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n° 16425Fiche technique30189 caractères30189
Temps de lecture estimé : 17 mn
28/09/14
Résumé:  Les arbres de Noël pour les familles, dans les grandes entreprises, réservent parfois des surprises très spéciales et offrent des occasions bien tentantes...
Critères:  fh ff ffh collègues travail voir fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Eurydice Jenkins  (J'aime le sexe, j'aime en parler et écrire sur ce sujet)      Envoi mini-message
Une surprise de Noël

C’était un appartement tout ce qu’il y avait de plus banal. La décoration soignée et l’ordre parfait montraient l’absence d’enfants. Il était meublé de quelques équipements modernes, de quelques écrans, d’un mobilier alliant traditionnel et un peu de design, rien que de très normal pour un couple encore jeune, d’une bonne situation, un peu bobo sur les bords.


Tout aurait semblé parfaitement normal, banal donc s’il n’y avait eu, sur la table de la salle à manger, une femme entièrement nue allongée sur le dos. Dans le sens de la longueur. Ses cheveux roux étaient étalés sur le bois ciré. Ses jambes repliées étaient largement écartées, ses pieds étaient posés sur le rebord. Son sexe presque totalement épilé conservait une mince bande herbue prouvant la véritable nature de sa rousseur.

En bout de table, assis, tout habillé, un homme. Sa tête était penchée et il léchait, très concentré sur sa tâche, le sexe offert de la femme. Jusque-là, rien de plus étrange qu’une scène d’amour comme il s’en passe tant entre tant de couples.

Mais une autre femme, blonde, bien habillée, était assise sur le long côté de la table. Ses mains sagement posées sur ses genoux, elle observait la progression du plaisir sur le visage de la femme au bord de la jouissance.



La rousse ouvrit les yeux. De petits gémissements s’échappaient de ses lèvres entrouvertes. L’homme la travaillait depuis plusieurs minutes.



Les mots de la réponse eurent un peu de mal à sortir.



Tout avait commencé un peu plus tôt dans l’après-midi. Réunion de fin d’année dans l’entreprise où travaillait Fabrice, l’homme du couple. Donc épouses des uns et maris des autres et enfants de tous, tout le monde était là pour l’arbre de Noël de l’entreprise. Quelques centaines d’employés, plusieurs secteurs d’activité entre les opérationnels, les administratifs, les commerciaux, trouvaient alors la grande occasion de fraterniser, de « convivialiser » comme disent les socio-snobs.


En effet, le directeur de l’entreprise avait compris que pour éviter d’offrir à tous ses employés une bonne occasion de se trouver une « bonne affaire » hors des liens du mariage, il valait mieux faire venir les familles pour servir de garde-fou. Sinon, comme il en avait eu lui-même l’expérience dans un emploi antérieur, on risquait de retrouver de la viande saoule en train de s’accoupler un peu partout dans l’usine ou dans l’entrepôt, dans les camions ou dans les bureaux, couples de tous genres et de tous sexes formés sur la base de l’alcoolisme, ce qui laissait prévoir des lendemain qui déchantent à tous les niveaux de l’entreprise. On ne peut pas avoir sucé un chauffeur de poids lourd un jour et le lendemain lui faire des observations sur sa tenue de travail. Ni réussir à faire deux secrétaires girondes s’embrasser et se toucher pour, la semaine suivante, les punir pour avoir fait la même chose mais de leur propre initiative, dans le local de la machine à photocopier…


Bien entendu, même avec les familles présentes il pouvait y avoir des incidents mais cela se réglait en général hors de la connaissance de l’encadrement. Parfois par un divorce, mais « chacun ses affaires » et surtout « tant pis pour eux » dès l’instant où cela ne remontait pas aux prud’hommes…


Et c’est bien ainsi que la position dans laquelle Fabrice se trouvait avait trouvé son origine. Bon, d’accord, la situation telle qu’elle se présentait maintenant n’était pas des plus désagréables : il léchait la fente d’une femme magnifique, et cela devant son épouse. Lécher n’était pas son exercice préféré mais le fait d’y être contraint ajoutait un petit goût subtil au jus de sexe qu’il recueillait de sa langue.

Il leva les yeux. Éléonore, sa femme, était penchée sur le visage de Marion qui gémissait chaque fois un peu plus fort.


