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n° 16434Fiche technique36902 caractères36902
Temps de lecture estimé : 23 mn
03/10/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Marie a passé sa première nuit avec son amant. Elle me raconte. Je veux participer...
Critères:  extracon cocus grossexe parking hotel hmast intermast facial fellation pénétratio
Auteur : Tito40      Envoi mini-message

Série : Candauliste sur le tard

Chapitre 02 / 04
Enfin l'extase

Résumé épisode précédent :

J’ai demandé à Marie, mon épouse fidèle et un peu coincée, de se laisser draguer en boîte lorsqu’elle sort avec ses copines. De proche en proche, elle a fini par se laisser séduire par Kamel, un jeune Turc et a passé sa première nuit avec lui.



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J’ai eu beau questionner, interroger subtilement ou pas, je n’ai eu droit qu’à un bref résumé. Marie semble heureuse d’avoir franchi le pas, heureuse de s’être laissée aller. Mais elle semble aussi gênée à l’idée de s’ouvrir sur ses sensations, ses émotions, sur ce qu’elle a réellement fait avec lui cette nuit-là.


J’en étais finalement réduit à imaginer. Ce mec, je ne l’ai jamais vu et la description que m’en fait Marie est bien sommaire : 1, 80 m, bien proportionné, brun, poilu épilé, très bien monté, circoncis, endurant, multi-orgasmique. Débrouille-toi avec ça !


La semaine suivante, je n’ai pu m’empêcher d’envoyer quelques SMS salaces à Marie. Elle me répondait, moins coincée à l’écrit qu’elle ne le fut à l’oral.


Tu penses à lui ?

Pas forcément, non, mais tu m’en parles alors j’y pense.

Menteuse !

T’as bon. J’arrive même pas à bosser…

Et tu penses à quoi ?

À ton avis ?

À sa queue ?

T’as encore bon. Je le sens encore en moi.

À ce point ? Tu mouilles ?

Héhéhé, moui.

Appelle-le !

Je ne peux pas, je suis au bureau.

Fais une pose. Appelle-le

Je l’ai appelé ce matin sur la route. Et on s’échange des SMS.

Ha… vous vous êtes dit quoi ?

Il dit qu’il veut me revoir, qu’il est amoureux de moi.

Aie aie aie. Amoureux ? et toi tu lui as dit quoi ?

J’ai pas répondu. J’ai juste dit que moi aussi je voudrais le revoir.

Quand ?

Dès que je peux.

Ce soir ?

Je sais pas. Ce soir c’est compliqué.

Non, c’est pas compliqué. Va direct chez lui.

Ouiiiii. Merci mon amour.


Elle avait envie de lui. J’en étais tout retourné. Jaloux un peu, excité beaucoup. Je quittai moi-même mon bureau pour aller me vider les couilles dans les toilettes. Du vite fait, tellement j’étais excité. À peine revenu à mon bureau, une gaule terrible m’a repris. Décidément, je bande plus souvent depuis que Marie se fait baiser ailleurs. Pas le temps de gamberger sur le pourquoi du comment mais ça m’excitait terriblement.


Il était 17 heures quand Marie m’a adressé un message. Elle quittait son travail, Kamel l’attendait chez lui. Elle ne savait pas à quelle heure elle rentrerait. Je lui demandai alors de me tenir au courant par SMS dès qu’elle pourrait pour me dire où elle en est.


Le premier arriva vers 18 heures. Tout va bien mais elle ne va pas rester : Kamel n’a plus de capotes et elle n’a rien prévu.


Je lui réponds immédiatement qu’elle peut essayer sans. Il est assez intelligent pour se retirer à temps. Comme d’habitude, je n’ai pas réfléchi une seconde. J’avais envie de ça. Allez savoir pourquoi.


