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Temps de lecture estimé : 51 mn
27/09/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Une balade, un bête pari... et tout dérape.
Critères:  fh fhh couple extracon forêt jalousie voir fmast fgode jouet
Auteur : Ours Gris            Envoi mini-message
Balades

Une histoire plus longue que les autres, certains lecteurs souhaitent plus de ressenti, d’autres moins… à chacun d’y trouver ce qu’il aime lire.

Avec, il est vrai beaucoup de dialogues, que certains peuvent ne pas apprécier, mais j’aime bien, pour pouvoir mieux faire passer les sentiments des uns et des autres. Et puis, il faut bien attendre un peu avant d’arriver au plat principal…


Pour ceux qui lisent mes histoires avec Martine, ne croyez surtout pas que ces événements se produisent souvent. Pas du tout. Il peut parfois se passer dix ans ou plus entre chacun d’entre eux… parfois moins… Martine est d’abord une femme au foyer… et puis parfois… ça dérape…




Le pari



Nous nous sommes inscrits à un groupe de « baladeurs » comme dit Martine, j’avoue que j’ai souvent un manque de courage pour me lever le matin, alors qu’elle ne manque pas une des sorties. Beaucoup de femmes, comme d’habitude dans ce type d’associations, mais aussi quelques hommes qui aiment les balades dans la campagne et la forêt.


Martine trouve que l’un d’eux, Hubert, bel homme selon elle, s’intéresse un peu trop à elle (du moins à ce qu’elle me dit), bien que de nombreuses autres dames, mariées ou célibataires, tournent autour de ce monsieur.

Je finis par me décider à l’accompagner pour voir de plus près celui qui a la chance de plaire à Martine, bien qu’elle me dise le contraire, mais je la connais bien.

On a fait exprès de ne pas rester ensemble pour que je puisse constater de visu son comportement et c’est vrai qu’il cherche souvent la compagnie de Martine. Je voudrais trouver un instant pour lui parler mais ce n’est pas facile car il est effectivement très entouré. Au bout d’une heure, je finis par avoir l’opportunité de lui parler discrètement.



Je suppose qu’il parle de lui ?



Là, je suppose qu’il pense que c’est mon cas, je vais le détromper.



Il veut parler de lui, ou il veut me tester ?



Évidemment, maintenant qu’il sait que je suis le mari de Martine, il va se méfier.



Comme ça il est prévenu, la bise en douce sans que je sois là, mieux vaut qu’il n’y pense pas.



D’accord, il a de la répartie, je l’ai bien cherché aussi.



Là, je ne sais pas trop où je m’embarque.



Là, il blague ?



Il est vraiment gonflé… ou alors sûr de lui.



Je ne risque pas grand-chose, je connais suffisamment Martine… enfin j’espère.



Il a perdu d’avance.



Hubert repart retrouver ses femmes ; je ne pense pas qu’il puisse y arriver, d’abord il faut que les autres femmes le lâchent un peu et ensuite qu’il se retrouve seul avec Martine. Quand il bavarde avec moi, ses groupies ne disent rien, mais le voir serrer de trop près ou s’éclipser avec une autre femme, elles ne vont pas laisser faire, et puis de toute façon, Martine ne se laissera pas embrasser… enfin je le pense.


Effectivement, les kilomètres s’allongent, le temps passe et Hubert ne peut pas s’éloigner de son petit groupe. Par moment il y en a même une qui le prend par le bras. Je comprends qu’il puisse préférer Martine plus discrète et je dirais même plus jolie que la plupart… Quand je regarde toutes ces femmes depuis l’arrière, je troupe que c’est Martine qui a les plus jolies fesses, rondes, rebondies, une jolie cambrure de reins qui les met en valeur. Je suppose que Hubert s’en est aperçu lui aussi et je suppose qu’il est comme tous les hommes, il aimerait bien les voir de près et… bien d’autres choses encore.


Bon, le circuit se termine, nous revenons là où sont garées les voitures. La plupart se précipitent sur les bouteilles d’eau restées dans le coffre. Dans le mien, je récupère mes chaussures de ville et, assis sur l’herbe, je quitte avec plaisir mes chaussures de marche, même si la balade n’était pas très longue.

En me redressant je suis surpris de voir Hubert qui se trouve penché au niveau de la portière passager où Martine est assise pour délasser ses chaussures. Il a profité que tout le monde soit occupé pour se retrouver un peu seul avec Martine à trois mètres de moi, c’est un malin… et puis, un petit coup d’œil dans le décolleté, ça ne coûte rien et fait de mal à personne.



Sans rien dire, je m’assois au volant en regardant discrètement Martine qui termine de lacer ses chaussures, avec le décolleté un peu trop ouvert, comme je le pensais.



Je repars vers la route en faisant au revoir aux autres marcheurs. Eux aussi nous font de grands signes d’au revoir avec les bras. J’aperçois Hubert à nouveau très entouré.

On roule un petit moment en silence, j’avoue qu’il me tarde de savoir ce qu’il lui a dit et que je n’ai pas pu entendre à cause du brouhaha des autres, et surtout s’il a « essayé » ?

C’est Martine qui rompt le silence la première :



J’ai le cœur qui bat.



Je crois bien qu’elle est jalouse. Nous n’en avons pas reparlé de la semaine. La semaine suivante, nous approchons du lieu de la nouvelle balade.



Il a commencé dès qu’il lui a fait la bise, ses lèvres ont glissé dangereusement mais Martine l’a évité habilement. Il m’a regardé du coin de l’œil en souriant, il m’agace, il est vraiment trop sûr de lui.



Pendant la ballade il n’a rien pu faire, de retour au parking, Martine fait attention à ne pas s’isoler, même à deux mètres.

Il vient vers nous et s’arrête, les poings sur les hanches.



Pendant le retour, Martine m’apostrophe.



Je pense qu’elle n’a pas apprécié le coup du pari, et elle veut se venger un peu.



Si je n’avais pas essayé de discuter avec Hubert, je ne pense pas qu’il aurait vraiment essayé de l’embrasser, et de toute façon, Martine ne se serait pas laissé embrasser, je sens bien que je suis un peu responsable de la situation.



