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Cocu et soumis

Nous sommes un couple de quarante ans, deux enfants, une vie professionnelle chargée. Ma femme Valérie est infirmière et moi-même flic en région parisienne. Question sexualité, nous vivons en couple depuis dix-huit ans et avons une sexualité épanouie mais classique. Pour ma part, je tenterais bien des expériences sexuelles à plusieurs mais ma femme est totalement contre. Elle me dit toujours qu’elle ne couchera jamais avec un autre homme, que ce n’est qu’un fantasme et qu’elle est trop jalouse pour me voir avec une autre femme. De ce fait notre vie sexuelle ronronnait.

Ce soir-là nous devions sortir en boîte de nuit avec quelques collègues à elle, un homme et deux femmes avec qui elle bossait. Je les connaissais un peu, des petits jeunes de vingt-huit ans ! Mais plutôt sympas. L’homme, Lorenzo, était un espagnol, binôme de ma femme au travail. Selon ma femme c’était un dragueur, mais qui avait toujours était respectueux envers elle.

Bon danseur, il passa la nuit à faire danser les filles, dont ma femme. Finalement, après de nombreux verres et plusieurs heures, notre groupe se disloqua, les collègues de ma femme, fatigués, rentrèrent. Il ne resta plus que Lorenzo, Valérie et moi et je dois dire que nous avions pas mal bu…

Quart d’heure Salsa, Lorenzo emmène ma femme danser. Pour ma part, je vais nous chercher un dernier verre. Je suis bien cramé par l’alcool. Un peu d’attente au bar, je regarde la piste de danse où Lorenzo fait bouger ma femme. Je trouve leur manière de danser… perturbante. Ils sont très collés, et bizarrement c’est ma femme qui cherche le contact. C’est sensuel en diable mais je trouve que c’est abuser, on dirait un couple. Je vois même ma femme venir coller son cul contre le sexe de Lorenzo. Celui-ci en profite pour l’attraper par les hanches et la coller encore plus.

Je reviens avec les boissons et m’assieds. Ma femme vient me voir immédiatement et me dit qu’elle veut continuer à danser avec Lorenzo. Je lui dis qu’elle est un peu indécente à mon goût et qu’elle a intérêt à se calmer. Elle me répond que jusqu’à preuve du contraire, elle a le droit de s’amuser et que je devrais être content. Elle rajoute, énervée, que de toute façon je suis saoul et que j’imagine des choses. Ne voulant pas d’histoires, je m’excuse de ma sortie et la laisse retourner danser. Je bois mon verre et effectivement je suis cramé : je m’endors tranquillement sur mon fauteuil.

Ma femme vient me réveiller un peu plus tard. Elle me dit que Lorenzo va nous ramener, vu mon état. Elle me tient pour aller jusqu’à la voiture. Je me couche à l’arrière. Le retour est rapide, ils me tiennent de chaque côté pour me coucher dans notre chambre où je m’allonge.

J’entends de la musique venant du salon. Cela me remet les idées en place ! Ma femme est encore avec Lorenzo ? Je m’approche sans faire de bruit et je les vois dans le canapé à s’embrasser avec fougue. Une des mains de Lorenzo est sous la jupe de ma femme qui a les jambes bien écartées.

Je rentre dans la pièce en traitant ma femme de salope. Lorenzo se fige, ma femme se lève et vient vers moi rapidement. Elle commence à m’incendier en me disant de fermer ma grande gueule, que depuis le temps que je veux la voir baiser, je ne récolte que ce que j’ai semé. Je ne sais plus trop quoi dire. Elle me met alors le marché en main, soit je la ferme et j’obéis et j’ai le droit de regarder, soit elle se casse avec Lorenzo.

Après un moment de silence, sans dire un mot je vais m’asseoir dans le fauteuil. Ma femme me regarde avec un air triomphant et ajoute :

• — Allez petit cocu, regarde ta femme faire la chienne !

Je reçois ces mots comme une gifle ! Je ne la reconnais plus.

Elle retourne s’asseoir sur les genoux de Lorenzo face à lui et l’embrasse à pleine bouche. Timidement puis avec de plus en plus d’assurance, je vois Lorenzo répondre à ses baisers, il colle ses mains sur son cul et remonte sa jupe. Il lui caresse les fesses et glisse une main sous sa culotte. Elle se met alors à genoux devant Lorenzo et sort sa queue qui est bien raide. Valérie se retourne vers moi, me regarde en se léchant les lèvres.

• — Regarde la belle queue qui va me baiser, mon chéri ! Branle-toi, profite du spectacle !

Elle commence à le sucer goulûment avec des bruits de succion très sexy. Et effectivement je sors ma queue et commence à me branler devant ce spectacle. Une vraie chienne ! Je n’en reviens pas.

Elle le regarde dans les yeux tout en léchant sa queue et lui caressant les couilles. Je vois Lorenzo se crisper. Elle ouvre grand la bouche et dirige le jet de foutre sur sa langue tendue. Je vois ce sperme épais sur la langue de ma femme. Elle se rapproche de moi et, tout en me regardant, l’avale. Je n’en peux plus, je veux le même traitement ! Mais au lieu de me sucer, elle m’embrasse à pleine bouche, mêlant sa langue à la mienne. Elle sent la bite, le sperme ! Je suis un peu dégoûté et en même temps excité. Elle branle un peu ma bite en me demandant si le spectacle m’a plu. Je ne réponds pas, j’ai honte de moi mais ma queue parle pour moi, je bande dur.