Et tout ça parce qu’il était allé dans son bureau chercher un dossier oublié la veille et qu’il voulait rapporter chez lui pour l’étudier à loisir pendant les fêtes, l’entreprise donnant des congés collectifs à ses employés pendant la dernière semaine de l’année.

Rien que de très honnête, digne d’un employé dévoué ! Il avait pris l’escalier, ouvert son bureau, l’armoire, pris le dossier et lorsqu’il se retournait pour s’en aller, il avait vu Marion, l’une des responsables de la logistique, se tenant dans l’encadrement de la porte. Il lui avait souri en montrant le dossier, presque un sourire d’excuse : penser au travail un jour chômé, les syndicats risquaient de ne pas apprécier…


Mais elle n’avait pas souri en retour. Son regard était juste un petit peu trop brillant. Ses lèvres un petit peu trop gonflées. Ses seins tendaient son corsage et ses tétons étaient bien dressés. Elle avait trop bu et elle avait trop d’idées.

La jolie rousse s’approcha, une moue boudeuse sur le visage. « Totalement irrésistible » pensa Fabrice, pourtant bien décidé à ne pas se laisser aller à ce que de toute évidence, on venait lui proposer. Il aimait sa femme, profondément, amoureusement. À presque quarante ans, il avait enfin trouvé l’âme sœur dans ce deuxième mariage. Il ne risquerait pas de perdre ce bonheur obtenu après un premier échec qui lui avait coûté tant d’années juste pour un coup de queue lors d’une soirée de beuverie…



Il ne répondit pas. Il avait une bonne raison d’avoir ce comportement : Marion était sans aucun doute la collègue la plus attirante, la plus désirable de toute l’entreprise, laquelle ne manquait pourtant pas de jolies filles. Atteignant tout juste la trentaine, elle avait le charme explosif de la femme adulte qui sait ce qu’elle veut. Or Fabrice avait conscience que s’il cédait à son envie d’établir le dialogue, même innocent, il aurait du mal à ne pas essayer de séduire cette femme superbe. Et que de là viendraient ennuis, problèmes et risques pour son mariage.


Mais là, c’était elle qui faisait les premier pas. Fabrice vacillait entre l’envie de lui sauter dessus, l’émerveillement d’avoir attiré l’attention d’une si sublime créature, lui qui ne se faisait pas vraiment confiance quant à ses qualités de séducteur, et la raison qui lui disait de fuir cet endroit le plus vite possible avant que tout cela ne dégénère. Mais c’était déjà trop tard. Elle avait commencé à déboutonner son chemisier et s’était approchée jusqu’à se coller à lui. Fabrice avait reculé mais s’était retrouvé coincé contre son bureau. Alors Marion avait saisi le sexe de l’homme au travers du pantalon, ayant bien vu la déformation que sa seule présence avait provoquée.


Et ce fut à cet instant qu’Éléonore entra dans le bureau. En réalité, elle surveillait l’évolution de la chose depuis déjà quelques minutes, cachée derrière le chambranle. Elle n’était intervenue que pour empêcher la situation de dégénérer avec toutes les conséquences que cela impliquait. Elle contempla le spectacle de son homme qui, des deux mains sur les épaules de la blonde, essayait de la repousser. De son côté, Marion, soutien-gorge bien en vue, lui tenait la queue et semblait ne pas vouloir lâcher sa proie.

Lorsque Fabrice se défendit d’avoir voulu séduire la rousse, Éléonore n’eut aucun doute quant à la véracité de l’allégation de son mari. De toute évidence il n’avait aucune responsabilité dans l’affaire, tentait de se dégager et la rouquine un tantinet éméchée était la seule salope responsable. Mais bon…



Marion avait refermé son corsage, mariant d’ailleurs, dans sa confusion, les boutons et les mauvaises cases. Ce fut Éléonore elle-même qui, s’approchant, corrigea la fermeture du corsage.



Elle s’attendait à tout, à un scandale, à une paire de gifles, à des pleurs, mais pas à ce que la jolie blonde vienne l’aider à se rhabiller !



Et c’est ainsi que les trois s’étaient retrouvés un peu plus tard dans l’appartement du couple.

Marion était entrée, s’était arrêtée, presque intimidée.



