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Temps de lecture estimé : 13 mn
27/10/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Après avoir connu mes premiers émois gay avec Dom, un beau médecin, je décide de le revoir pour aller au bout de mon fantasme.
Critères:  hh fellation anulingus hgode hsodo -initiat -médical -gay
Auteur : Love Doctor  (Homme 50 ans coquin)

Série : Ma rencontre avec Dom

Chapitre 03 / 03
Dom me fait connaître de nouvelles sensations

Résumé du premier épisode : lors d’une visite médicale au travail, je tombe sous le charme d’un beau médecin qui me fait ma première fellation gay.


Résumé du deuxième épisode : je me rends chez ce médecin qui poursuit mon initiation, qui reste incomplète…


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Trois semaines ! Cela faisait trois longues semaines que je ne m’étais pas retrouvé devant la porte de son cabinet. Cela me semblait une éternité mais il avait fallu faire preuve de discrétion tant au travail que chez moi. Ma femme ne se doutait a priori de rien mais il faut toujours se méfier d’une épouse jalouse ! Ce fut elle en fait qui précipita les choses en m’annonçant son départ impromptu en raison du décès d’une tante lointaine dans le sud de la France. Ma présence n’étant pas indispensable, je me retrouvai ainsi avec trois jours de célibat. Dom était heureusement libre ces jours-là et on convint d’une soirée chez lui le vendredi soir. Impatient et anxieux, je me sentais comme une jeune fille avant son premier bal des débutantes !


Vingt heures. Je sonnai à la porte de son cabinet le cœur battant. Il ouvrit et ce fut son magnifique sourire que je vis en premier. Il me laissa passer et je me dépêchai d’entrer. Il referma la porte et je compris à cet instant que lorsque je la franchirais à nouveau je serais probablement un homme différent.

Je ne savais pas comment me comporter à cet instant et il prit l’initiative. Me prenant légèrement le coude, il m’entraîna vers son appartement comme lors de ma seconde visite.



Il sourit.



Il rit, amusé par mon ton décidé.



Il m’indiqua le canapé en cuir.



Je pris place confortablement et tentai de calmer les battements de mon cœur. J’avançais encore une fois en terre inconnue et j’avais un peu peur ! Dom revint de la cuisine avec deux verres et je l’admirai alors qu’il approchait dans son jean moulant sans être vulgaire et sa chemise blanche qui tranchait avec le mat de sa peau.



Il sourit, mutin.



Je rougis sous l’allusion et tentai de rester naturel. Le plateau posé, Dom s’installa près de moi, et naturellement posa sa main sur ma cuisse. La toile de mon pantalon était trop fine pour masquer le trouble qui s’empara de moi aussitôt. Je sentis mon sexe réagir, trahissant mon excitation et l’emprise que ce garçon avait sur moi. Sa main était immobile mais j’avais l’impression qu’il me caressait déjà. Il sourit, sûr de son charme, les yeux dans les miens.



Sa main remontait lentement le long de ma cuisse et je retenais pour ne pas gémir.



Il sourit encore davantage et frôlait maintenant mon bas-ventre.



Sa main était maintenant sur ma braguette qu’il fit descendre lentement. Mon sexe tendu déformait le string que j’avais à nouveau choisi pour cette soirée spéciale. Je quittai prestement mes chaussures et soulevai les fesses pour ôter mon pantalon qui fut vite jeté au loin par mon amant. Dom sourit à la vue du string.



Sans répondre, je défis ma chemise pour lui offrir la vue de mon corps encore pas mal conservé, uniquement vêtu d’un string noir. Son regard sur moi me plut car j’y lus du désir, sentiment inestimable pour un vieux de 50 ans ! Dom posa sa main sur mon dernier rempart de tissu, et cette fois je gémis. Mon sexe tendu frémissait déjà de désir et je faillis jouir à ce contact pourtant léger. Il le comprit et recula sa main.



Je fus surpris à la fois par le ton de sa voix et par le plaisir que je pris à lui obéir. Telle une femelle soumise, je me tournai, lui offrant la vue de mes fesses séparées par la ficelle noire qu’il écarta.