Pourquoi je ne dis pas non, tout simplement ?



Pourquoi insiste-t-elle ? Parce que j’ai parié ? On dirait que cela lui plaît vraiment, qu’elle a vraiment envie de se faire embrasser ? Je suis troublé.



Pourquoi j’ai dit ça ?



J’ai le cœur qui bat, pourquoi je me suis embarqué dans cette histoire ?

Hubert se montre très convivial et anime la conversation, je sens Martine très à l’aise aussi. J’aurais presque préféré qu’elle soit un peu plus distante avec lui. Avant le café, elle se retire un moment après m’avoir jeté un coup d’œil discret. J’ai compris. Hubert toujours galant l’aide à quitter sa chaise et se rassoit.



Quand Martine est revenue, on a continué notre conversation sur ce temps magnifique pour un mois de novembre. Après le café, Hubert est parti payer la note comme prévu. J’en ai profité pour faire un signe d’assentiment à Martine comme quoi j’ai bien fait la commission.

Nous partons sur la promenade le long du port puis le long de la côte. Par moment nous parlons tous les trois quand la largeur du sentier le permet, parfois c’est moi et Hubert et parfois Hubert et Martine.

Je reconnais que je ne l’ai pas vu venir, c’est au moment où il l’a aidée à passer une petite butte qu’il l’a prise dans ses bras, doucement, mais cela c’est quand même fait en deux secondes. Il la prend contre lui et pose ses lèvres sur celles de Martine, elle penche légèrement la tête pour l’accueillir, un bras sur le côté, la main ouverte, juste devant moi, je la vois le laisser poser ses lèvres sur les siennes et puis elle lui ouvre sa bouche… C’est de ma faute ! J’ai oublié de dire à Martine qu’il s’agissait juste d’un petit baiser rapide, alors qu’elle a pensé que c’était un vrai.


Je l’ai senti un peu surpris, mais pas longtemps. Il a passé ses bras autour de ses épaules, s’est collé contre elle et a pris possession de sa bouche, puisqu’elle la lui offre. Les doigts de Martine ont légèrement tremblé quand il lui a mis la langue, puis elle a posé une main sur son épaule et l’autre sur sa nuque. J’ai le cœur qui bat très fort, je trouve qu’elle exagère, elle lui ouvre vraiment très largement sa bouche et je vois le mouvement de la langue d’Hubert dans sa joue, ils doivent jouer à s’enrouler la langue l’une sur l’autre. J’entends le souffle court de Martine, ça me fait mal et en même temps j’ai une violente érection.


Le baiser se prolonge, Hubert lui caresse le dos d’une main et de l’autre il lui presse les fesses pour la serrer contre lui, le sent-elle bander sur elle ? En tout cas, elle lui caresse la base des cheveux, toujours soudée à lui dans un baiser de cinéma. Je ne pensais pas qu’elle y mettrait tant de fougue et je n’arrête pas d’imaginer sa langue qui se frotte, et se frotte encore, contre celle d’Hubert… Cela me fait bander comme ce n’était pas arrivé depuis bien longtemps, avec la compression du pantalon, c’en est presque douloureux.

C’est elle qui met fin au baiser, merci Martine. Je suis quand même fâché qu’elle ait mis tout ce temps, cela devenait insupportable. Elle le repousse doucement, s’essuie un peu les lèvres et vient vers moi. Elle a les joues très rouges, les lèvres également rouges et gonflées et elle a du mal à retrouver sa respiration. Sans me regarder, elle me prend le bras et nous reprenons notre promenade. J’ai eu peur qu’elle veuille m’embrasser à mon tour, je n’aurais pas pu.


J’ai bien vu qu’elle a regardé un instant vers le pantalon d’Hubert, est-ce par simple curiosité féminine pour voir si il a réagi ? On bien l’a-t-elle senti bouger contre elle ? En tout cas, si elle avait regardé de mon côté, elle n’aurait eu aucun doute, même si la tension commence maintenant à diminuer. Par contre, j’ai le cœur qui bat toujours aussi fort.

Après un moment de silence, Hubert a repris la conversation comme si rien ne s’était passé, Martine a répondu, la voix un peu tremblante, moi il m’a fallu un peu plus de temps pour participer. Au bout d’un moment, Hubert s’arrête et me demande :



Je m’inquiète un peu.



Je me demande s’il n’y a pas un piège ?



Nous avons fini la balade quand le soleil a commencé à descendre. En revenant aux voitures, Hubert m’a serré la main cordialement, avec Marine ils se sont fait la bise comme de vieux amis, j’ai fait celui que ne regarde pas mais je n’ai pas pu m’empêcher de m’assurer du coin de l’œil, que son baiser ne glissait pas.


Une fois revenus à la maison, Martine était plutôt contente d’elle, je me sens plus ombrageux.



Là, c’est le jaloux qui parle.



J’ai peur de la réponse.



Elle s’approche de moi et vient dans mes bras, elle respire fort, c’est peut-être l’émotion de reparler de cet instant. Je sais ce qu’elle attend, moi aussi j’en ai très envie, je la pousse vers le canapé. D’un geste rapide, elle retire sa culotte et ouvre tout de suite ses cuisses en grand pour me recevoir. Ça rentre tout seul… Envie de moi ou excitation due au baiser d’Hubert ? Au moment où je la pénètre profondément, elle me saisit la tête et m’embrasse de force. Elle avait bien compris que j’évitais de l’embrasser… et là, elle me fait un truc qu’elle ne m’avait encore jamais fait après tant d’années de mariage, elle fait aller et venir sa langue dans ma bouche au même rythme que mon membre dans son vagin… terrible efficacité ! D’imaginer qu’elle ait pu faire ça à Hubert, je m’enfonce et je gicle… Elle lâche brusquement ma bouche et pousse un grand cri en laissant sa tête partir en arrière et en activant frénétiquement ses reins.




