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n° 16438Fiche technique13233 caractères13233
Temps de lecture estimé : 8 mn
05/10/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Je suis une jeune femme mariée à Pierre, pilote de ligne, qui m'a dépucelée lors de notre nuit de noce, alors qu'il était lui même puceau Je découvre mon corps dans les bras de Virginie.
Critères:  f ff couple cadeau sauna nudisme ffontaine massage 69 jouet init confession -initiat -fétiche
Auteur : Christ71            Envoi mini-message
Femme BCBG, escorte, non pute ....




Résumé de l’épisode précédent : Je suis une jeune femme mariée à Pierre pilote de ligne qui m’a dépucelée lors de notre nuit de noce, alors qu’il était lui-même puceau. Nous avons été tous les deux élevé dans une éducation rigoriste surtout autour du sexe.

Je découvre mon corps dans les bras de Virginie. Elle tient un salon de beauté dans mon quartier où je me rends fréquemment. Mon mari est absent pour quelques jours, Virginie m’invite dans sa maison et me fait découvrir l’amour entre filles.



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Au matin, la présence d’un corps blotti dans mes bras m’interroge. Mon cerveau s’éclaircit. À l’extérieur, le soleil brille. Que je suis bien ! Que la vie est belle ! Que ma vie est devenue belle ! Virginie me sent bouger, ouvre les yeux, me sourit et nous échangeons un baiser, deux baisers, des centaines de baisers langoureux.

Alors que je commence à lui caresser les seins, d’abord le droit puis ensuite le gauche, je les titille avec ma bouche, elle m’arrête, m’entraîne vers la salle de bain pour nous préparer, étant obligée d’aller ouvrir son salon.


Elle n’avait pas prévu ce qui nous était arrivé la veille. Très intriguée sur ce qui s’est passé pendant nos ébats, je lui demande ce qui m’a inondé le visage lorsque mes lèvres ont parcouru son sexe. Elle éclate de rire et m’explique qu’elle est ce que l’on appelle une « femme fontaine ». Voyant mon étonnement, elle m’apprend que lorsque sa tension sexuelle est à son comble, ses glandes déclenchent des petits jets de liquide, liquide principalement inodore.



Nous nous baignons, habillons, maquillons, pomponnons, prenons sa voiture et rejoignons la capitale. Elle me dépose devant mon domicile. Elle repart vers son salon de beauté, non sans m’avoir donné rendez-vous le soir après que Pierre m’aura téléphoné. Elle m’embrasse chastement ne voulant pas me compromettre avec mes voisins. Je la vois s’éloigner, mon cœur s’accélère, je suis amoureuse.


De retour dans ma chambre, j’enlève mes vêtements et je reprends un bain. Dans l’eau, lorsque je me savonne les seins pour commencer, je me surprends à m’attarder sur l’un puis sur l’autre, puis revenir vers l’un et vers l’autre, ce que, vu mon éducation, je n’ai jamais fait avec autant d’insistance.

Mes mains continuent leur exploration et trouvent l’entrée de mon sexe.

Avec le savon, je commence à le frotter très doucement, le plaisir monte dans mon ventre et ce qui peut paraître bizarre vu mon âge, je jouis pour la première fois sous mes propres doigts. Je m’enhardis, entre un, deux puis trois doigts dans ma vulve. Je caresse mon clitoris avec mon pouce, le caressant doucement.


Mon dieu que c’est bon ! Que n’ai-je pas fait cela plus tôt ! Dieu, que mon éducation m’a fait perdre du temps dans ma jeune vie ! Une boule commence à se développer dans mon ventre. Je crie mon plaisir.

Je me savonne intégralement. Je me relève et avec la douche, je me rince.

J’écarte mes lèvres intimes et, alors que le jet touche mes tendres chairs, un début de plaisir se fait sentir.

Hélas, j’ai beau insister, je n’arrive pas à faire redémarrer mon plaisir.

Je m’habille prestement, je cherche dans mon armoire des vêtements sexys.


