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n° 16453Fiche technique20673 caractères20673
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Temps de lecture estimé : 12 mn
13/10/14
Résumé:  Une femme en retard de paiement va piéger son propriétaire, et retourner une situation a priori défavorable à son avantage.
Critères:  fh fplusag grosseins fdomine entreseins fellation -extraconj -fellation
Auteur : Alexis            Envoi mini-message
Quatre mois de loyer

Mon propriétaire devait arriver dans la soirée pour réclamer le loyer de son appartement. Je suis souvent en retard dans mes paiements. En tant que graphiste mes revenus sont irréguliers, et, en période de vache maigre au niveau professionnel, je dois parfois jongler entre les différentes factures et autres postes de dépenses. Suite à plusieurs enchaînement malheureux, dont une commande importante qui n’avait au final pas été honorée (ce sont les risques parfois en free-lance), je me retrouvais à court d’argent pour payer mon loyer et j’avais désormais trois semaines de retard.


De nombreux coups de fils de mon proprio – plutôt gentil et compréhensif, cela dit – m’avaient donc fait imaginer une solution diplomatique pour régler mes problèmes de loyer des prochains mois. Cela me laisserait le temps de régler mes autres soucis et de me concentrer sur mon travail. Je l’avais donc invité à passer un soir pour récupérer son loyer en espèces, que je n’avais toujours pas. Au moins cela l’avait rassuré et il avait arrêté de me harceler au téléphone.


Avant son arrivée je prépare une petite mise en scène pour pouvoir le cuisiner à feu doux : je brûle de l’encens et prépare une ambiance tamisée avec quelques bougies parfumées. Ensuite, j’enfile un ensemble en dentelle rouge et noir, assez sobre mais chic et sexy. Le soutien-gorge laisse une large part de ma poitrine visible : un beau 90C, une taille idéale qui excite le regard des hommes, et également des femmes qui me l’envient. D’origine latine, je suis très pulpeuse, ce qui me vaut de beaux attributs féminins : mes seins et un très beau cul bombé et doux. En string sur la plage, il fait des ravages. Je ne compte plus mes amants qui ne peuvent que s’abandonner au plaisir en levrette : « Oh oui, ton cul, Rose, ton cul, c’est trop bon, Rose ! Ooooh, je vais jouir ! Ton cul me fait jouir Rose ! »

Très pratique lorsque l’on souhaite finir un homme. Aucun ne résiste. Il existe néanmoins un revers à la médaille de mes glorieuses origines : des grosses cuisses et un ventre rebondi, mais l’ensemble reste galbé et ferme.


Je vais chercher une robe de chambre en soie assortie dont l’encolure masque légèrement mon décolleté. À peine le temps de la nouer sur ma taille que l’interphone m’indique que mon cher propriétaire est à l’heure pile. Je file à l’entrée pour lui déverrouiller la porte. Je me regarde une dernière fois dans le miroir de l’entrée pour vérifier le maquillage léger : il est impeccable, il souligne les yeux noirs et mes lèvres pulpeuses. Je sens que ça va être un jeu d’enfant. Ça sonne à la porte. Je respire un bon coup et ouvre la porte sur mon propriétaire avec mon sourire le plus charmeur :



Il a l’air surpris par mon enthousiasme et entre en me saluant.



Il marque une pause dans l’entrée alors que je le fixe toute souriante.



Il s’exécute à contrecœur et s’avance au salon. Je me dirige vers la cuisine en lui lançant :



Et hop, je sens que j’ai déjà l’initiative dans cette partie. Il est plus jeune que moi d’une dizaine d’année et manque d’assurance. Je vais commencer par le détendre avec un superbe rhum ambré cubain, ça va lui donner chaud et me faciliter la tâche. J’allais continuer à attaquer comme un boxer jusqu’au KO final. J’enchaînai :



Revenant de la cuisine, je lui fourre un verre dans la main et lui tends l’autre à hauteur du visage :



Je remarque qu’il est toujours debout vêtu. Je pose mon verre sur la table basse et lui propose de le débarrasser :



Joignant le geste à la parole, je lui enlève et la dépose dans l’entrée.