OoOOo0




Le document



Martine retourne au Club de ballades toutes les semaines. Pendant l’hiver, elle a manqué plusieurs sorties quand il pleuvait ou qu’il faisait trop froid. Les premières fois, j’ai attendu avec impatience le moment de la retrouver pour savoir comment Hubert se comportait.


Martine m’a raconté comment ses admiratrices se sont lassées quand elles ont cru comprendre que la place était prise, et puis elles ont jeté leur dévolu sur un autre homme du groupe tout heureux de cette aubaine. Hubert se contentait de la prendre par le bras ou par l’épaule, parfois de lui prendre un peu la taille mais sans jamais insister. Avant de repartir, il embrassait Martine sur la joue avec gentillesse même si parfois elle sentait bien que le baiser sur la joue se prolongeait un peu et qu’il aurait sûrement aimé un peu plus. Je ne lui demandais même plus, c’est elle qui m’en disait deux mots, juste pour le principe.

L’hiver est vite passé, le printemps est là. Ce soir je trouve que Martine tarde un peu. Mais non, c’est elle qui arrive, je l’entends qui range ses chaussures avant d’entrer.

Elle vient s’asseoir à côté de moi sans rien dire.



Je reste silencieux, un frisson me secoue et je sens mon cœur qui accélère. Ses joues sont rouges comme en novembre quand Hubert l’avait embrassée, ses lèvres sont marquées aussi comme l’autre fois.



Je lui montre mon pantalon, je suis raide comme l’autre fois, une émotion très forte, et en même temps une super érection à l’écouter raconter cette aventure sensuelle et érotique. Mais il ne s’agit pas d’une héroïne quelconque de roman ou de film « X », mais de Martine.



Je me penche vers elle, elle me tend ses lèvres, je l’embrasse doucement et je pose ma main sur sa poitrine, elle se met à respirer fort, je descends ma main, je sens sa peau chaude, je remonte doucement vers son sein, avant que je l’atteigne, je sens son coude qui s’appuie, je descends ma main, elle gémit, elle joue le jeu de ce qui vient de se produire mais cette fois, elle se laisse aller. Je passe ma main au bord de son pantalon, elle creuse un peu le ventre pour me laisser passer. A-t-elle fait comme ça avec lui ? Sa langue vient chercher la mienne pendant que ma main passe sur son ventre, sur sa culotte, cette fois ma main descend encore par-dessus sa culotte, elle pousse un cri quand ma main l’atteint et ouvre ses cuisses : sa culotte est toute mouillée. Je ne pense pas que ce soit moi qui aie provoqué cela. Elle me saisit brutalement à travers le pantalon et me masturbe brutalement. Je passe ma main à l’intérieur de la culotte… A-t-il senti la mousse soyeuse de ses poils sous sa main ?


Je la relâche, tire sur ses jambières, elle m’aide à retirer pantalon et culotte, je la guide sur le plancher, sûrement plus dur que l’herbe de la forêt, mais elle n’est pas en état de sentir la différence, elle fait le grand écart pour m’offrir son sexe. Je m’allonge sur elle en sortant mon gourdin du pantalon et la pénètre brutalement. Elle pousse un grand cri et s’arc-boute en appui seulement sur les épaules et les talons, cuisses écartées. Je la prends à grands coups de reins, poussé à la fois par mon envie très forte et aussi l’envie de lui faire mal, mais pas trop quand même, pour avoir eu envie de lui. Elle me saisit les fesses et me tire à fond en elle en criant. Elle jouit, la tête rejetée en arrière, le corps secoué de spasmes, dans un flash, j’imagine, où elle le fait pour de vrai avec Hubert, et d’être comme ça en train de jouir toute nue sur l’herbe, les cuisses écartées, empalée par Hubert qui la remplit de son foutre. Cela me tord les testicules et je me vide au fond de son vagin.


Compte tenu de ce qui s’est passé, je prends des résolutions.



Je crois qu’il était un peu inquiet quand il m’a vu, mais je l’ai mis à l’aise.



Au début de la balade il n’est pas venu près de nous, il doit bien se douter que Martine m’a dit quelque chose pour que je l’accompagne ainsi, juste après sa tentative de séduction qui a bien failli aboutir, et puis progressivement, remis en confiance, il revient souvent à notre hauteur.

Quand il vient vers nous, elle se rapproche de moi, mais elle peut difficilement me prendre le bras, à cause des anciennes groupies d’Hubert qui nous regardent déjà bizarrement et qui trouveraient son comportement vraiment louche. À un moment, il a même passé son bras autour de la taille de Martine comme il a sans doute l’habitude de le faire depuis plusieurs mois, et lui a fait un compliment sur ses vêtements. Il faut dire que par cette belle journée la plupart des femmes étaient restées boudinées dans leurs survêtements, et seules certaines avaient pris des shorts de saison, mais pas une avec un aussi joli chemisier que celui de Martine, surtout en laissant les deux premiers boutons ouverts. Je suis bien sûr maintenant qu’elle l’a fait exprès. À la pause casse-croûte, Martine s’est assise sur un talus, moi j’aime bien marcher en mangeant mon sandwich, et je vais discuter avec les uns et les autres. À un moment j’aperçois Hubert, debout à trois mètres de Martine, il regarde dans sa direction sans parler, il doit avoir une bonne vue sur son chemisier. Quand il voit que je m’approche, il s’éloigne un peu pour aller chercher une bouteille dans son sac, je m’approche de Martine et je la regarde à mon tour, ce n’est pas le chemisier qui l’intéresse le plus, même si on a une jolie vue sur le galbe d’un sein, mais l’entrejambe du short qui laisse apercevoir dans le soleil le bord de la culotte blanche et quelques poils blonds tout frisés qui dépassent. Je m’accroupis près d’elle.



Elle me regarde d’un drôle d’air et elle respire plus vite.

Je la regarde faire semblant de délacer ses chaussures, en fait elle enlève un par un les brins d’herbe collés à ses chaussettes pour gagner du temps, elle a vraiment envie de se laisser regarder. Pourquoi pas. Ça lui fait plaisir et moi ça m’excite aussi de la voir comme ça.

