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n° 16484Fiche technique25938 caractères25938
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28/10/14
Résumé:  Yann assiste à une compétition de natation et craque pour une nageuse. Mais c'est pourtant avec un bel athlète qui dort chez lui qu'il se passe des choses la nuit suivante. Jusqu'à ce que sa petite amie s'en mêle...
Critères:  fh hh fhh hbi piscine sport fsoumise intermast fellation anulingus pénétratio hsodo init -inithh
Auteur : Tortue675  (Jeune auteur, avide d'écriture.)            Envoi mini-message
Dépasser ses limites...

Une heure maintenant que l’on regarde des nageurs concourir les uns après les autres. Ils se ressemblent presque tous. Les gagnants ont une brasse d’avance. Je m’en fous un peu de ce sport mais je voulais accompagner ma copine qui a son meilleur ami plutôt bien placé dans la compétition.



Il n’y a pas beaucoup de spectateurs mais l’ambiance est cool, il y a même une mini-buvette pour nous, ce que je n’aurais jamais imaginé. Les sportifs sont tous bien taillés, on est au niveau régional et cela ne rigole plus vraiment. Les filles ont de belles formes musclées et les mecs ont de belles épaules et des dos bien taillés.


Je me rends compte que dans les douches l’ambiance doit être différente de celle dont j’avais l’habitude lors de mes rares passages à la piscine dans mes jeunes années. Les jeunes pré-pubères qui n’osent pas enlever leur maillot, les vieux qui exposent leur intimité sans problème, certains reluquant les jeunes de manière parfois gênante. Bref c’était l’ambiance que j’avais connue. Sans compter les cons qui pissaient dans le grand bain et les verrues qui vivaient en liberté dans le pédiluve. Tout ça m’avait bien écarté de cette activité.



Sur ces jolis mots, la finale arrive. Max part dans les premiers. Il est parti trop vite, la fin semble dure et effectivement son rival lui est passé devant d’une longueur. C’est dommage mais c’est la libération pour nous, on va pouvoir rentrer. Sur le chemin vers notre appartement, Max refait la compétition avec des tonnes de commentaires, je marche un peu à l’écart, rêvassant de ces corps d’athlètes dans les douches. J’aurais bien aimé saluer la petite blonde assez rapide qui semblait seule et perdue mais totalement transcendée lorsqu’elle nageait.


Max est venu chez nous car il habite encore chez ses parents à quelques dizaines de kilomètres. Comme c’est les vacances, il en profite pour passer du bon temps et visite donc son amie de toujours, dans notre petit studio.


À peine rentrés, Aurélie nous a fait un bon dîner, j’ai ouvert une bouteille pour faire passer cette petite défaite mais médaille d’argent c’est quand même pas mal. Surtout qu’il est retenu pour le championnat national et c’est la bonne nouvelle. Après la bouteille de rouge à trois, Aurélie nous laisse boire une dernière bière. Elle est partie se doucher, puis passe au lit. Il est déjà bien tard et elle est fatiguée.


Comme on est dans un studio, la proximité est de mise, le lit est à deux mètres et le clic-clac où dort Max est proche. Lorsque je vois qu’Aurélie dort profondément, je demande des infos à Max sur les douches et ses amis nageurs. Je dirais plutôt amies. J’avais trouvé un moyen de parler de la petite blonde, une de ses connaissances, Marie. Réservée, pas timide. Je lui aurais bien demandé son numéro, mais je ne veux pas faire de bêtises.


La soirée se termine, le jeune homme va directement sur son lit de fortune, puisqu’il est tout propre lui. Moi je vais me calmer dans la douche. La blonde m’envahit l’esprit. Marie. Il y a des moments où l’on aimerait être célibataire pour avoir l’occasion d’essayer de charmer ! À la fin de ma douche, un peu longue, je m’essuie et vais dans mon lit, nu. J’essaie de ne pas m’exhiber devant les invités, par politesse car je ne suis pas spécialement pudique. Le drap me recouvre donc sommairement.


Je rêve des douches communes de la piscine. Et de Marie qui se trompe de douche et vient à mes côtés se laver. Sans aucune pudeur on est seul et elle enlève tout, nue à mes côtés, se shampouinant comme si je n’existais pas. Je sens une caresse sur ma cuisse, je m’éveille à moitié. Je suis sur le côté presque en position du fœtus. Et encore dans mon rêve que je ne veux pas lâcher : Marie se rince et je vois l’eau sur son corps, je n’arrive pas à bouger pour aller vers elle et je sens toujours une main remonter ma cuisse et aller vers mes fesses. Un doigt parcourt ma raie et la main s’en va dans le bas de mon dos.