Je m’éloigne vers l’entrée en m’appliquant sur mon déhanché. Je vérifie dans le miroir qu’il n’en a pas perdu une miette. Il est ferré. Il boit quelques gorgées et apprécie visiblement la qualité de la boisson.



Je sens qu’il hésite à demander l’argent de suite, il est trop gentil pour ça, comme c’est charmant ! J’attrape mon verre en m’asseyant à ses côtés. Je poursuis ma séduction, en écartant négligemment le haut de ma robe de chambre. En le fixant droit dans les yeux, je lui parle de ma situation. Je le blablate à mort sur mes soucis professionnels. Il est très compréhensif. J’en profite pour poser ma main sur son bras pendant la discussion pour l’interpeller. Je sens que ça le trouble. Bien. Il a une chemise, très jolie. Je lui fais remarquer, en profite pour lui caresser le pectoral, en m’attardant étourdiment sur son téton. Je sens sa respiration qui se désynchronise, il est dans les cordes. J’enchaîne en précisant mes déboires. Le client m’a contacté pour refaire toute son identité graphique. Après un premier accord et quelques réunions, nous sommes tombés d’accord pour un contrat. Je croise mes jambes. La robe remonte et dévoile ma cuisse, il est captivé.



Ma main glisse sur ma cuisse pour réajuster ma robe, puis se pose sur la sienne, près de l’aine. Je commence des petits mouvements de va-et-vient sur son pantalon. Remonte vers son entrejambe. Il est tétanisé. Ne sait ni quoi dire ni faire. Je le caresse tout en continuant mon récit. À travers le tissu son sexe est surtendu. Il finit son verre d’une traite pour se donner du courage et tente de se dégager :



Je fais mine de découvrir ma main sur son sexe raidi et le saisis à travers le pantalon.



Je me lève et me campe face à lui, en dénouant la ceinture de ma robe. Je la fais glisser de mes épaules, et elle tombe à mes pieds. Je remonte mes bras derrière ma nuque pour gainer mon buste. J’apparais alors sous mon meilleur angle. Mes seins volumineux et arrogants sont bien droits et remontés. Ils semblent déborder de mon soutien-gorge. La vue du spectacle lui coupe la parole. Je le domine de toute ma hauteur, le fixe droit dans les yeux.



Sans attendre de réponse, je m’agenouille devant lui, féline et déterminé. Il ne pipe pas un mot, incapable d’agir ou de parler. Je lui déboucle sa ceinture et fais glisser pantalon et caleçon à ses chevilles. Il me regarde faire, sans émettre la moindre protestation. Sa queue est au garde-à-vous. Je le flatte :



Mon pouce et mon index forment un anneau à la base de son gland et je commence de lents et légers allers-retours, sans mettre de pression dans mes doigts. À peine agrippée, la peau coulisse sur son sexe, effleurant à peine son le pourtour du gland. Cette caresse frustrante est très efficace, son membre gonfle encore un peu. De ma main libre j’attrape du lubrifiant que j’avais disposé à l’avance. Je lui en enduis le membre, le saisis à pleine main cette fois. Je marque un temps d’arrêt. Le fixe du regard qui n’a rien à envier au porno chic :



Sans attendre de réponse, j’enchaîne en le branlant vigoureusement et fermement. Un « haaa » grave de mâle lui échappe, il ne peut soutenir mon regard et renverse sa tête en arrière. Je poursuis ma masturbation en imprimant un mouvement de rotation sur le bout de son sexe tandis que mon autre main branle la hampe. Ce traitement le fait gémir de plaisir. Il redresse la tête pour voir ce que je lui fais, sa femme ne doit pas être capable de le gâter ainsi. Je plonge mon regard dans le sien, plus salope que jamais :



Sa réponse se fait attendre. J’arrête net mon mouvement. Un gémissement timide sort de sa gorge. Je le tiens. C’est trop facile. Absence de réponse :



Je reprends mes vigoureux va-et-vient. Le lubrifiant agit à merveille et je sens sa queue se raidir et gonfler de plus en plus. Je sens tout son corps qui se contracte et se concentre sur ma main qui s’active sur son membre. L’argent que je lui dois est sorti de son esprit, chassé par le plaisir que je fais monter à son cerveau depuis sa queue. Il est temps de marquer une pause et de pousser mon avantage.