Marion avait voulu réagir :



Alors Marion se déshabilla, regardant Éléonore qui la surveillait, mais aussi Fabrice qui s’était assis dans un fauteuil et dont le pantalon déformé montrait bien le plaisir ressenti à cette situation étrange. Maintenant, Marion allongée sur la table, Fabrice lui bouffait la chatte tandis que son épouse observait le tableau.

Pour Marion, le regard scrutateur de la blonde au-dessus de son visage avait été un peu étrange au début, puis avait rajouté au travail de langue de l’homme une touche d’excitation due à l’exhibitionnisme. Éléonore se leva bientôt, contourna la table, s’approcha de son mari, observa sa technique.



Effectivement, le niveau sonore de la satisfaction démontrée par Marion avait sensiblement augmenté en fonction des instructions données par Éléonore.



Celle-ci releva un peu sa jupe et fit glisser au sol sa culotte de dentelle. Puis elle s’approcha de Marion, saisit la main de celle-ci et la glissa entre ses propres jambes. Lorsqu’elle sentit que les doigts de l’autre femme l’avaient touchée dans son intimité et donc avaient recueilli l’humidité que la scène faisait naître dans sa fente, Éléonore ramena la main de Marion vers la bouche de la rousse.



Sitôt dit sitôt fait. Fabrice raidit son index et son majeur et les présenta simultanément sur les deux orifices de la femme qui s’écartelait devant lui. Il pénétra en douceur les deux anneaux et, de la langue et des lèvres, partit vers l’ascension finale.

Au moment où Marion perdait totalement le contrôle de son corps, s’envolant vers le plaisir, Éléonore lui présenta à lécher les doigts pleins de mouille. Marion, hallucinée par la situation, n’hésita pas un instant, ouvrit la bouche et se mit à sucer désespérément ses propres doigts, recevant sur la langue le goût du sexe de l’autre femme.



Mais Marion n’était pas en conditions de répondre à la question, car Éléonore avait saisi dans ses doigts les tétons durcis de la rousse et en jouait, les griffant, les pinçant, les étirant, tandis que son mari s‘occupait pour sa part du sexe béant. Le dos raidi, le bassin s’agitant follement faisant presque Fabrice perdre le contact, Marion jouit dans un grand rugissement de plaisir.

Ce ne fut que quelques minutes plus tard, alors qu’elle reprenait sa respiration et que son cœur revenait à un rythme plus régulier, que Marion répondit à la question :



Marion frémit. Elle n’avait jamais imaginé faire cela avec une autre femme. Parfois, elle avait eu envie d’un baiser de la part d’une amie, d’une connaissance, elle avait même un jour, puisant le courage au fond d’elle-même, réussi à « déraper un peu » dans un échange de bisous, touchant de ses lèvres le coin de la bouche d’une collègue très attirante, mais à l’exception de quelques fantasmes en se caressant, elle n’avait jamais rien fait avec une personne de son sexe.


Quelques minutes plus tard, Marion avait pris la place de Fabrice sur la chaise et Éléonore, nue, était à son tour couchée sur la table et attendait que la bouche de la rousse vienne se poser sur son sexe pour lui donner du plaisir.

Fabrice, quant à lui, était debout. Lui aussi s’était déshabillé et son sexe durci jusqu’alors comprimé dans ses vêtements avait pris ses aises.



La rousse s’enhardissait peu à peu, ses doigts venant rejoindre sa langue et ses lèvres, menant Éléonore lentement mais sûrement vers l’orgasme.

Celle-ci voyait, au-dessus de son visage, la queue rouge et tendue de son mari. Elle avait envie de la prendre en main et lui faire cracher tout son bon jus chaud sur son visage et ses seins, mais malgré le plaisir intense qui l’envahissait, elle conservait un semblant de raison. Le moment n’était pas encore venu. Une simple branlette de la main ne serait pas l’extase ultime qu’elle se promettait de donner à son mari. Mais pour l’instant, c’était son propre plaisir qui importait. La femme rousse pouvait être une lesbienne inexpérimentée découvrant seulement maintenant les plaisirs saphiques, mais elle apprenait vite. Et pour la première fois qu’elle-même s’offrait à une femme, Éléonore se disait qu’elle était finalement tombée sur une servante pleine de bonne volonté. Marion léchait, suçait, mordillait, enfonçait sa langue, buvait la mouille, remontait le long des grandes lèvres, aspirait les petites, revenait au clito, le prenait entre ses lèvres, le caressait, le massait…