J’ai beau chercher, je n’ai que des tenues BCBG. Le midi, je sors dans mon quartier, je vais au restaurant. Vu le beau temps, je mange sur la terrasse, je me surprends à regarder les femmes passer, évaluant si l’une ou l’autre pourraient être des amantes de qualité. Mon expérience d’amour entre femmes est trop récente pour que je franchisse le pas d’en aborder une. De plus, j’ai trop de sentiments pour Virginie pour la tromper dès le premier jour.


Je me rends dans une bijouterie où j’achète une jolie montre pour offrir à celle qui, en une soirée, m’a fait découvrir plus de plaisir que tout le reste de mon existence.

Tout l’après-midi, je déambule dans les rues. Mon dieu que le temps passe lentement ! J’essaye de ne pas regarder ma montre, mais mon poignet monte vers mes yeux toutes les cinq minutes.


Vers seize heures je rejoins mon appartement. Coup de chance, Pierre appelle dix minutes plus tard. Je discute avec lui quelques minutes en me forçant d’avoir la voix de la petite fille sage que pour lui j’ai toujours été. Je lui demande ce qu’il a fait pendant sa journée de repos.



Après quelques baisers, nous raccrochons non sans nous donner rendez-vous vers quinze heures le lendemain, heure de son retour. C’est vrai, le tourbillon de ce qui m’est arrivé, m’a fait oublier que mon cher et tendre rentre ce samedi.

Rapidement, je sors de chez moi pour rejoindre Virginie. Je n’oublie pas mon paquet cadeau acheté en début d’après-midi.


Lorsque je passe la porte, elle est à sa caisse, je vois son visage s’illuminer. Je reste près d’elle jusqu’à la fermeture. Je l’aide à préparer cette fermeture. Ses employées sont venues me saluer avant de repartir dans les cabines, s’occuper de ces dames.

Nous reprenons sa voiture pour rejoindre notre nid d’amour. Les encombrements nous retardent. Joinville-le-Pont, Champigny-sur-Marne et enfin Chènevière.

À peine entrée, Virginie me demande si je suis contre le naturisme ? Elle est adepte de cette pratique surtout chez elle et dès qu’elle rentre, son premier travail est de se mettre nue. Je ne me suis jamais posé la question lorsque j’étais dans mon appartement et ne l’ai donc jamais fait.

Rapidement je lui donne mon accord. Aussitôt dit, aussitôt fait : ses vêtements sont éjectés et elle m’apparaît nue comme un ver.

J’admire sa plastique admirable et surtout sa fente entièrement épilée qui lui donne une allure de jeune fille.



Elle éclate de rire, et m’indique que lors de l’achat son pavillon, le premier critère demandé à l’agence était de trouver un pavillon avec jardin et surtout que l’ensemble n’ait aucune visibilité avec le voisinage. Et voilà le bijou. Façade avant sans vis-à-vis, le mur et la végétation isolent entièrement.



Assise dans le canapé, j’hésite, Virginie passe dans la cuisine pour préparer le repas, je la rejoins pour l’aider.

Elle papillonne de droite et de gauche, repart dans la salle à manger, met le couvert, sans rien me redemander sur ma tenue. Au bout de quelques minutes, cette belle femme nue, autour de moi alors que je suis habillée me met mal à l’aise et je commence à retirer un à un mes vêtements. Le chemisier s’envole, un temps d’arrêt de ma part et mon soutien-gorge prend le même chemin. Ma jupe, mes bas, mon porte-jarretelles tombent un à un. Une minute de réflexion et ma petite culotte de fille sage disparaît. Je suis nue.


Voyant mon initiative, Virginie me prend dans ses bras et m’embrasse amoureusement. Nos corps soudés, se trouvent, se retrouvent et un frisson parcourt nos colonnes vertébrales. Nous rejoignons la chambre où le lit nous accueille. Toujours maladroite, je me laisse guider, surtout lorsqu’elle descend vers ma vulve en se retournant afin d’amener sa petite chatte au-dessus de mon visage. Les coups de langue qu’elle pratique sur mon intimité commencent à me faire de l’effet, j’avance mon visage vers ses parties intimes attendant avec envie les vagues humides que ce sexe va me déverser dans la bouche. Le plaisir nous envahit, en même temps un orgasme phénoménal me submerge et les jets qu’elle me déverse sont un nectar pour moi. Nous retombons dans les bras l’une l’autre, je viens de pratiquer mon premier soixante-neuf. Eh oui ! Je n’ai pas pratiqué les jeux de l’amour depuis le début de ma vie mais ne suis pas pour autant une nunuche ne sachant rien sur certains termes osés.