Je m’éloigne vers un autre groupe pour faire semblant de discuter et laisser le champ libre à Hubert, j’aperçois du coin de l’œil Martine qui passe une main pour s’assurer que sa culotte est toujours bien visible, à moins qu’elle ait pris mes paroles à la lettre et qu’elle essaie de l’écarter un peu pour donner encore plus de piquant et mieux se montrer. Oui, j’ai bien l’impression que c’est ce qu’elle fait, j’espère qu’elle n’exagère pas trop.


Bien sûr, Hubert ne tarde pas et vient s’asseoir là où j’étais. C’est vrai que cela m’excite beaucoup de savoir qu’il la regarde entre les cuisses sans pouvoir toucher et que si elle a suffisamment dégagé le côté, il peut apercevoir le bord de son sexe. Elle sait qu’il lui regarde le sexe, elle ne fait rien pour se protéger et le laisse faire en continuant à enlever les brindilles de ses chaussettes. J’avais pensé qu’elle se serait laissé regarder quelques secondes seulement, mais non… elle continue consciencieusement de nettoyer brin après brin, les cuisses ouvertes en faisant semblant de rien. J’imagine très bien l’effet que ça doit lui faire à lui, surtout si le rayon de soleil est toujours aussi bien placé, ça doit lui donner une sacrée envie de la baiser. Mais j’ai du mal à imaginer ce que cela lui fait à elle ; curieusement je suis moins troublé que la semaine dernière, quand Martine m’a tout raconté. Sûrement parce que je suis là et que je les vois, que ce n’est pas l’imagination qui travaille, n’empêche, il s’en est fallu vraiment de peu qu’ils passent à l’acte tous les deux. Je ne vais plus la laisser y aller sans moi, peut-être même qu’il vaudrait mieux ne plus y aller du tout. Je pousse un gros soupir de soulagement quand enfin elle serre ses genoux et se redresse, sans le regarder. Je pense qu’elle est très émotionnée et ne veut pas croiser son regard.


Quand nous repartons, je vois une très grosse bosse sous le short d’Hubert, Martine l’a vue aussi, elle a les yeux brillants d’excitation. Quand nous allons revenir à la maison et qu’il sera reparti, il va y avoir de l’animation sur le canapé, elle va vouloir que je la calme sans attendre… il me tarde d’y être.



Il nous suit en voiture quand nous repartons, pour venir récupérer le document d’inscription.

Dans la voiture, nous n’avons pas trop parlé, je sens Martine toujours sous tension, elle respire très fort, je suppose que Hubert est aussi sous l’émotion d’avoir entrevu le sexe de Martine d’aussi près, mais peut-il penser que c’est par inattention ? Je crains bien que non, il a dû très bien comprendre qu’elle l’a fait exprès. Ce n’est peut-être pas raisonnable, mais en tout cas très excitant qu’elle le provoque ainsi.



Arrivés à la maison, Hubert entre avec nous, Martine cherche un peu dans ses tiroirs et finit par trouver cette fameuse feuille. Je la remplis en premier sur la table de la cuisine, c’est facile, le nom, l’adresse, la date et la signature.

Nous sommes tous les trois encore sous le coup de l’émotion, chacun avec un ressenti différent. Ma femme qui découvre le plaisir de montrer son sexe, l’autre qui apprécie de le voir… et moi qui prends plaisir à voir faire les deux. C’est dingue !



Elle se saisit du papier sans rien dire. Je ressens une drôle de sensation, le silence est pesant comme un temps d’orage, Hubert attend immobile près de la table, Martine prend le stylo d’une main qui tremble un peu, elle respire toujours très fort. Elle écrit comme au ralenti… J’ai l’impression que tout est au ralenti… Au ralenti aussi, la main de Hubert qui se pose sur sa hanche… Au ralenti, je recule d’un pas, une émotion forte m’étreint et un drôle de bruit de marteau-pilon résonne en moi… Au ralenti, Hubert avance d’un pas juste derrière elle… Au ralenti, il pose son autre main de l’autre côté de sa taille, il est tout contre elle… Au ralenti, elle cambre ses reins vers lui, vient à son contact…


Comment peut-elle faire ça ? Je sens bien que si je ne réagis pas il va se passer quelque chose de terrible. Mais je ne peux pas bouger. C’est comme si j’étais en transe hors de mon corps. J’ai l’impression de planer, de voir mon enveloppe charnelle adossée au meuble de cuisine qui regarde sans réagir les mains d’Hubert, toujours au ralenti, qui remontent le chemisier de Martine, faisant apparaître son dos, sa colonne vertébrale, le creux de ses reins. Des mains qui caressent l’agrafe du soutien-gorge, qui n’osent pas le défaire… si… il se décroche. Les seins de Martine jaillissent et pendent sous sa poitrine…


Au ralenti, elle se penche en avant et ses pointes roses viennent frôler la nappe. Les mains redescendent le long de son dos entièrement dénudé, redescendent sur les côtés du short, tirent le short vers le bas faisant apparaître le haut des fesses, la fameuse culotte blanche, à l’origine de tout ce qui se passe maintenant, apparaît. Elle aussi se met mystérieusement à glisser vers le bas, faisant apparaître les deux fesses blanches et rondes de Martine… une Martine qui ne bouge plus, le stylo toujours dans une main, le buste courbé sur la table avec son chemisier remonté jusqu’en haut des épaules, les seins qui pendent, les reins fortement creusés faisant saillir ses jolies fesses maintenant entièrement dénudées, sa raie avec plus bas l’abricot de son sexe qui devient maintenant accessible… irrésistible… le centre du monde… Tout en bas, le short et la culottes tombés au sol, juste à côté un pantalon qui tombe aussi sur des pieds avec de grosses chaussures de randonnées. Au-dessus des chaussures, des mollets poilus, des cuisses puissantes, des fesses poilues aussi avec de l’autre côté un énorme sexe en érection, un grand manche et un gros gland violacé et turgescent qui avance au ralenti vers les fesses rondes. Des fesses qui, au lieu de s’éloigner du danger, se rapprochent et se tendent vers l’arrière… Des cuisses qui s’écartent largement… Un abricot tout ressorti avec une fente rose au milieu qui laisse apercevoir l’orifice du petit terrier caché sous son camouflage dérisoire de petits poils frisés. Au bout du manche, la grosse masse du gland violet, fendu sur le devant, qui appuie sur la fente fragile… qui pousse… Les portes qui s’ouvrent, le gland qui se fait doucement engloutir, comme par magie… le manche entre à sa suite dans le terrier… Dans le lointain, on entend un gémissement… le gros sexe a disparu, entièrement avalé. Non, le manche réapparaît en tirant avec lui un petit anneau de chair rose tout autour… disparaît… apparaît… disparaît… à chaque disparition un cri étouffé… Hop, il réapparaît, avec toujours le petit anneau de chair autour qui retient le gland… disparaît… un cri encore… c’est comme si cela devait durer éternellement, comme un mouvement perpétuel avec les seins de Martine qui se balancent au même rythme.