Je n’oppose pas de résistance. Je comprends enfin la réalité : Max profite de mon corps à moitié endormi, un simple drap sur mes jambes, tout le reste découvert, je n’ai donc pas laissé beaucoup de mystère. Il repasse sur mes fesses et son doigt se fait plus insistant sur ma raie. Il vient me titiller la rondelle. Je ne dis toujours rien. Mon rêve est parti, je ne bouge pas. Je bloque ma respiration et les sensations se décuplent.


Je n’ai jamais eu d’envie homosexuelle, j’ai toujours eu quelques répulsions à ce sujet. Cependant sous la douche, il m’est arrivé de m’insérer un ou deux doigts dans l’anus pour me caresser. Avec du gel douche, ça passe très bien et se masturber en même temps augmente les effets. Aurélie m’a aussi parfois mis un doigt, une langue, mais c’était à la suite des caresses du périnée ou lors d’une fellation.


Max pousse sur ma hanche pour que je m’allonge sur le dos, je ne lui oppose aucune résistance, j’espère juste qu’Aurélie ne se réveillera pas. Elle dort sur le côté et ne peut nous voir mais quand même… Je suis complètement allongé, relaxé. Il me masse les globes des fesses, le bas du dos. La paume de sa main revient sur ma raie, j’ai le souffle court. Il écarte mes fesses de manière très douce puis je sens sa langue humide dans le creux de mes reins, qui descend progressivement. La voila s’approchant de mon anneau immaculé. Je ne peux empêcher un petit râle de bien-être que j’essaie d’étouffer car Marie est juste à côté. Ma tête est vers l’extérieur du lit, je vois le corps nu de Max, qui a une belle grosse érection. Je ne vois pas en détail, mais son sexe est bien proportionné. Je ne sais pas si je peux dire que cela m’excite mais j’ai envie de découvrir des choses. Je cambre mes fesses légèrement pour l’inviter à aller plus loin, et c’est à ce moment que je sens sa langue sur ma rondelle.


Il en parcourt les contours puis commencer à fouiller en pénétrant le bout dur de sa langue dans mon intimité. Je pousse mon anus pour le dilater un peu et la langue pénètre plus profondément. Il joue avec un doigt et sa langue. Je commence à perdre la tête car il est doué. Ce sont des sensations que j’apprécie et je n’ai jamais vraiment vécu ça. Je suis décontenancé mais ne veux pas arrêter. Ma main sort de sa léthargie et malgré la position pas très pratique pour moi, je vais chercher la verge de cet Apollon. Max n’est pas très loin de moi, lorsqu’il comprend que je veux l’attraper, il s’approche de ma tête tout en continuant ses actions. Mes doigts attrapent son gland, puis ma main est entièrement sur son sexe. Je le masturbe de haut en bas doucement. Je garde les yeux ouverts dans cette pénombre pour tenter de voir le mieux possible. Il est complètement épilé, son sexe est assez long et surtout large. Il doit ravir les nageuses qu’il attrape régulièrement, si j’en crois ses histoires.


Je pourrais le faire approcher et me relever un peu pour l’attraper entre mes lèvres mais je n’arrive pas à me décider, à passer le cap. Je suis encore bloqué pour être actif comme ça. Mais Max ne s’arrête pas et ses doigts vont sur ma verge et sa langue sur mon périnée. Sa langue va de mon anus vers le bas de mes testicules. Il attrape ma bite par en dessous et me masturbe lentement. Sa deuxième main s’occupe de mes fesses, sa langue est toujours active. J’espère qu’il ne restera pas comme ça longtemps sinon je pourrais souiller les draps. Je le masturbe de plus en plus fort, je sens ses testicules battre sur ma main, je les prends et ils sont tout doux. Il me lèche les couilles, joue avec mes poils et remonte vers mon anus pour recommencer son jeu.


