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Temps de lecture estimé : 59 mn
18/10/14
Résumé:  Un TD d'Histoire des religions pas comme les autres.
Critères:  fh fplusag jeunes profélève douche fsoumise hsoumis fdomine hdomine exhib photofilm lingerie fellation intermast cunnilingu -h+prof
Auteur : Noisybird      Envoi mini-message

Série : Une jeune enseignante trop sage

Chapitre 01 / 02
L'enseignement religieux

Une soirée d’hiver, à plus de vingt heures passées, les gens normaux sont chez eux, devant leur cheminée ou leur chauffage électrique, c’est selon, à boire leur apéro devant le J. T. de Laurence Ferrari.


Nous, nous sommes une petite bande de quinze chanceux à être encore à la fac. Oui. L’administration universitaire est parfois surprenante, mais c’est ainsi : mon TD, auquel la présence est obligatoire, d’histoire des religions se déroule le mercredi soir de dix-neuf à vingt-et-une heures. C’est une pure arnaque, le cours est évidemment sous-intéressant. Les exposés ne sont suivis que par notre jeune enseignante, pendant que nous autres glandeurs préférons nous pencher sur un article passionnant issu de « 20 Minutes » ou sur une grille de mots fléchés de ce même journal.


Levant les yeux de mon sudoku, je jette un œil par la fenêtre. Il pleut. Et, bien évidemment, je visualise très rapidement mon parapluie resté sur ma table, dans mon appartement. J’en fais part à mes voisins et amis. S’en suit une passionnante discussion sur les effets de la pluie sur nos blondes chevelures. Discussion entrecoupée par quelques regards perçants de haine émanant de notre enseignante, qui, la pauvre, est gênée pour écouter le passionnant exposé sur Dieu sait – c’est le cas de le dire – quel texte d’un obscur moine bohémien du XIVème siècle.


Alors que plus personne ne s’y attendait, notre professeur nous indique qu’il est l’heure de se séparer. Nous sommes tellement fatigués que personne n’est véritablement heureux d’en finir. Nous sortons néanmoins rapidement de la salle avec mes amis, descendons les escaliers, sortant de la fac, jusqu’à ce que nos chemins se séparent au coin de la rue. À l’abri de la pluie, nous discutons cinq minutes afin de savoir quelle torture serait la plus efficace pour en finir avec notre prof, quand celle-ci passe à notre niveau et se dirige vers la station de métro à une centaine de mètres :



Sur cette sympathique preuve d’amitié et d’affection virile, nous nous quittons enfin. Le hasard fait que je dois me diriger vers la même station de métro que ma prof, que j’aperçois au loin. Elle marche d’un pas assez rapide et je ne peux que la comprendre, vu le temps et l’heure avancée. Comment définir cette brave femme ? Environ vingt-cinq ans, doctorante, petite brune assez banale, ni vilaine, ni belle, assez classique en somme. Pas très passionnante, s’il faut être honnête. Pas vraiment le genre de prof proche de ses élèves : elle fait son taf et c’est tout. Au bout de quelques instants, j’arrive à la station de métro. Comme à chaque fois que je suis pressé de rentrer, il y a justement une rame qui vient juste de s’en aller. Je sors mon Navigo, m’approche d’une des portes quand j’aperçois notre prof à un des guichets automatiques. Elle rouspète, chose assez habituelle d’après le peu que je la connais.



Je sors mon porte-monnaie et effectivement, une pièce de cinquante centimes s’y trouvait bien sagement. Disant adieu à une potentielle pause-café du lendemain matin, je lui envoie ma pièce à travers le petit hall de la station de métro. Elle me remercie d’un signe de tête, je valide mon passe et continue jusqu’au quai.


J’imagine la tête de mes potes quand la prof me filera mes cinquante centimes le mercredi suivant. Nous sommes déjà à la fin du semestre et, petit à petit, une haine relativement réciproque s’est installée entre les étudiants et cette sympathique chargée de TD. Dans la liste des défauts qui lui sont imputables, on peut dire : froide, manque d’autorité alors qu’elle pense en avoir, de toute évidence, parfois sadique, timide. Et surtout, elle connaît très bien son sujet de cours, car elle semble très catholique. Ce qui donne un peu l’impression d’être en cours de catéchisme.


Quelques secondes plus tard, ma prof me rejoint sur le quai désert :



On dirait que je l’intimide, alors qu’elle a à peu près six ou sept ans de plus que moi. J’en profite pour l’analyser de plus près – précisons que je suis toujours au fond de la classe, ce qui n’est pas le plus pratique pour scruter l’enseignante – et j’aperçois à son doigt une bague de fiançailles. Je me demande quel peut-être l’énergumène qui la lui a offerte.


À ces heures indues, les rames de métro se font attendre pendant un temps certain. Assez rapidement s’installe une atmosphère un petit peu gênante à côté de mon enseignante, que je n’apprécie au demeurant pas beaucoup :



Je me retiens de lui faire remarquer que ce n’est pas une impression.



Elle a donc bien un fiancé. Je suis en train de me dire que si elle est si croyante que ce que l’on imagine, elle est peut-être encore vierge. Cette idée me donne une violente envie d’éclater de rire.


Une rame de métro arrive enfin, et nous montons dedans. Vide, évidemment. Comme il serait délicat de faire le gros asocial et de partir dans la direction opposée, je m’assieds en face de ma prof. Le temps que la rame reparte, je reprends mon analyse de sa personne. Elle pourrait être beaucoup plus jolie si elle changeait de coiffure – ça part un peu dans tous les sens – s’habillait un peu mieux – un peu trop classique, pas très bien accordé – et si elle perdait deux ou trois kilos. Cela dit, j’aperçois qu’elle a en fait une poitrine plutôt avantageuse. J’ai une petite pensée pour son fiancé qui, malheureusement pour lui, ne doit pas encore y avoir accès.

Je cesse mon analyse de peur de me faire repérer. La rame démarre et s’enfonce dans le tunnel.



Cela m’amuse qu’elle me raconte sa vie, cela dit, je suis un peu pressé de pouvoir me débarrasser d’elle. Malheureusement, alors que nous arrivons dans une nouvelle station, elle trouve encore une nouvelle question à me poser :



Cette conversation est absolument passionnante. Je scrute le plan des métros et réfléchis par quel chemin détourné je pourrais passer afin d’éviter de me coltiner cette jeune femme. Aucune idée ne me vient à l’esprit, et nous continuons le trajet.



Le métro devrait arriver dans environ dix minutes qu’il va bien falloir tuer comme on peut. Je ne sais pas si elle a envie de passer pour une prof sympathique, jeune ou aimable, toujours est-il qu’elle me relance :



La situation est en fin de compte assez comique. Ça fera toujours quelques anecdotes à raconter à mes potes. Je me demande ce qu’elle va faire quand elle sera chez elle. Écrire des pages et des pages sur la divine religion chrétienne ? Probablement. Je n’arrive toujours pas à réaliser qu’elle est toujours vierge (du moins, c’est ce que je pense) à vingt-cinq ans. Pas avant le mariage. Quel dommage. Elle pourrait sûrement rendre quelqu’un heureux. L’idée m’amuse malgré moi, mais je constate, en la regardant de nouveau, qu’elle peut être un bon coup. Elle a un visage plutôt mignon, un peu fatigué et qui gagnerait à afficher un sourire plus souvent, mais pas désagréable. Et sa poitrine doit être sympathique aussi. Quatre-vingt-dix ? Quatre-vingt-quinze ? Probablement du C. Vraiment, je trouve ça dommage de ne pas les utiliser. Dieu est parfois injuste avec ses ouailles.


Pendant le reste du trajet, nous restons dans un silence total, tout juste perturbé par l’entrée et la sortie de quelques personnes isolées. Malgré moi, je commence à m’imaginer des situations pas très catholiques avec cette, en fin de compte, charmante enseignante. Il faut reconnaître que ses lèvres sont très bien dessinées, assez fines mais charnues en même temps. Si ça se trouve, elle embrasse très bien. Peut-être même qu’elle pourrait en faire un autre usage, si elle savait.


Nous arrivons enfin au terminus. Il était presque temps. Nous sortons de la rame et de la station. Un rideau de pluie nous tombe dessus :



Nous nous mettons alors en marche, rapidement, et en deux minutes, nous rejoignons son arrêt de bus. L’avancée se fait péniblement, sous une bonne grosse averse, mes cheveux ressemblent rapidement à une serpillière. Ceux de ma prof dégoulinent abondamment, et il semble que cela lui coule frénétiquement dans le cou et sur la poitrine. La voir s’énerver m’amuse et continue de me donner des idées quelque peu déplacées. Nous sommes trempés jusqu’aux os, surtout qu’il ne fait pas très chaud. Et pas de chance pour elle, son bus n’arrivera pas avant vingt minutes :



Je lui fais alors signe de me suivre. J’ouvre la porte de l’immeuble, avance dans le hall et appelle l’ascenseur. Ma prof est derrière moi, grelottante et trempée.



Nous entrons alors dans la cabine. Et j’ai l’image de l’ascenseur qui s’arrêterait alors subitement, me laissant collé de longues minutes contre cette jeune femme. Cela pourrait être amusant, mais j’essaye de me calmer un petit peu tout de même. Nous arrivons finalement à bon port, j’ouvre mon appartement, et la laisse entrer.



