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n° 16462Fiche technique10903 caractères10903
Temps de lecture estimé : 7 mn
17/10/14
Résumé:  Petit week-end en amoureux. Restau et nuit à l'hôtel. Nous avons un invité de dernière minute...
Critères:  extracon cocus hotel douche hmast fellation cunnilingu pénétratio -couple+h
Auteur : Tito40      Envoi mini-message
Week-end en amoureux

Elle est magnifique, Marie. Depuis le lit de cette belle chambre d’hôtel, j’admire dans le miroir le reflet de mon épouse qui se savonne sous la douche. La grande salle d’eau est entourée aux trois quarts de verre dépoli, et un passage ouvert donne sur la grande vasque surplombée d’un miroir immense. Notre suite est vraiment très bien agencée. Face au lit un écran plat gigantesque, et à sa droite la porte coulissante qui donne dans le petit salon. À ma droite donc la salle de bains. On en fait le tour par le salon pour rejoindre l’entrée, mais on peut aussi la traverser puisqu’elle est ouverte des deux côtés. Bravo l’archi.


La douche à l’Italienne est dépourvue de porte. L’eau coule en pluie du plafond lumineux. Une douchette est accrochée au mur au cas où. Marie est couverte de mousse et se lave consciencieusement, se passe les mains sur les seins, sur les fesses, j’adore ce spectacle et ne m’en lasserai jamais.


On frappe. Probablement notre invité. Nous dînions tranquillement dans un petit restaurant de la vieille ville et notre serveur, un jeune Malgache prénommé Rado, était particulièrement agréable. Installé ici depuis quelques années, il fait des saisons pour engranger le maximum possible d’argent, et il repartira dans son pays dans quelques années, une fois sa « fortune » faite.


Le restaurant se vidant plus vite que notre bouteille de Clos La Chapelle, Rado est revenu plusieurs fois discuter avec nous, montrant un empressement particulier vis-à-vis de Marie qui le regardait d’un air conquis. C’est vrai qu’il est plutôt beau mec. Il nous a raconté qu’il est célibataire, qu’il ne veut pas se fixer, qu’il fait beaucoup de sport et profite des midinettes de passage qui aiment les exotiques. Célibataire oui, mais pas moine. En plaisantant, et peut-être se vantait-il un peu, il nous a assuré qu’il ne s’écoulait pas une semaine sans qu’il parvienne à lever une femme solitaire et en manque de sexe. Marie l’a relancé plusieurs fois sur le même sujet, cherchant à lui faire décrire le profil type des femmes qu’il séduisait. Rado avait énuméré tout et son contraire, disant qu’il aimait les femmes grandes et minces, puis les petites, les blondes puis les brunes… Préférant les femmes mariées parce qu’elles n’attendent rien d’autre que de lui que de passer un bon moment, il a fini par décrire un profil plus précis de la femme idéale pour lui, ce portrait ressemblant à s’y méprendre à celui de ma jolie épouse.


Alors que j’étais jusque-là peu intervenu dans la conversation, je dis à Rado qu’il venait de décrire Marie, ou à peu près. Marquant un temps d’arrêt, il conclut « en effet », l’air gêné. Il nous avoua que souvent, pour draguer, il décrivait aux femmes qu’il ciblait leur propre profil. Une technique de drague en somme, mais là il avait été sincère. Une femme petite, menue, souriante, brune, les cheveux courts au carré…


Quand nous terminions notre café et que Rado est venu encaisser, le lui ai demandé à quelle heure il terminait son service. Minuit, me dit-il. Je lui ai proposé de venir nous rendre visite à notre hôtel quand il sortirait, que nous puissions poursuivre cette conversation fort intéressante. Il a accepté, a noté l’adresse. Le voilà donc qui arrive.


Je fais le tour par le salon et ouvre à notre ami. Il a dû venir directement, il porte toujours ses vêtements de travail. Je l’invite à entrer et nous nous dirigeons vers le salon. Il marche dans mon dos mais j’imagine qu’il a pu lui aussi apercevoir le reflet de Marie sous la douche par le miroir de la salle d’eau. Nous prenons place sur les canapés et j’attaque directement.



Rado semble hésiter puis se lève, ôte ses chaussures, et repasse lentement par l’entrée avant de pénétrer dans la salle de bains. Je suis allé m’assoir sur le bout du lit. Je vois le reflet de Marie dans le miroir et Rado de profil, qui reste debout, droit, le regard tourné vers la douche.


Il déboutonne sa chemise. Marie le regarde. Elle continue de se savonner. Elle lui sourit. Il jette sa chemise au sol, ôte ses chaussettes, puis baisse son pantalon. Le voilà en boxer. Marie le regarde toujours, la pluie de la douche coule sur son corps. Rado hésite puis se décide à ôter son dernier vêtement. Il est nu maintenant, et se dirige vers la douche. Marie se recule jusqu’à la cloison, lui faisant de la place pour se positionner sous la douche. Elle a pris du gel douche dans ses mains et commence à le laver. Je vois Rado de dos dans le miroir, il me cache Marie. Elle le savonne, le bichonne. Il me semble qu’elle l’embrasse en même temps, je vois ses cheveux au-dessus de l’épaule de Rado.


