n° 16488 | Fiche technique | 38216 caractères | 38216Temps de lecture estimé : 23 mn | 29/10/14 |
Résumé: Sandrine, ma seconde épouse, a eu une aventure avec un client. Elle l'a invité à la maison... | ||||
Critères: f fhh extracon cocus fépilée hotel fdomine cérébral voir exhib miroir hmast intermast fellation anulingus double sandwich fsodo -couple+h -cocucont -hbi | ||||
Auteur : Tito40 Envoi mini-message |
Ma seconde épouse, Sandrine, aime faire l’amour. Elle n’est pas nymphomane, non. Une nymphomane ne prend plaisir à rien et cherche en permanence toujours plus. Sandrine aime son corps, aime se regarder, aime qu’on la regarde. Et avant tout elle aime le plaisir que son corps lui procure. Les mecs se vantent de leurs aventures et aiment à feindre ne même plus se rappeler combien de nanas ils ont sautées dans leur vie. Le plaisir qu’ils ont pris ? Ils n’en parlent que peu.
Le plaisir de posséder, de faire céder, de foutre à poil et de sauter oui. C’est ça qui compte. Sandrine elle se souvient de chaque moment et en parle avec passion. Elle sait vous décrire avec précision ses émotions, ses joies et ses peines. Elle revit ses aventures devant vous, sans complexe, sans faux-semblant. Elle énumère les plaisirs qu’elle a pris et souvent elle sait d’où le plaisir venait. La taille du sexe, bien sûr, mais elle m’a raconté une soirée dingue avec un mec qui ne bandait même pas et pourtant elle avait pris un pied énorme. C’est parfois la tendresse, parfois la brutalité. Il arrive que des ébats brefs la comblent, mais aussi que des galipettes qui durent des heures soient dans le top de ses souvenirs. Bref elle vit l’instant en en tirant le maximum. Elle ne se moque jamais de ses ex et au contraire leur attribue des qualités qui vont bien au-delà, à ses yeux, de leurs simples performances.
Le pouvoir qu’elle exerce sur ces hommes qui la veulent au bout de leur queue fait partie de ses plaisirs. Ceux-là, elle aime les posséder, les faire attendre, les frustrer puis les faire exploser. Elle les contrôle, elle les manipule. Ils croient la posséder mais c’est elle qui les possède, c’est elle qui joue.
Et parfois c’est du tout cérébral, du tout dans la tête.
Elle m’a raconté une soirée vieille d’une dizaine d’années où elle s’était retrouvée dans le salon de lecture d’un vieux bourgeois érudit. Il lui avait lu des textes érotiques du dix-huitième siècle. Il avait fait assoir Sandrine face à lui dans un fauteuil. Il lui avait demandé de vivre le texte pour lui, de se laisser aller. Elle lui avait fait confiance. Elle avait remonté sa robe, ôté sa culotte, écarté ses jambes, et s’était masturbée en l’écoutant. De temps en temps il la regardait, mais dans les yeux. Elle s’était branlé le clito, s’était introduit des doigts dans la chatte, s’était caressée sans retenue jusqu’à jouir. Son extase, me dit-elle, avait duré très longtemps, plusieurs minutes sans doute. Elle avait recommencé plusieurs fois. Le vieux avait terminé le bouquin et Sandrine en avait vécu chaque scène avec envie. La voix du vieux était ce sexe qu’elle sentait en elle.
Depuis qu’elle a compris mon aspiration profonde au candaulisme, nous sommes parfaitement en phase. Les aventures passées qu’elle me raconte m’excitent terriblement. J’aurais voulu être là pendant la lecture, pendant chaque situation chaude qu’elle a vécue.
Mais nous avons aussi nos propres histoires. Nous ne cherchons pas, ça vient tout seul. Elle n’allume pas spécialement, et il n’est pas écrit sur son front qu’elle est open. Mais allez savoir pourquoi, elle attire les hommes. Enfin moi je sais pourquoi. Il y a toujours quelque chose dans sa tenue ou dans son regard qui vous réveille si vous étiez assoupi. Elle est bandante. Elle sent le sexe à plein nez. Pourtant elle n’a pas une allure de salope. Peu de maquillage, tenue toujours sobre et décontractée. Pas le style de la bimbo qui n’attend qu’une queue.