Marion ne répondit pas, absorbée par sa tâche. Elle prenait un plaisir tout aussi intense qu’inattendu à toucher le sexe de cette autre femme. Elle n’aurait jamais imaginé que lécher un con pouvait non seulement être aussi délicieux mais aussi lui offrir à elle-même tant de plaisir. Elle s’était sentie défiée dans sa féminité par l’autoritarisme de l’épouse de Fabrice. Maintenant, elle avait décidé de rendre cette femme folle de plaisir, d’en faire à son tour sa chose soumise…


Marion leva les yeux vers Fabrice. Celui-ci avait posé les mains sur le bord de la table, probablement pour éviter de se toucher le sexe. Le membre presque agressif sortait du bas de son ventre comme un mât. À l’extrémité de la queue, au milieu du gland violacé, une goutte perlait.

Voyant que Marion le regardait, Fabrice lui fit un signe. Désignant ses ongles, il lui fit comprendre qu’elle devrait griffer les fesses d’Éléonore. D’un battement des paupières, Marion lui exprima qu’elle avait saisi.

Alors, simultanément, Fabrice prit les seins de sa femme à pleines mains et se pencha pour l’embrasser tandis que Marion, accélérant le mouvement de sa langue, tétant furieusement le petit organe dressé à l’extrémité de la fente mouillée, saisit de ses deux mains, ou plutôt de ses ongles les fesses de la femme qu’elle servait.


Le cri d’Éléonore les surprit tous les deux. Un cri de plaisir, bien entendu, mais aussi de surprise. La femme allongée découvrait un autre niveau dans l’orgasme. Être ainsi traitée par deux personnes, fantasme fréquent, n’a rien à voir lorsque deux personnes s’occupent réellement de faire jouir quelqu’un.


Fabrice eut le temps de penser qu’heureusement il embrassait sa femme à cet instant, car sinon son cri aurait fait trembler les murs et alerté les voisins qui, peut-être, auraient même appelé la police ! On était en hiver, les fenêtres étaient fermées… En été, tout le voisinage aurait entendu Éléonore jouir !


Lorsque Marion se redressa, la bouche vernissée des humeurs de l’autre femme, elle arborait un énorme sourire. Elle se sentait vengée. Mais aussi très fière. Donner du plaisir, quelle belle tâche ! Faire gémir un homme, elle savait le faire. De ses doigts, de sa bouche, de son sexe, et même parfois, par d’autres canaux moins fréquemment offerts. Elle avait maintenant découvert qu’avec une femme, elle était tout aussi compétente, sinon meilleure…

Éléonore gisait sur la table, écartelée, vaincue, épuisée. Elle tenait tendrement la main de son mari qui la regardait, heureux du plaisir qu’elle avait ressenti mais aussi un peu stupéfait de découvrir sa femme aussi passionnée.



Fabrice se baissa, embrassa les lèvres de sa femme et lui souffla :



Il contourna la table, demanda à Marion de se déplacer, prit les jambes de sa femme, les remonta, les fit passer sur ses épaules et dirigea son sexe vers la fente encore entrouverte.

Marion qui observait la scène comprit qu’elle pouvait aider. En effet, ne pouvant voir ce qu’il faisait, Fabrice allait devoir rechercher l’entrée du sexe presque à tâtons avec la pointe de sa queue. Cela non seulement risquait de provoquer une accélération de sa jouissance mais préviendrait Éléonore de l’imminence de la pénétration.

Alors, délicatement, la rousse saisit le mandrin dressé et le plaça bien en face de l’orifice visé. Fabrice put alors s’enfoncer d’un seul mouvement dans l’intimité de sa femme qui cria de nouveau de plaisir sous l’exquise sensation de sentir les parois de son vagin ainsi envahies.


Debout contre la table, Fabrice labourait sa femme à grands coups de rein, alternant les mouvements de pénétration avec des mouvements latéraux qui arrachaient à chaque fois des gémissements de plus en plus forts à Éléonore.

Marion, pour sa part, le visage tout près du bas-ventre de l’homme, regardait le sexe masculin pistonner la fente élargie. C’était la première fois qu’elle pouvait ainsi suivre un spectacle qu’elle n’avait jamais pu voir de ses yeux, à l’exception des vues quasi cliniques de films X. Elle avait la sensation de ressentir en elle cette pénétration presque animale, et son sexe aurait bien accueilli ce membre tendu, gonflé et qui coulissait si facilement dans la gaine qu’elle-même avait bien préparée à le recevoir.