Je fermai les yeux, troublé par la vulgarité de ses mots. Pas de doute, c’était lui le mâle ! Il prit d’ailleurs possession de mes fesses pour les écarter à la recherche de mon anneau encore vierge (enfin presque !) pour quelques heures (minutes ?) encore… Je sentais sa main se faufiler et son index caresser mon anus lisse depuis peu. Je gémis et me cambrai davantage. Sa caresse était douce et tranchait avec la teneur de ses dernières paroles. Ses doigts étaient légers, frôlaient mon anus pour remonter vers mes bourses lisses elles aussi et finalement empaumaient mon sexe dressé et sensible. Dom me débarrassa de mon string pour mieux me masturber et je me laissai aller à ses attentions.


Il me fit assoir près de lui sur le canapé pour plus de confort, et je retrouvai avec plaisir son beau visage.



Je souris, amusé par l’évidence de sa phrase. Mon sexe était à son zénith dans la paume de sa main. Dom me masturbait doucement, me maintenant à un niveau d’excitation maximum sans franchir le point de non-retour.



Il sourit, sûr de son charme, et libéra mon sexe dressé.



Peu habitué à ce type d’exercice, je me laissai pourtant convaincre et pris mon sexe en main pour une masturbation douce. Dom ne me quittait pas des yeux et cela augmentait mon plaisir. Les lents mouvements de va-et-vient me faisaient frémir et je gémis doucement pour le plus grand plaisir de mon amant.


Il se leva et je remarquai tout de suite la bosse qui déformait son jean. Le cœur battant à mille à l’heure, j’attendais fébrilement de le voir à nouveau nu. Lentement, il défit sa chemise sans me quitter des yeux, tel un stripteaseur. Je retrouvai avec joie la vue de son corps d’athlète mais je désirais plus que tout au monde revoir son sexe, bandé si j’en croyais la forme de son pantalon ! Mon attente fut brève car Dom défit la fermeture, libérant aussitôt son mandrin. Je souris. Le coquin ne portait rien sous son jean qui glissa à ses pieds. Il se laissait admirer, telle une statue grecque.



Il ne répondit rien mais frôla son sexe, sachant qu’il me faisait envie. Nous nous masturbâmes de concert quelques instants puis Dom s’approcha du canapé. De par ma position, la proposition était évidente. Je voyais son sexe approcher de mon visage, et tout naturellement j’ouvris la bouche, déjà soumis à mon mâle.


Je gémis lorsque j’engloutis son gland soyeux et lâchai mon sexe pour m’occuper du sien. Sa tige douce glissait entre mes doigts ; ma langue s’affairait autour de son gland. Les yeux fermés, je profitais de cet instant espéré depuis trois semaines. Je le pompais doucement, voluptueusement, mes mains sur sa queue et ses bourses lisses. Je prenais un plaisir immense à déguster ce pieu vivant qui bientôt pénétrerait un autre orifice. L’image traversa mon esprit et me fit gémir. Dom comprit mon trouble.



D’un clignement de paupières, j’acquiesçai. La bouche remplie, je ne pouvais parler. Flatté du plaisir apparent qu’il prenait, je m’appliquais à le sucer comme un dieu, enfin j’espérais. Aux mouvements de son bassin, je pris conscience que mon amant se laissait doucement aller entre mes lèvres, et l’idée de le sucer jusqu’au bout me traversa l’esprit. Je n’avais jamais goûté de sperme mais je me dis que c’était le soir ou jamais !


Dom grognait de plus en plus fort et je sentais à la tension de son sexe qu’il n’allait pas tarder à jouir. Nos regards se croisèrent et je lus le plaisir proche dans le sien. Comme la première fois, il se recula pour sortir son sexe de ma bouche humide avant l’irréparable, mais je le retins par les fesses et il comprit à mes yeux que je voulais poursuivre ma caresse buccale.



Je ne pouvais répondre, mais mes lèvres sur son sexe le firent à ma place. Il se détendit et se laissa faire si bien que, quelques secondes plus tard, de longs jets de sperme frappèrent mon palais et j’eus du mal à déglutir sans être étouffé par ce liquide crémeux et au goût pas si désagréable. Le sexe de Dom vibrait dans ma bouche tandis qu’il laissait échapper un grognement sourd tout au long de sa jouissance. Je pris soin de bien nettoyer la tige qui débandait progressivement et effaçai toute trace de jouissance sur son gland violacé.