Il s’arrête, se relève, son sexe s’échappe de mes mains. D’un mouvement souple, il me fait me retourner. Je suis à sa merci. Aurélie dort toujours profondément, elle n’a aucune idée de ce que je suis en train de faire. Ou plutôt de ce que son ami me fait. Les lèvres de Max se posent sur mon gland, il sort la langue et parcourt toute la longueur de ma verge jusqu’à la base puis remonte lentement. Arrivé en haut, il recommence avec mon gland puis gobe mon pénis sur une bonne longueur dans sa bouche. Il joue avec sa langue pour me donner une pipe divine. Aurélie ne me suce que très rarement, elle me dit que c’est trop de travail et que cela ne lui plaît que très peu. À de rares occasions, ou lorsqu’elle veut me surprendre, elle veut bien le faire mais c’est très rare, à peine une fois par an maintenant.


C’est donc une sensation que je n’avais pas eue depuis un long moment et que j’apprécie énormément. Il me pompe pendant deux minutes et je sens que je pourrais éjaculer très rapidement, mais je ne veux pas lui faire ce plaisir, je suis bloqué là-dessus, je ne sais pas pourquoi. Il comprend, il pousse sur la gauche de ma hanche, me faisant comprendre qu’il faut que je bouge et sorte de ce lit. Je me laisse guider. Je pose mes deux genoux au sol, mon buste restant sur le lit. Il attrape mes deux hanches et les tire un peu plus vers lui. Je comprends que j’ai la bonne position qu’il attendait. Je sens son bassin sur mes fesses, son sexe fait quelques va-et-vient dans ma raie pour me provoquer. Je comprends qu’il est prêt à me sodomiser. Je n’ai jamais su si je voulais réellement aller jusque là.


Je suis excité, bien sûr, il m’a bien préparé pour ça. Mon érection me fait presque mal tellement je suis à bout. Je passe la main qui a touché son sexe sous mon nez, pour la sentir et cela m’enivre. C’est épicé, excitant. On dirait mon odeur mais un peu différente. Je pose un baiser sur cette main, discrètement, cela ne sert à rien, mais je me dis que mes lèvres ont presque touché son sexe, en tous cas son odeur. Je regrette un peu de ne pas avoir essayé de l’attraper dans ma bouche. Mais ce n’est pas fini, tout est possible. Je pousse mes fesses vers l’arrière comme pour lui dire je suis prêt, prends-moi. Il ne se fait pas prier, attendant ça depuis un bon moment. Il pose son gland sur mon entrée et je pousse mon bassin vers lui.


Mon anus se dilate au passage des premiers centimètres de ce gland. Max ne pousse pas, il me laisse gérer le rythme. Je suis excité, dilaté, j’ai envie qu’il me prenne. J’ai honte de dire ça mais on est dans le noir, ce sera facile à oublier. Je passe mon bras derrière moi, j’attrape son dos et appuie pour qu’il vienne doucement s’empaler en moi. Les centimètres passent, mon cercle intime se détend, s’écarte au passage de ce membre imposant mais lisse. La couronne de son gland est passée, il continue, je suis pris de frissons, mon bas-ventre ressent des choses particulières. Il s’enfonce en moi jusqu’à la garde. Lorsqu’il fait le mouvement inverse, ce sont d’autres sensations intenses. La paroi de mon anus vibre contre ce membre.


Il ressort presque car je sens le gland sortir puis rentrer immédiatement pour repartir au fond de moi plus rapidement. Il accélère le mouvement et j’oscille du bassin pour l’aider, pour l’encourager, lui montrer que je veux qu’il m’encule, qu’il me prenne, qu’il me déflore ce trou. Sa main est sur mon torse, passe sur mes tétons qu’il attrape. Ses va-et-vient s’intensifient, je m’agrippe aux draps, j’ai la bouche ouverte et les yeux rivés sur Aurélie espérant qu’elle ne se réveille pas. Que dirait-elle si elle voyait son mec se faire enculer ? Et en plus, voir qu’il aime ça. Et sans protection, j’ai complètement oublié ce détail, je n’ai plus l’habitude, l’excitation m’a fait perdre la raison.


