaaaaahhhhhhh aaaaaaaahhhhhhhh. Je suis un peu effrayé de ne lui avoir jamais fait cet effet-là.


Malgré tout, ma petite bite est raide et j’ai une nouvelle et irrésistible envie de me branler. Je jouis bien avant que les amants ne se calment. En quelques va-et-vient, ma pine surchauffée crache son liquide chaud et gluant. Il y en a moins que tout à l’heure et les jets sont moins puissants. Je n’ai pas du tout contrôlé mes deux éjaculations. C’est parti où ça pouvait. Je dois en avoir plein mes vêtements.


À côté, le pilonnage continu. Ça fait bien quatre ou cinq minutes que ça dure. Claquements, gémissements et cris, elle prend un fade, un pied, un orgasme. Pour ma part, un peu calmé par mes deux éjaculations, je suis content pour elle qu’elle ait pu prendre un orgasme de cette qualité. Même si je désespère de pouvoir la faire jouir autant.


Les claquements s’accélèrent. Le Yasser doit être prêt de lui lâcher une nouvelle dose. Un cri qui traîne qui passe de aaahhh à hhhhhmmmm . Immobilisation, dernier claquement, miaulement de ma femme, han hon de Yasser. Il est en train de se vider une nouvelle fois dans sa chatte. C’est la cinquième éjaculation au fond de sa chatte.

Un peu de calme, les amants doivent partir et échangent quelques mots.



La porte claque. J’attends, écoutant ce qui se passe. Plus un bruit dans la chambre. Plusieurs minutes passent. Je me demande si je peux sortir. Tout près de moi, juste devant l’armoire, ma femme dit :



Et elle rit innocemment. Bruits de mouvements…



Silence. Comme ils sont assez proches, j’entends des bruits de succions, les glissements sur le fauteuil et leurs deux respirations. Celle de ma femme qui reprend son souffle de temps en temps et celle du mec de plus en plus rapide.

J’imagine la grosse queue de Yasser dans sa petite bouche. J’ai de nouveau une trique raide. Je me demande si elle peut la prendre en entier comme elle prend la mienne qui mesure quinze centimètres de long pour un diamètre de quatre centimètres. Ce n’est pas si petit mais avec ce qu’il lui a mis tout à l’heure je suppose qu’il a une grosse bite.

Toujours est-il que j’imagine. Et ça tourne fort. La bouche de ma femme ouverte au maximum autour de ce sexe. Les glissements sur la longueur, jusqu’où peut-elle descendre sur ce manche ?

Un bruit que je crois être un va-et-vient de branlette. Elle doit en avoir une partie dans la bouche et branler à la base du sexe. Le mouvement s’accélère. Alors qu’il n’a rien dit durant toute la fellation, il l’encourage :



Encouragé, je branle aussi le mien de sexe qui n’en peut plus. Encore cette fois trois quatre allers-retours et ça gicle.

Ma femme qui doit recevoir le sperme bien profond dans sa gorge s’étrangle un peu. Nous avons dû jouir en même temps, lui et moi. Mais lui dans de meilleures conditions que moi.



Glissements sur la moquette, bruits de ceinture attachée, de sacs déplacés. Leur passage dans la salle de bain où j’ai l’impression qu’il lui fait sa toilette aux petits bruits qu’elle émet. Une dizaine de minutes, puis la porte claque.

Suis-je seul dans cette chambre au fond de mon armoire ?

Je pousse un peu la porte et passe un œil. Je ne vois personne. J’ouvre un peu plus, toujours personne mais j’aperçois le lit qui a tout d’un terrain de manœuvre. Parsemé de tâches humides. Des mouchoirs en papier dans la poubelle près du lit et les serviettes de l’hôtel posées sur le bord de la baignoire.

J’ai des tâches de foutre plein mon froc et mon tee-shirt. La planque de l’armoire malgré sa simplicité était efficace. Personne n’a tenté de l’ouvrir. Le mari à la place de l’amant. Aucune moralité.


Retour à la maison.

Ma Z1300 Kawasaki me ramène rapidement chez moi. Ma femme n’est pas encore rentrée certainement en raison de la circulation. Elle arrive, vers 19 h 30. Souriante, l’air détachée. Innocente, comme je l’adore… Elle m’embrasse.

J’ai préparé à diner, nous buvons un verre en discutant un peu. Elle me demande comment s’est passé ma journée.



Je m’amuse du sous-entendu. Je vois à son regard qu’elle envisage un double sens à ma phrase, mais elle ne peut pas imaginer que je suis au courant dans les moindres détails auditifs de ses rendez-vous.



Tu m’étonnes ! Elle a eu l’air de les trouver carrément sympa ses rendez-vous.

Installés pour regarder un film, comme souvent, je lui caresse les seins. Pas des caresses très poussées mais déjà suggestives. Au milieu du film elle vient poser sa tête sur moi. Mes caresses deviennent plus précises sur ses tétons produisant l’effet habituel. Elle s’étire en tendant les seins en avant. Elle a envie d’un coup de queue.

Souvent, après cette déclaration de désir, je caresse un peu sa chatte puis je l’enfile. Mais ce soir, elle descend la tête vers ma bite. Malgré mes trois éjaculations libres de l’après-midi, la gaule me vient très vite. C’est une bite bien raide qu’elle prend dans sa bouche. Elle me suce bien profond, caresse mes couilles d’une main et branle la base de ma bite entre l’index et le majeur de l’autre main.


Ses caresses buccales me font l’effet désiré et je suis bientôt près d’éjaculer. Je lui dis, mais elle continue. Elle préfère que je jouisse dans sa bouche. Sans doute pour que je ne visite pas sa chatte encore béante et crémeuse. Je me retiens un moment mais la laisse finalement faire jusqu’au bout. J’éjacule dans sa bouche. Au moment où elle sent le premier jet elle enfonce au maximum ma queue puis bouge tout doucement ses lèvres bien serrées en continuant de branler à la base. Elle me garde dans sa bouche en laissant doucement couler mon sperme le long de ma bite. Elle attend un ramollissement complet. Mais excité par son après midi et le désir de visiter sa chatte après que tout ce monde y soit passé, avant d’avoir ramollie, elle remonte. Belle érection. Aussi raide que la précédente. Elle me sort de sa bouche.



Je la fais allonger sur le canapé, lui remonte les jambes sur la poitrine et lui caresse un peu la chatte. Tirant sur les poils et sur les lèvres. Je glisse un doigt, l’endroit est mouillé à souhait. J’introduis un doigt, puis deux. Je branle un peu. Je me positionne au-dessus d’elle, ses jambes sur mes épaules. Dans cette position, je maîtrise bien le rythme et la puissance de la pénétration.

Je présente mon sexe à l’entrée de sa chatte, glisse un peu le gland sur ses lèvres bien humides et je m’introduis d’un seul coup. Ouverte et lubrifiée comme elle est, je rentre en douceur, tout au fond et mon bassin vient claquer contre ses fesses.

Excité d’être le nième à l’enfiler aujourd’hui, ignorante qu’elle est de ce que j’en sais, je m’amuse un peu d’elle :



Elle sourit sans répondre mais avec l’air de prendre ma suggestion avec humour.



Tout en souriant toujours, elle a rougi un peu puis fermé les yeux comme pour se concentrer sur des pensées plus jouissives.

Malgré mon excitation intense, mes quatre éjaculations de la journée m’avaient un peu « vidé ». Je la limai donc assez longtemps et assez efficacement mais sans obtenir l’effet Yasser. Il faudra que je mette un visage sur ce manche à faire jouir ma femme.