Non… il y a un changement, les reins de martine se creusent… le cri étouffé s’est transformé en un cri plus fort et modulé, qui dure, dure… et cesse brusquement. Les jambes de Martine fléchissent et le groupe Martine-Hubert n’étant plus soutenu mais toujours emboîté, glisse vers le sol, les seins se bloquent un instant sur le bord de la table, se déforment et basculent également. Hubert est toujours fermement arrimé aux hanches de Martine, ses fesses poussent toujours le manche qui continue son mouvement d’entrer-sortir pendant la descente mais on n’entend plus le gémissement, seulement un léger bruit de clapotis et un souffle rauque. Le groupe est maintenant allongé sur le sol, les jambes de Martine sont écartées de part et d’autre de celles d’Hubert, un pied de Martine est presque contre le mien, curieusement agité de soubresauts, comme un animal qui finit de mourir. Mon enveloppe charnelle ne voit plus le manche entrer et sortir du terrier, seul un bruit de frottement et le mouvement des fesses poilues permettent de comprendre que le travail continue toujours. La cuisse de Martine est toute raide et ses doigts de pieds sont écartés et bougent comme si elle avait une crampe très forte. Les fesses poilues se durcissent, deviennent toutes rondes, dures. On entend une sorte de grognement… Elles se durcissent encore et encore le grognement… encore… encore… les fesses poilues se détendent… la cuisse de Martine aussi… Cette fois le groupe Martine-Hubert ne bouge plus… plus de bruit non plus… De la jambière de mon short, un dard inutile et ridicule est sorti et se tend dans le vide.


Tout doucement le sortilège semble s’estomper, je sens que je regagne mon enveloppe corporelle, le bruit de marteau-pilon, c’est mon cœur qui bat la chamade, mon dard s’amenuise et regagne sa place. Sous la table le groupe emboîté Martine-Hubert se désolidarise, la partie Hubert se redresse et le long manche sort du terrier suivi de son gland un peu plissé, la partie Martine cherche à cacher maladroitement son terrier grand ouvert en rabattant le chemisier mais il ne recouvre que le haut des fesses, laissant voir le gros trou rose du vagin qui a été dilaté et qui se referme doucement. Hubert se redresse et remonte son pantalon, Martine a du mal à se redresser et à sortir de dessous la table. Son visage est défait, les joues très rouges, les paupières encore noircies, les yeux un peu hagards, sans regarder vers moi et sans dire un mot, elle quitte la pièce.



Il fait attention à ne pas marcher sur la culotte de Martine sur le sol et il repart.


Je me retrouve tout seul dans un silence irréel. J’ai fait un rêve éveillé. Sur le sol, la culotte et le short de Martine me ramènent à la réalité : une tache sur le sol, je n’ai pas rêvé. Et puis tout revient d’un coup : Hubert en train de saillir Martine sur la table, son cri de plaisir qui n’en finissait pas, Hubert qui continue de s’accoupler à son corps mort, et pendant tout ce temps mon érection très forte, mon sexe tendu dans le vide, vers Martine… jusqu’à leur séparation.


Où est-elle ? Elle n’est pas dans la chambre, je la trouve dans la salle de bain, elle a enlevé le peu qui lui restait sur le dos, entièrement nue, elle se passe un gant sur le visage. Elle m’a vu dans la glace, et ne bouge plus. Ses fesses sont rouges, il a dû se frotter contre elles quand ils étaient sous la table, à cette image je sens mon érection qui revient, je quitte mon short et je m’avance vers elle le sexe dressé, je la saisis par les hanches, elle pousse ses fesses vers moi comme elle a fait avec Hubert et se penche en avant en écartant ses jambes. Elle gémit quand je la pénètre d’un coup, j’entre facilement évidemment, mon ventre vient claquer contre ses fesses à chaque coup que je donne.


Dans la glace je vois son visage plaqué tout contre la vitre, les yeux fermés et la bouche ouverte qui envoie de la buée, ses seins qui ballottent au-dessus du lavabo, comme au-dessus de la table. Je m’enfonce en elle comme si je voulais faire entrer ma bite et mon corps tout entier dans son vagin. Quand elle jouit, la bouche grande ouverte dans un grand cri silencieux et le visage déformé par l’orgasme, il ne me faut que quelques secondes pour me vider à mon tour. Elle attend sans bouger que je récupère ; quand je me retire, elle se dirige vers la douche en titubant et en se tenant au mur.


En revenant, dans la chambre, elle me montre le dessous de l’un de ses seins tout strié, presque écorché.



Elle me montre aussi un genou avec un gros bleu, sûrement aussi quand elle tombée au sol avec Hubert toujours accroché à elle.



Nous ne nous sommes plus rien dit. Je ne pense plus à rien, je vais m’allonger.

Martine me rejoint et vient contre moi.



En plus je suis très étonné par son langage, il faut vraiment qu’il provoque en elle un désir sexuel très fort pour qu’elle utilise des mots inhabituels dans sa bouche.