Les minutes passent, sans réponse. Et « bip », je me jette sur la messagerie. Marie me demande de la rappeler. Je m’exécute. Elle me raconte que pour m’écrire elle s’était accoudée debout à une table et qu’au moment où elle avait appuyé sur « envoi », elle avait senti la queue de Kamel chercher son chemin entre ses cuisses. Elle l’avait laissé faire. Il s’était rapidement retiré pour éjaculer, la laissant sur sa faim. Quelques minutes et quelques caresses plus tard, il avait retrouvé de la vigueur. Il l’avait à nouveau pénétrée et limée jusqu’à ce qu’elle commence à sentir une vague arriver, mais il s’était à nouveau retiré pour jouir, la laissant à nouveau frustrée.


J’ai l’impression que Marie a compris ce que je vais lui répondre. J’ai envie qu’elle me dise elle-même ce qu’elle veut, et même qu’elle ne me demande pas mon avis. Mais non, elle finasse. Marie me répète sur un ton désespéré qu’elle n’a pas joui, qu’il se retire trop tôt. Puisqu’elle n’ose pas, je la guide. Tant pis.



Je sens au ton de ce « ok » une résolution à franchir le Rubicon. Mais comment j’ai pu aller jusqu’à lui demander ça ? Anxieux, je suis débordé par des sentiments contradictoires. Ce que je lui demande est totalement obscène. Ce qu’elle accepte l’est bien plus encore. Où tout ça va-t-il nous mener ?


Marie est rentrée tard, au milieu de la nuit. Je n’avais pas fermé l’œil, ressassant mes tracasseries à l’envie, me branlant à plusieurs reprises. Je ne supporte pas de ne pas voir, mais est-ce que je supporterais de voir, d’être là quand elle baise avec lui ?



Marie de répond pas. Elle relève doucement sa jupe pour me montrer qu’elle n’a pas même pris la peine de remettre une culotte. Elle confie à une esthéticienne l’entretien de sa toison blonde, taillée large, juste pour que ses poils ne dépassent pas de la culotte. Une chatte de femme honnête. Ses poils ce matin ont un drôle d’aspect. Elle s’approche. L’odeur de sperme me monte au nez. Je ne peux m’empêcher de lui passer une main entre les cuisses, et de remonter vers son sexe. Elle ne dit toujours rien. Son large sourire vaut un discours. La poisse de sa chatte en vaut un second. Elle est très-très mouillée, poisseuse. Elle est allée au bout et s’est laissé remplir de sperme. J’en bande comme un taureau. Marie se penche, saisit ma queue, et me branle pendant que mes mains caressent ses fesses et sa vulve. Pour la première fois, elle ne retire pas sa main quand je lui dis que je vais jouir. Elle poursuit ses mouvements, emprisonne mon gland dans sa main gauche pendant que sa droite continue de me masturber. J’éjacule dans sa main. Une première pour moi. Jamais je n’avais osé lui demander. J’en ressens un bonheur immense. Et la gamberge me reprend. Est-ce que ce jeune mec lui a demandé cette nuit tout ce que je n’ai jamais osé demander pendant toutes ces années ? Est-ce qu’elle a tout accepté ?


Toujours sans un mot, Marie se dirige vers la salle de bains. Ces minutes d’attente sont interminables. À son arrivée dans le lit je lui fais une place, la prend dans mes bras et l’embrasse tendrement. Ce n’est pas le moment de poser des questions. Je la laisse s’endormir, je sombre moi-aussi, bercé de rêves érotiques.


Elle avait joui et l’avait fait jouir. Combien de fois ? Est-ce que c’était bon ? Meilleur qu’avec moi ? Je voulais savoir et je ne voulais pas savoir. C’est très compliqué dans ma tête. Je voudrais qu’elle me dise que c’était super génial, qu’elle a joui comme une folle, qu’elle a adoré se faire mettre par ce petit con et qu’elle a adoré le faire jouir, lui faire cracher son sperme en gueulant. Et qu’elle termine en me disant que tout super que ce soit, c’est peau de balle par rapport à ce qu’elle vit avec moi. Mais je rêve sans doute…


La pilule du lendemain s’imposait. Chaque jour, j’avais une question. Chaque jour, je lui demandais quand elle allait retourner le voir, quand elle accepterait que je sois présent. Elle bottait en touche. Mon insistance a eu finalement raison de sa résistance. Elle était allée une bonne dizaine de fois chez lui, et enfin elle me proposait d’assister à leurs ébats.