En rentrant du boulot un soir de la semaine dernière, Sandrine me raconte qu’un prospect l’a particulièrement draguée. Il était un peu lourd, mais assez beau mec. Il n’a pas arrêté de faire des allusions à son physique « malgré son âge », l’a complimentée largement et n’a pas raté une occasion de la frôler pendant la visite. Bref il avait le couteau entre les dents. Il est allé jusqu’à la raccompagner à sa voiture. Sandrine était restée jusque-là assez distante et professionnelle, feignant de ne pas saisir les sous-entendus du mec. Elle est montée dans sa voiture tout en discutant. Elle n’a pas empêché sa robe de remonter un peu sur ses cuisses. Elle s’est ensuite penchée vers sa gauche pour attraper la porte, ce qui a eu pour effet d’ouvrir un peu le haut de son chemisier. Elle a tenu cette position le temps qu’il aperçoive ses jolis petits seins libres de toute contrainte. Quand le regard du mec s’est clairement plongé dans son décolleté, elle a elle-même baissé la tête, a fait son air surpris, et lui a dit :
Sans attendre de réponse, elle a fermé sa porte et baissé sa vitre pour lui dire au revoir, en lui faisant un clin d’œil. Elle m’a raconté ça en se marrant, fière d’avoir troublé ce branleur. Ah, je ne fais pas mon âge ? Et mes nichons ?
Jamais elle n’a joué de ses charmes pour faire une affaire, c’est sa limite. Alors, tant qu’elle a une relation d’affaires avec lui, il peut toujours se brosser. Il arrive que lors de ses déplacements elle doive rester à l’hôtel pour une ou plusieurs nuits. Elle avait terminé un rendez-vous par la signature d’un contrat. C’était sa troisième visite chez ce client et elle était particulièrement ravie d’avoir enfin conclu. Lorsqu’elle est partie, son client lui a demandé si elle rentrait directement. Elle lui a indiqué que non, qu’elle allait dormir à l’hôtel de Navarre, car elle avait d’autres rendez-vous le lendemain dans le coin. L’empressement de ce client depuis leur première entrevue était assez visible. Toujours très poli, il ne s’était pas privé de la complimenter à chaque fois sur son physique et sur sa tenue, lui avait posé beaucoup de questions personnelles et lui avait raconté sa vie. Divorcé, il vivait seul. Il voyait ses enfants un week-end sur deux et passait son temps à faire du sport la journée et dans les boîtes la nuit.
Quand Sandrine lui a dit qu’elle restait à l’hôtel de Navarre, il a tenté sa chance et lui a demandé si elle accepterait une invitation à dîner. Sandrine a fait mine d’hésiter, puis a accepté, ajoutant que ça lui éviterait une soirée d’ennui seule devant la télé. Comme Sandrine allait directement à l’hôtel, Pascal lui a alors proposé de la suivre pour aller dîner directement et ainsi avoir du temps pour discuter. Sandrine a accepté. Elle m’a appelé depuis sa voiture en roulant, me racontant tout ça et me disant que Pascal tenterait sans doute de la mettre dans son lit avant la fin de la soirée. L’affaire était déjà faite, il n’y avait pas de mal.
Sandrine a récupéré ses clés mais n’est pas allée déposer ses affaires dans la chambre. Ils sont allés dîner directement. Durant le repas, il s’est montré attentif, sympa, la regardant avec tendresse et ne consultant jamais sa montre. Il semblait bien avec elle. Elle appréciait sa compagnie. Il avait une conversation intéressante et beaucoup d’humour. Sandrine l’a fait parler sur ses aventures, sur ce qu’il aimait chez les femmes et sur ce qu’il aimait moins. Elle lui a confié qu’elle n’avait aucun problème avec son corps, qu’elle aimait les caresses, qu’elle aimait les hommes. Ça l’a un peu stressé. Les hommes ont peur des femmes dites « libérées », pensant qu’ils seront incapables d’atteindre leur niveau d’exigence. Sandrine l’a bien senti à la gêne qu’il a montrée.
Ils avaient terminé leurs cafés depuis un moment quand Pascal a lancé :
Sandrine l’a remercié à son tour, s’est levée, et quand ils se dirigeaient vers la sortie, lui a dit qu’elle devait récupérer sa valise. Pascal l’a suivie jusqu’à sa voiture, a sorti la valise du coffre et lui a proposé de la lui monter dans sa chambre. Sandrine a saisi la balle au bond.
Pascal ne s’est pas fait prier. Il s’est saisi de la valise et a suivi Sandrine jusqu’à la chambre. À peine la porte refermée, elle l’a embrassé. Sans quitter ses lèvres elle a déboutonné son pantalon et sorti sa queue déjà en forme. Elle s’est agenouillée pour le sucer. Il s’est vite retrouvé le pantalon sur les chevilles, allongé à même le sol, sa queue prise en bouche et ses couilles massées avec passion. Quand il a voulu qu’elle arrête pour le laisser respirer, elle a au contraire accéléré pour le faire cracher son foutre et se contorsionner de plaisir.
