n° 16476 | Fiche technique | 14475 caractères | 14475Temps de lecture estimé : 9 mn | 26/10/14 |
Résumé: Ce n'est pas toujours si simple d'avoir une belle-soeur au cul bombé... | ||||
Critères: fh extracon jardin pénétratio fsodo -occasion | ||||
Auteur : Juliano Envoi mini-message |
Je m’appelle Julien, j’ai quarante-deux ans, une femme splendide et des enfants plutôt sympas. L’histoire que je vais vous conter, je n’en suis pas très fier, mais en parler par écrit va peut-être me soulager d’un poids.
Ma femme a une sœur, Ludivine. Contrairement à ma compagne qui est plutôt naturelle, sans chichis, Ludivine a tout du stéréotype de la petite bourgeoise : tout le temps apprêtée, tirée à quatre épingles, très maniérée, des goûts de luxe, méprisante, hautaine, mondaine… Comme toute femme de la haute qui se respecte, elle n’a jamais travaillé, laissant ce privilège à son richissime financier de mari, Henri. Ils ont deux enfants tout comme nous, et souvent le week-end, même si c’est à contrecœur pour ma part, nous nous retrouvons dans leur vaste demeure pour que nos charmants bambins s’éclatent dans le grand parc à longueur de journée.
Dès que je peux, j’évite ce rendez-vous hebdomadaire, prétextant n’importe quel contretemps. Mais ce samedi, ma femme doit boucler un dossier important, et me voilà arrivant avec mes deux enfants devant la grande baraque, je suis de corvée pour l’après-midi. C’est Henri qui vient m’ouvrir le portail, me gratifiant d’un bonjour magistral de faux-cul comme à son habitude :
À peine le temps de lui répondre, que le bonhomme est déjà dans sa voiture, prêt à filer. Bon, il va falloir que je me fade la belle-sœur tout seul, et c’est loin de m’enchanter, vu que cette pète-sec me les brise menu. Je ne peux pas l’encaisser, elle me colle le bourdon. Pourtant, elle a un physique plutôt avantageux, je dirai même qu’elle serait vachement bandante si elle n’était si tordue : elle est assez grande, assez menue, mais possède un cul bombé à damner un saint, un de ces arrière-train qui colle la gaule en moins de deux, une chute de reins à faire exploser les boutons de braguette. Mais son côté prude et casse-burne provoque généralement plus le rejet que l’envie, et laisse imaginer des séances de baise sans originalité, sans saveur.
Elle nous attend sur le perron. Ses enfants sont au fond du parc, en train de jouer dans leur cabane. Après lui avoir collé la bise, mes deux petits monstres cavalent comme des dératés pour rejoindre leurs cousins. Ludivine porte un chemisier cintré et assez décolleté, une jupe droite, et des talons aiguille. Un imposant collier de perles orne son cou et descend jusqu’entre ses deux petits seins.
Je lui embrasse les joues pour la saluer, elle sent bon, comme toujours. Dieu qu’elle est conne, mais que son odeur est délicieuse. Je l’accompagne au salon, où elle me propose un thé. Je boirais bien un verre de rosé, mais je n’ose pas lui demander, elle en profiterait pour me reprocher mon penchant pour l’alcool. Alors je sirote son eau chaude parfumée sans la ramener. On discute de tout et surtout de rien. Oui, en plus d’être pète-sec, dame Ludivine est loin d’être une personne captivante. À part ses séances hebdomadaires d’aquabiking et de fitness, son goût immodéré pour les fringues hors de prix et les restos étoilés, et son désir permanent de se retrouver sur des plages au sable fin à l’autre bout du monde, elle ne s’intéresse pas à grand-chose. La littérature, elle s’est arrêtée à Marc Levy ; la musique, ça l’énerve ; le cinéma, elle s’en fout ; la politique, tant que le blé rentre à la maison, ce n’est pas son problème.
Déjà une heure que je suis chez eux. J’ai eu le temps de boire deux tasses de thé tout en regardant la plupart du temps les mouches voler. Je dis bien la plupart du temps, car je jette quand même de furtifs coups d’œil sur ses cuisses qu’elle croise et décroise face à moi. Elle me parle de leurs vacances récentes aux Maldives et me demande soudain si je veux jeter un œil aux photos sur leur ordinateur. Bien sûr que je n’en ai rien à carrer de leurs souvenirs de vacances, mais bon, il faut bien que je fasse bonne figure avec belle-frangine.
Elle m’entraine donc dans le bureau de son mari au premier étage. Nous nous installons côte à côte, sur deux chaises devant le pc, et elle commence à faire défiler le diaporama. Les photos sont plus conventionnelles les unes que les autres, c’est chiant, mais un détail soudain me perturbe : tout le long de la séance de visionnage, assis l’un à côté de l’autre, nos genoux s’effleurent, se frôlent, nos cuisses se touchent parfois. Ce doit être la première fois que nos corps sont en contact (à part pour la bise), et ce rapprochement involontaire me colle une belle barre dans le pantalon, comme si ces effleurements étaient aphrodisiaques.