Un instant fou de joie, l’instant d’après j’étais pris d’une gamberge insoluble. On était déjà allés trop loin. Le moment de dire stop n’était-il pas venu ? Mais alors pourquoi tout ça, et ne pas aller au bout de mon fantasme ?


Kamel a mis quelques conditions. D’abord il veut qu’on se voie avant dans un lieu public ; un bar, par exemple. Ça me va. Ensuite il ne veut pas que je le touche. Ça, ça devrait aussi le faire. De toute façon ce n‘était pas dans mes intentions. Enfin, il dit n’être pas persuadé qu’il bandera devant moi mais quoi qu’il advienne, il ne veut pas que je participe. Juste que je regarde. J’ai tout accepté. Tout me va bien.


Nous nous retrouvons le soir choisi dans un bar proche de la gare. La gêne doit se lire sur mon visage. Kamel n’a pas l’air plus à l’aise. Il a l’air sympa mais je m’imaginais un beau mec. Je suis un peu déçu que Marie lui trouve du charme. Je le trouve quelconque. Marie, elle, semble tout à fait tranquille. Elle le prend dans ses bras comme on ferait avec une vieille connaissance, et lui fait des bises appuyées. Elle nous présente mutuellement, comme si c’était nécessaire, et peu de mots sont échangés le temps que nos chocolats chauds nous soient servis. Je meuble en lui demandant ce qu’il fait comme boulot, d’où il vient, des infos sur sa famille. Mais c’est pour être poli. Je m’en fous royalement. Je veux juste le voir baiser ma femme. Lui ou quelqu’un d’autre d’ailleurs. C’est juste ça que je veux. Mais je reste poli.


Ils ont eu quelques minutes pour eux quand je suis allé payer l’addition. Personne ne semblait pressé de passer à la suite mais on est bien venus pour ça non ?


Nous embarquons dans mon 4x4. Je ne sais même pas où nous allons. Je démarre. Marie a pris place devant avec moi. Kamel est derrière côté droit. Quand il ouvre la bouche, c’est pour me demander de le déposer chez lui. Je ne dis rien. Je connais cette rue et m’y dirige. Visiblement il veut en rester là. Je suis ennuyé. Et rassuré.


Je me gare dans une petite rue à proximité de son logement. Marie ouvre sa porte, ouvre celle de Kamel. La voiture est assez haute. Debout devant lui, Marie est à sa hauteur. Ou quasiment. Elle lui dit quelques mots à l’oreille, les mains sur les épaules de Kamel. Il a fait un quart de tour dans la direction de Marie pour se trouver en face d’elle. Elle le serre, l’embrasse profondément, lui caresse le torse, les joues, le cou, puis descend sur ses cuisses, le force à les écarter pour qu’elle s’approche plus encore. Elle presse ses seins contre lui en continuant de l’embrasser. Elle s’écarte de quelques centimètres et lui souffle :



Kamel ne répond pas. Il n’ouvre la bouche que pour accueillir la langue de Marie qui cherche la sienne. Elle le pousse vers l’intérieur de la voiture et cette fois le caresse partout. Marie se tourne vers moi, et me dis :



Où aller ? Je roule au hasard. Ils se bécotent à l’arrière, se touchent, se lèchent. À un feu, je me retourne pour voir Marie plonger une main dans le pantalon de Kamel. Elle le branle. Il se laisse faire mais hésite à lui rendre ses caresses. Je redémarre. Une idée me vient. Le parking du centre aéré, à l’extérieur de la ville. Il n’y a personne à cette heure tardive. Le parking est faiblement éclairé mais ça devrait aller. Je roule vers mon objectif tout en cherchant dans mon rétroviseur de quoi me rincer l’œil. Je ne capte que des embrassades. J’ai hâte d’arriver.


