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Temps de lecture estimé : 9 mn
17/10/14
Résumé:  Logement chez l'habitante entre sensualité et voyeurisme.
Critères:  fsoumise exhib fellation
Auteur : Doucesensualite2014            Envoi mini-message
Logement chez l'habitant et l'habitante



(Par correction les noms de mes hôtes sont modifiés.)


Je me présente, je suis Luc et je me déplace fréquemment en France et à l’étranger pour mon activité professionnelle, j’ai quarante ans et je fais 1,82 m pour 86 kg, cheveux châtain courts et les yeux bleus, d’un physique sportif et avenant. Lors de mes déplacements professionnels, il m’arrive de réserver sur des sites de logement chez l’habitant pour rompre la monotonie de l’hôtel et rencontrer des gens par la même occasion.


Je vais vous raconter une expérience très agréable lors d’une de ces réservations. Devant me rendre à Paris pour trois jours, j’avais trouvé une jolie petite chambre dans un appartement au centre de la capitale afin de faciliter mes déplacements.




Mon arrivée :


J’avais donné une heure d’arrivée vers 18 h sachant que mon train était prévu pour 16 h, afin de ne pas courir dès le départ. Le TGV pour une fois à l’heure, je décide de me rendre sur place à pieds car j’ai le temps nécessaire devant moi. Voyant mon avance et par correction, je décide de prévenir mes hôtes de mon arrivée à la gare. J’envoie un SMS à Marc qui était le contact dans l’annonce pour lui signaler que j’ai un peu d’avance.


Deux minutes après, je reçois sa réponse car il n’est pas disponible et il me demande de contacter son épouse. Je m’empresse d’appeler et j’entends une voix essoufflée au bout du combiné qui m’explique qu’elle était partie faire son footing car elle ne m’attendait pas aussi tôt dans l’après-midi. On se donne rendez-vous devant l’adresse un peu plus tard. Je raccroche, ravi d’avoir pu la joindre facilement.


Dix minutes après, j’arrive sur place car c’est vraiment à côté, je patiente un peu et je vois arriver une jolie femme brune, la trentaine, cheveux mi-longs, 1,70 m pour 65 kg, de jolis yeux bleu-vert, elle est vêtue d’un cuissard de course et d’une brassière. Je lui souris, elle me rend mon sourire, je me présente et découvre qu’elle se nomme Sylvie. Elle me précède et ouvre la porte de l’immeuble, je lui emboîte le pas. Nous prenons l’ascenseur et arrivons au dernier étage. Elle ouvre la porte et m’invite à entrer et me fait visiter rapidement


L’appartement est joli et lumineux avec de grandes fenêtres. Le salon et la cuisine sont à l’entrée et les chambres sont au bout du couloir à droite avec la salle de bain en face. Elle me fait visiter rapidement et m’abandonne pour passer à la douche. Je découvre un grand balcon qui longe les chambres et le salon, vue superbe, pas de vis-à-vis, ils sont au dernier étage. Je m’installe dans ma chambre et commence à potasser mes dossiers sur le PC au petit bureau qui m’est dédié.


Je la vois passer dans sa tenue de sport, elle entre dans la salle de bain. J’ai beau être dans mon travail, je n’arrête pas de décrocher en entendant couler l’eau dans la pièce juste en face de ma chambre et en l’imaginant sous la douche… J’essaie tant bien que mal de ne pas me focaliser là-dessus et avance un peu mes dossiers. Après un quart d’heure, elle sort en peignoir. Elle s’arrête devant la porte de ma chambre pour me dire que la salle de bain est libre si j’en ai besoin. Après ce long voyage je profite de l’occasion pour me rafraîchir. Je rentre dans la salle de bain et découvre ses affaires de sport posées au sol.


Je me déshabille, plie mes vêtements sur la machine-à-laver et entre dans la douche. Je me mouille et me savonne en pensant à la douche de Sylvie qui commence à m’émoustiller, quand je l’entends frapper à la porte pour m’apporter une serviette. Elle entre pendant que je suis derrière le rideau, rideau qui n’est pas complètement opaque mais pas non plus transparent. Elle pose la serviette sur la baignoire, je la remercie et elle ressort. Je suis troublé de sa venue, je termine ma douche, me sèche et traverse le couloir pour aller à ma chambre, serviette autour de la taille et vêtements dans les bras. Là, je croise Sylvie qui quitte sa chambre vêtue d’un jean et d’une chemise qui lui donne de la classe. Nous nous sourions et je continue d’avancer tout en sentant sont regard sur moi…




Première soirée :


La fin d’après-midi se termine ainsi et Marc rentre du travail vers 19 h 30. Il embrasse Sylvie et lui demande si je suis bien arrivé. Il s’approche de la chambre pour me saluer, nous faisons connaissance et parlons de tout et de rien durant cinq minutes puis il rejoint sa compagne. Je les rejoins pour leur demander s’il y a un petit restau à côté.