Max m’attrape les deux épaules et sa pénétration devient plus profonde, plus intense encore, je l’entends à bout de souffle, je sens un frisson et un tremblement dans sa poigne. Sa semence envahit mes intestins, des jets puissants, visqueux. Il continue encore un peu puis se retire, épuisé. Un filet de sperme coule sur ma cuisse. Je me retourne et il est déjà parti dans la salle de bain, sans un mot. Je me couche immédiatement sur le ventre, le sperme s’échappant de moi. Je le touche avec mes doigts, le porte à mon nez pour sentir si son odeur est différente. Je n’ose y goûter, mais j’en ai presque l’envie. Je me repose un instant, mais mon érection est encore très forte et je n’ai pas eu d’orgasme.


Aurélie est couchée sur le côté en chien de fusil. Elle dort en sous-vêtements lorsqu’il y a un invité à la maison, sinon ça dépend des jours mais elle aime bien être naturelle et vu qu’elle a un beau corps, je ne l’empêche jamais d’être nue. Même si cela me donne de terribles envies que j’assouvis souvent en solitaire. Je lui attrape doucement les bras que je pose au-dessus de sa tête sans la réveiller. Avec une seule main, je lui tiens les deux poignets. Puis mon autre main va entre ses fesses. Elle dort toujours, je passe sous la culotte et ma main est sur son intimité, mes doigts sur son clitoris. Je commence un mouvement qui l’excite terriblement, elle ne peut jamais résister, c’est son point faible et je sais en profiter. Ça y est, elle est réveillée.



Là-dessus, elle laisse un petit cri s’échapper. J’intensifie le mouvement, elle essaie de se libérer de mon emprise, mais je la garde et la masturbe. Je sens qu’elle est trempée, son point faible a encore fonctionné. Je sais qu’elle ne peut plus rien faire et qu’elle veut que je vienne en elle. Je continue encore quelques secondes, son souffle se fait rare, elle ne résiste plus, elle se laisse aller mais essaie de retenir ses bruits. Je passe ma bite entre ses fesses et m’en vais trouver ce minou trempé qui veut être maltraité. Je rentre tout seul, jusqu’à la garde et Aurélie pousse un soupir profond. Max est revenu de la salle de bain. Mon va-et-vient se fait rapidement. Aurélie joue avec ses fesses pour que j’accélère et que j’aille au fond d’elle. Max se lève de son lit et s’approche de nous.



Aurélie l’attrape par son boxer, passe la main en dessous et saisit sa verge pour la sortir. Elle la caresse, de haut en bas, lui prend les boules en main. Je la lime furieusement, je la défonce, je mets toute mon excitation dans ce mouvement répétitif mais jouissif.



Le voici à quelques centimètres de son visage. Elle joue avec son prépuce, le masturbe. Je ne faiblis pas. Je vois la taille de ce sexe érigé, que j’aurai voulu moi-même chérir quelques minutes avant. Ce même sexe qui a défloré mon intimité, qui était dans mes fesses peu de temps avant. Ce sexe qui a lâché la semence qui coule encore de mon petit trou. La voici léchant le gland, puis le prenant entre ses lèvres. Puis elle aspire tout et elle taille une vraie pipe à son ami d’enfance. Je croyais qu’elle n’aimait pas ça et la voilà dans un degré de perversion relevé.


Je n’en peux plus, je lâche un râle et mon foutre envahit son vagin. J’avais du stock en réserve, vu l’excitation de la journée et ce qui vient de se passer. Ça n’en finit pas de sortir de moi pour remplir ce vagin qui semble excité au point d’être insatiable. D’habitude je sors et j’éjacule sur son ventre. Elle ne prend pas la pilule. J’espère que cela n’aura aucune répercussion. Lorsque je ressors, un peu de ma semence coule sur ses cuisses. Elle continue à sucer cette belle verge qui était dans mon cul il y a vingt minutes.


Max a le souffle coupé à son tour puis il ressort de la bouche et se masturbe tout seul et éjacule avec de longs jets sur le visage d’Aurélie, sur son flanc. Elle en redemande et va chercher les gouttes qui s’échappent de cette verge. Je sens quelques gouttes chaudes sur moi. Quelle puissance pour une deuxième éjaculation en une demi-heure ! Max a recouvert Aurélie de sperme autant que mes fesses et Aurélie a le mien en elle qui coule sur ses cuisses. La voilà totalement calme après la tempête de sexe et de foutre qui vient de se déverser sur elle. Max est reparti sur sa couchette et on s’endort comme ça, dans la quiétude du plaisir assouvi.