Il voulait m’embrasser mais je le repoussai doucement.



Il comprit et m’indiqua la salle de bain que je connaissais depuis mon premier passage ici. Je le rejoignis rapidement dans sa cuisine, trouvant naturel de me trouver nu avec un homme dans la même tenue dont je venais d’avaler le sperme !


Cette fois je me laissai enlacer et Dom m’embrassa d’abord tendrement puis fougueusement pour me remercier peut-être de l’offrande que je venais de lui faire ! Mon sexe dressé frôlait le sien au repos tandis que mon amant se collait à moi. Nous titubâmes dans la cuisine, puis doucement Dom m’entraîna vers le couloir, puis dans sa chambre à coucher. Je gémis, conscient que le moment allait devenir unique.


Il me fit allonger sur le dos et grimpa sur moi pour reprendre ma bouche. Nous gémissions de concert, excités comme deux amants en manque de sexe. Il interrompit notre baiser pour me dévisager.



Je souris.



Je souris, me souvenant du mot que j’avais laissé sur sa table en partant de chez lui lors de ma dernière visite.



Il sourit.



Je ris nerveusement, ne sachant pas ce qu’il entendait par là. Il m’embrassa de nouveau, plus tendrement cette fois, et d’une main ferme me fit replier les jambes pour exposer mon anus. Le baiser ne dura pas car rapidement sa bouche prit possession de mes seins tandis que son index frôlait mon anneau. Je gémissais sous l’action de ses caresses combinées qui faisaient vibrer mon sexe pour le moment abandonné. Il le frôla juste du bout de la langue avant de lécher mon cul lisse.



De ses pouces, il écarta mes fesses tandis que sa langue partait à la conquête de mon cul. Langue large, humide, ou pointue exploratrice, il variait les effets pour mieux me faire gémir. Déjà ailleurs, je me caressais les seins d’abord doucement puis plus vivement, me pinçant les bouts avec vigueur. Dom le vit et nos regards se croisèrent dans une communion de désirs. Je sentais le plaisir monter inexorablement mais j’eus la lucidité de le repousser avant la limite.



Dom obtempéra et cessa de me lécher l’anus.



Il se leva et je pus ainsi voir que son sexe avait retrouvé de la vigueur. Sans un mot il alla fouiller dans son armoire et sortit un sac noir qu’il posa sur le lit. Sans me faire languir, il sortit trois objets que j’identifiai comme étant des plugs anaux. Sans être expert, je m’étais documenté pendant ces trois dernières semaines. Il prit le plus petit et me le montra.



Je souris, content de voir que ses envies rejoignaient les miennes. Il enduisit l’embout de lubrifiant, et reprenant ma bouche pour un baiser tendre présenta le plug à mon anus. L’effet de sa caresse précédente et du lubrifiant rendit la tâche aisée et je me sentis rapidement empli par le plug le plus petit. Les sensations nouvelles étaient agréables et aucune douleur ne venait troubler cet instant. Sa bouche fouillait la mienne tandis que sa main libre agaçait mes tétons. Notre manège dura quelques minutes et l’envie d’aller plus loin me tenaillait. Il le comprit et retira le plug qui ressortit de mon fondement sans être souillé. Il se redressa et me sourit.



Cette fois, l’introduction fut moins aisée mais resta indolore. La sensation de plénitude était plus présente et mes tissus semblaient apprécier. Dom m’admirait et je me sentais tout sauf vulgaire sous ses yeux. Il me caressait tendrement l’intérieur des cuisses, me faisant trembler de désir.


D’une main je frôlais son sexe maintenant dressé comme aux plus beaux jours. Ce beau brun avait vite retrouvé de la vigueur ! Doucement, je l’attirai vers moi et il comprit en s’approchant. Quelques secondes plus tard je le suçais avidement tandis que Dom faisait bouger doucement le plug en moi. Je sentais mon anus sensible comme jamais, et j’en voulais davantage. De ma main libre je montrai le sextoy de plus gros diamètre.