Honteux, il s’est excusé. Sandrine l’a regardé avec tendresse, s’est relevée, et s’est déshabillée devant lui. Elle s’est dirigée vers le lit pour prendre place, allongée sur le dos, les bras derrière la tête. Il s’est relevé, a quitté ses vêtements et est venu la rejoindre. Ils se sont caressés, embrassés, explorés. Pascal a retrouvé de la vigueur. Sandrine l’a baisé dans toutes les positions, alternant les assauts violents et la tendresse, le prenant dans sa bouche, dans sa chatte, dans son cul, entre ses seins, entre ses cuisses. Elle lui a fait la totale, lui arrachant des râles continus. Il était habitué aux coups rapides les soirs en boîte, aux pipes volées dans les toilettes et aux putes sans âme. Là il avait une vraie femme, affamée, attentive à prendre un maximum de plaisir en jouant avec leurs deux corps, cherchant la dernière énergie dans chaque mouvement. Ils ont dormi par intermittence, Sandrine réussissant à le faire bander à nouveau plusieurs fois dans la nuit. Il est reparti les couilles vides et sèches, avec une invitation à la maison pour le samedi suivant. Sandrine ne lui a pas parlé de moi, il a sans doute compris qu’ils seraient seuls tous les deux.
J’attendais avec impatience ce samedi. Sandrine était toujours sur la route et n’est rentrée que le vendredi soir tard dans la nuit. J’avais eu le temps d’imaginer et de broder autour de ce qu’elle m’avait raconté au téléphone.
Samedi ma chérie s’est faite belle. Coiffeur, esthéticienne, manucure. Le grand jeu. Elle a commandé des plats fins chez un traiteur pour s’éviter de cuisiner. Et de toute façon il ne venait pas pour manger. Enfin pas de la nourriture.
J’ai quitté la maison à 18 h 30, Pascal devant arriver vers 19 h. En balade dans la campagne alentour, je me suis arrêté plusieurs fois pour observer ces beaux paysages de notre région. J’attendais avec impatience le SMS de ma chérie qui me préviendrait que les hostilités avaient démarré. Je n’étais pas spécialement pressé. Ils devaient dîner tranquillement. Lorsque le SMS de Sandrine est arrivé, j’étais à une dizaine de kilomètres. Je me suis mis en route immédiatement. Le message était bref et clair :
On a dîné. On va dans la chambre d’amis.
Je me suis garé dans le parking souterrain de notre immeuble. L’ascenseur conduit directement à notre appartement au dernier étage. Nous avons la chance d’habiter un vaste logement doté d’une large terrasse avec vue imprenable sur la ville. Entré discrètement, j’ai ôté mes chaussures avant de me diriger vers le couloir qui conduit à la chambre d’amis. La chambre n’est pas très grande, mais depuis le couloir, pour peu que la porte soit ouverte, on peut voir l’intérieur par le miroir de l’armoire au fond de la pièce. La seule lumière dans l’appartement venait de cette chambre. Je me dirigeai dans la pénombre jusqu’à une position me permettant de me rincer l’œil. Et là je vois.
Le gars est allongé, nu, le dos calé sur les oreillers. Plutôt musclé, il a quand même un peu de bide. Il est assez velu et parle beaucoup. Sandrine a encore son string dentelle. Elle est à genoux entre les cuisses de Pascal, lui caresse le sexe, lui donne des coups de langue. Elle a passé une main sous les fesses de son amant et entreprend de le sucer consciencieusement. Une belle pipe bien baveuse comme elle sait faire. Pascal semble aimer ça. Il remonte son bassin à chaque fois qu’elle gobe sa queue pour la loger le plus loin possible. Je me branle dans le couloir, cette scène est insoutenable de luxure, d’érotisme, de sexe brut.
Il se retire, elle se recule.
Sandrine s’est redressée. À genoux face à lui, elle se caresse les seins en ondulant du bassin.
Elle se retourne, s’allonge sur le ventre, face au miroir. Elle doit me chercher du regard, m’imaginer dans la pénombre. La lumière qui sort de la chambre est trop faible pour venir jusqu’à moi. Je suis invisible. Elle au contraire est rayonnante de beauté, elle irradie la pièce. Elle la remplit de sa beauté.
Pascal s’est agenouillé derrière elle, il lui masse le dos. À chaque montée vers les épaules de Sandrine, il frotte sa queue contre ses fesses. Elle est effectivement impressionnante sa queue. Le diamètre surtout, mais aussi la forme protubérante de son gland. Il s’active, la malaxe avec douceur et fermeté, ses gestes sont lents, précis. Il caresse ses flancs, serre ses fesses l’une contre l’autre puis les écarte. Sa queue vient frotter et refrotter les fesses de Sandrine et lorsqu’elles sont écartées elle se glisse dans le sillon. Sandrine relève les fesses à chaque incursion. Elle a passé une main sous son ventre et je devine qu’elle se masturbe. J’ai ralenti ma branlette pour ne pas tacher la moquette mais je suis au taquet.