Elle le prend par les épaules pour qu’il se retourne afin de lui laver le dos. Rado est face au miroir, la queue levée, les yeux fermés. Il goûte les caresses de Marie sur ses épaules. Elle se colle maintenant à lui, passe ses bras autour de lui pour lui caresser le torse, et descend tout doucement sur sa queue. Elle la cherche et la trouve, la caresse, la branle doucement. Elle repasse une main dans le dos de Rado. Je vois cette main passer entre les cuisses de ce jeune chanceux pour lui malaxer les couilles. Elle est à genoux. Elle presse Rado pour qu’il se retourne et avale sa bite d’un coup. Elle le suce goulûment. Il n’est pas venu pour rien.


Du pied de mon lit, j’assiste à ce spectacle magnifique de Marie qui pilote, qui dirige, qui suce. Et je me branle.


Rado n’a pas dit un mot, je pense. Marie non plus. Juste du sexe. Elle se relève en gardant la queue tendue de Rado dans une main, et se retourne contre la cloison. Elle se cambre et guide la queue vers sa chatte. Rado accompagne le mouvement, plie légèrement ses genoux et la baise. Marie a reposé ses mains sur le mur, et pousse son cul en arrière pour mieux se faire pénétrer. Il la bourre énergiquement, la tenant par les seins. Je vois ses fesses se contracter à chaque poussée. Marie crie son plaisir. Ses fesses tremblent à chaque assaut, lui arrachant des ahhh, des ohhh, des ouiiii, des « plus fort ».


Rado se recule, Marie se retourne, il se branle devant son visage et lui lâche sa purée sur la langue qu’elle a tendue. Elle prend son gland sans la bouche et lui presse la bite pour recueillir la dernière goutte. Je viens de jouir moi aussi, en même temps que lui. J’ai adoré.


Ils ont repris leur savonnage. Chacun lave l’autre. J’ai allumé la télé. À cette heure tardive il n’y a plus que des conneries. J’entends Marie et Rado discuter dans la salle de bains. Je vois dans le miroir Marie, toujours nue, caresser Rado qui s’essuie tant bien que mal.


Marie arrive dans la chambre en traînant son amant par la main. Sans un mot elle l’amène jusqu’au lit que je quitte pour m’assoir dans un fauteuil. Rado bande à nouveau. Marie s’est allongée sur le dos, les cuisses ouvertes. Elle a visiblement envie de se faire bouffer le cul. Rado a compris et ne se fait pas prier. Il enfouit sa tête et sort sa langue pour un broute-minou que Marie semble apprécier. J’ai repris ma branlette.


Marie jouit bruyamment en se caressant les seins. Ça n’a pas tardé. Il doit faire ça bien. Elle se contorsionne et geint. Elle se redresse, se retourne, allongée, et se glisse un oreiller sous le bassin. Rado a une vue magnifique sur son cul. Elle le lui offre. Il s’allonge sur elle et la pénètre, lui pistonne la chatte, la laboure comme un forcené. Elle jouit à nouveau, pleine de cette queue inconnue qui semble lui convenir parfaitement. Rado grogne et se fige, se retire et lui crache sa seconde salve sur les fesses. Je me jouis encore dans la main. Décidément, ce jeune a la santé.


Marie respire fort. J’ai coupé la télé pour l’entendre mieux. Rado s’est allongé à côté d’elle. Marie s’est tournée vers lui. Elle lui caresse le torse, l’embrasse, lui lèche les tétons. Elle a encore faim la bougresse. Elle descend sa bouche vers la queue molle de son amant, lui lèche le gland, lui suce les couilles. Il lui a passé une main sous ses fesses et la caresse. Marie le stimule, il la doigte. Il doit sentir comme elle est chaude et mouillée, affamée de sa bite. Il retrouve tout doucement de la vigueur. Marie garde sa queue dans la bouche tout en le chevauchant. Elle la quitte enfin quand elle se glisse sur lui pour remonter sur son bassin. Elle lève une jambe, s’empare de la bite tendue sous elle, et la dirige vers sa chatte ruisselante. Elle la guide entre ses lèvres, la glisse dans sa moule et s’empale. J’adore voir les muscles de son cul se tendre ainsi, comprimant la queue de Rado dans son vagin.


C’est elle qui pilote et donne le rythme. Elle remue admirablement son petit cul, faisant bouger ses fesses, laissant ressortir une partir du gland à chaque montée pour s’empaler au plus profond à chaque descente. Rado râle et percute. Il accompagne autant qu’il peut la fougue de ma déesse, mais c’est elle qui décide. Elle accélère, ralentit, lui lèche la langue, se touche les seins. Elle jouit à nouveau, furieusement. Rado s’est figé, mais elle ne le libère pas. Elle s’accroche à lui et le maintient en elle quand il éjacule. Il ne résiste pas, se laisse aller, lâche sa troisième rasade dans le vagin affamé.


Ma troisième à moi est pour la moquette de la chambre. Elle est encore meilleure que les deux premières. J’en ai pris plein les yeux pendant que Marie en prenait plein la chatte.


Ils retournent à la douche, pour un nettoyage plus rapide et moins sensuel que le précédent. Je vois Marie lui parler mais je n’entends pas. Rado s’essuie et se dirige vers le salon pour se rhabiller. Il est trois heures du matin. Marie guide Rado vers la porte, lui roule une dernière pelle et le chasse. Elle me rejoint sur le lit. Elle a envie de moi, mais ma queue ne répond plus. Qu’à cela ne tienne, dormons un peu et je m’occupe de ton cul au réveil. Elle est compréhensive Marie, je ne suis pas une machine.