Éléonore fit signe à Marion d’approcher puis, dès qu’elle le put, la saisit par la nuque et l’attira vers elle. Leurs lèvres se collèrent. Lorsque Fabrice aperçut les deux langues entrer en contact, le grand fantasme qu’il chérissait depuis qu’il avait rencontré Éléonore se réalisa enfin : voir son épouse embrasser une autre femme. Alors il se laissa enfin aller et jouit, déchargeant sa semence à longs traits dans le ventre de la femme aimée.

Éléonore cria de nouveau.



En effet, l’excitation portée à son comble avait amené dans le sexe de l’homme un gonflement exceptionnel.



Et les deux époux, se jurant leur amour, continuèrent à exploser ensemble en échangeant déclarations et mots crus.

Quelques minutes plus tard, assis tous les trois sur le sofa, emmêlés, échangeant caresses et petits baisers, les trois complices se reposaient enfin. Éléonore se tourna vers Marion, lui déposa un petit baiser sur les lèvres, passa une main caressante sur le sein couvert de taches de rousseur et lui dit :



Marion se leva et prit la direction indiquée. Le couple suivit des yeux le joli corps musclé dont les fesses bien dessinées se balançaient au rythme de la marche. Avec un petit sourire lancé par-dessus son épaule, la jolie rousse disparut à leurs yeux…

Le regard d’Éléonore descendit vers le sexe de son mari qui se dressait, gonflé et rigide.



Éléonore eut un sourire



Elle passa la paume de sa main sur le gland foncé. Fabrice tressaillit. Il se pencha et embrassa amoureusement sa femme, puis baissa un peu la tête et saisit l’un des jolis seins entre ses lèvres. Éléonore laissa échappa à son tour un petit gémissement.



Les deux membres du couple, qui basculaient de nouveau dans l’excitation, tournèrent la tête avec ensemble en réponse à l’interpellation. Marion était revenue et les contemplait. Elle était enveloppée d’une serviette de bain. Se cheveux mouillés encadraient son visage. Elle était très belle.



Elle se dirigea vers la chaise sur laquelle elle avait posé ses vêtements et saisit son soutien-gorge.



Marion la regarda, un peu surprise. Jusqu’alors, Éléonore s’était montrée assez autoritaire. Ce qui, reconnaissait la rousse, était loin de lui avoir déplu…

Éléonore saisit le sexe de son mari.



Dans sa main, le sexe vibra.



Marion eut un sourire.



Marion eut un son de gorge. Le projet lui plaisait. Mais pour l’instant, elle allait extraire de ce sexe appétissant les dernières gouttes de plaisir encore disponibles. Elle plaça ses mains sur les cuisses musclées de l’homme et les remonta lentement vers l’aine. En réponse, l’homme s’offrit un peu plus, écartant les genoux, laissant ses bourses bien en vue.



Marion passa la langue sur le casque gonflé portant encore les traces de sa dernière explosion. Elle y reconnut les goûts mêlés de la femme et de l’homme. La sensation éveilla en elle une réaction immédiate. Ses seins se tendirent, son sexe mouilla.



Et elle emboucha le membre dressé. Quelques minutes plus tard, elle sentit la main d’Éléonore appuyer sur sa tête pour augmenter la pénétration du sexe dans sa bouche. En réponse, les gouttes du jus chaud vinrent sur sa langue et descendirent dans sa gorge tandis que Fabrice, le corps arc-bouté, tressautait sous le plaisir.


Marion pensa alors qu‘elle s’engageait dans une aventure sexuelle qui avait des chances de se révéler extrêmement satisfaisante, avec le risque supplémentaire de tomber amoureuse de l’homme, de la femme… ou du couple dans son ensemble. À cette idée, elle accentua sa succion sur le gland et le dernier jet jaillit sur sa langue.


Alors elle se redressa, regardant Éléonore. Celle-ci comprit, eut un petit sourire, se pencha et embrassa sa complice à pleine bouche. Leurs langues bataillant échangèrent le goût salé du plaisir de l’homme tandis que celui-ci, émerveillé, contemplait le plus beau cadeau de Noël qu’il ait reçu de toute sa vie…