De longues minutes de massage, qu’il étoffe de bisous dans le cou quand il remonte. Il lui demande de se retourner. Sandrine sait que je ne verrai plus grand-chose de son corps dans cette position, alors en se retournant elle fait un quart de tour pour se montrer de profil au miroir. Elle tourne la tête pour observer son reflet et sans doute aussi pour me chercher à nouveau. Pascal a pris position entre ses jambes qu’il a relevées en lui pliant les genoux. Il a une vue imprenable sur son sexe fraichement épilé. Juste un ticket de métro au-dessus, mais une peau imberbe autour des lèvres comme dans sa raie. Pas un poil inopportun pour cacher quoi que ce soit. Je connais évidemment son intimité par cœur. Sandrine n’a plus une chatte de jeune fille bien évidemment. Ses lèvres sont un peu distendues, mais ce n’en est que plus obscène. Elle porte les stigmates d’une vie sexuelle bien remplie, des innombrables bites qui sont venues profiter de son hospitalité. Elle a un corps fait pour l’amour, et une chatte assortie.
Pascal se délecte de cette vue et poursuit son massage, profitant là aussi de ce qu’il remonte le long du corps de Sandrine pour frotter sa queue entre ses cuisses. Il vient percuter son clito, balader sa tige à l’intérieur de ses cuisses. Sandrine a les bras tendus derrière la tête et savoure le moment. Elle tourne la tête de temps en temps vers le miroir et ajoute au spectacle son sourire de salope.
Le plan, c’est que je dois rentrer à l’improviste quand bon me semblera. Il me semble que je dois officiellement arriver quand il sera allé trop loin pour avoir envie de faire demi-tour. Je vais donc attendre un peu, je sentirai le moment propice. Pascal vient de saisir Sandrine par les hanches pour la soulever. Elle a compris la demande et se met à genoux, gardant sa tête au contact du lit. Elle a le cul en l’air. Il regarde son cadeau tout en se branlant légèrement. Je sais ce qu’il voit, j’enrage de manquer le spectacle. Le profil c’est bien mais j’aurais aimé, pourquoi pas, quelques caméras dans différents angles, pour ne rien manquer.
Pascal entreprend de la bouffer avec gourmandise. Il a sorti sa langue pour la lui glisser entre les fesses. Sandrine se masturbe à nouveau pendant qu’il lui mange le cul. Je ne vois pas ses doigts mais les mouvements de sa main sont explicites. Le mec est affamé. Il grogne comme un chien qui dévore sa gamelle. Sandrine couine :
Pascal est réactif. Sans retirer sa langue, il lui passe une main entre les cuisses et la fourre. Sandrine explose littéralement, criant son extase et se jette à plat ventre, repue.
Tant pis pour la moquette. Je me suis laissé aller moi aussi. Sandrine reprend ses esprits, se redresse et invite son amant d’un soir à s’allonger sur le dos. Elle a de la suite dans les idées ma chérie. Il est pile dans l’axe de l’armoire. Je vois ses plantes de pied et sa queue qui dépasse. Je vais même pouvoir m’approcher davantage quand Sandrine sera sur lui. Elle le suce d’abord un peu, pas pour le revigorer car il est toujours bien raide, mais pour se faire plaisir. Elle adore sucer.
Nous y voilà. Elle relève une jambe pour le chevaucher, passe une main sous elle pour se saisir du gros chibre. Elle se le frotte entre les cuisses, entre les lèvres, entre les fesses, le fait languir, le branle en même temps. Le cul de Sandrine est superbe. Quand elle est sur moi je regrette de ne pas la voir de dos et quand elle est de dos, il me manque la vue de face. Là j’ai les deux. Son visage magnifique, ses seins gonflés, son ventre si doux, je les ai dans le miroir. Son cul je le vois de face, écarté et offert. Elle s’empale enfin d’un seul mouvement très lent. La queue disparaît dans son vagin trempé. Elle est dressée, droite, les mains sur les seins. Elle entreprend un lent mouvement de va-et-vient. Je vois les muscles de ses fesses se contracter au rythme de ses mouvements. Pascal a redressé ses genoux pour accompagner le mouvement et la prendre le plus profond possible. Ses couilles viennent au contact des fesses de ma femme. C’est beau. Je voudrais approcher plus encore, sentir les odeurs, entendre mieux les bruits. C’est le moment.