Elle avance sa main et rencontre mon sexe dressé. Je quitte mon pantalon pendant qu’elle relève sa chemise et une nouvelle fois je la pénètre d’un coup brutal tellement le désir est fort ; elle écarte ses cuisses en grand et s’accroche à moi en gémissant. Malgré la douche, mon passage et celui d’Hubert sont toujours récents et je glisse encore facilement. Martine est déjà repartie dans son délire tellement cette situation extraordinaire l’a excitée, et s’accouple à moi à grands coups de reins. Mon pubis heurte le sien violemment, je dois lui écraser le clitoris à chaque fois, cette fois c’est moi qui part le premier, elle glisse ses doigts pour se frotter et me suit aussitôt en poussant les mêmes cris que ceux qu’elle a poussés quand elle a joui avec Hubert ; je m’écroule sur elle.

On est resté longtemps comme ça, sans bouger, ses cuisses toujours au grand écart. Et puis elle a commencé à bouger pour changer de position.





OoOOo0




Objet de jardinage



Nous n’en parlons pas pendant la journée, mais on fait l’amour tous les soirs dès qu’on se met au lit et sur la table de la cuisine après manger. D’un commun accord, on a refait comme avec Hubert, on s’excite mutuellement…



Je ne sais pas si c’est de penser qu’Hubert lui remplit le cul mais son orgasme se déclenche souvent comme maintenant, quand elle l’imagine en train de décharger, et moi, il me suffit de me souvenir de l’image de son vagin encore largement ouvert quand il en est ressorti pour éjaculer à mon tour.

À chaque fois, elle jouit très facilement, ça lui fait comme moi, il suffit de penser à ce qui s’est passé et l’excitation revient, c’est incompréhensible mais très agréable.

Quand on le fait sur la table, on finit par terre comme avec Hubert, mais je fais attention à ne pas lui faire mal aux seins sur le bord de la table, je mets ma main en protection. Même quand elle a déjà joui sur le bord, elle me dit qu’elle a encore du plaisir sur le sol quand je continue à aller et venir, en se souvenant qu’il lui a déchargé dans le vagin à ce moment-là.



On y pense tous les deux, mais on n’ose pas le dire à l’autre. Je sens bien qu’elle a envie de le recevoir dans elle une nouvelle fois, et moi je me rends bien compte que j’ai envie de la revoir en train de jouir sous lui.


C’est le jour de la balade, nous nous sommes préparés comme la semaine dernière, sans rien dire. Je sais bien que si on y retourne c’est que cela peut arriver encore. Martine s’est faite belle mais avec un chemisier plus sage et un short qui ne permet pas les regards indiscrets, mais qui met ses fesses en valeur. Il faut communiquer pourtant, c’est Martine qui commence la première.



Hubert s’est montré amical, comme si rien ne s’était passé, mais il ne s’est pas intéressé non plus à une autre randonneuse du groupe, il tient toujours compagnie à Martine, je redoute la fin de la randonnée, va-t-il faire une proposition ? Si je sens que Martine n’est pas contre, je sais bien que je vais dire « d’accord », mais j’angoisse aussi en pensant qu’il va encore lui monter dessus et à ce que je vais ressentir : jalousie ou excitation ?

De retour au point de départ, Hubert donne des conseils de voyage à un monsieur du groupe, avec Martine on reste à l’écouter, à un moment je la regarde, je vois bien qu’elle est en attente, le souffle un peu court, il suffirait que je dise : « Viens, on s’en va », et elle me suivrait, mais je sens bien que j’attends, moi aussi… L’idée de la voir se laisser prendre une nouvelle fois par Hubert est la plus forte.


Il n’y a presque plus personne, on se dirige vers notre voiture et on commence à se préparer, Martine enlève ses grosses chaussures, la dernière voiture s’en va.

Martine s’est relevée et regarde Hubert approcher, je fais semblant de m’intéresser à une fermeture éclair récalcitrante. Il s’arrête à deux pas sans un mot. Il suffirait de tellement peu de chose pour qu’il ne se passe rien.


Martine défait les boutons de son chemisier, passe la main dans son dos pour défaire son soutien-gorge et se retourne pudiquement pour l’enlever. Je ne comprends pas : pourquoi elle fait ça ? Elle ne va quand même pas se changer devant lui, elle fait toujours ça à la maison. Et puis, tout bascule… elle n’a pas pu résister… c’est là que je comprends que le désir d’une femme peut être aussi fort que celui d’un homme, peut-être plus… Elle fait glisser son short et sa culotte sur le sol et se retourne, face à Hubert, en appuyant son dos contre la voiture, à côté de moi, montrant sans pudeur ses seins, son ventre et le triangle de son sexe. Elle ne me regarde même pas… je n’aurais jamais cru qu’elle puisse se montrer aussi provocante, mais son envie d’être prise a été la plus forte.


Quand Hubert s’approche, avec un gémissement étouffé, elle s’offre de suite, se cale contre la voiture et écarte ses jambes, je me repousse un peu pour qu’elle puisse écarter ses cuisses… Il arrive près d’elle entièrement nu. Dès qu’il a vu qu’elle a retiré sa culotte, il a tout enlevé lui aussi en quelques secondes. Cette fois, elle peut voir son sexe dressé, elle regarde fascinée le gland énorme pointé vers elle et le manche très long et noueux avec de grosses veines bleues sur le côté. Ils ont un peu de mal à trouver la bonne position pour le faire entrer, en la tenant d’une main par la taille. Il faut qu’il se baisse un peu pour lui mettre en face de son vagin. Pour l’aider, elle s’accroche à son cou. Il lui soulève une cuisse, je vois bien sa touffe et sa fente rose qui s’écarte avec un clitoris tout ressorti… l’entrée du vagin déjà entrouverte… elle est super excitée, la salope…


Il en profite pour mettre son mandrin au bon endroit et l’enfoncer d’un coup. Terrible cette vision de ce sexe énorme qui disparaît d’un coup, complètement avalé. Elle pousse un gémissement sourd sous l’assaut mais répond aussitôt à ses poussées par des mouvements du bassin, ils en font bouger la voiture… Elle s’accroche à mon bras d’une main et de l’autre elle saisit les reins d’Hubert pour bien le maintenir contre elle. Il l’embrasse dans le cou en pétrissant un sein de sa main libre, il accélère… Les yeux fermés, Martine halète à chaque poussée et ses doigts s’enfoncent dans mon bras… Ça vient vite… tous les muscles du dos d’Hubert se contractent, comme la première fois, ses fesses poilues deviennent toutes rondes et, à chaque éjaculation, il donne un grand coup qui fait remonter Martine contre la carrosserie, ses pieds ne touchant presque plus le sol, le tout accompagné d’un grognement que j’ai déjà entendu la semaine dernière. Pour Martine c’est plus un gémissement dû à la compression de ses poumons qu’à un gémissement de plaisir, ou alors peut-être les deux à la fois.