Ils me proposent de dîner avec eux, chose que je refuse poliment afin de ne pas m’incruster. Il me donne un jeu de clés pour que je sois libre de mes allées-venues et je pars dîner juste à côté sur leur recommandation. Je rentre vers 21 h, ils sont sur le canapé en train de regarder quelque chose et me proposent de m’installer si je le souhaite. Encore une fois, poliment prétextant le trajet, je leur dit que j’allais plutôt dormir.


Couché depuis une heure, je ne trouvais pas le sommeil, pensant à Sylvie, à sa tenue de sport, à la douche…

J’entends à nouveau l’eau de la douche couler puis les portes se fermer et enfin le silence. Je n’arrive pas à décrocher mon esprit de Sylvie. J’entends alors des petits bruits de la chambre voisine, de petits bruits incompréhensibles depuis ma chambre. Il me semble que c’est Marc qui parle à Sylvie. J’imagine bien la scène du couple et commence à bouillir de l’autre côté de la cloison. Courtois et poli, je reste à ma place et me dit qu’un brin d’air me fera du bien, je me rends sur le balcon et là, surprise ! Le rideau de leur chambre mal fermé, m’offre une vue magnifique sur Sylvie en nuisette, en train d’offrir une magnifique fellation à Marc allongé et ravi. La bouche de Sylvie fait de grands allers-retours tandis qu’une main le caresse, l’autre bras étant en appui. Je me régale de ce spectacle, tout en restant de côté pour ne pas être vu. Sylvie se retourne, se place sur le visage de Marc et reprend ses succions tandis que lui la lèche simultanément


Ceci ne dure que peu de temps et Sylvie se retourne sur le dos et le fait venir sur elle. Il la chevauche et la pénètre sans plus de tact, elle a l’air d’adorer… Rapidement il accélère le mouvement et je distingue quelques petits gémissement de la part de Sophie qui se retient certainement pour ne pas que je l’entende de la chambre voisine. Il la pilonne à grands coups de rein et je la vois mordre dans la couette en prenant son pied. Il s’affale à côté d’elle. Je rentre discrètement et repousse la porte fenêtre sans bruit. La nuit va être longue sans vraiment trouver le sommeil, troublé par cet hébergement merveilleux.




Le lendemain :


Le lendemain matin je me lève à 7 h et les trouve sur le point de partir. Sylvie porte une petite robe d’été très jolie, elle me dit rapidement où se trouvent le café et le petit déjeuner puis file avec son homme. La journée se passe, je termine ma réunion vers 17 h et je repasse à l’appartement avant d’aller dîner avec un collègue.


Arrivé à l’appartement, j’entends de la musique, le volume est assez fort. J’entre et j’avance vers ma chambre pour m’apercevoir que l’eau coule dans la salle de bain et que la porte est ouverte. Sylvie ne pensait certainement pas que je rentrerais si tôt, sa robe et son string gisent à l’entrée de la salle de bain. Je n’ai pas pu résister et me suis glissé dans ma chambre sans bruit, la porte juste entrebâillée pour voir Sylvie quitter la douche et se sécher. L’eau s’arrête et là, quel bonheur de voir Sylvie s’essuyer de la tête aux pieds. Quelle beauté et quelle sensualité ! Elle sort nue pour rejoindre sa chambre et s’habiller. Pendant qu’elle s’habille, je signale ma présence en toussant une fois. Sylvie sort alors de sa chambre dans une jolie robe blanche, un peu surprise de me trouver là car elle ne m’avait pas entendu entrer. Je lui dis que je venais d’arriver. Elle me propose de boire quelque chose et nous nous installons au salon pour discuter un peu en sirotant notre verre.