Quand il est arrivé Sandrine devait simplement lui dire que j’étais absent. Elle ne lui a pas dit si je devais rentrer ou pas. En tout cas c’est ce dont nous avions convenu. Je retourne à pas de loup vers l’entrée, renfile mes chaussures, ouvre la porte en silence. J’entends Sandrine gémir au fond du couloir. Je bande comme un âne. Je claque la porte sans exagérer et remonte le couloir sans masquer les bruits de mes pas.
À mon arrivée, Sandrine est toujours sur lui. Elle a stoppé ses mouvements. Elle me regarde dans le miroir.
Pascal n’a pas bougé. Il doit être pétrifié. Sandrine a posé ses mains sur le torse du chanceux et les promène en lui titillant les tétons tout en me parlant.
Pascal n’a toujours pas bougé et aucun son n’est sorti de sa bouche. Sandrine s’allonge sur lui, lui prend le visage entre les mains et cherche sa bouche. Il ne se dérobe pas. Leurs langues se mélangent, leur salive coule. Sandrine a repris ses mouvements, levant son cul jusqu’à ce que le gland de son baiseur apparaisse et descende lentement jusqu’à la garde. C’est fascinant. Elle le baise. Ses fesses s’écartent et se resserrent, elle le griffe, elle le lèche.
J’ai ôté ma veste et pris place sur le bord du lit. Je les vois maintenant de profil. Je sens beaucoup de tendresse dans leurs caresses mutuelles. C’est fou mais j’ai encore plus de plaisir à la regarder qu’à la baiser moi-même. Ce que je vois dépasse de loin tout ce que je peux ressentir en lui faisant l’amour. Je la baise par procuration. C’est « licence to fuck my wife » en quelque sorte.
Pascal vient de me jeter un regard inquiet. Je lui souris, paisible.
La gêne s’est estompée. Pascal a repris ses mouvements tout en traitant Sandrine de salope :
Sandrine ne veut pas l’entendre, elle veut juste baiser. Elle reprend sa bouche et le gratifie d’une pelle d’enfer. Il cède. J’ai quitté mes vêtements pour être plus à l’aise. Je continue de les observer tout en me masturbant. Sandrine s’interrompt, se redresse, me regarde. Je la sens venir. Elle vient jusqu’à moi à genoux, se saisit de ma queue, la prend dans sa bouche. Elle me suce divinement bien la coquine. Sa langue est chaude, ses mains sont douces. Elle doit savoir que j’ai déjà craché, au goût de ma queue. Pascal n’a pas osé bouger. Il a les yeux rivés sur ce cul magnifique dont il connait les détails intimes. Je sais ce qu’elle veut. Il semble ne pas comprendre. Je lui fais signe. Enfin il se décide. Il parcourt lui aussi les quelques dizaines de centimètres qui le séparent du fruit défendu, la queue à la main.
Il pointe son gland dans la fente et enfin s’introduit. Je sens la tête de Sandrine presser mon ventre quand il entre. Elle relâche ma queue un instant, dans un frisson, et reprend son travail. Son partenaire la bourrine enfin, lentement et profondément. Elle gémit sur ma queue, accélère sa sucette. Je suis aux anges. Nous le sommes visiblement tous les trois. J’ai passé mes mains sous son torse et je lui malaxe les seins. Toutes ses zones sensibles sont mises à contribution, enfin presque toutes. Sandrine va jouir, je le sens. Elle respire de plus en plus vite, se contracte. Ses dents me râpent le gourdin, elle me mord, me griffe les couilles et enfin elle se laisse aller à l’extase. Superbe. Violent.
Sandrine me tire les jambes pour que je m’allonge complètement. C’est elle qui dirige. Je sais ce qu’elle veut. Son amant est coopératif et elle veut en profiter. Je me déplace, m’allonge sous elle. Sandrine me grimpe, se saisit de ma queue tendue et vient se la loger dans la chatte, sans fioritures. Je sens la chaleur intense de sa chatte, déjà bien ramonée par mon collègue de baise. Elle est bouillante, trempée. Ses muscles se serrent sur ma queue. Elle me branle en bougeant son petit cul et en serrant son vagin. C’est trop bon. Je savoure. Je la laisse faire. Pascal est resté à genoux et nous regarde. Je ne sais pas s’il a déjà participé à un trio mais il a l’air bien gauche. Il aurait déjà dû s’approcher au lieu de seulement observer. Ça me va bien de dire ça. Si Sandrine n’avait pas cherché mon contact, je serais resté spectateur de son plaisir sans y participer. Enfin lui, il est là pour servir, pas pour mater. Il va se décider oui ou merde ?