J’enlève mon blouson qui est trempé, secoue mes cheveux tel un adorable labrador, me sers un verre de vin rouge et entend mon sèche-cheveux se mettre en branle. J’imagine tout d’un coup la une d’un journal : Une jeune enseignante électrocutée chez un de ses élèves et je pouffe de rire à cette idée. Je me pose dans le canapé et commence à réfléchir à ce que je pourrais bien manger. Je n’ai pas fait les courses depuis longtemps, donc je crois que je vais avoir le vice de se faire déplacer un pauvre livreur de pizza. Je prends mon téléphone, commande une Royale censée arriver dans un quart d’heure, et allume négligemment ma télévision. Vu cette heure avancée, tous les programmes du soir sont déjà bien entamés. J’éteins donc rapidement.


Par un souci de générosité extraordinaire, je me lève et me dirige vers la salle de bains afin de demander à ma prof si elle souhaite manger quelque chose. J’ouvre la porte franchement, comme à mon habitude. Et surprise !



Je lui dirais bien qu’elle peut rester tant qu’elle veut, surtout si elle reste comme elle est maintenant, mais je me retiens tout de même. Je retourne me mettre dans le canapé, me disant que d’ici quelques minutes, j’aurais une vision tout à fait satisfaisante dans mon esprit pour accompagner ma petite séance de plaisir solitaire. J’envoie un message à de mes potes :


« La prof est chez moi et je peux t’assurer qu’elle est beaucoup plus charmante qu’en cours. Je te raconterai ça. »


Au bout de quelques minutes d’images déplacées, ma prof resurgit dans mon salon, rhabillée et les cheveux secs.



Elle renfile sa veste, prend mon parapluie, et se dirige vers la porte. Je lui souhaite bonne soirée, un peu déçu qu’elle n’aille pas pour me faire la bise :



Et je ferme la porte. Je me dirige vers la fenêtre, d’où j’ai une vue parfaite sur l’arrêt de bus. Au bout de quelques instants, ma prof surgit vers l’arrêt, se met à l’abri comme elle peut sous le minuscule abribus et attend. Mais toujours pas de bus à l’horizon (ni de livreur de pizza, soit dit en passant.)

Au bout de trois minutes, je décide d’aller voir si les deux vont bientôt arriver (le bus et ma pizza), je me rhabille, descends à pied (maudit ascenseur) et ressors sous cette sublime pluie battante. Je vais en direction de l’abribus en courant :



Je regarde vite fait les différentes affiches sous l’abribus et lui fais remarquer un détail fort amusant :



Regard noir.



Silence.



On retourne devant l’immeuble d’un pas assez pressé sur cette chaussée glissante. Trop glissante, car elle manque de s’affaler par terre et se rattrape in extremis à ma main droite. Sensation gênante, mais très plaisante.



Je sens ses doigts glisser contre les miens, petit quart de seconde très agréable.



Je lui paye tout de suite, attrape ma pizza et la tiens bien solidement, et moins d’une minute plus tard, je rentre dans mon appartement, avec ma pizza ET ma prof. Deux choses très appétissantes.



En allant chercher des couverts à la cuisine, je suis en train de me dire qu’elle est en fait très sympathique, charmante et assez mignonne. Exactement le contraire de ce qu’elle est en classe. Allez comprendre ! Je reviens rapidement et la retrouve assise en tailleur sur mon canapé, regardant la pizza d’un air affamé. Je m’assois à côté d’elle, et nous commençons à manger cette délicieuse nourriture.



Nous rigolons tous les deux devant le comique de la situation, avant qu’elle ne reprenne :



Comme tout gentleman qui se respecte, quand j’ai une jeune femme à côté de moi qui manifeste sa déception, j’ai envie de la consoler. Mais alors que je m’imaginais faire mille et une choses avec elle il y a quelques minutes, il apparaît beaucoup plus compliqué que prévu de s’approcher d’elle. Je parviens juste à poser ma main sur son épaule et lui dire :



Ma remarque est tellement franche qu’elle ne peut s’empêcher de sourire.

La discussion continue sur les autres enseignants que j’ai cette année tandis que nous finissons cette succulente pizza. C’est alors que j’entends un grand bruit venir de ma chambre.



Ce petit échange de piques est très sympathique. Je trouve ma prof de plus en plus charmante au fur et à mesure que la soirée avance.



Elle me sourit et lève les yeux au ciel avant de disparaître dans la salle de bains. Elle doit se glisser rapidement sous l’eau chaude de ma douche, puisque j’entends l’eau couler abondamment. C’est assez amusant de se dire que la prof d’histoire des religions, que je détestais potentiellement il y a encore quelques heures, est actuellement toute nue dans MA douche. Je repense à cette belle paire de seins entraperçue furtivement tout à l’heure. S’apercevrait-elle de quelque chose si j’allais espionner discrètement en entrouvrant la porte ? Je me rends compte, que d’une manière assez inexpliquée, j’ai effectivement envie d’elle.


J’essaye de me changer les idées en regardant quelques clips de pop sur une chaîne musicale. Au bout de quelques minutes, ma chère prof ressurgit à l’intérieur de mon salon, entièrement revêtue, malheureusement.



Je m’éclipse à mon tour dans la salle de bains, me déshabille rapidement et fonce dans la douche me calmer les esprits. C’est ta prof. Elle est fiancée. Croyante. Elle n’a sûrement jamais rien fait de sa vie. Mais d’autres images surgissaient. Ses lèvres s’approchant des miennes. Mes mains caressant ses seins. L’eau chaude glisse sur son corps. Mon sexe durcit sous la douche. Je me retiens de m’adonner à une petite séance de plaisir. Je devrais peut-être sinon je ne vais pas dormir de la nuit, si elle reste ici.


Je sors de ma douche. Je me rhabille. Et je retourne dans le salon. Elle est évidemment toujours là, et en fin de compte, toujours aussi séduisante.



Je le prends. Mon pote m’a répondu :


« Vraiment ? T’es sûr que tu ne frises pas la faute de goût ? »


Je lui réponds rapidement :


« Vraiment, et elle dort chez moi ce soir, et je te promets que j’ai de bons goûts. Plus de détails demain : -P »



À l’instant même où je finis de dire cette phrase, je me rends compte que je viens de dépasser la ligne de la bienséance.



Femme qui rit, femme au lit ? Ce petit proverbe macho me revient à l’esprit et me fait rire.



Je ne peux m’empêcher de balbutier.



Nous préparons alors son lit. Elle a l’ingénieuse idée de se pencher un peu en avant en m’aidant pour les draps. Quelle merveilleuse poitrine ! Je contemple. Je contemple mais elle relève la tête vers moi. Je suis magnifiquement rodé.



Comment puis-je encore résister ? Sans prendre vraiment le temps de réfléchir, je me dis qu’il faut absolument que je tente quelque chose, comme si j’étais sûr qu’elle ne pouvait pas me dire « Non ».



Je m’approche d’elle petit à petit. Je la regarde dans les yeux. Je remarque que ses petites noisettes sont beaucoup plus malicieuses que ce que j’imaginais. Dans quelques instants, soit je corromps mon enseignante d’une manière fort agréable, soit elle m’en retourne une et ma réputation est foutue dans toute la fac. Mais en même temps… Moi, beau jeune homme de dix-neuf ans, elle, jeune enseignante. Tous les deux seuls chez moi. Je continue alors d’avancer. Je me retrouve alors à genoux, face à elle, proche d’elle.



Mes mains semblent avancer d’elles même sur ses hanches. Tout comme mes lèvres de son visage. Je sens son souffle sur ma bouche. Tout se passe très vite. Elle ne bouge pas, j’aimerais bien qu’elle ait quand même un quart de réaction pour savoir ce que j’ai à faire. Tant pis, je ne peux plus faire marche arrière.



Alors, la tenant fermement et doucement à la fois par les hanches, sentant ses seins frôler mon torse, j’approche délicatement mes lèvres sur les siennes pour un furtif petit baiser.



J’y suis allé peut-être un peu rapidement, mais je ne pouvais plus m’arrêter. Contrairement à ce qu’elle dit, je vois bien qu’elle en meurt d’envie, elle aussi. Je ressens ce genre de choses.



Ma main gauche toujours sur sa hanche, la droite remonte tout doucement sur son ventre. Elle n’ose pas me répondre tant qu’elle n’est pas sûre que ma main aille là où elle pense qu’elle va aller. Effectivement, je commence à effleurer sa poitrine du bout des doigts. Je rapproche ma bouche de son visage. Je dépose un minuscule baiser au coin de ses lèvres, puis un autre sur la joue, puis un dernier qui vient se poser dans son cou, en dessous de son oreille pendant que ma main droite continue de caresser lointainement son sein gauche.



Je défais le premier bouton de sa chemise, puis le deuxième, laissant ainsi mon regard se faufiler un peu plus librement sur sa poitrine, avant de la reprendre de nouveau par les hanches. Elle a l’air franchement gênée, mais elle n’essaye plus de se soustraire à mes avances. Elle résiste beaucoup moins que ce que j’avais prévu. Comment une petite prof timide et d’apparence prude peut se laisser faire si facilement ? J’ai un peu de mal à réaliser ce qui se passe, mais je sais que je n’ai pas envie que cela s’arrête.