Je me réveille et j’entends la douche. Je vois Max préparer le petit déjeuner. Je sens plusieurs endroits du lit humides, le sperme a fait des taches un peu partout. Aurélie sort de la salle de bain en pleine forme, l’air niais, apparemment il ne s’est rien passé la nuit dernière. Je ne dis mot. J’enfile un slip et je vais m’asseoir. Je sens une petite douleur dans mes fesses, mais je trouve ça plutôt excitant, surtout que c’est encore moite et collant là-dedans. Une demi-heure plus tard je suis au travail. Impossible d’avoir une pensée concentrée sur ce que je suis censé faire. Je repense sans cesse à ce dimanche loin d’être commun. Il m’a marqué à tout jamais je pense.


Je rentre plus tôt, c’est une petite journée. Vers cinq heures je mets la clé dans la serrure. Max et Aurélie sont en train de boire un verre et de discuter avec une invité surprise, Marie, la nageuse sur qui j’ai fantasmé. Je suis surpris de voir tout le monde à cette heure-là de la journée, je ne pose pas de questions. Max fait les présentations. Je sors une bouteille pour fêter cette rencontre. Aurélie nous laisse peu après pour aller à ses cours de gym. Elle fait beaucoup de sport, son corps la remercie. Et moi aussi car elle est vraiment jolie.


Je ne sais pas si c’est une bonne idée de laisser son mec, son meilleur ami et une jolie sportive chez soi. Ou si c’est voulu de sa part. Mais c’est à ce moment-là que mon cerveau commence à avoir du mal à réfléchir. Marie s’excuse et va aux toilettes.



Je me sens un peu gêné mais je joue le jeu.



Dès que Marie revient, Max enfile son manteau et prétexte un rendez-vous avec un pote. Il propose à Marie de rester si elle souhaite. Son verre n’étant pas vide elle dit qu’elle souhaite terminer et verra ensuite. Je suis donc seul dans mon appart’ avec une fille qui m’a fait fantasmer et tourner la tête depuis que je l’ai vue.



Ne voyant pas de réaction de ma part, toujours estomaqué par la situation, elle prend le temps de se lever de sa chaise et vient vers moi poser ses lèvres contre les miennes. Elle s’assied sur mes genoux, passe les bras autour de mon cou et revient m’embrasser goulûment, fouillant ma bouche avec sa langue. Je continue le mouvement et ne reste pas de marbre. Cela fait déjà un long moment que mon entrejambe est tout dur, excité à l’idée de voir cette déesse dans mon appart’.


Je dois avouer qu’à cet instant, je me fous d’Aurélie, vu ce que j’ai vu la nuit avant, vu ce que m’a dit Max. Je me dis que Marie est un ange tombé du ciel et que cela ne serait pas respectueux de la laisser sans plaisir. Elle descend la main, la pose sur l’énorme bosse qui déforme mon pantalon, ouvre la braguette et en sort mon chibre tout rougi d’excitation. Elle arrête de m’embrasser et va s’occuper de son nouvel ami.



ooo000ooo



Six mois ont passé depuis cette histoire. De l’eau a coulé sous les ponts et des changements ont eu lieu. J’ai quitté Aurélie, je ne pouvais plus décemment la regarder en face. Et je ne pouvais même plus me regarder en face non plus. J’avais compris que ma vie était arrivée à un cap, qu’il fallait l’affronter et accepter le changement. Cela n’a pas été difficile puisque je suis parti avec Marie. Qui m’a expliqué sa vie, le regard des autres sur elle, etc. Oui elle a beaucoup vécu mais ne cherchait finalement que l’amour mêlé de passion et de tendresse. Je lui ai offert tout ça.


J’ai emménagé directement chez elle et elle ne le sait pas encore, mais je la demande en mariage samedi prochain. Je sais que c’est la bonne, que l’on pourra traverser toutes les étapes ensemble. Je lui ai tout avoué, même mes instants torrides avec Max. Elle m’en a raconté des vertes et des pas mûres sur ses expériences, mais c’est ce qui a soudé notre couple. Cimenté notre relation. Bien sûr on a tous notre jardin secret, mais avouer des choses inavouables nous a aidé à nous faire mutuellement confiance, à croire en l’avenir ensemble.


La vie à deux, avec Marie, est un pur bonheur. Sexuellement, je n’ose dévoiler plus de notre intimité, mais elle est déjà enceinte de trois mois. Heureux nous le sommes devenus ensemble.