Sandrine accélère, elle ne s’occupe pas du mateur. Elle me baise avec tendresse et fougue. Puis stoppe son mouvement. Sa tête posée dans mon cou, elle passe ses mains sur ses fesses et les écarte. Je vois dans le miroir sa main droite progresser vers son anus. Elle se doigte devant lui, la salope. Elle a enfoncé une phalange de son index dans son cul. Pascal regarde, interdit. Il s’astique le manche devant ce spectacle inouï. Sandrine gémit, Elle serre et desserre son vagin à chaque aller-retour de son doigt dans son petit trou. Je ne suis qu’un objet. Elle prend son plaisir sans s’occuper de nous.
Pascal réagit enfin, se penche pour lui lécher le cul, sucer le doigt qui encule, tourner autour de l’anus pour exciter tous les sens de Sandrine. Elle souffle chaud quand il s’active, grogne de plaisir. Enfin il se redresse et s’approche. Je m’attendais à ce qu’il l’encule directement mais non, il enfonce un pouce dans le cul de Sandrine et guide sa queue contre la mienne, il frotte son gland contre ma tige. Je le croyais timide mais il se lâche. Il a envie d’essayer. Il me touche les couilles, me branle la base de la queue. Oh ! merde je ne m’attendais pas à ça, mais j’adore. Ma femme me presse le gland dans son vagin et lui m’astique la partie à l’air libre. C’est trop bon.
Sandrine remonte sur moi, dégageant ma queue quasiment jusqu’au gland. Pascal récupère ma queue dans sa main, Sandrine doit sentir qu’il s’en est saisi et se retire complètement. Pascal me branle maintenant franchement, frottant mon gland contre la chatte trempée de ma femme. Je ne sais plus où j’habite. Je laisse faire, je découvre, je me sens bien. Il est finalement entreprenant. Il passe ses jambes sur les miennes pour approcher sa queue. Il a maintenant sa queue et la mienne l’une contre l’autre et nous branle de concert. C’est terrible. Non seulement je ne sais plus où j’habite, mais je ne sais même plus où est ma bite.
J’ai compris ce qu’il veut faire, mais ça ne fonctionnera pas. Encore que. Il pointe nos deux glands dans la fente de Sandrine qui n’attendait que ça et la laisse faire la suite. Elle descend tout doucement. Pascal serre nos queues l’une contre l’autre, et encourage Sandrine.
Elle s’empale sur nos queues. Ça a du mal à rentrer mais ça va le faire. Nos glands sont compressés, joints, et s’enfoncent tout doucement. C’est divin. Sandrine force un peu, râle de plaisir, remonte et redescend plusieurs fois jusqu’à ce que Pascal retire sa main pour qu’elle prenne nos deux queues bien à fond. Deux bites c’est mieux qu’une grosse. Il y a deux hommes à prendre leur pied au lieu d’un égoïste.
Pas pratique, cette position ne nous laisse que peu de liberté de mouvement, ça se savoure en statique pour nous, mais ça n’empêche pas Sandrine de se déchainer. Elle exulte et se sert de nous au maximum.
Pascal vient de dire stop. Il n’en peut plus. Je ne sais pas s’il était au taquet ou si la position est trop inconfortable. Peu importe. Il se recule, me laisse cette magnifique chatte pour moi tout seul, prend position sur les genoux et revient entre les fesses de Sandrine. Elle a remis ses mains en arrière pour écarter ses miches et lui montrer le chemin.
Pascal est prêt à la prendre et Sandrine n’attend que ça. Il lui caresse encore un peu la rondelle et crache plusieurs fois dessus avant de pointer son gland sur son anus. Sandrine recule son cul et se fige, attendant la queue avec impatience. Plusieurs fois je sens des poussées infructueuses à la pression qu’exerce la tête de Sandrine sur mon torse, puis vient enfin la libération. Sa queue s’engouffre profondément, arrachant un cri de douleur à ma douce, mêlé à des souffles de satisfaction chauds et doux. Il l’encule. Elle se fait défoncer le cul. Il l’avait déjà baisée comme ça à l’hôtel et elle avait adoré, mais elle a en plus ma queue bien dure dans la chatte. Je sens du mouvement dans le vagin, des secousses, des pressions. C’est une sensation extraordinaire, nouvelle, intense.
Pascal s’arrête de temps en temps pour reprendre son souffle et reprend son pilonnage. Ça pourrait durer des heures tellement c’est bon.
Seule Sandrine parle. Pascal et moi sommes dans l’onomatopée. Ah ! Oh ! Grrr ! Tout y passe.