Paradoxalement, alors qu’elle est plus âgée que moi et qu’elle est censée exercer une certaine autorité sur ma personne, j’ai clairement l’impression que je la domine, comme si c’était moi qui allait l’éduquer, ce soir. Très agréable changement des rôles.



Ma bouche est prête à frôler la sienne, tandis que je déboutonne un peu plus sa chemise, révélant ainsi parfaitement ce délicat sillon inter mammaire le long duquel je fais glisser mon doigt. Elle est à ma merci.



Tout en lui disant cela, j’ouvre le quatrième bouton de sa chemisette, maintenant à moitié défaite. Je glisse alors doucement mes mains à l’intérieur. Mes paumes se retrouvent rapidement à englober ses deux beaux seins chauds et doux. La dentelle frôle mes doigts, ses tétons pointent timidement en-dessous de mes mains. Je réalise que je suis en train de caresser la poitrine de ma prof d’histoire des religions, ce petit côté tabou m’excite encore plus. Sa peau est tiède, lisse, attend mes baisers. Je masse doucement ses seins par-dessus son soutien-gorge, l’amenant là où elle ne peut plus dire « non ».



Elle vient de briser la barrière du tutoiement. Gardant ma main droite sur sa poitrine, j’entreprends de déboutonner le reste de sa chemise de l’autre main. Tout doucement, cherchant son regard des yeux. Ma main gauche glisse doucement sur son ventre, jusqu’à sa hanche. Sa peau est très douce. Cela donne irrémédiablement envie de l’embrasser longuement. Dire qu’il y a quelques heures, je ne la trouvais pas spécialement attirante. Elle cachait bien son jeu.



Elle passe alors ses bras autour de mon cou, appuyant son front contre mon épaule gauche.



Redressant la tête et me regardant dans les yeux avec un regard brûlant, elle approche sa bouche de la mienne et fait glisser sa langue entre mes lèvres. Nos langues s’enroulent sensuellement l’une autour de l’autre, longuement. Victoire. Nos lèvres ne se quittent pas tout le long de ce baiser. J’étais certain qu’elle embrassait merveilleusement bien. Merveilleuse petite prof. J’ai du mal à quitter sa bouche. Elle m’embrasse comme si elle avait oublié toutes les barrières qui existaient entre nous.



Ces mots sortant de sa bouche. Avec ce regard de braise. À cet instant, je me demande s’il existe quelque chose de plus excitant. Alors, elle bascule en arrière, en une petite pirouette se retrouve allongée sur le dos, devant moi, les cuisses écartées, sa chemisière rouge défaite, son soutien-gorge en dentelle apparaissant largement à mon regard. Elle a un regard étonnamment aguicheur. Comme si tous ses doutes s’étaient évanouis durant notre baiser. J’avance prudemment vers elle, à quatre pattes. Quels seins ! Ma bouche plonge sur sa poitrine, embrasse sa dentelle. Ses tétons semblent durcir sous mes baisers. Ma langue glisse entre ces deux seins doux et fermes jusqu’à la base de son cou, avant que ma bouche ne remonte jusqu’à ses lèvres. Je m’allonge sur elle, doucement. Elle passe ses bras autour de mon cou, me caresse les cheveux. Elle referme ses cuisses autour de mon bassin, mon sexe dur s’écrase entre ses cuisses. Je sens ses seins contre mon torse. Je mets mes mains autour de son visage, lui caresse les joues, le front, les cheveux. Comment n’ai-je pas pu remarquer plus tôt à quel point elle était désirable ? Nos lèvres se joignent à nouveau dans un baiser langoureux, sa langue est douce, tiède et habile, elle joue avec ma langue, mes lèvres.



C’est elle qui me déstabilise cette fois-ci.



Je dépose un dernier baiser sur ses magnifiques petites lèvres, puis me relève, la prends dans mes bras et la porte jusqu’à mon lit, dans la pièce voisine. Cela semble l’amuser et l’exciter à la fois. Je l’allonge sur le dos. Elle est extrêmement désirable. Tout en elle, à cet instant, semble appeler à la débauche.



Elle écarte sa chemise doucement, me dévoilant entièrement cette belle dentelle rouge cachant sa magnifique poitrine. Elle fait glisser négligemment le bout de ses doigts sur ses seins, en se mordillant la lèvre. Il n’est plus question de moine écossais, de liturgie catholique ou de mariage l’année prochaine : elle est prête à s’abandonner totalement à moi.


Je déboutonne ma chemise, sans me précipiter. Ses yeux me lancent un regard appréciateur. Elle attend que je vienne l’embrasser, que je m’occupe de ces seins. Je décide de la faire languir un petit peu. Dans ma pièce éclairée indirectement par la lumière du salon, je pense qu’elle discerne très facilement la bosse qui déforme à présent mon pantalon. Je jette ma chemise à travers la pièce et m’approche alors lentement sur le lit. À genoux. La fixant toujours des yeux. Puis je me penche doucement en sa direction, de façon à embrasser son nombril et à remonter très doucement en direction de ses seins. Je place mes mains de part et d’autres de ses hanches, dépose quelques baisers sur son ventre avant de taquiner son nombril de quelques coups de langues. Je la sens frissonner légèrement.


Mes baisers parcourent sa peau et remontent tout doucement au même rythme que mes mains sur ses hanches. Je prends mon temps, savoure le contact de ma bouche sur sa peau. Elle passe négligemment sa main dans mes cheveux. Le temps semble s’arrêter quand enfin je saisis ses seins entre mes mains. Et ma bouche arrive jusqu’à cette belle pièce de lingerie que je rêve pourtant de lui retirer. Elle passe ses bras en arrière et attrape les barreaux du bout de mon lit. Formidable mouvement qui met particulièrement sa poitrine à son avantage. Elle me fixe avec son regard brûlant, et un petit sourire au coin des lèvres ; un sourire qui en dit long sur ses intentions, un sourire coquin comme je les aime. Mes mains tenant toujours fermement ses seins, je replonge mon visage vers son ventre et fais glisser ma langue depuis son nombril, lentement jusqu’à son cou, goûtant son corps délicieux. Je savoure, elle aussi. Arrivant au niveau de son cou, je m’allonge doucement sur elle. Elle doit sentir mon sexe buter contre le sien. Elle est entièrement à ma merci. Elle semble le savoir et apprécier.


Mes lèvres rejoignent les siennes tandis que mes mains partent se positionner autour de sa tête. Elle sourit légèrement et ferme doucement les yeux, comme le fait toute femme s’apprêtant à recevoir un délicieux baiser. Encore une fois terriblement séduisante. Ma langue finit par s’immiscer entre ses lèvres et trouve rapidement la sienne. Sa langue rentre et sort de ma bouche dans un ballet très sensuel. Je la regarde tenir toujours fermement les barreaux en bois de mon lit. Cela me donne une idée. Accepterait-elle ?

Déposant un dernier baiser sur lèvres tièdes et humides, je me relève doucement et me redresse.



Tout en allant jusqu’à mon placard, je lui fais signe d’attendre deux petites secondes. J’ouvre mon étagère, en sort un foulard rouge et retourne vers mon amante du soir. Elle s’est entre-temps redressée, sur ses genoux, se tenant sur les mains, légèrement en arrière. Elle me regarde d’un air surpris mais intéressé. Je me redirige vers elle et me mets à genoux autour des siens, très proche d’elle. Je la regarde droit dans les yeux, prend son visage entre mes mains. Nous échangeons encore un baiser langoureux pendant lequel je fais glisser doucement sa chemise défaite sur ses épaules. Tout en ne quittant pas mes lèvres, elle réussit à la faire glisser le long de ses bras et à la retirer. Puis à l’envoyer valser à l’autre bout de la pièce.


Ma prof est tout contre moi, je sens la chaleur de son ventre et de ses seins contre mon torse. Seul reste son soutien-gorge. Je la reprends par les hanches. La contemple et lui sourit. Ses mains se dirigent vers mon torse, glisse sur mon ventre.



Posant mon foulard à côté, mes mains glissent doucement depuis ses hanches jusque sur son dos, remontant lentement jusqu’à son soutien-gorge, pendant qu’elle continue de me parler de sa petite voix à la fois timide et provocante :



Je commence à arriver à son soutien-gorge et le dégrafe très lentement, pendant que notre petit jeu de rôles se poursuit.



À ce moment, j’achève de dégrafer son soutien-gorge dont elle attrape aussitôt les bretelles pour les faire glisser le long de ses bras nus. Lentement. Quand ses bretelles arrivent au bout de ses bras, elle se plaque contre moi, s’avançant vers moi, joueuse, afin de me cacher ses seins nus quelques secondes de plus.