Il se détache d’elle, c’est une nouvelle fois très émotionnant de voir ce gros machin sortir de son ventre, il est encore de bonne taille mais moins arrogant. Martine se tourne vers moi, son visage est crispé de désir inassouvi, les yeux troubles et les paupières noircies. Je la prends contre moi, son dos est moite et sous mes doigts, je sens ses fesses marquées par la carrosserie. Elle a du mal à reprendre son souffle, elle sent mon sexe tendu et pousse son pubis à sa rencontre pour me solliciter, elle veut que je la prenne…


J’ai un instant d’hésitation : est-ce que je vais faire ça devant Hubert ? Hésitation de courte durée, je baisse mon short et cherche à entrer moi aussi, la place a été faite… c’est rapide… Quand je me glisse en elle, elle pousse un soupir et m’accompagne. Appuyés par l’épaule contre la voiture, on s’agite tous les deux au même rythme, ses gémissements se font plus rapides ; à ce moment Hubert revient, il a déjà récupéré et s’appuie contre son dos. Elle est un peu surprise qu’il ait envie de recommencer, mais ne fais rien pour l’en empêcher. Elle soulève légèrement un bras pour le laisser se saisir de son sein, il se frotte contre ses fesses au même rythme que nous, elle relève la tête et cherche mon regard. Je le sens forcer entre ses fesses, elle a ses pupilles qui se dilatent et je me doute qu’il essaie de l’enculer. Elle ne croyait pas si bien dire l’autre jour… ses yeux se révulsent et sa bouche s’ouvre en grand… il doit être en train de lui rentrer dans le cul… La bouche grande ouverte, elle me dit : « çaaa yyy eest… », ses yeux chavirent et elle jouit en poussant un grand soupir. Je décharge…


Je me suis trompé, il n’a pas réussi à l’enculer, je sens entre ses cuisses un sexe impérieux, c’est celui d’Hubert qui cherche à entrer alors que je n’ai pas encore fini et que je m’enfonce pour envoyer ma dernière giclée. Il n’y a pas de place pour deux, elle a senti qu’il la cherchait, elle recule un peu et tend ses fesses vers l’arrière pour l’accueillir, ça me fait sortir et il prend ma place immédiatement, violemment.


J’ai l’impression que cela lui a fait la même impression de me voir faire l’amour avec Martine que moi de le voir faire avec elle : une terrible excitation. Martine me tend ses lèvres, un baiser plein de tendresse, sans doute pour me remercier d’accepter ces instants qui lui donnent autant de plaisir, ou pour se faire pardonner de se donner à nouveau. Tout en restant les reins creusés pour bien s’offrir à Hubert, la douceur de ses baisers contraste avec la violence de l’accouplement d’Hubert. Il pense peut-être la faire jouir une nouvelle fois, je ne pense pas qu’il puisse y arriver, elle est toujours toute en tendresse en me donnant sa bouche, sa langue… Elle suce la mienne, peut-être se souvient-elle de nos discussions sur le premier baiser de Hubert et elle veut me faire comprendre qu’elle aime aussi mon baiser, ma langue, ma salive. Je fonds…


J’ai du mal à maintenir l’équilibre, il ne fait pas l’amour avec Martine, il se branle avec son corps, exactement comme il ferait avec sa main en la secouant sur sa bite. Je suis obligé de me caler un peu plus sur la voiture. Par instant je libère les lèvres de Martine pour qu’elle reprenne sa respiration, son souffle devient soupir, son corps se tend, je me suis trompé, il a réussi à lui faire remonter son plaisir, à la ramoner comme ça… Hubert ne faiblit pas, Martine grimace quand la main d’Hubert se crispe en enfonçant ses doigts dans son sein, mais aussitôt ses soupirs deviennent gémissements, je sens son corps vibrer, ses reins se tendre, elle va jouir encore une fois. Hubert l’a senti aussi ; la tenant fermement à la taille, il la fait monter et descendre. Je souffle aussi, coincé contre la carrosserie ; les pupilles dilatées, elle cherche mon regard, elle sent qu’elle va jouir et veut me l’offrir, elle veut me donner le moment de sa jouissance. Quel spectacle magnifique de lire sur son visage la montée de l’orgasme alors qu’elle est embrochée par le sexe d’un autre… Son visage qui se déforme, ses yeux qui se dilatent et sa bouche qui s’ouvre… Cramponnée à moi, son cri de plaisir jaillit sur ma joue pendant que son regard se voile derrière ses paupières noircies… Jusqu’à son dernier spasme, elle continue à m’offrir sa jouissance et à lire dans mes yeux le plaisir que j’ai de la voir jouir dans mes bras… Émotion extraordinaire de la voir m’offrir sans aucune pudeur ses râles de plaisir provoqués par un autre.


On a droit une nouvelle fois aux grognements d’Hubert, et pendant que je sens ses secousses et que sa semence se déverse dans son vagin, elle cherche ma langue et me caresse les cheveux. Elle lui prête son corps et pousse ses fesses vers l’arrière pour qu’il s’enfonce, mais c’est à moi qu’elle donne toute sa tendresse. Merci Martine de tout me donner.


Dans la voiture, je sens Martine de bonne humeur, peut-être de voir que je suis bien moi aussi, que n’ai pas de séquelles sentimentales de son accouplement avec Hubert.