Il fit le même cérémonial avec le lubrifiant et le présenta à mon anus. Doucement, il m’en pénétra, et cette fois je sentis vraiment la différence. Mon anneau s’étira sensiblement et je lui fis signe d’attendre avant de poursuivre. La sensation de brûlure recula et il put progresser, m’insérant le plug en entier, me faisant lâcher un soupir de soulagement et de plaisir. Je libérai son sexe humide de salive et fermai les yeux.



À ces mots, il comprit que j’étais prêt dans ma tête à aller plus loin. Gentleman, il attendait juste un signal de ma part. Pour le moment je me concentrais sur les sensations que le plug faisait naître en moi : j’étais bien, heureux d’avoir le cul empli et anxieux tout de même d’oser prononcer la phrase convenue. Mais conscient que c’était maintenant ou jamais, j’ouvris les yeux et fixai Dom, le cœur à cent à l’heure.



Amusé par cette phrase somme toute vulgaire, et probablement troublé aussi, il ne répondit rien mais prit du lubrifiant et enduisit son sexe consciencieusement. Lentement, il prit appui de part et d’autre de moi, me replia les jambes, et sans brusquerie retira le plug de mon fondement. Mon anus entrouvert fut enduit du restant de lubrifiant qui souillait ses doigts, et aussitôt je sentis le gland contre mon anneau.


Les yeux dans les miens, Dom avança doucement le bassin. Son gland força un peu puis lentement progressa en moi. Je gémis non pas de douleur mais de désir. Il avait raison : son sexe était plus fin mais autrement plus agréable que le caoutchouc du plug. Dom se méprit et, pensant à de la douleur, stoppa sa pénétration. Les deux mains sur ses fesses je l’encourageai à poursuivre. Son sexe dur et chaud reprit son mouvement et je me sentis empli pour la première fois. C’était meilleur que ce que j’imaginais !


Mon amant s’immobilisa en moi et j’ouvris les yeux en silence. La taille de son sexe devait lui faire peur car il se retenait d’aller plus loin. En totale confiance, je le laissai maître de la situation. Il ressortit doucement, me faisant gémir pour mieux revenir et me faire crier. Le va-et-vient sensuel me faisait vibrer de désir. Le coquin savait y faire et j’oubliais tout ! Lentement, il me pilonnait de son sexe dur et endurant et je lâchais de petits cris à chaque fois qu’il était au fond de moi. Sa bouche me surprit par un baiser sauvage et je faillis le mordre pour lui prouver mon excitation.


Mon sexe tremblait à chaque mouvement de bassin et je sentais une goutte poindre au méat, traduisant mon plaisir imminent. Dom dut le sentir car il ralentit la cadence pour bientôt s’arrêter et se dégager de moi. Sans me laisser le temps de réagir, il me fit mettre dans la position qui me faisait fantasmer en fait : en levrette, j’allais lui offrir mon cul dans toute sa splendeur ! Il en profita pour reprendre du lubrifiant qu’il étala sur ma rosette et sur son gland.


Les mains sur mes hanches, il repositionna son sexe contre mon anus, restant immobile. Comprenant la manœuvre, je tournai la tête et lui décochai mon plus beau sourire.



Il poussa lentement, et cette fois ne s’arrêta pas en chemin. La tête dans l’oreiller, je sentais son sexe me pénétrer de toute sa longueur. Je hoquetais sous la sensation mais ne protestai pas. Quelques secondes de répit, puis mon amant reprit son rythme de métronome en moi : d’abord lents et profonds, ses mouvements de bassin prirent vite une cadence plus soutenue, déclenchant en moi des cris aigus à chaque fois que son bassin heurtait mes fesses. Ses grognements de mâle en rut ajoutaient au côté érotique de ce moment unique.


Je sentais le plaisir grimper dans mes reins et ne pus bientôt plus me retenir. Je lançai mon bassin au-devant de celui de Dom ; comprenant le message, mon amant accéléra son rythme déjà effréné. Je jouis dans un cri rauque, lâchant de longs jets de sperme sur le lit. Dom contint les mouvements de mon bassin pour ne pas perdre pied et il ne lui fallut que quelques secondes pour éjaculer au fond de moi.


Nous retombâmes en sueur sur les draps souillés, son sexe encore dressé en moi et le souffle court. Nous ne parlions pas, profitant de ce moment unique, et lentement nous sombrâmes dans un sommeil plein de rêves coquins. Le week-end ne faisait que commencer…