Pour toute réponse, mes mains bifurquent très rapidement sur ses seins que je caresse doucement. Ils sont magnifiques, doux, ses tétons roulent entre mes mains. Elle arrête de vouloir m’embrasser et se recule légèrement, me laissant contempler cette belle poitrine. Doucement, je les pèse, les masse, les caresse. Je joue furtivement avec ses tétons. Elle ferme les yeux, penche la tête en avant, se mordille la lèvre. Ma prof a des seins exceptionnels. Je me penche pour l’embrasser quand soudain, je remarque ses mains s’agitent. Et je vois rapidement, glisser de son annulaire, sa bague de fiançailles. Je n’ai même pas le temps de constater à quel point ce geste m’excite qu’elle est déjà en train de m’embrasser à pleine bouche, ses bras autour de mon cou, les miens autour de son ventre, ses seins butant contre mon torse. Je sens alors sa main droite caresser la bosse sur mon pantalon. Elle n’est pas vierge, mais ça doit faire longtemps qu’elle n’a rien fait. Comment peut-on laisser une femme pareille en manque ?



Imagine-t-elle à quel point elle m’excite à ce moment ? Je ne peux pas ne pas lui obéir. Je m’écarte alors, la laisse s’allonger rapidement. Elle passe ses bras derrière sa tête, les poignets l’un contre l’autre, me priant presque de l’attacher. À califourchon autour de son ventre, je me penche alors, attrape ses mains, les approche d’un barreau et noue fermement mais doucement mon foulard autour de ses poignets.


Je me recule alors à genoux afin de regarder ce chef d’œuvre scandaleux : ma prof, à moitié nue, attachée aux barreaux de mon lit, me suppliant du regard afin que je vienne m’occuper de ses seins. Et quels seins ! Ronds, généreux, les tétons légèrement dressés. Ça va vraiment pouvoir commencer.


Je m’approche alors lentement d’elle, prenant mon temps. Le désir se lit clairement dans ses yeux. Moment tellement excitant. Il y a quelques heures, cette femme me laissait totalement indifférent, et maintenant, je m’apprête à aller embrasser ses seins, son corps, son intimité. Je baisse alors la tête tout doucement sur son buste. Ma bouche est à quelques centimètres de son sein droit. Ma main droite remonte tout doucement sur son sein gauche. Mes lèvres frôlent son téton une première fois, puis une seconde fois avant de glisser sur le reste de cette magnifique création féminine. Ma main droite commence à jouer avec son autre sein, mes doigts font de petits cercles lents autour de son téton qui durcit au fil de mes caresses. Je relève juste la tête pour regarder son visage, elle a les yeux fermés, sa lèvre inférieure toujours légèrement pincée. Plus bas, ses cuisses semblent se frotter l’une contre l’autre. J’imagine sa frustration d’avoir les mains liées.


Ma langue commence à glisser timidement sur son sein, en cercles concentriques se rapprochant inexorablement de son téton, tandis que ma main caresse son autre sein de manière un petit peu plus insistante. J’apprécie la chaleur, la texture, le goût de la peau de cette petite prof. Je prends alors son téton entre mes lèvres, et lui inflige quelques délicates pressions tout en le stimulant du bout de la langue. Je le tête, le suce, fait tourner ma langue autour, appuie légèrement dessus. Son autre téton continue de se dresser sous ma main, j’estime qu’il a lui aussi le droit de recevoir quelques baisers. Je me place à califourchon sur mon enseignante, l’empêchant ainsi de remuer les cuisses comme elle commençait à le faire. Je me penche, le visage au niveau de ses seins. Je sens son ventre chaud sous mon torse, le rythme de sa respiration qui augmente progressivement. Mes caresses tactiles se concentrent maintenant sur son sein droit tandis que ma bouche plonge sur l’autre, le léchant, le suçant, le goûtant. Ma langue joue avec son téton, ne parvient pas à le quitter tellement le contact est agréable. Mes mains remontent sur ses seins, les caressent, tandis que ma langue glisse de l’un à l’autre. Je fais rouler ses tétons entre mes doigts, entre mes lèvres.


Je suis là, dans ma chambre, en train de lécher les seins de ma prof, et je sais que je ne vais pas longtemps pouvoir m’en contenter. J’ai envie de sentir ses seins sous mon torse pendant que je serais en train de me fondre dans son bas-ventre, envie de les prendre dans mes mains pendant qu’elle serait à quatre pattes en train de sentir mon sexe entrer et sortir de son corps bouillant d’excitation. Ces images défilant dans ma tête m’excitent davantage, je m’occupe de ses seins avec plus d’ardeur, les malaxant et les mordillant légèrement. Ma prof a toujours les yeux fermés, sa respiration s’accélère, je sens ses cuisses vouloir se libérer de mon emprise. Tout en continuant de lécher sa poitrine, je me demande à quoi elle pense à ce moment. Se sent-elle coupable ? L’interdit – le double interdit, même – l’excite-t-elle davantage ? Son futur mari ne peut pas s’imaginer que sa promise est en train de coucher avec un de ses élèves, un de ses élèves perturbateurs qui l’énervent prodigieusement, mais qui au fond, elle doit se l’avouer à elle-même, l’attirent follement.


Je me relève doucement et m’approche de son visage. Ma main droite continue de caresser alternativement ses seins. Ma bouche s’approche de la sienne. Sans qu’elle ouvre les yeux, sa langue se faufile entre mes lèvres, presque sauvagement. Nous nous embrassons de manière passionnée, nos langues dansent ensemble comme mon index et mon majeur avec son téton. Elle entrouvre les yeux et nous cessons de nous embrasser. Ma main a commencé à quitter sa poitrine et à glisser lentement le long de son ventre. Elle me fixe dans les yeux, consciente de la direction que je prends. Mais rien dans son attitude ne signifie qu’elle ne veut pas aller plus loin. Au contraire, son regard semble m’encourager. Son corps frissonne au moment où je passe sur son nombril. Ses lèvres frôlent toujours les miennes, quand enfin ma main arrive au niveau de son jean. Déposant un dernier baiser sur ses lèvres humides, ma bouche commence à glisser le long de son cou. Mon pouce et mon index parviennent à vaincre le bouton de son pantalon. Mes baisers rejoignent ses seins. Les lèchent doucement, calmement, tandis que mes deux doigts saisissent la tirette de sa fermeture éclair. Ma bouche quitte ses seins et s’aventure sur ses hanches, sur son ventre. J’alterne entre baisers et petits coups de langues.


L’atmosphère de la pièce est pleine de chaleur, de sexualité, de tabou, d’excitation. Le temps semble s’arrêter. Doucement, je fais descendre sa fermeture éclair jusqu’au bout, tout en continuant mes caresses buccales sur ses hanches. Mes doigts reposent sur le bas-ventre de ma prof. Sans jeter de coup d’œil pour l’instant, je sens au toucher qu’il s’agit encore de dentelle. Un shorty peut-être. Je dois me retenir pour ne pas aller voir immédiatement ce dont il s’agit. Je veux y aller doucement. Mais quand même… Comment une fille d’apparence si quelconque, si timide, peut-elle s’acheter de la lingerie comme celle-ci ? Comment pouvais-je imaginer la coquine qui se cachait sous cette façade si catholique ?


N’y tenant plus, je me lève, me tiens debout au pied du lit. Ma prof, attachée les bras en arrière, se mordillant toujours la lèvre, un air provocateur en ma direction, les seins humides et les tétons dressés, le pantalon défait, attendant que je lui retire cet obstacle à notre plaisir charnel. Je saisis son pantalon par la taille, elle redresse légèrement le bassin afin que je puisse faire glisser ce jean sous ses fesses. J’entre-aperçois ce tissu de dentelle rouge cachant à mes yeux les délices de sa féminité. J’ai déjà tellement envie de l’embrasser, de le visiter. Elle étend ses jambes et je fais descendre son jean progressivement. Je suis en train de déshabiller ma petite prof. J’avais raison. C’était bien un shorty. Terriblement sexy et absolument pas chrétien. Ses cuisses nues… diaboliquement sensuelles.


C’est à peine si je m’aperçois que j’ai fini de lui retirer son pantalon. Ma prof, seulement vêtue d’un shorty est dans mon lit. Elle écarte largement les cuisses, outrageusement. Ce sexe, à portée de mes caresses, de mes baisers, de ma virilité. Ma prof lance un coup d’œil en direction de la bosse de mon pantalon. Je comprends tout de suite, et retire ce jean, ni trop rapidement, car j’ai envie de la frustrer encore un petit peu, ni trop lentement, car je suis pressé de goûter à sa féminité. Je me retrouve en boxer, sous ses yeux, sous ces cuisses qui n’attendent que moi, ce corps presque nu que je n’aurais pas pu espérer posséder si certaines barrières n’avaient pas été auparavant détruites.


Les genoux sur le bord de mon lit, fasciné par le regard excité et provocateur que me lance ma prof presque nue, je commence à baisser doucement la tête en direction de ses cuisses. Mon visage s’approche petit à petit de ses cuisses. Mes lèvres les frôlent, repartent, reviennent. J’essaye de la faire languir mais j’ai moi-même beaucoup de mal à ne pas me jeter sur elle. Je commence à l’embrasser à mi-cuisses. Je sens cette peau intime sous mes lèvres, cette peau tiède et ferme. Je commence à sentir cette odeur caractéristique de femme excitée, cette odeur terriblement excitante, cette odeur de sexe. Toujours au niveau de ses cuisses, ma langue commence à glisser entre mes lèvres. J’ai envie de la goûter, de la lécher. Mes bras glissent sous ses cuisses et mes mains se positionnent en bas de ses hanches. Je relève la tête et la contemple, toujours attachée, les yeux maintenant fermées, les lèvres pincées, attendant que je la déshabille complètement.