Elle sourit à cette idée…



On se conduit comme deux ados qui font des bêtises. Dans un magasin, on a choisi l’ustensile le plus approprié, c’est Martine qui teste en prenant le manche de la pelle ou du râteau dans sa main pour savoir lequel lui convient le mieux, discrètement elle fait dessus un mouvement de masturbation avec sa main en me regardant du coin de l’œil.

Elle m’en montre un qui est énorme.



Elle finit par en choisir un d’une grosseur plus raisonnable. En rentrant à la maison on a voulu essayer de suite sans attendre. Je coupe le manche en conservant une bonne longueur, ce sera plus facile à manier. Martine m’attends le ventre à l’air. Elle regarde le bois brun et lisse.



J’ai l’impression que c’est un sexe de Sénégalais qui se présente à l’entrée, magnifique contraste entre la couleur foncée du bois et le blond de ses poils frisés, les roses de sa chair, les nuances des lèvres, de l’entrée du vagin, du clitoris tout gonflé comme une grosse bille avec de petites veines bleues et roses par transparence… J’aime son sexe.

Jamais je ne pourrais avoir une occasion aussi belle et aussi proche de voir comment le sexe d’un autre homme s’introduit. Je pose le bout rond juste à l’entrée du vagin et je pousse doucement… Les délicates muqueuses roses sont poussées vers l’intérieur, Martine, du bout des doigts, tire sur la lèvre sur le côté… le bout s’introduit, avec tout autour l’anneau dilaté du vagin… je pousse doucement, Martine aussi pousse avec ses reins pour mieux faire coulisser, je le retire un peu, doucement… et l’anneau accompagne le mouvement en s’étirant vers l’extérieur… Je prends plaisir à répéter le mouvement deux ou trois fois pour regarder avec curiosité jusqu’où son petit anneau peut se distendre, en prenant soin à chaque fois d’enfoncer le manche un peu plus profond… J’y aurais pris plaisir plus longtemps si les mouvements de reins impatients de Martine ne m’avaient ramené à la réalité.

Je pousse le manche plus profond, j’ai toujours l’impression que j’arrive au bout, mais les coups de reins de Martine continuent de le faire entre encore plus profondément.



Je suis étonné de voir toute cette longueur qui lui rentre à l’intérieur du ventre, ça ne m’étonne pas qu’elle ait pu engloutir le gros sexe d’Hubert. Heureusement que je l’ai coupé suffisamment long, j’ai encore de quoi le tenir, mais c’est juste. Je le fais aller et venir, et imaginant que c’est celui d’Hubert, Martine souffle rapidement, son clitoris est tout ressorti et déborde des grandes lèvres, comme quand elle est super excitée dans ses grands moments… Elle doit penser à lui.



Elle a dû entendre mes pensées.

J’accélère un peu le mouvement, elle écarte encore plus ses cuisses.



Je pousse plus loin et un peu plus violemment, avec un mouvement rapide, en faisant quand même attention à ne pas lui faire de mal, étonné de voir que son vagin puisse accepter de se faire violenter ainsi, et de l’autre main je serre son sein comme l’a fait Hubert. C’est efficace.



Et elle jouit pour la troisième fois de la journée. Elle pousse sur ma main pour s’enfoncer le manche le plus fort possible pendant son orgasme. Il est presque entré entièrement, je suis toujours étonné des capacités de son vagin. Elle se détend, j’extrais doucement le manche, avec encore cette sensation incroyable de voir tout ce qui a pu entrer ; elle a de curieux petits spasmes, pendant qu’il coulisse en ressortant, elle doit ressentir une bizarre sensation. Et puis une nouvelle fois ce trou de vagin tout ouvert, je n’avais jamais remarqué ça avant de voir Hubert en sortir, il se referme rapidement, mais je ne lui en laisse pas le temps… Je prends la place du manche et jouis en quelques mouvements. Les cuisses écartées, elle se laisse faire sans bouger.


Nous ne sommes pas retournés aux balades et Hubert n’a pas appelé.

On ne fait pas l’amour tous les soirs, mais de temps en temps sur la table de la cuisine. Parfois on utilise le manche, seulement comme préliminaires, pour la faire jouir, mais il arrive que je me laisse aller avant elle, alors elle se le met et l’agite pendant que je lui pince un sein, c’est toujours efficace, je pense que cela lui fait ressurgir des images ou des sensations quand elle s’est fait prendre par Hubert.



Je n’insiste pas, j’ai besoin d’être rassuré sur ses envies, je ne suis pas toujours certain des miennes.


Un jour, alors que je reviens des courses :



J’ai le cœur qui bat, ce n’est pas la peine qu’elle me le dise, je comprends de suite de qui il s’agit.



Cette expression à double sens « de le faire entrer » me fais battre le cœur, je pense immédiatement à « autre chose » qu’elle a lui a laissé entrer. Je crains toujours un peu que son attirance pour lui revienne. Je la connais bien maintenant, d’elle-même elle ne ferait absolument rien pour l’attirer, mais une visite surprise pourrait la déstabiliser.



C’est vrai que ce serait bien cette sortie… mais on sait bien tous les deux ce qui se passera si l’occasion se présente. Je sais bien qu’elle aura envie de recommencer… et moi je ne pourrai pas résister à l’envie de la voir jouir, montée par Hubert.



FIN de l’histoire




Si dans quelques temps, j’écris une histoire intitulée « Balades en Pyrénées », c’est que nous avons choisi d’aller faire cette randonnée en compagnie d’Hubert et, connaissant son attirance pour Martine, c’est que nous avons accepté l’idée dès le départ qu’il puisse y avoir un ou plusieurs accouplements entre eux deux durant cette période, si cela arrive, alors je l’écrirai.


À moins que d’ici là, Hubert repasse à la maison et qu’à ce moment-là, Martine soit plus réceptive à son charme et accepte de le « faire entrer ». Le pire ce serait que je ne sois pas là à ce moment. Je sais bien que Martine me raconterait tout, mais cela ne me plairait vraiment pas.


On verra bien. Pour l’instant, je pense que nous n’irons pas et qu’Hubert ne reviendra plus, mais personne ne connaît l’avenir.