Nous prenons rapidement une douche ensemble, ce qui nous permet de jouer avec nos mains en nous savonnant mutuellement. Nous nous séchons en n’oubliant pas de nous attarder sur nos parties sensibles.

Puis, toujours nues, nous passons à table, nos chaises, comme hier, côte à côte, nous permettent de continuer des effleurements de nos corps avides de sensations.


Installées sur le canapé, nous entamons une conversation entre femmes. Virginie tient à mettre les choses au point. Si elle aime l’amour entre femmes, elle adore se faire prendre par un sexe d’homme et même si elle n’a pas d’amants attitrés, elle aime de temps en temps faire des rencontres avec la gent masculine.

Comme de mon côté, j’ai Pierre qui, même s’il me satisfait de moins en moins, reste mon époux et à ce titre, a le droit et le devoir de satisfaire mon corps, je ne peux qu’acquiescer. Même si je l’aime, je suis d’accord que nous ayons nos moments personnels d’intimité dans le futur. Je me lève, vais jusqu’à mon sac et apporte à mon amie le cadeau que je lui ai acheté. Elle trouve magnifique cette montre et passe un grand moment à la contempler à son poignet où je l’ai attachée.


Voulant continuer mon éducation sexuelle, elle me demande si j’ai déjà vu des sextoys ou, plus vulgairement des godemichés. Ma réponse négative, même si j’en ai entendu parler, la remplit de joie. Elle va pouvoir m’initier à cette pratique, si je le désire bien sûr. En aucun cas elle ne souhaite m’imposer des situations que je n’accepterais pas avec envie. Elle se rend dans la chambre et revient avec trois de ces appareils. Elle me demande de choisir celui que je veux sentir dans ma petite fente. Le choix est très rapide, deux de ces sextoys sont de taille imposante et j’ai peur que ma petite chatte simplement pénétrée par le petit sexe de Pierre ne se déchire. Je choisis donc le dernier, objet tout simple en forme de sexe d’homme et de couleur rose.


Virginie me demande de m’allonger sur le canapé les jambes légèrement écartées, elle met dans sa bouche le gode afin de l’humecter, avec sa main elle caresse mon vagin avant de me pénétrer d’un doigt, puis de deux avant de finir par m’en introduire un troisième. Immédiatement mon corps réagit et se tend. Mon regard plonge dans le sien et se trouble.


Elle sort ses doigts, m’arrachant un gémissement de plaisir, et tourne la partie arrière de ce sexe. Un bruit de moteur en rotation m’arrive aux oreilles et prestement elle me l’introduit au fond de mon ventre.


Le mouvement de vibration émis par le gode me surprend une fraction de seconde mais très vite je sens le plaisir m’envahir. Mon clitoris stimulé, éclate d’un seul coup de plaisir. Une fois de plus, je jouis alors que l’engin arrive tout au fond de mon ventre.

Malgré la grosseur et la longueur normale du sextoy, je sens pour la première fois de ma vie qu’un sexe entre complètement dans mon vagin et vient toucher le fond de ma grotte. Maintenant c’est sûr, Pierre a vraiment un très petit sexe.


À l’évocation des attributs de mon homme, nous éclatons de rires toutes les deux. Virginie s’installe à son tour jambes ouvertes, je saisis l’appareil, après lui avoir écarté les lèvres avec mes doigts, je l’introduis jusqu’au fond. La jouissance la rattrape pendant de longues minutes, sans pour autant déclencher les petits jets que j’aime tant. Pour cette journée nos jeux nous ont épuisées, nous rejoignons notre lit pour prendre un repos plein de rêves érotiques. La journée de samedi est la journée la plus intense pour mon amie, il faut qu’elle soit en pleine forme pour bien s’occuper de ses clientes.



Nous laissons nos amies s ‘endormir, ne faisons pas de bruit, nous les retrouverons dans l’épisode trois de leurs aventures érotiques et amoureuses.