Mes baisers remontent progressivement le long de ses cuisses, ma langue glisse furtivement sur sa peau. Très rapidement ma bouche parvient au dernier bout de tissu me séparant de son intimité. Ma langue vient buter contre cette dernière barrière. Je m’avance légèrement. Mon visage est totalement en face de ce shorty rose qui ne demande qu’à être arraché. Mon nez, ma bouche viennent se poser à l’endroit où se trouve son sexe. Je le sens, je le respire, je l’embrasse par-dessus le tissu. Je sens ma jeune enseignante frissonner lors de ce premier baiser. Je ne sens pas que de la dentelle sur ma bouche, je sens ses lèvres intimes en-dessous, je devinerai presque son clito. J’ai tellement envie de plonger ma langue entre ses lèvres, la faire gémir, l’avaler, lécher cette petite chatte qui ne m’était pas destinée. Je sens cette douce chaleur sous mon visage, ma main droite glisse sur ses fesses et vient se poser sur son minou. Ma prof est chaude, ma prof est vaincue.


Je devrais me relever, et enlever son shorty. Mais je n’ai pas envie de lui donner ce plaisir maintenant. J’ai envie de la faire attendre, de lui faire désirer cet adultère immoral encore un petit peu. Je me redresse, afin de mieux m’allonger précautionneusement sur elle. Mon sexe bandé dans son boxer bute férocement entre ses cuisses. Ses seins s’écrasent sous mon torse. Je sens sa respiration augmenter, la chaleur de sa peau contre la mienne. Un étudiant et sa jeune prof, presque nus, l’un sur l’autre. Je prends ma tête entre mes mains. Ma bouche contre la sienne, je lui murmure :



Je sens ses cuisses se refermer autour de mon bassin. Mon sexe me fait presque mal à force de buter contre son bas-ventre.



Je dépose un baiser sur ses lèvres, avant de me dégager de son étreinte. Je la sais à ma merci, prête à tout.


À genoux à côté d’elle, je la contemple. Elle me regarde, se demandant ce que je vais lui faire. Ma main gauche se dirige alors vers son visage, l’index tendu. Je le fais glisser le long de ses lèvres humides. Elle entrouvre la bouche et aspire mon doigt sans même que je ne la force. Mon doigt pénètre sa bouche. Je sens sa douce langue chaude glisser autour de mon doigt, l’enrouler, le sucer. Elle titille le bout. Je sais que ce n’est qu’un avant-goût. Elle m’a l’air expert en gâteries. Elle suce mon doigt d’un regard faussement innocent, comme une enfant sucerait une Chupa-Chups. Elle est à craquer. Et à croquer.


Mon autre main a également envie de visiter d’autres lèvres. Ma main glisse rapidement sur son ventre. Je la sens suffisamment chaude pour ne pas perdre encore plus de temps en préliminaires. Ma main se fixe à son entrejambe, mon index et mon majeur s’unissent le long de sa fente encore vêtue et s’appliquent à réaliser quelques petites pressions sur son minou. Doucement, pour ne pas lui faire mal. La sentant relaxée, continuant de sucer négligemment mon doigt, mes doigts s’activent un peu plus énergiquement. Je la sens frissonner timidement. Je retire mon doigt de sa bouche. Tout en la masturbant légèrement, je me demande si elle-même se laisse aller à quelques séances d’onanisme. Je l’imagine, jeune adolescente dans un internat pour jeunes filles, le soir dans son lit, glisser sa main à l’intérieur de son pyjama pour s’adonner à de coupables caresses. Ou peut-être même, mon imagination s’emballe, qu’elle et ses petites camarades de dortoir s’entraidaient pour parvenir au plaisir, à l’insu des sœurs ne les surveillant plus à ces heures avancées de la nuit. Serait-il obscène d’imaginer deux ou trois jeunes filles d’un internat catholique découvrir le corps de leurs copines à l’aide de leurs doigts et de leurs bouches aventureuses. Ma petite prof aurait-elle découvert les joies du sexe pour la première fois avec une autre fille ?


Cette perspective m’excite encore plus. Mes doigts continuent de s’agiter sur son shorty. Est-ce moi ou deviendrait-il timidement humide ? Je décide alors de m’allonger sur le flanc, à ses côtés. Ma main droite remonte sur son ventre, sur ses seins toujours aussi charmants. Nos langues se rejoignent dans un nouveau baiser pendant que ma main caresse doucement ses seins. Avant de redescendre sur son ventre, sur son nombril. Mes doigts parviennent de nouveau à son shorty, sauf que cette fois, ils glissent à l’intérieur de celui-ci. Sa peau est encore plus chaude que sur le reste de son corps. Je sens ses lèvres sous mes doigts. Lisses. Cette petite coquine s’épile le maillot. Continuant de l’embrasser langoureusement, mon index et mon majeur s’unissent de nouveau pour caresser directement son petit minou. Je sens son clito glisser sous mes doigts qui commencent à s’agiter entre ses petites lèvres. Je la fouille doucement. Dire que je suis en train de caresser la chatte de ma petite prof d’histoire des religions. Elle est chaude, humide, sa mouille imprègne mes doigts comme sa salive imprègne ma langue.

Tout en continuant de caresser son intimité, je lui susurre :



Elle me regarde, un peu ailleurs, gémissant timidement à mes caresses.



Je fais doucement glisser son clito entre mes doigts, ce qui ne facilite pas son élocution.



Je ne me fais pas prier. Mes doigts quittent sa petite grotte sexuelle. Je défais le foulard attaché à ses poignets, le jette à terre, la regarde dans les yeux. Et m’allonge pendant qu’elle se relève. Je suis sur le dos. Mon sexe bande toujours terriblement dans mon boxer. Je suis pressé de voir ce qu’elle va faire. Elle ne semble pas hésiter à dominer. Elle se met entièrement debout sur mon lit, les pieds de part et d’autre de mon bassin. Mon Dieu qu’elle est sexy, tout me semble parfait en elle. Ses seins, ses hanches, ses cuisses. Ses pouces glissent dans son shorty, qu’elle fait légèrement descendre. Son sexe m’apparaît petit à petit, puis entièrement. Son shorty glisse au niveau de ses genoux, elle se penche pour le faire glisser le long de ses jambes, le retire délicatement du bout de ses pieds, avant de le jeter à travers la pièce. Elle se redresse alors, les cuisses légèrement écartées. Ses lèvres sont merveilleusement dessinées. Son sexe nu me semble être comme une affiche vantant les mérites du cunnilingus. J’ai juste envie de la lécher. Elle me regarde, d’en haut, provocante, nue, sexy. De ma prof, je ne reconnais que son sourire à la fois narquois et timide. C’est à elle de décider de la suite des événements.


Ma prof vient se mettre à califourchon autour de mes cuisses, mon sexe bandé dans mon boxer butant contre son minou chaud et nu. J’aimerais tellement qu’elle retire ce boxer que je puisse sentir son sexe contre le mien, qu’elle le fasse glisser entre ses cuisses. Les yeux rivés sur ma queue encore cachée, elle fait glisser doucement ses doigts sur le nylon. Ses caresses sont très lentes et me font légèrement frissonner. J’ai envie qu’elle se penche, qu’elle l’embrasse, mais je sais qu’elle ne le fera pas tout de suite. Elle a envie de me faire attendre autant que je l’ai fait attendre moi-même. Elle prend mon sexe en mains à travers le tissu, le serre doucement contre son minou. J’ai l’impression qu’elle le fait frotter doucement contre son clito. Je ne vois pas ses yeux, mais je pense qu’ils sont fermés. Son bassin ondule légèrement, ses seins bougent timidement. Je ne sais pas ce qu’elle va faire.


Une minute s’écoule, silencieuse. Tendue, si je puis dire. Puis elle s’avance doucement à genoux. Elle n’ose pas me regarder, trouvant peut-être elle-même trop osée ce qu’elle va faire. A-t-elle l’habitude d’échanger les rôles avec son fiancé ? De dominer ? Ou fait-elle semblant d’être timide ? Toujours est-il qu’elle vient se mettre à califourchon autour de mon visage, ses cuisses largement écartées, présentant son sexe tiède et humide en face de ma bouche. Placé ainsi, je ne vois plus d’elle que son bas-ventre, son sexe et ses cuisses. Son odeur si féminine envahit l’atmosphère, je sens son sexe excité, cette fragrance légère, douce, tiède et salée. Je me positionne du mieux que je peux. Je ne l’embrasse pas tout de suite. Je savoure son odeur. Mon nez glisse le long de ses cuisses, de ses grandes lèvres, effleure son clitoris. Elle se penche en avant, appuyant ses avant-bras sur le dessus des barreaux de mon lit, reposant son front sur ses bras. Je passe mon bras droit entre ses cuisses, lui caresse doucement les hanches tandis que je dépose un premier baiser sur son sexe nu. Contact humide et salé sur mes lèvres qui en redemandent. Mes baisers se perdent tout autour de sa fente, la contournant pour le moment. Mon bras gauche repose sur sa cuisse, caresse ses hanches, remonte jusqu’à ses seins. Je savoure, car je sais que l’instant d’après, je serai en train de faire un cunni à ma petite prof et le mal sera fait.