Il n’y a personne aux environs. Je choisis le fond du parking. Le premier réverbère est à trente mètres environ. Je m’y gare en arrière, au cas où. Je coupe le moteur. Pas un mot. Marie a entrepris de retirer à Kamel ces chaussures et ce pantalon qui la gênent. Elle lui a ouvert la chemise. Elle lui confisque son slip. Le voilà assis, presque à poil. Elle est face à lui, je ne vois que ses jambes et ses bras. Marie se recule pour se défaire de son chemisier. Elle m’avait dit que Kamel était bien monté. Elle m’avait montré les MMS qu’il lui envoyait. Je ne peux pas être surpris, là, de voir qu’il a une grosse queue. Et pourtant je le suis. Ce n’est pas gros, c’est énorme. Il est effectivement épilé. Sa queue est légèrement courbée vers le haut, striée d’énormes veines et d’un réseau de plus petites. La base de sa queue est très épaisse. Je peux voir les côtés de son gland qui semble lui aussi hors normes, perché à plusieurs centimètres au-dessus de son nombril. Pour rire avec Marie nous avions regardé de près un gode « the boss » qui faisait vingt-trois centimètres de long et quatre de diamètre, ce qui est déjà considérable. À vue de nez, la queue de Kamel c’est bien plus en diamètre à la base, plutôt six centimètres, et sa longueur doit dépasser les vingt-six. Bon, je suis impressionné. Voilà.


Marie a terminé son effeuillage, pas facile dans cet espace exigu. Elle reprend position face à Kamel, assise sur les genoux de ce chanceux, face à lui. Elle l’embrasse à nouveau, goulûment. Il ne sait visiblement pas quoi faire de ses mains. Elle les lui prend pour se les poser sur les fesses. Elle les dirige pour qu’il entreprenne de la caresser. Il obtempère.


Je vois le bassin de Marie aller et venir. Elle doit se frotter contre cette énorme queue. Elle doit mouiller comme une folle. Je ne vois pas ce qui se passe entre leurs deux corps mais j’imagine sa fente ouverte, masturbée au contact de la queue, lubrifiée abondamment. Marie se redresse un peu, s’écarte légèrement de lui, passe une main entre leurs corps. Je vois son bras s’agiter. Elle le branle maintenant. Ça dure quelques instants. Elle tortille toujours son joli petit cul, puis se lève un peu plus. Elle se passe la queue de Kamel entre les cuisses. Je vois en gros plan cet énorme gland que j’avais entraperçu. Il est gigantesque, violet, large. Elle se le frotte entre les lèvres quelques instants. Ça ne va pas tarder. Je vais enfin voir une queue pénétrer ma chérie. J’en suis tellement excité que je viens de jouir dans mon pantalon sans me toucher. Le temps de me retourner pour chopper des kleenex, et l’affaire est faite. Elle s’est entré le gourdin bien profond et a entrepris des mouvements haut-bas lents. Mon excitation n’est pas retombée mais ma lucidité fait surface. Je ne vois pas ma femme se faire baiser, c’est elle qui baise ce mec. Elle l’embrasse, le caresse. Les mouvements de son bassin semblent faits non pas pour qu’elle prenne du plaisir, mais pour lui donner du plaisir à lui.


Cette tendresse qu’elle exprime ressemble à celle dont elle me faisait cadeau il y a quelques années encore. À ceci près que dans ces moments, elle me répétait des « je t’aime » jusqu’à ce que je jouisse. C’était un code entre nous. Quand elle m’entreprenait comme ça, je ne devais pas chercher son plaisir mais le mien. Là, elle cherche le sien. Il n’y a pas les « je t’aime », mais peut-être le dit-elle quand elle est seule avec lui. Je suis tout retourné. Kamel ne dit rien. Il accompagne tout juste les mouvements de ma belle. Jusqu’au moment où il lui demande de s’arrêter.