Je glisse mes mains dans mon dos et dégrafe mon soutien-gorge. Je laisse doucement glisser les bretelles sur mes bras, ce qui dévoile peu à peu le galbe de ma poitrine. Je me redresse et viens placer mes seins juste au-dessus de sa queue qui pointe le plafond. Je redescends avec une exquise lenteur sur sa verge alors effleurée par mes seins. Un souffle de jeune puceau s’échappe de ses lèvres. Je lève les yeux au ciel intérieurement : les hommes sont d’une faiblesse pathétique face au désir sexuel. J’enchaîne avec des petits allers-retours de haut en bas en me penchant un peu plus sur sa queue. Il se redresse et fait alors mine de saisir mes seins. Un regard noir et une claque sèche sur ses mains l’en dissuadent.



Il ne se rend sûrement pas compte à quel point je contrôle la situation… Ses bras retombent le long de ses flancs.



Sa voix se fond dans un murmure :



Il passa sa langue sur ses lèvres et réussit à répondre un peu plus assuré :



Je décidai de jouer encore un peu avec lui :



Seule sa respiration, vibrante de l’attente du plaisir, me répondit.



Enfin il s’impatiente et gémit :



Sans attendre sa réponse qui meurt dans un gémissement, je presse mes deux seins contre son sexe. Mon dieu qu’il est dur et délicieusement chaud contre ma peau. Il ne va pas falloir que j’attende trop avant de négocier deux mois supplémentaire, sinon il va me gicler entre les doigts ! Je le travaille néanmoins en branlette espagnole, ma spécialité. Je varie les mouvements de piston verticaux avec d’autres à l’horizontale : je le serre entre les seins et tire vers moi, branlant spécialement son gland gonflé de plaisir. J’accentue la pression, englobant son sexe au maximum pour simuler au mieux la pénétration d’un vagin. J’accompagne mes mouvements de petits murmures pour simuler mon excitation.


Il halète comme un animal blessé, comme c’est mignon ! Toute sa concentration est dirigée sur sa queue et le plaisir que je lui procure. Il est totalement à ma merci. Je ralentis, sa respiration s’adoucit, il attend la reprise de mes mouvements et ondule du bassin pour pénétrer la douceur de ma poitrine. Je poursuis ma branlette : des « haaa » rauques sortent de sa gorge, son cerveau primaire satisfait de la reprise du plaisir après ce court sevrage. J’arrête de nouveau, marque une pause, reprends, arrête… Après plusieurs « stop and go » de la sorte, j’ai peur qu’il ne se vidange sans retenue. Je vais l’achever, mais sans cruauté : le pauvre serait complètement ruiné…


Je viens titiller son gland prêt à exploser en léchant le frein de celui-ci. Je fais mine de refermer mes lèvres pulpeuses sur la couronne de son gland, et m’arrête juste avant le contact. Je vais le rendre fou ! Je m’arrête, observe sa réaction. Son torse se soulève à un rythme désordonné. Il est complètement soumis à son désir de reproduction. Tout son organisme tend à l’expulsion de sa précieuse semence. Une fois dans cet état, en obtenir ce que l’on veut est d’une simplicité enfantine. Son bassin tente de pousser son gland dans ma bouche, mais je m’esquive. Une fois, deux fois. La troisième, il me supplie de le prendre en bouche, comme si sa vie en dépendait. La situation commence à m’exciter, je sens mon string humide contre mes lèvres. Je lâche alors ma dernière offre :