Une autre minute s’écoule. Lentement. C’est maintenant ma langue qui glisse entre ses cuisses en évitant les zones très sensibles. Lécher une femme dans une zone si intime est toujours excitant, mais le faire avec une prof fait partie de ces tabous décuplant la sensation. Est-ce mon imagination, mais j’ai l’impression de l’entendre susurrer un petit « Lèche-moi ! » auquel je ne peux pas résister.


Ma langue se positionne alors tout en bas de son minou et commence à remonter très doucement. Elle frissonne. Je savoure enfin sa mouille dans ma bouche. Elle est exquise. C’est vraiment le genre de femme que l’on envie de manger toute crue. Mon visage plaqué entre ses cuisses, ma langue commence à descendre et monter doucement le long de son sexe, puis titille délicatement son clito que je sens progressivement se gonfler légèrement. Je le contourne, reviens dessus, le titille, fait un détour sur ses grandes lèvres, reviens, tourne ma langue consciencieusement autour de son clito une demi-minute, m’arrête, l’embrasse, recommence à la lécher de bas en haut. Je joue avec elle, la léchant farouchement par d’autres puis m’arrêtant suffisamment longtemps pour faire monter la frustration avant de recommencer en accélérant progressivement la cadence de mes coups de langue. La chatte de ma petite prof est entièrement à ma merci, je l’entends gémir timidement. Quel bonheur d’entendre ce timbre de voix d’ordinaire prétendument autoritaire se transformer en de petits soupirs de plaisir.


Tout en continuant de lécher son petit minou de mieux en mieux lubrifié, ma main droite quitte sa hanche pour se diriger vers mon boxer. Je n’y tiens plus et libère délicatement mon sexe, je commence à me branler doucement. Pendant ce temps-là, ma langue titille l’entrée de son vagin, je glisse un tout petit peu à l’intérieur. Je prends plaisir à la fouiller de ma langue pendant que mon nez glisse de fait contre son clito. Sa main droite quitte les barreaux de mon lit pour venir se poser dans mes cheveux. Elle appuie délicatement ma tête entre ses cuisses. Elle en réclame plus et elle a bien raison de le faire car je suis tout à fait disposé à lui faire tout ce qu’elle veut ce soir. Elle tient entre ses cuisses la solution de son ordinaire frustration sexuelle.


Ma langue continue ses explorations dans son intimité. Mon visage est couvert de sa mouille, son goût ne quitte plus mes papilles, c’est un véritable festin vivant qui glisse dans ma bouche. Je la lèche, suce son clito, écarte ses petites lèvres. De la main droite, je continue de m’occuper de moi-même, de l’autre, je caresse ses reins, mes mains s’égarent en bas de son dos, glissant le long de sa colonne jusqu’au à la naissance de ses fesses au demeurant très douces. Elle se redresse alors complètement et place son autre main dans mes cheveux. Je sens son sexe, je respire son sexe, je bois son sexe, elle fait de moi son objet de plaisir sexuel. Elle gémit un peu plus fort qu’avant, vibre à chaque coup de langue sur son clito, se laisse abondamment lécher sa petite chatte par son étudiant qui ne se fait pas prier.


Puis, ayant envie de la frustrer un peu plus, j’arrête alors de la lécher. Je laisse néanmoins la langue sortie. C’est un petit test que j’aime bien faire, de voir la réaction de la fille avec qui je suis. Je suis presque certain de la sienne. Je sais qu’elle comprend et elle sait ce qu’elle a à faire. Elle attrape les barreaux avec ses mains, se tient fermement, et commence à faire onduler son bassin sur mon visage. Ainsi elle frotte son minou elle-même contre ma langue, c’est elle qui cherche le contact, qui réclame le cunni. Je la laisse faire, la sens se démener sur ma langue, j’imagine ses seins ballotter. Elle frotte son sexe sur ma langue, déborde sur mon visage. Elle mène la danse et semble aimer ça.


Mais au bout d’un certain temps, cette belle demoiselle s’épuise et arrête ses mouvements. Prend son temps pour reprendre sa respiration. Halète. Puis elle tourne la tête et s’aperçoit que je ne l’ai pas attendue pour me dévêtir. Un sourire s’affiche sur son visage. Elle se retire. Me regarde dans les yeux. Je m’attends à ce qu’elle me remercie à sa façon du plaisir que je viens de lui donner. Mais non.



Elle dit cela d’un ton à la fois autoritaire et doux, avec un petit sourire en coin m’invitant à la suivre, maintenant qu’elle s’en va en direction du salon.

Je me lève alors de mon lit, en profite pour me débarrasser pleinement de mon boxer. Je surgis alors dans le salon, le sexe bandé au maximum. Ma prof est de dos. Elle est devant la fenêtre. Je n’en crois pas mes yeux. On a beau être dans une grande ville et être tous anonymes, je trouve cela osé de sa part de se balader toute nue au vu de tous, devant la fenêtre, même s’il est tard et qu’il pleut toujours des cordes. N’importe qui pourrait la voir depuis la place. N’importe qui devrait pouvoir voir ses seins, son minou, ses cheveux défaits. Et le sourire coquin qu’elle doit arborer, imaginant l’effet que son audace doit avoir sur moi.


Je m’approche d’elle. Me colle contre elle, mon sexe butant durement à la naissance de ses fesses. Je sens sa peau contre mon membre, je la sens frissonner en même temps que moi. Mes mains se dirigent sur les hanches, avant de partir, l’une sur ses seins, l’autre entre ses cuisses. Je caresse négligemment ses seins et son minou, devant la fenêtre, devant les éventuels passants nous prenant pour un couple normal que nous ne sommes pas. Je dépose quelques baisers dans sa nuque, dans son cou, sur sa joue, avant de lui susurrer :



Sa main gauche passe alors dans son dos, et saisit mon sexe tout doucement.



Ma prof laisse filer ses doigts le long de mon sexe, le saisit afin de faire quelques légers va-et-vient, le caresse doucement mais sûrement. C’est très agréable de sentir sa main sur mon membre. Une main inconnue, interdite. Mais aussi sensuelle et experte. Ma main droite glisse entre ses cuisses, sur ses hanches, sur ses fesses, remonte sur ses seins. Elle me branle doucement. Ma queue se durcit encore, bute contre ses fesses quand elle la lâche, avant de mieux la reprendre. Je me demande à quoi peut penser une jeune prof tenant dans sa main le sexe bandé d’un de ses étudiants qui parcourt son corps de caresses.


Elle se penche légèrement en avant, m’obligeant à reculer un petit peu. Elle appuie sa main droite contre la fenêtre, me caressant toujours de l’autre main, et se cambre légèrement, de façon à ce que mon sexe vienne buter contre son minou. Ma queue glisse sur ses petites lèvres. Le contact est chaud, humide, très excitant. De sa main, elle fait glisser mon sexe le long de sa fente. Mon gland joue avec son clito, sa mouille humidifie mon sexe très excité. Ma main droite vient se poser sur ses fesses, je la tiens fermement. Je pourrai la prendre directement, glisser d’un coup entre ses lèvres, faire de longs va-et-vient dans son bas-ventre. Elle sent que j’en ai envie, fait glisser le bout de mon gland à l’entrée de son vagin avant de le remmener sur son clito.



Les paroles crues de ma prof m’excitent profondément. Effectivement, je pourrais la prendre tout de suite. Mais je crois qu’elle sait lire dans mes pensées.



Sans me laisser le temps de répondre, elle lâche mon sexe, se retourne, et se met effectivement à genoux, dos à la fenêtre. Elle ferme les yeux, met ses mains sur ses genoux, ouvre la bouche, sort sa langue. Elle lèche le bout de mon gland, sa langue tournant autour de manière ordonnée. La chaleur humide de sa langue envahit le bout de mon sexe. Je prends ma queue en main, la fais glisser sur le visage de ma prof. Elle ferme les yeux, sourit. Mon sexe glisse sur ses joues, son nez, le long de ses lèvres, sur son menton. Elle tire la langue de temps en temps pour lécher mon sexe quand il passe à proximité de sa bouche. J’imagine ma petite prof avec le visage couvert de ma semence. Je me demande aussi comment je pourrais ne pas me jeter sur elle lors du prochain cours, lorsqu’elle aura l’air tout innocent devant notre classe, personne à part moi n’imaginant ce dont elle est capable.