Elle est sympa, nature, souriante. On parle de tout et de rien puis des saunas, hammams et spas, je lui dis que personnellement, je trouve que les soins les plus agréables sont les massages. Elle réagit vivement par un cri qui vient du cœur :



Devant autant d’enthousiasme, je lui exprime mon goût pour prodiguer des massages. La sentant un peu hésitante, j’insiste et tente de la rassurer sur le fait que ce ne sont pas des avances mais seulement un massage. Elle se laisse alors tenter puis va se préparer et je la rejoins. J’avance dans le couloir et la trouve sur son lit, à plat ventre sur une serviette éponge, un flacon d’huile à côté d’elle. Elle a mis un maillot de bain deux-pièces rose et une serviette sur ses fesses. Elle m’avoue qu’elle adore les massages mais que Marc n’aime pas lui en faire.


Je commence à la masser en lui demandant de se détendre et de se laisser aller. Au fur et à mesure de mes massages, elle se détend et je la sens vraiment se laisser aller, en confiance. Mes mains parcourent son cou et son dos et je m’aventure à défaire l’agrafe de son haut qui me gêne pour lui masser correctement le dos. Pas de réaction, elle me laisse continuer sans sourciller. Je la masse et passe partout sur son dos et ses flancs.


Elle est bien, complètement détendue. Je descends alors sur ses fesses, ses jambes et ses pieds. Elle ne remet pas son haut qu’elle pousse plus loin sur le lit. Puis je lui demande de se retourner et repars du visage et du cou pour redescendre. Je masse son buste, ses bras, ses épaules, ses seins. Elle apprécie et lâche des soupirs de bien-être. Je glisse vers son ventre, ses jambes et l’intérieur de ses cuisses. Je passe ainsi une heure à m’occuper d’elle. Je la sens faible et lorsque mes mains remontent son entrejambe, elle s’abandonne à moi.


Ne voulant pas abuser de la situation et la mettre mal à l’aise lors de retour de Marc qui ne devait pas tarder, j’arrête là mon massage en prétextant de prendre une douche pour rejoindre mon collègue au restau. Elle me remercie de ce bon moment avec un sourire très agréable. Lorsque je sors de la douche, je salue Marc qui vient de rentrer et je pars pour la soirée.




Seconde soirée :


Je pense beaucoup à ce massage troublant et excitant pendant toute la soirée. Il est 21 h 30, nous avons terminé le repas et mon collègue me propose un verre avant de rentrer. Il habite sur place, mais puisqu’il a déjà fait l’effort de laisser sa femme et ses enfants pour m’accompagner au restaurant, je le remercie et lui dis que je rentre.


J’arrive à l’appartement, il y a toujours de la musique. J’entre sans bruit, espérant les surprendre dans un moment complice et là, j’entends des gémissent venant des chambres. J’avance, et par l’entrebâillement de la porte, je vois Sylvie en train de sucer Marc sans retenue cette fois, pensant que j’étais absent. Il râle de plaisir et j’ai une vue imprenable sur les fesses et la vulve de Sylvie qui me tourne le dos. Puis elle avance sur le sexe de Marc, le guide vers ses lèvres et s’empale dessus. Elle fait des allers-retours en gémissant de plaisir. Après deux minutes, elle se met à quatre pattes sur le lit et il la prend ainsi, par derrière, sauvagement. Elle hurle de plaisir et rapidement il jouit en elle qui a du mal à reprendre son souffle. À ce moment-là, je suis vite rentré dans ma chambre pour ne pas me faire surprendre. Encore une nuit pleine de rêves et de douces pensées mais peu de sommeil.




Le départ :


Le lendemain matin au réveil, Marc est sur le départ et Sylvie prépare un café en peignoir. Elle m’explique qu’elle prend le travail plus tard ce matin-là. Elle m’invite à petit déjeuner avec elle et elle commence à me demander si j’ai bien dormi, si j’ai passé une bonne soirée et si je suis rentré tard car elle ne m’a pas entendu rentrer. Je réponds poliment que tout s’était très bien passé et que je suis rentré tôt car mon collègue devait voir sa famille. Et là, je l’ai vu changer de couleur blanc, rose, rouge…


Je lui ai souri simplement


Elle a souri et nous sommes restés sur cette complicité. J’ai beaucoup aimé sa dernière phrase, lors de mon départ :



Je ne sais pas quand, mais je reviendrai c’est sûr…

Et en attendant j’espère toujours revivre la même chose ailleurs… qui sait. ?




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