Elle me dit alors que le spectacle n’est pas fini, qu’elle veut se faire défoncer devant son cocu de mari, que je regarde bien, que je ne suis qu’un petit pédé qui aime goûter le sperme sur sa femme. Tout en parlant elle me serre les couilles. Elle voit mon excitation et bizarrement ses insultes m’excitent encore plus. Elle me dit qu’elle monte avec Lorenzo dans la chambre et qu’elle veut encore du champagne. Elle prend Lorenzo par la main et l’emmène sur notre lit.

Je suis un peu perdu, je ne sais pas quoi faire, je reste dans le fauteuil comme un con. J’ai honte de la situation mais je suis excité. Finalement j’entends ma femme commencer à gémir. Cela emporte ma décision. Je prends une bouteille de champagne dans la cuisine, trois coupes, pose le tout sur un plateau et entre dans la chambre. Ils sont nus sur notre lit, ma femme assise les jambes bien écartées et Lorenzo couché qui lui lèche avec application le sexe.

Me voyant entrer, ma femme me toise :

• — C’est bien, petit chien, sers-nous a boire, on a soif ! Et elle ajoute : pas pour toi, toi tu fais le service, tu boiras plus tard, tu t’assieds dans un coin et tu mates, espèce de pédé !

Cela me fouette le sang, ma bite est tendue au maximum, j’ai envie de cracher mon foutre ! Et elle le sait…

Je les sers et m’assieds dans un coin de la chambre. Lorenzo s’est remis à bander fort. Je peux voir qu’il a un sexe épais et long. Cet enfoiré a vraiment une grosse bite, je me sens ridicule à côté de lui. Valérie l’allonge sur le lit et se pose sur sa queue tout en lui tenant les mains. Elle bouge son cul sans arriver à faire entrer cette grosse queue en elle. Elle se tourne vers moi :

• — Viens me mettre sa queue dans la chatte, petit chien. Elle est trop grosse, j’ai besoin d’aide.

Sans discuter, je m’approche et prends la queue de Lorenzo dans la main. Je la sens palpiter sous les doigts. Je la place à l’orée du sexe de ma femme. Elle m’arrête me disant qu’elle va avoir mal qu’il faut lubrifier sa queue. Je reste interdit. Elle me prend alors par les cheveux, baisse ma tête vers la queue de Lorenzo.

• — Putain, connard ! Tu veux que je te fasse un dessin ? Crache sur sa queue et suce-la pour qu’elle soit bien humide !

Je ne sais pas pourquoi mais je m’exécute, Je crache sur sa queue et la prends en bouche. Elle sent le sperme et bizarrement je trouve la sensation agréable. Je la prends à fond dans ma bouche, le branlant en même temps. Ma femme me mate en se moquant de moi.

• — Tu vois, petit chien, tu aimes la bite, tu n’es qu’une petite pute…

Finalement elle me claque le haut de la tête pour que j’arrête et que je lui mette la queue de Lorenzo dans le sexe. Je vois ce sexe distendre ma femme, je suis hypnotisé. Je caresse les couilles de Lorenzo en même temps. Ma femme gueule et accélère ses mouvements de reins. Je sens qu’elle va jouir.

Ils jouissent bruyamment. Je vois le sexe de Lorenzo se gonfler et décharger dans ma femme. Elle s’écroule sur lui et reste une minute sans bouger, sans parler. Puis elle glisse quelques mots à l’oreille de Lorenzo qui acquiesce. Elle me regarde et me dit en souriant que maintenant, le petit chien va devoir tout nettoyer. Je reste interdit.

Elle se soulève tout doucement de la bite de Lorenzo. Des filaments de sperme coulent de sa chatte. Elle se couche à côté de Lorenzo, écarte les jambes.

• — Viens nettoyer, petit chien, viens mon cocu lécher le foutre d’un autre.

Elle m’humilie clairement et j’aime ça !

Je me mets entre ses jambes. Je vois le sperme couler de sa chatte, ça sent fort. Je colle ma bouche sur son sexe. Je lèche ce sperme. Je commence doucement, un peu dégoûté. Énervée ma femme me colle carrément la tête sur son sexe.

• — Lèche, connard !

Finalement devant les insultes de ma femme, j’y mets toute mon excitation, lui écarte les lèvres pour aller glisser ma langue bien au fond de sa chatte. Je nettoyé tout, j’avale tout. J’en profite même pour glisser ma langue dans son cul. J’ai l’impression d’être un animal !

Elle me dit alors qu’il faut que je nettoie également Lorenzo. Celui-ci a sa bite qui pend mollement. Il me regarde en se marrant. Néanmoins je le prends en bouche et l’aspire. Il reste du sperme sur sa queue. J’en profite pour le branler doucement. Ma femme se place derrière moi et me met deux doigts dans le cul sans me prévenir. Je crie de douleur ! Je n’ai jamais subi cela. Elle me dit que je suis un pédé et qu’il faut que j’en prenne dans mon cul comme une chienne. Elle m’attrape la bite et me branle en même temps.

Je me trouve suçant un mec, avec deux doigts dans le cul et ma femme me branlant. Je geins comme une chienne, je lui dis que je suis son objet, que je suis à ses ordres. Je décharge très vite en gueulant. Dès que j’ai joui, Valérie me met une claque sur le cul.

• — File te laver, salope !

Dans un état second, je vais à la salle de bain pour prendre une douche. À mon retour, elle dort dans le lit, seule. Lorenzo est parti. Je me couche à côté d’elle sans faire de bruit. Elle ouvre les yeux et murmure :

• — Cocu et pédé… J’espère que tu as apprécié car ce n’est qu’un début, parce que moi j’ai adoré !

Puis elle se tourne et s’endort.

Je ne comprends pas comment nous en sommes arrivés là. Mais moi aussi j’adore. J’ai hâte que nous recommencions !