Marie a entendu. Mais c’est elle qui contrôle. Elle l’oblige à se taire en reprenant sa bouche, et accélère ses mouvements. Kamel a compris et ne proteste pas. Il la laisse faire. Je vois ses couilles remonter sous les fesses de ma femme qui a compris qu’elle avait réussi. Elle s’empale profondément et ralentit ses mouvements. Elle doit savoir ce qu’il aime. Il se vide en elle sans un bruit.


Marie reste collée contre lui plusieurs minutes, la grosse queue toujours en elle. J’ai une vue imprenable sur son joli petit cul. Ses fesses sont détendues, magnifiques. Je ne pense pas qu’elle ait joui physiquement, mais intellectuellement elle a dû prendre son pied.


Je tends quelques mouchoirs à Marie. Elle s’en saisit, laisse glisser la bite de Kamel vers l’extérieur et se plaque les mouchoirs sur la chatte. Elle quitte les genoux de son amant pour s’asseoir, attraper ses vêtements, et se rhabiller rapidement. Kamel, lui, n’a pas attendu. Il a mis ses mains sur sa queue pour la masquer, et se rhabille tant bien que mal, l’air perdu.


Marie me regarde dans les yeux. Elle me connaît bien. Elle sait ce que j’ai en tête. Alors elle suggère :



Cette question c’était pour moi. Ma réponse, c’est la direction que je prends. Celle du Novotel près de l’aéroport. Je passe à l’accueil prendre une chambre. Je reviens à la voiture pour leur donner la clé. Marie et Kamel entrent dans l’hôtel et se dirigent vers la chambre. J’attends dans la voiture quelques minutes avant de les rejoindre.


À mon arrivée, c’est Marie qui ouvre. Elle est nue. Elle est belle. C’est une junior suite, avec un petit bureau tout au fond, et un grand lit. Kamel est nu, lui aussi. Il se tient debout tout au fond de la pièce qui n’est éclairée que par la lampe de chevet. Il a mis ses mains en croix devant ses organes. Il a l’air benêt. Marie me prend la main et me guide jusqu’à la chaise du bureau. Elle me fait une bise sur les lèvres et rejoint le lit. Elle fait signe à Kamel de la rejoindre. Il est hésitant, gauche. Elle a mis deux oreillers dans son dos. Elle est presque en position assise, les genoux pliés, les jambes légèrement écartées. Kamel se décide enfin. Sans retirer ses mains lorsqu’il passe devant moi, il se dirige vers le lit. Cinquante centimètres au plus, me séparent du lit. J’ai peur de la suite.


Marie lui prend une main et le tire vers elle. Elle se saisit d’un oreiller, le retire de son dos pour se le glisser sous le bassin et remonter un peu ses fesses. Elle attire Kamel pour qu’il vienne l’embrasser. Il se laisse guider. Au moment où il s’allonge à côté d’elle, elle l’en empêche. Elle veut qu’il vienne sur elle. Elle n’a pas envie de caresses. Elle veut sa queue. Elle écarte d’avantage les cuisses pour qu’il comprenne. Elle ne dit rien, mais son attitude est explicite. Quand enfin Kamel vient entre ses cuisses et remonte vers elle, Marie lui attrape la queue pour se la diriger directement vers la chatte. Elle se caresse un peu avec son gland redevenu énorme, mais finalement le lâche sur son ventre. La vision de cette énorme bite posée sur le ventre de ma femme me fait un effet terrible. Il est pourtant un peu reculé par rapport à elle, mais sa queue va quand même bien au-delà du nombril de Marie. Mon impression sur ses dimensions se confirme.