Cessant d’être passive, ses mains quittent ses genoux pour venir se poser en haut de mes cuisses. Toujours les yeux fermés, elle ouvre grand la bouche et avance son visage pour gober mon sexe entre ses lèvres, le plus loin possible. Mon sexe disparaît dans sa bouche, je sens ses lèvres se serrer sur ma queue, sa langue glisse sur mon gland. Je mets mes mains sur sa tête, caresse doucement ses cheveux pendant qu’elle fait lentement reculer sa tête, ses lèvres glissant le long de mon sexe. Elle rouvre alors les yeux, les levant en direction des miens, avant d’avancer de nouveau sa tête pour prendre mon sexe dans sa bouche. Le regard érotique, sa bouche pleine, son air faussement innocent me donnent envie de faire de longs va-et-vient dans sa bouche en tenant fermement sa tête, mais je la laisse faire pour l’instant. Elle garde mon gland dans sa bouche, le tête doucement comme un enfant. Sa langue titille le bout de mon gland. Je soutiens son regard qui commence à me rendre fou. Elle me suce doucement, tout en gardant ses mains sur mes hanches. Divinement agréable.


Elle lève mon sexe vers le haut avec son visage, fait glisser sa langue le long de ma queue jusqu’à mes testicules qu’elle lèche doucement. Mon sexe repose sur son visage. Je regarde par la fenêtre. Des voitures passent sur la place. Si les passagers levaient la tête, ils verraient une jeune enseignante sucer un de ses élèves, trompant son fiancé, mettant peut-être en péril sa carrière, aimant le sexe comme personne n’imaginait qu’elle puisse l’aimer. Puis elle prend enfin mon sexe dans sa main droite, le lèche doucement tout en me branlant.



Elle me regarde toujours droit dans les yeux. Ses lèvres font quelques va-et-vient autour de mon sexe, puis ma prof décide de se relever, tout en gardant ma queue dans sa main droite. Elle est maintenant face à moi, collée contre moi, sa main continuant de me branler, ma queue butant entre son minou et son nombril. Son visage s’approche du mien, ses lèvres cherchent les miennes, sa langue se faufile dans ma bouche avant de jouer avec la mienne. Sa main gauche vient caresser doucement mes bourses, les massant, les pesants. Ses seins contre mon torse, ses mains entre mes cuisses, sa langue contre la mienne, ma prof se donne entièrement à moi. Et à mon avis, elle est loin d’oublier les interdits entre nous : ces tabous semblent plutôt l’exciter, y compris imaginer son futur mari, seul et cocu.


Elle arrête de m’embrasser, me regarde sensuellement, puis fait quelques petits pas, tout en gardant mon sexe dans sa main. Je suis obligé de la suivre : elle me mène littéralement par le bout de la queue. Je comprends alors qu’à ce moment précis, elle me domine beaucoup plus que si elle m’avait attaché les poignets aux barreaux du lit. Elle est beaucoup plus rusée et coquine que ce que je pensais : elle contrôle tout, et elle est seule à décider de la suite des événements. Cela m’excite beaucoup de voir cette facette de sa personnalité, et il me semble qu’elle prend elle-même un malin plaisir à découvrir ce qu’elle est capable de faire avec un homme.


Elle recule doucement, caressant mon sexe et mes bourses d’une manière délicieusement provocante, me regardant avec un air libertin. J’avance en la suivant, savourant ses caresses et la vision de ses courbes. Elle arrive jusqu’au canapé, et elle me fait signe de m’asseoir confortablement. Elle lâche mon sexe, et je m’exécute.


Je suis maintenant assis, elle est toujours debout devant moi, me regarde d’un air satisfait, puis fait demi-tour et se dirige vers le meuble où j’ai laissé mon téléphone. Je suis toujours excité mais je me demande ce qu’elle prépare. Elle marche, nue, dans mon appartement, comme s’il n’y avait rien de plus normal à cela. Elle prend mon téléphone, et revient vers moi. Je la regarde d’un air qui doit sûrement être un peu ahuri :



Elle me tend mon téléphone, se penche vers moi, dépose un baiser sur mes lèvres, avant d’ajouter :



Ma prof se met alors à genoux devant moi. Je ne comprends pas tout ce qui se passe, mais je me laisse faire. J’écarte les jambes pour faciliter sa position. Sans me donner le temps de dire « Ouf », elle prend mon sexe en main puis en bouche et commence à faire de longs va-et-vient, d’une manière étrangement énergique pour quelqu’un d’aussi calme et doux. Pendant que mon sexe rentre et sort de la bouche de ma prof, pendant que je sens ses lèvres, sa langue, glisser sur ma queue, pendant que je sens son souffle sur mon bas-ventre et ses cheveux noirs caresser mes cuisses, je repense à ce qu’elle veut que je fasse : que je prenne des photos, voire des vidéos, d’elle nue en train de me sucer. Elle veut que j’aie une preuve de son méfait, la preuve de son infidélité, la preuve qu’elle couche avec un de ses étudiants, la preuve qu’elle renie ici la moralité chrétienne dans laquelle on l’a éduquée. Je n’en reviens pas, mais cela m’excite encore davantage.


Je savoure la fabuleuse fellation de ma prof. Je n’ai pas eu énormément de partenaires, mais je crois que je n’ai jamais été aussi excité qu’à ce moment précis. Je la regarde s’activer consciencieusement sur mon sexe, sa main droite me branlant énergiquement. Ma queue entre et sort régulièrement de sa bouche, cette même bouche si prompte à me faire des reproches lorsque nous sommes en cours. De la main gauche, je caresse ses cheveux du bout des doigts, tandis que de la main droite, je prépare mon téléphone à se transformer en appareil photo. Ma prof arrête alors de me sucer, tire la langue autant qu’elle peut et titille mon sexe doucement. Elle regarde l’objectif comme un mannequin professionnel : j’appuie sur OK, première photo. Puis elle prend mon sexe dans sa bouche, autant que possible, tout en me regardant de son regard de braise : deuxième photo. Elle soulève mon sexe, lèche mes testicules, ma queue reposant sur sa joue : troisième photo.


Elle garde mon membre dans sa main droite, me regarde et me dit alors d’une voix faussement inquiète, vraiment provocatrice :



Elle recommence alors à me sucer, et je décide de savourer ses caresses. Mais avant de fermer les yeux, je réalise que sa main gauche est passée sous le canapé. La coquine se caresse ! J’aimerais tellement qu’elle me raconte sa jeunesse, je suis sûr que j’apprendrais des choses que je ne soupçonne même pas.


Je ne pense plus à rien. Les deux minutes qui suivent, je savoure juste la chaude douceur humide de sa bouche autour de ma queue. Par moment, elle accélère, puis elle ralentit, lèche mon gland, reprend mon sexe en bouche, etc. Je me demande si elle me laisserait venir entre ses lèvres. Elle en serait capable. Lui demander directement casserait l’ambiance. Peut-être se rend-elle compte que j’en meurs d’envie, elle accélère un petit peu la cadence. Son poignet s’agite progressivement, sa bouche s’active, ses cheveux et ses seins se balancent un peu plus. Je suis quasiment sûr qu’elle se caresse de la même manière. Je sens une chaleur douce s’emparer de mon bas-ventre. Si elle continue comme cela, elle s’engage à recevoir quelques giclées qu’elle aura amplement méritées. Elle accélère, elle accélère.


Puis elle s’arrête subitement. Je rouvre les yeux. Elle tient toujours mon sexe dans sa main, me regarde avec un air malicieux, l’air d’un enfant qui viendrait de faire une bêtise et qui en serait fier. C’est évidemment frustrant, mais aussi terriblement excitant, cette façon qu’elle a de montrer que la gent féminine peut également dominer la gent masculine. Elle lâche alors mon sexe, se lève doucement, fixe mes yeux avec une troublante sensualité, s’approche de moi, pose un genou sur le canapé, puis l’autre, avant de s’avancer tout contre moi. La chaleur de sa peau m’enivre. Inévitablement, ma queue vient reposer entre ses cuisses. Elle les écarte doucement, s’avance encore un peu plus. Elle passe son bras droit derrière ma nuque, approche son visage du mien. Je mets ma main gauche sur sa nuque, la main droite sur ses fesses. Sa bouche s’approche de la mienne. Elle prend mon sexe de sa main gauche et le fait glisser tout doucement le long de son minou. Je suis à deux doigts de pénétrer ma prof, de lui faire l’amour, de la faire jouir, de la corrompre de la plus belle manière qui soit.



Je ne réponds rien, n’étant plus en état de répondre quoi que ce soit. Mais évidemment que j’en avais envie.



Cette magnifique jeune enseignante, nue, chaude, contre moi, avec ces mots si excitants. Sa bouche se colle à la mienne, sa langue se faufile entre mes lèvres. Elle m’embrasse passionnément. Ma main, sur ses fesses, essaye de la pousser vers moi afin de succomber à la tentation. Ma queue s’apprête à rentrer doucement dans son minou. Quand ma petite prof décide de se lever une nouvelle fois, tout doucement, toujours en me regardant :



Encore une fois, ma prof domine et mène la danse. Dès le moment où j’ai compris que la soirée allait être beaucoup plus chaude que prévu, je pensais (prétentieusement) que j’aurais affaire à une jeune femme timide et que j’allais lui apprendre des choses. Je me rends compte à quel point j’étais loin de la réalité. Je suis toujours assis sur mon canapé, le sexe bandé au maximum, quand ma prof reprend :



Je mets un peu de temps pour redescendre sur Terre, et quand j’arrive dans la salle de bains, je vois ma prof, dans ma douche, me faire signe de venir. La scène est surnaturelle. On dirait un mirage. Comment ma timide enseignante d’histoire des religions peut-elle me demander de lui faire l’amour dans ma douche ? Fasciné par ce qui est en train de se passer, j’approche lentement d’elle, tandis qu’elle commence à faire couler l’eau sur nos corps. Le jet est ni trop faible, ni trop fort, la température est idéale. Ses cheveux se trempent rapidement, dégoulinent sur son corps, viennent se coller contre ses seins.