Puis, sur l’écran, sans crier gare, arrive une photo : Ludivine de dos, debout sur la plage, en mini-monokini, ce qui me permet de jauger son joli petit cul bombé. Elle semble embarrassée, et s’empresse de passer à l’image suivante. Je ne peux empêcher un ton fessier est d’une élégance à toute épreuve de sortir de ma bouche.
Elle ne me regarde pas, rougit un peu, et murmure un merci presque inaudible. C’est la toute première fois que je la sens déstabilisée, fébrile. J’ai une gaule terrible qui déforme mon pantalon, j’ai l’engin raide comme jamais. On reste assis, figés l’un à côté de l’autre alors que le diaporama se termine. Je sens son regard sur ma bosse, même si elle essaie de ne rien laisser transparaitre, je lis son émoi. Elle se lève soudain, et me dit :
Nous marchons dans le jardin majestueux, elle m’emmène dans la serre pour me montrer ses plantes tropicales, ses niches d’orchidées, et les toutes récentes pousses de son bananier. Son jardinier fait un super boulot, tout est très harmonieux.
C’est étrange, mais elle est beaucoup moins antipathique qu’à l’accoutumée. Elle serait presque aimable pour une fois. Il est vrai qu’on n’a jamais eu l’occasion auparavant de se retrouver tous les deux, et je n’ai jamais fait d’effort avec cette petite bourgeoise. Je ne sais si c’est la chaleur moite sous la serre qui me monte à la tête, mais j’ai soudain le fou désir de tringler ma belle-sœur, de lui cartoucher le minou. Je tente vainement de virer les images qui se bousculent dans ma tête, des tableaux salaces de copulation sauvageonne avec elle. Mais ça fulmine dans ma caboche, je n’ai plus qu’une obscène idée en tête, sauter Ludivine.
D’ailleurs, je me suis effrontément rapproché d’elle pendant qu’elle me fait l’article de ses orchidées. Je suis juste derrière elle, poussé par le vent du désir, elle doit sentir mon souffle dans sa nuque. Nous ne parlons plus, elle caresse les longues feuilles élégantes de son sabot de Vénus. Sans prévenir, je plaque une main sur son ventre, et l’attire à moi pour me frotter lentement à son arrière-train. Elle se redresse, se retourne face à moi, elle semble furieuse :
Je fixe son regard, l’air déterminé et sûr de moi. Je l’agrippe par les hanches et commence à lui bécoter le cou. Elle se débat, enfin pas vraiment, disons qu’elle fait mine de me repousser, mais je sens que ses légers tremblements sont plus signe d’excitation que d’indignation. Elle soulève un peu la tête, me laissant libre accès à son cou que je suçote, que je grignote tout en malaxant avec gourmandise son magnifique cul.
Puis, sans crier gare, je la retourne, la fais s’appuyer à la barrière qui sépare les plantes de l’allée, et fais une légère pression sur son dos de ma paume de main pour qu’elle se cambre un peu. Je trousse sa jupe jusqu’à la taille, et fais glisser son string blanc cassé jusqu’à ses chevilles. Ainsi, je peux reluquer son superbe postérieur à ma guise, tout en me débraguettant lentement. Elle ne bouge plus, elle attend l’estocade, soumise et excitée. J’enfonce alors deux doigts dans sa chatte, elle est trempée, elle mouille à fond la petite bourgeoise. Je lui fouille le minou de mes phalanges, puis les porte à sa bouche pour qu’elle les suce, ce qu’elle fait avec application, goûtant à sa propre sève. Je suis tout contre elle, lui faisant suçoter mon pouce pendant que de l’autre main, je caresse ses jolis seins. Elle frotte maintenant son cul nu à la bosse qui déforme mon caleçon, fait de lents mouvements d’avant en arrière, calant sa raie contre mon chibre, le faisant coulisser gentiment entre ses deux globes. Elle glousse gentiment, ma petite Ludivine, elle est mûre pour se faire tringler en bonne et due forme.
C’est à cet instant précis que je commence à culpabiliser, presque prêt à stopper tout ce cirque, c’est quand même la sœur de ma femme que je m’apprête à niquer sauvagement, à fourrer sans préavis.
Wahhh, ce cul qu’elle a quand même !
Bon, je sais, pour ne pas déclencher un quelconque sentiment amoureux ou je ne sais quoi, je ne vais pas y aller par quatre chemins, je vais recta la sodomiser. Au moins, en l’enculant d’office, en passant par le petit orifice, on ne pourra pas parler d’amour ou de poésie. On va rester dans le bestial.