Marie se saisit du second oreiller pour le passer lui aussi sous son bassin. Kamel a compris. Il l’aide. Elle écarte les bras, offerte, et semble se détendre. Elle a le cul en hauteur, les cuisses écartées au maximum. Elle s’offre sans un mot. Kamel hésite un instant, recule ses fesses, prend sa queue d’une main et la présente à l’entrée de la chatte de Marie qui n’attend que ça. Il frotte un peu son gland pour bien écarter des lèvres déjà inondées moins d’une heure avant, et enfin la pénètre. Je vois de profil un spectacle inouï, un tableau vivant. Ma femme adorée lui offre sa chatte ouverte et se laisse baiser. Je vois Kamel la pénétrer d’abord tout doucement, puis de plus en plus profondément. Elle gémit, se tortille ; elle remonte les genoux et les attrape pour s’offrir encore plus et prendre tout ce qui peut rentrer ; elle pousse des petits cris quand il est au fond.


Je viens de jouir une seconde fois. La vision de cette scène de baise est insoutenable. Ça m’excite trop. Mais je m’attendais à voir une séance de baise, un truc vulgaire et pornographique. Pas du tout. Je vois un couple faire l’amour tendrement, et dans ce couple il y a ma femme. N’est-ce pas ce dont je rêvais ? Marie prend du plaisir et le fait savoir :



Des ordres pour le guider, des manifestations de son plaisir en guise de récompense. Elle se donne sans retenue, mais j’ai peur qu’elle ne donne pas que son corps, qu’elle ne donne pas que son cul, mais qu’elle donne aussi son cœur à ce jeune mec. Serait-elle amoureuse qu’elle ne ferait pas autrement. Chamboulé par cette gamberge, j’ai tout de même une gaule intacte. Je n’ai même pas débandé après avoir joui.


Alors que les mouvements ont ralenti, je sais que Marie va jouir. Je la connais. Un petit calme avant une grande tempête. Et en effet. Quand son plaisir vient, elle lui dit :



Elle tire les fesses de Kamel pour qu’il soit au plus profond quand elle explose. Il explose lui aussi, mais ne tente rien pour se retirer. Ils se détendent enfin. Marie le serre contre elle, l’embrasse, le caresse. Elle le garde en elle, et esquisse quelques mouvements de bassin, lents et tendres. Elle pompe en elle chaque goutte de son sperme. Elle l’éponge.


Je n’en peux plus. Je sors fumer une cigarette sans rien dire. J’en fume deux. Je vais pisser dehors. La gamberge m’a repris. Ça y est. C’est fait. Tu as tout vu. Que peut-il se passer d’autre maintenant ? N’est-ce pas le moment d’arrêter ? Tu as pris 100 % d’émotions, t’es au taquet… Mais l’envie me reprend d’y retourner, de voir encore et encore ma douce se faire baiser. Je voudrais qu’il la traite comme une salope, qu’il la défonce. Je veux voir de la baise. Voilà. Et pas de l’amour.


Je reviens à la chambre après au moins quinze minutes. Pas besoin de frapper, j’avais pris la carte magnétique. Marie lève les yeux en m’entendant entrer. Kamel est allongé en travers du lit, les jambes pliées dans le vide. Marie est entre ses cuisses. Elle a son visage tout près de l’énorme braquemart de son amant. Elle l’observe, le caresse, le branle doucement. Sa main n’en fait pas le tour. Ses deux mains ne la couvrent pas sur toute la longueur. C’est impressionnant.


Durant toutes ces années, j’ai espéré que Marie me fasse des choses, comme me sucer par exemple. Mais jamais ne n’ai pu lui demander. Après quelques années de vie commune, sans doute se fabrique-t-on des tabous, des interdits, alors que rien ne les justifie. L’idée peut-être que si je demandais maintenant, alors que je n’avais rien demandé pendant dix-huit ans, ma femme trouverait ça bizarre, se demanderait si je suis allé voir ailleurs. Ou bien simplement un excès de respect de l’autre qui conduit à ne pas lui demander ce qui paraît inacceptable ou non concevable pour une honnête femme.