Sandrine se recule, ma queue sort, je sens l’air frais. Elle a passé ses mains derrière elle pour saisir Pascal par les hanches. Elle le repousse en arrière pour qu’il se mette sur le dos. Dans un mouvement fluide ils se retrouvent allongés tous les deux. Je me redresse. Sandrine relève les cuisses et saisit ses genoux pour les maintenir écartés. Pascal a assez travaillé. Elle veut me voir à l’œuvre maintenant. Je me redresse et saisis son regard, lubrique, chaud. Je viens sur elle et la pénètre tout doucement.
Son cul est très haut, surélevé par Pascal qui n’a pas bougé. D’abord en appui sur mes bras, je lui bourre la chatte avec tendresse, en profitant pour la regarder, pour l’embrasser, pour prendre sa langue dans ma bouche. Mais je ne peux plus la toucher, ça me manque. Alors je me couche sur elle. Elle supporte le poids de mon corps mais mes mouvements ont ralenti. Je l’embrasse dans le cou en lui caressant les flancs. Je ne me préoccupe pas de devoir aussi frôler la peau de Pascal. Il m’a bien touché la queue, il peut bien supporter ma peau sur la sienne. J’embrasse Sandrine dans le cou, je la pourlèche, je la suce. Elle geint.
Elle tortille son cul plein d’une queue et compresse son vagin plein de la mienne.
Ses cris décuplent nos ardeurs. Je croise le regard de Pascal en sortant du cou de ma chérie. Nous nous regardons un instant dans les yeux, heureux de partager ma femme. Pascal sourit, il a la bouche légèrement ouverte et se passe la langue sur les lèvres. Je continue de le regarder. Je viens lécher le cou de Sandrine tout près de sa langue à lui. Il tourne un peu la tête pour poser sa langue lui aussi sur la peau de Sandrine. Nos langues se touchent. Je lèche sans me préoccuper de ce qui est sous ma langue et me retrouve rapidement à lécher la joue de Pascal qui ne se dérobe pas. Aurais-je une autre occasion d’essayer quelque chose de nouveau ?
Je décide d’arrêter de tourner autour du pot. Je pose ma langue à l’angle des lèvres de Pascal qui a toujours la bouche ouverte et la langue dans le cou de Sandrine. Il tourne légèrement sa tête vers moi en signe d’approbation. Je l’embrasse franchement, comme on embrasse une femme, sauf qu’il pique, le con. Mais j’aime ça finalement. Ce que je ressens doit ressembler à ce que ressent ma femme quand je lui roule une pelle. La langue d’un mâle dans ma bouche, la mienne dans la sienne, tout ça me fait vite monter dans les tours et je ne me retiens plus, je me secoue dans la chatte de Sandrine et je bouffe la bouche de son amant. La pression dans ma queue est gigantesque, j’explose et hurlant, je jouis comme un porc. Redressé sur les bras je gicle, je souffle, je profite de cet instant intense. Merci, mon amour. Je suis vidé. Et plein aussi.
Sandrine se dégage, se recule, s’allonge sur le dos, écarte les cuisses, écarte les bras. Il l’a pour lui tout seul maintenant. Il la rejoint, s’allonge sur elle, la prend tout doucement, s’enfonce en elle. Elle a remonté ses jambes derrière le dos de Pascal et relevé ses fesses autant que possible. Elle le serre dans ses bras, le caresse. Ils ne baisent plus, ils font l’amour. Pascal l’embrasse, elle sort sa langue, indécente, délurée, chaude comme la braise, puis quitte sa bouche, pose sa tête dans le cou de Pascal, l’invite à s’enfoncer plus profondément.
Il imprime de petits mouvements brusques, lui pilonnant la chatte, elle adore ça on dirait. J’observe, je scrute, je ne suis plus qu’un spectateur attentif, amoureux, invisible. Sandrine jouit et le lui fait savoir. Elle le lui répète plusieurs fois, lui demande de ne pas s’arrêter. Pascal continue de la baiser un moment et quand il la sent se crisper et trembler, il accélère le mouvement. Elle lui demande de ne pas s’arrêter. Il ne s’arrêtera plus, il râle, grogne, lui tape dans la chatte avec ferveur et se laisse emporter par sa jouissance. Il ferme les yeux, ouvre la bouche, se crispe quand il lâche sa salve, ressort et entre à nouveau sa queue bien au fond. Ils restent un long moment enlacés, Sandrine avec ses jambes autour de la taille de son amant planté au fond de son vagin plein de sperme.
Ils récupèrent, lentement, puis se séparent, fourbus. Nous nous retrouvons allongés tous les trois côte à côte, Sandrine au bord du lit, Pascal au milieu, et moi à l’autre bord. Nos corps se touchent. Je sens la sueur de Pascal, sa peau contre la mienne. Sandrine s’est blottie contre lui, a passé une jambe sur les siennes, elle lui caresse le torse. En silence. Pascal a les mains sous la tête. J’ai posé mes mains sur mon ventre.