Je sens qu’elle rechigne un peu quand j’enfonce lentement mon pouce, sur lequel elle a salivé copieusement, dans son petit trou. Elle se tortille un peu, mais me laisse la pénétrer de ce doigt conquérant. Je sors alors ma queue du calfouette, et commence à tapoter sa fesse avec.
J’appuie sur son dos, qu’elle soit bien penchée en avant. Campée sur ses talons aiguille, elle écarte lentement les jambes. J’ouvre alors de mes mains ses deux globes pour dégager l’accès de son petit trou, et je présente mon gland à l’entrée.
Elle dit doucement « oh non, je t’en prie, pas par-là », comme un encouragement camouflé. Puis un « s’il te plait, je n’ai pas l’habitu… uuhhh ! ». Voilà, mon gland commence à entrer dans son cul, ce pétard qui me fout la gaule. Un « ouhhhh, doucement, tu me déchires » quand j’entre entièrement mon gland turgescent. Son gentil trou de balle aspire ma queue, petit à petit, sans rechigner, « wahhh, c’est trop gros, ça ne, arghhhh, rentrera jarghhhmais en entier ! ».
Elle est partagée entre la douleur, l’excitation de se faire prendre le cul, et le plaisir d’être baisée par mézigue. À moitié en elle, j’entame un lent mouvement de va-et-vient, et plus je vais et viens, plus ma queue entre profond en elle, pour finir par être complètement avalée par son petit trou.
S’ensuit alors une bonne baise, je pétris ses deux fesses majestueuses, pendant que je lui envoie des coups de reins vigoureux, que je ramone son arrière-train sans ménagement. Elle gémit, couine, miaule. Je grogne, glousse, halète.
Faut voir ce que je suis en train de lui mettre à la belle-sœur, je lui fourre copieusement le cul, elle en prend pour son grade. Moi-même, je ne me croyais pas capable de tant de bestialité. Je lui défonce magistralement le troufignon, avec tellement d’acharnement que ses fesses ne font plus des vaguelettes à chaque allée et venue, mais des grosses lames d’avis de tempête. Un tsunami vous dis-je, un raz de marée. C’est serré mais soyeux, waouh, quel pied !
Et pour ne pas être en reste, pendant que je la turbine, je lui claque les fesses, histoire de les faire rougir sous mes paumes déchainées. Contrairement à toute attente, Ludivine a tout à la fois le feu et ma bite au cul. Nous dansons la valse de la culbute, elle envoie parfois ses fesses contre mon ventre, pour me montrer qu’elle en veut encore plus, alors j’accélère encore et encore, lui bourrant de ma tige son oignon vertigineux. Elle est bien serrée, ça me bouleverse de l’enculer, c’est trop bon, je ne l’imaginais pas aussi réceptive, aussi ouverte à la débauche.
Et ses râles de plaisir, ses petits cris de bonheur me rendent encore plus actif en elle, me font la bourrer sans retenue. Quel bonheur, quelle vue sur ce magnifique fion offert, je n’en reviens pas.
Dorénavant, je ne la regarderai plus de la même façon, la Ludivine chérie, comme l’appelle son têtard de mari. S’il voyait comme je suis en train de mitrailler le cul de sa petite femme, comme je lui laboure l’arrière-train, il ferait moins le malin, ce tocard. Je n’ai jamais pu saquer ce glandu, donc c’est un honneur pour moi de sodomiser sa moitié. Disons que le seul problème de conscience que j’ai, c’est vis-à-vis de ma femme, qui, elle, ne mérite pas une telle trahison. Mais bon, j’aurai tout le temps de culpabiliser plus tard, de me sentir bien minable. Pour l’instant, je ne pense plus à rien, je vais juste prendre mon pied.
Je sens que je ne vais plus tenir très longtemps, mon plaisir va exploser entre ses fesses, elle est trop bonne ma petite pimbêche de belle-sœur, je vais lui envoyer du jus, ça va être copieux. Et boom, je gicle, j’arrose, je tapisse son petit trou de ma semence. J’envoie la dose, ça déborde, ça coule le long de sa raie, ça dégouline gentiment sur ses cuisses athlétiques.
Pas un mot échangé, le silence s’est installé sous la serre. On se rajuste tous les deux sans se regarder, honteux et coupables d’avoir trahi en prenant un pied de folie.
Le soir, il fait bon, nous sommes réunis en famille avec toute la tribu. Finalement, cette séance de sodomie a eu un avantage, c’est que je me sens beaucoup plus à l’aise en présence de ma belle-sœur. J’irai presque jusqu’à dire que ça me réjouit de la voir, et dorénavant, j’aurai toujours le désir secret de retourner faire un petit tour dans la serre.