Tout ça pour dire que cette vision de ma femme qui semble si peu dérangée d’avoir une bite devant la bouche, comme ça, tout près, me provoque un frisson. Elle ne va quand même pas sucer ce mec devant moi alors qu’elle ne me l’a jamais fait. Et pourtant, c’est bien ce que je voudrais qu’elle fasse. C’est le bordel dans ma tête. Alors je ne dis rien. Je déplace la chaise pour me trouver face à celle, et je regarde silencieux. Elle poursuit ses caresses. Kamel est sur le dos, les yeux fermés. Elle regarde sa queue comme on regarde une glace délicieuse qu’on s’apprête à manger. La gourmandise est visible, l’envie est patente, mais elle ne fait rien de plus. Alors je fais ce qu’elle attend sans doute que je fasse. Je la regarde dans les yeux.



Je vois un peu de surprise dans son regard, et aussi beaucoup de malice. Elle l’a peut-être déjà sucé avant que j’arrive. Je n’en saurai rien.


Marie passe sa langue tout doucement autour du gland, lui lèche la hampe en lui malaxant les couilles. Elle a oublié sa réserve et s’active. Elle l’astique, en fait le tour avec sa langue. Elle se redresse sur ses genoux, dirige le gland vers sa bouche et l’introduit doucement. Ça ne rentrera pas, me dis-je. Impossible. Elle le ressort, y retourne, le ressort, le branle. Ces images m’explosent le cortex. C’est indicible, intolérable. Elle fait tout ce qu’elle peut pour se l’entrer dans la bouche, ne renonce pas, se force elle-même la bouche. Kamel commence à gémir, il ouvre les yeux, se redresse et la regarde faire. Il voit la même chose que moi mais de plus près. Et surtout c’est sa queue qu’elle essaie de pomper, pas ma mienne. Enfin elle a le gland dans la bouche, mais elle n’entrera pas grand-chose de plus, c’est impossible. Kamel vient de lui prendre la tête entre les mains, pas pour la presser plus fort, mais pour la retirer. Il éjacule, à peine la queue sortie de la bouche de ma douce qui le branle maintenant avec vigueur. Du sperme est projeté sur la moquette, sur les draps, sur les mains de Marie, sur le ventre de Kamel. Comment peut-il cracher une telle quantité de liquide alors qu’il jouit pour la troisième fois en moins de deux heures ? Marie m’avait prévenu. Maintenant je vois ce que ça signifie.


Elle continue quelques instant de lui caresser le gourdin qui décline tout doucement, puis vient s’allonger contre lui. Elle se love dans ses bras, telle une amoureuse éperdue. Encore une image que je voudrais ne pas voir, qui me bouleverse, qui m’inquiète, mais elle est tellement belle.


Plusieurs fois cette nuit-là, ils ont remis le couvert. Kamel mettait de plus en plus de temps à éjaculer, mais il était toujours aussi gros, et visiblement toujours aussi dur. Non seulement les étreintes suivantes n’ont pas été moins intenses, mais elles sont allées crescendo dans la durée, permettant ainsi à Marie de jouir parfois à plusieurs reprises, et elles sont devenues de plus en plus tendres, de moins en moins hard, de plus en plus amoureuses.


Les jours qui ont suivi, j’ai ressenti des tensions extrêmement vives. Tout ce qui tenait au sexe était visuellement très excitant comme l’est un bon film de cul, mais plus excitant encore puisque ma femme en était l’actrice principale. En même temps, je voyais bien qu’elle n’était pas qu’actrice. Son implication dans l’acte sexuel allait bien au-delà de ça. J’en vins à me demander si elle n’était pas amoureuse de lui, mais je ne parvenais pas à lui poser la question. La peur de sa réponse sans doute.