Cette fois-ci, il n’y a même pas de tentative de réponse. Ma langue tourne autour de son gland et ma bouche descend sur toute la longueur. Ses râles deviennent franchement des cris. Je fais glisser sa queue sur ma langue tandis que mes lèvres la serrent comme un vagin. Je me concentre sur son gland tandis que ma main le masturbe langoureusement. Il grossit encore dans ma bouche, je le sens venir. Sa délivrance – et la mienne – sont proches. J’aspire le bout de son sexe et le maintiens tendu juste par l’effet de succion. Ses yeux me cherchent pour voir comment je produis cette sensation délicieuse. Son regard est complètement perdu. Je plonge mes yeux avec un regard qui n’a rien à envier à la blonde platine la plus chienne du X. Je m’écarte soudainement : sa queue s’échappe de mes lèvres dans un excitant bruit de succion.


La différence entre la douce pression de ma bouche et la fraîcheur de l’air libre font tomber ses dernières résistances. Je sens son orgasme se déclencher. Un fourmillement qui naît dans sa prostate et au cœur de ses bourses, s’amplifie, grandit, puis quitte ses organes sexuels pour se propager à toute vitesse vers l’extrémité de son sexe tendu. Je décuple sa jouissance en branlant vigoureusement la base de son gland. Une première contraction, et son sperme jaillit. Toute la tension sexuelle accumulée est relâchée pendant quelques secondes d’éjaculation. Son corps est pris de convulsion, sa respiration est erratique. De sa gorge, il hurle son plaisir sans aucune retenue ni pudeur, criant plusieurs fois mon nom, il se lâche complètement, ne contrôle plus rien, s’abandonne. De puissants coups de bassin accompagnent ses giclées de sperme successives. Tandis qu’il succombe à son orgasme, je dirige sa semence sur ma poitrine, adoucissant ma masturbation à mesure que son jus se tarit. Une fois vidé, il reste affalé, sans force ni volonté, le regard vide et fixé au plafond.


L’incroyable décharge de plaisir le laisse complètement assommé, voire abruti. Je m’assure qu’il ne reprenne pas trop vite ses esprits en continuant à stimuler sa queue qui rétrécit doucement. Je caresse mes seins et récupère l’abondante quantité de sperme pour en lubrifier le sexe de mon proprio. Bien qu’après l’éjaculation celui-ci soit sensible, une douce masturbation est des plus agréables.



Je souris. Après ce genre de traitement, de trois choses l’une. Un homme ne peut pas mentir, il est niais, et surtout on en fait ce qu’on en veut. J’avais envie de répondre : je le sais, je t’ai fait grimper aux rideaux et je t’ai fait crier comme la dernière des salopes. Maintenant que j’ai extrait mon loyer de tes bourses à la force de mon poignet, il est temps que tu barres, j’ai autre chose à foutre.



Je sais ça gros malin…



« Ne dis rien », pensai-je. « Ça t’a coûté 3000 €. Le mot que tu cherches, c’est cher ! »



Je me redressai, nouai ma robe puis allai chercher mon téléphone dans la chambre. Après une telle séance, il allait essayer de s’accrocher et de rester. Je simulai donc un appel et parlai haut et fort en portugais et revins dans le salon. Je passai devant lui en lui lâchant un sourire rapide, tout en continuant ma conversation imaginaire, atteignis l’entrée et ouvris la porte : le message étant on ne peut plus clair.


L’éjaculation l’avait de toute façon laissé sans volonté. Il comprit cependant que le rapport de force était inversé, que je le tenais par les couilles. S’il l’ouvrait ou me reparlait du loyer, je n’hésiterais pas à envoyer un échantillon de son sperme à sa femme, histoire de… Subjugué et désemparé, il s’exécuta sans un mot, tête baissé. Un petit « ciao » et le tour était joué : je venais de m’offrir quatre mois de loyer.