Une fois dans la cabine de douche, je referme la porte derrière moi. La surface est limitée, on ne pourrait guère y mettre plus de 3 personnes. Mais pour l’instant, on n’est que deux, et je suis tout contre elle, dans une délicieuse chaleur humide. L’eau coule sur nos corps, la buée se propage sur les vitres. Elle est contre le mur, elle me sourit. Mon sexe bute contre son ventre, gonflé de désir. Elle passe ses bras autour de moi, solidement, et je comprends où elle veut en venir. Je pose mes mains sur ses fesses, approche mon visage du sien, glisse ma langue entre ses lèvres, et la soulève doucement du sol en le tenant fermement.


Alors, une fois, que je la tiens parfaitement, mon sexe se dirige tout seul entre ses cuisses et pénètre à l’intérieur de son ventre. Ça y est. Mon sexe et celui de ma prof ne font plus qu’un. La plaquant contre le mur, je commence de lents va-et-vient dans son minou, tandis qu’elle pose sa tête sur mon épaule et parsème mon cou de baisers. Ce qui m’excite encore plus. Ma queue bien serrée entre ses cuisses, je vais et je viens à l’intérieur d’elle, tout en pétrissant ses fesses de mes mains. Je sens ses seins s’écraser contre mon torse, je sens sa respiration saccadée dans mon cou, je sens la chaleur de son minou se propager le long de mon sexe. Je me plais à penser que je suis en train de baiser ma prof, la dernière chose qu’imagineraient mes camarades de classe, la dernière chose qu’imaginerait son fiancé, la dernière chose que nous imaginerions nous-mêmes au début de la journée.


Nous faisons l’amour sous le jet d’eau de ma douche, dans une atmosphère pleine de vapeur et de tabou. Je continue de la limer, ses gémissements s’intensifient progressivement. Quoi de plus excitant que les gémissements d’une femme qui prend son pied ? Mais je sais que je ne pourrai pas continuer éternellement dans cette position. Je me retire doucement, lui fais signe de se retourner. Elle s’exécute aussitôt, repose ses avant-bras et son visage à même le mur, elle se cambre, écarte délicatement les cuisses, et je me fonds à nouveau entre ses petites lèvres, reprenant la cadence de mes coups de reins entre ses cuisses.


Je suis en train de prendre ma prof en levrette dans ma propre douche. J’ai du mal à y croire, mais je sais que les frissons que je ressens dans le bas-ventre sont réels, et j’augmente l’allure. La tenant fermement de la main gauche, je ne peux m’empêcher de faire passer mon autre main sur son ventre, caresser ses seins, descendre jusqu’à son minou pour titiller son clito. Elle gémit de plus en plus fort, et je sais que moi-même, je ne pourrai pas me retenir bien longtemps encore. Je rentre et sors de plus en plus rapidement de son vagin, je sens la sève monter. J’essaye de la coller un peu plus contre moi, je la tiens par les hanches, je regarde son visage collé contre la paroi. Ses yeux sont clos, sa bouche entrouverte dans un gémissement, les cheveux trempés plaqués contre le visage, totalement à ma merci.


Les secondes qui suivent se figent. Je jouis en elle, parsème son intimité de ma semence, balance mon sperme à l’intérieur de son minou, à l’intérieur de son corps. Je jouis dans le corps de mon enseignante, je me vide de mon plaisir en elle, je la remplis de mon excitation, tandis que l’eau continue de couler, imperturbablement. J’arrête mes va-et-vient, me retire doucement, alors qu’elle reste le visage contre le mur. Bêtement, je me demande si, une fois la jouissance passée, elle réalise ce qu’elle vient de faire. Mes doutes s’envolent aussitôt, lorsque je vois un sourire se dessiner sur son visage. Ses yeux se rouvrent, elle se retourne doucement vers moi. Pendant une seconde, on a sûrement l’air un peu idiot, l’étudiant et la jeune enseignante, face à face après l’amour, sous la douche. Elle m’adresse un petit « Merci » puis dépose un simple smack sur mes lèvres, avec un petit sourire coquin ambigu. Elle n’est pas qu’une prof, c’est aussi une jeune femme, surtout une jeune femme, une jeune femme beaucoup moins sage que ce j’aurais pensé.


Je viens de prendre une rapide douche, puis j’ai laissé mon enseignante dans la salle de bains pour qu’elle puisse faire de même. Je suis assis sur mon canapé, seulement vêtu de ma serviette attachée autour de mon bas-ventre. J’attrape mon téléphone, et visionne les photos et la vidéo que j’ai prises tout à l’heure. Je ne pense pas que je pourrais les montrer à qui que ce soit. Pas plus que je ne pourrai le raconter à mes potes. En plus, si je révélais tout, il risquerait de ne pas avoir de prochaine fois, ce qui serait bien dommage.


Quelques minutes plus tard, ma prof me rejoint, elle aussi emmitouflée dans la serviette que je lui ai passée. Sauf que mes serviettes sont un peu courtes, et qu’elle a du mal à cacher simultanément ses seins et son sexe. Elle me sourit et vient s’asseoir à côté de moi :



Elle acquiesce, je me dirige vers mon étagère à bouteilles, prends deux petits verres que je remplis de rhum, et reviens m’asseoir à côté de ma prof. On trinque et on commence à boire. Rien de meilleur qu’un bon rhum antillais pour finir la soirée.



C’est assez surnaturel, encore une fois, que de parler de nos fantasmes respectifs avec ma prof, sur mon canapé, à presque minuit, en train de siroter un verre de rhum. Comment vais-je faire la semaine prochaine pour ne pas bander pendant tout le cours ?



Elle continue de m’étonner, et sa proposition ne me laisse pas insensible. Je sens mon sexe se durcir à nouveau. Comment vais-je pouvoir dormir après ça ?



Nous avons fini de boire nos verres, j’ai éteint quelques lumières et lancé un vieux disque de jazz sur ma chaîne hi-fi. Je me suis remis à ma place, tandis que ma prof s’est allongé sur le dos, la tête sur mes genoux. Je caresse négligemment son ventre par-dessus sa serviette humide.



Ma main gauche caresse négligemment ses seins, elle ferme les yeux. Un peu de sensualité dans ce monde de brutes.



Quelques minutes plus tard, après avoir ramassé nos affaires éparpillées un peu partout, nous nous retrouvons sur le lit. Elle s’est couchée sur le côté gauche, totalement nue, sur le ventre, les jambes et les fesses recouvertes d’un drap léger. J’éteins la lumière, me penche vers elle, dépose un baiser dans ses cheveux, la remercie pour cette soirée et lui souhaite bonne nuit.


Elle s’endort rapidement, son souffle se fait de plus en plus régulier. La lumière venant de la rue éclaire légèrement son corps dont je devine les courbes. Il y a quelques heures, je méprisais presque cette prof, maintenant cette femme dort paisiblement dans mon lit. La vie réserve parfois de ces surprises !


Je mets un peu de temps pour m’endormir, mais y parvient finalement, même si je me réveille souvent. Sur le coup de trois heures du matin, je regarde ma prof, qui est passée sur le dos. Elle dort toujours, ses seins se soulevant au rythme de sa respiration. Je dois faire un effort faramineux pour ne pas les embrasser, les lécher. Mon sexe se durcit à nouveau. Je me rendors et fais sûrement des rêves pas très catholiques.


Je me réveille de nouveau à six heures du mat’. Le temps que j’émerge, je constate que ma prof n’est plus dans le lit. Sans prendre le temps de me couvrir, je me lève. Ma prof est dans le salon, vers la fenêtre, enroulée dans un drap, regardant la rue encore noire, toujours pluvieuse. Je viens me mettre derrière elle, la prends par les hanches, l’embrasse dans le cou. Je la sens frémir.



Elle sourit puis me répond :



Mes mains remontent sur ses seins, mon sexe durcit de nouveau contre ses fesses.



Elle se retire de mon emprise, et commence à se diriger vers la salle de bains, puis se retourne en ma direction avant d’y entrer :



Je me retrouve, sur mon canapé, le sexe tendu, pensant à son corps nu sous la douche. Je pourrais la rejoindre, mais je me retiens et essaye de me calmer. Je me relève, enfile un boxer, prépare du café, et prends mon petit-déj. Quelques minutes plus tard, elle réapparaît dans la pièce, avec les vêtements un peu austères qu’elle a l’habitude de porter.



Elle s’assied sur une chaise, et prend un peu de café. On discute de banalités, comme s’il n’y avait pas de situation plus normale que celle-ci. Puis vient le moment où elle doit s’en aller.



Je la raccompagne jusqu’à la porte. Sur le palier, elle me dit « Pense à moi !» en me regardant d’un air ambigu, puis elle s’éloigne dans l’ascenseur.


La semaine va être longue.