Nous avons alterné des périodes où Marie le voyait seule et me racontait ensuite, et quelques séances auxquelles j’assistais. À aucun moment je n’ai eu l’impression d’une routine. À chaque fois je prenais mon pied lorsqu’elle me racontait, et à chaque fois je prenais mon pied quand je la voyais jouir avec lui. Ce qui avait changé, petit à petit, c’est d’abord que je faisais tout pour éviter de la baiser moi-même. Mon plaisir à la voir jouir avec lui était bien supérieur à celui que je prenais à lui faire l’amour, simplement parce qu’elle prenait plus de plaisir avec lui qu’avec moi, et que je voulais qu’elle garde son influx pour tout lui donner.


D’ailleurs, ça, je le lui avais dit. J’avais dû revenir à la charge pour qu’elle m’avoue que ses orgasmes étaient bien plus forts avec sa queue qu’avec la mienne. C’est un peu pervers ce jeu, me direz-vous. Oui. J’assume. J’aime me faire mal. Je l’ai forcée à me dire qu’il la baisait mieux que moi d’abord parce que c’est vrai, et aussi parce que ça me fait mal. Et après qu’elle a osé me le dire une fois, elle n’a plus nié. Avouer lui a fait du bien.


La plus grande de mes souffrances, encore que d’autres plus lourdes sont ensuite venues, je l’ai obtenue alors que nous faisions l’amour. Elle semblait y prendre du plaisir, mais rien à voir avec ces tableaux qu’elle me donnait à voir lorsqu’elle était avec lui.



Je pense qu’à cet instant, parler de Kamel l’a transcendée. Alors que je la sentais à peine présente jusque-là, Marie se mit à se tortiller. Je compris qu’une vague de jouissance arrivait. Pas en raison de ce que je lui faisais, non, mais parce que nous parlions de lui et qu’elle devait l’imaginer entre ses cuisses. Alors je me suis arrêté tout net.



Marie ne répondit pas tout de suite. J’avais néanmoins repris lentement des mouvements de va-et-vient profonds, et la fixait dans les yeux.



J’accélérais le mouvement au rythme de ses mots, excité moi-même par ce qu’elle me disait.



Je me suis assis à côté d’elle. Elle avait les yeux fermés, sans doute honteuse de ses aveux forcés. Je me branlais en détaillant son corps de déesse, attendant qu’elle ouvre enfin ses yeux. Lorsqu’elle le fit, je continuai à me masturber lentement, en lui parlant.



Marie sembla surprise, mais son regard tendre me confirma qu’elle allait me faire ce plaisir.



Je continuais ma branlette plus lentement. J’étais au taquet.



Je n’ai pouvais plus. Ça faisait trop mal. Ça me faisait trop de bien. Je ne l’ai pas laissée terminer. J’ai recueilli mon sperme dans la main. Elle a continué de parler. Je n’écoutais plus. J’avais gagné.


C’était donc clair entre nous et du coup, j’ai cessé de lui faire l’amour. Je la caressais, lui passais la main entre les cuisses ou lui léchais les seins, mais jamais plus je n’allais au bout. Souvent je la caressais d’une main en me branlant de l’autre, et je jouissais de mes propres caresses. Parfois elle voulait m’aider, me branler, mais je ne la laissais pas faire. Je voulais me finir tout seul. Petit à petit, elle n’essayait même plus. Je savais que l’humidité que je trouvais entre ses cuisses ne venait pas que de mes caresses et ça m’allait bien. Elle se précipitait chez son amant dès que possible, et revenait satisfaite et pleine de sperme.


Il restait à régler deux problèmes. Le premier, c’est la pilule du lendemain. C’est quand même une sacrée contrainte. Marie surveillait son cycle et quand il y avait un risque, prenait une pilule. Le second problème, c’était qu’elle m’avoue qu’elle était amoureuse de lui. Ça, elle s’en était toujours défendue, mais je ne désespérais pas.


Je décidais de m’occuper rapidement du second, le premier j’avais une idée en tête.