Quelques longues minutes de repos pendant lesquelles je me refais la scène, heureux de ce que j’ai vu, heureux de ce que j’ai vécu. Sandrine continue de le caresser, s’approchant tout doucement de sa queue. Je la vois se pencher vers moi. Elle m’attrape une main, je me laisse faire. Elle tire ma main vers le corps de Pascal. Elle veut que je le touche moi aussi !
Je n’ai jamais touché un homme, enfin pas comme ça. Mais si c’est ce qu’elle veut, alors essayons. Je pose ma main à plat sur le ventre de Pascal mais je ne bouge pas. Sandrine s’impatiente. Elle tire ma main vers le bas. Elle veut que je lui prenne la queue. Alors allons-y. Je retire ma main gauche pour me mettre moi aussi de côté, passe ma main droite sur la cuisse de Pascal, je le caresse. Je remonte vers sa queue qui commence à gonfler. Sa bite circoncise prend du volume. Je m’en saisis. Ce n’est pas si désagréable finalement.
Alors je ne me retiens plus. Je le branle doucement, je joue avec sa bite comme je jouerais avec la mienne. Je lui masse les couilles, lui tire sur la cuisse pour qu’il écarte un peu les cuisses. Il bande maintenant bien dur, c’est agréable de l’astiquer. Après tout il a touché ma queue, je peux bien jouer avec la sienne. Un prêté pour un rendu. Je m’applique à lui faire du bien. Sandrine s’est passé une main entre les cuisses et se branle le clito. Ça l’excite elle aussi on dirait. Tout ce qui peut lui faire plaisir me plait, alors j’avance. Je le branle franchement, comme le ferait une femme qui veut faire jouir un homme. Il ne dit rien, regarde sa queue dans ma main, il savoure.
Pendant que nous y sommes je ne vais pas m’arrêter là. Le faire jouir, OK, mais à sa place j’aimerais une pipe, une vraie. Alors je me redresse, me penche sur sa queue. J’avance doucement au cas où il ne serait pas à l’aise. Moi ça va maintenant. Je n’ai plus aucune gêne. Je vois à l’intensité de la masturbation de ma femme qu’elle adore ça aussi. Elle sait ce que je vais faire et ça l’excite grave. Alors je le fais. Je le suce. Je prends sa queue dans ma bouche, je lui lèche le gland, j’en fais le tour avec ma langue, je le lèche jusqu’aux couilles, je remonte et m’enfile son chibre dans la bouche jusqu’à la sentir au fond de ma gorge. Imaginant les sensations que je peux avoir quand Sandrine me suce, j’imagine aussi celles que peut ressentir Pascal. J’y mets toute mon énergie. Il me caresse la tête maintenant. Non seulement il n’a pas dit non mais en plus il aime ça. Il m’appuie sur la tête pour me baiser la bouche. Il me baise. J’aime ça.
Sandrine s’est enfilé 3 doigts dans le vagin et de son autre main se branle le clito. Elle nous dit qu’elle va jouir, qu’elle aime ce qu’elle voit. Je lui fais plaisir, je suce et je branle avec passion. Sandrine et Pascal jouissent en même temps. J’ai sorti sa queue de ma bouche quand j’ai senti ses couilles remonter. Mais je n’ai pas cessé de le branler et il crache abondamment. Je n’ai pas pu m’empêcher d’attraper une goutte de son sperme sur ma langue. Le goût n’est pas terrible, mais le fait d’avoir du sperme dans la bouche me plait.
Ma femme se tourne à nouveau vers Pascal et étale le sperme gluant qui a atterri sur son ventre, sur ses cuisses. Elle le caresse à nouveau, l’embrasse à pleine bouche, passe par-dessus lui pour m’embrasser moi aussi. Elle nous caresse tous les deux, se frotte à nous. Puis elle se lève, quitte le lit en nous disant qu’elle passe à la douche.
Quand elle en ressort, habillée et maquillée, nous buvons un café à la cuisine en discutant. Nous n’avons pas parlé de cul, juste de l’actualité, de politique, de sport. Sandrine passe une main dans la nuque de Pascal, m’embrasse et va se servir un café elle aussi. Nous terminons la conversation quand Pascal se lève pour nous laisser. Elle le prend dans ses bras, l’embrasse tendrement, puis lui met une tape aux fesses en lui ouvrant la porte. Il nous quitte sur un dernier regard. Il est trois heures du matin. Je viens seulement de m’en rendre compte. Mais pourquoi Sandrine s’est-elle habillée ? Je vais devoir faire pareil. Elle nous a prévu une soirée en boîte, en amoureux, rien que nous deux. Que ma vie est belle !