n° 16492 | Fiche technique | 18049 caractères | 18049Temps de lecture estimé : 11 mn | 30/10/14 corrigé 10/06/21 |
Résumé: Samantha doit surmonter une difficulté et Marc, son ami, l'aide à la surpasser en proposant un jeu coquin. | ||||
Critères: fh lingerie fmast hmast facial fellation 69 fgode pénétratio jouet aliments attache yeuxbandés init -initfh | ||||
Auteur : CortoMaltese Envoi mini-message |
Elle s’appelle Samantha et moi, Marc. Nous avons vingt-quatre ans tous les deux. Nous sommes étudiants dans la ville où nous avons grandi. Cela fait déjà quelques mois que nous formons un couple d’amoureux bien assorti, je pense. Je mesure quelques centimètres de plus que Samantha et c’est juste assez pour l’envelopper entièrement dans mes bras. Je suis élancé et mince avec des cheveux châtains et des yeux verts, et elle, une jolie fausse blonde coquette aux yeux marron et aux lèvres pleines. Samantha a du chien et une grâce indescriptible que je n’ai rencontrée chez aucune femme auparavant. Notre inexpérience nous pousse peut-être à vouloir plaire à l’autre peut-être plus que de raison. Mais, nous nous sommes bien trouvés, car le sexe est, pour elle comme pour moi, un exutoire et un espace de liberté à conquérir.
Depuis que l’été s’est durablement installé, cette semi-nudité permanente nous excite encore plus. Nous sommes tour à tour sensuels et harmonieux, déchaînés ou explorateurs de nos corps. Nous découvrons presque à chaque fois de nouvelles positions tirées de nos imaginations ou de sites sur Internet. Cette recherche de nouvelles sensations inédites nous pousse fréquemment dans les bras de l’autre. Samantha alimente mes fantasmes et moi les siens.
De temps en temps, j’adore la sentir onduler et jouir sous les caresses de ma langue. Samantha a bien sûr aussi envie de me rendre la pareille, sans que je lui demande rien en retour d’ailleurs. Et dans ces cas-là, mon amoureuse me demande de m’allonger nu sur le dos. Elle s’approche de moi, m’embrasse, me caresse le corps, me branle doucement et à un certain point d’ébullition, sa tête descend dans la direction que vous savez. À ce moment précis, à quelques centimètres de mon gland luisant de désir, elle se tétanise, elle ne peut plus avancer, malgré ses efforts, elle imprime de petits mouvements un peu compulsifs et, pour finir, abandonne en se tenant la tête entre les mains en disant :
Je la crois, bien sûr. Elle doit sûrement essayer de transgresser un lieu obscur et plein d’interdits dans sa tête qui visiblement lui donne du fil à retordre.
Au bout de la quatrième tentative, je perds patience. Les fois précédentes, je l’ai prise dans mes bras, calmée et ai cherché à dédramatiser l’événement, mais cette fois, je n’y tiens plus, la frustration est trop grande et je sens que ça peut rapidement partir en reproches inutiles. Mais à la place, je prends sur moi et me mets à réfléchir un instant. Ensuite, je lui dis :
Le lendemain, je lui propose le jeu en question, étalé sur 5 jours. Je lui banderai les yeux et lui proposerai diverses épreuves, mais jamais je ne lui imposerai mon sexe dans sa bouche, elle devra me le demander. Elle accepte, et nous concluons un mot de passe si elle trouve que cela dépasse ses limites.
Dix minutes avant de débuter le jeu, j’apporte une boîte rouge en fer-blanc que je dépose à côté d’elle bien en évidence et lui demande de ne pas l’ouvrir. Elle me questionne pour savoir ce qu’il y a dedans et je lui réponds qu’il y a plein de surprises pour elle. Je la sens intriguée. Je lui demande de se mettre en sous-vêtements et je remarque au passage qu’elle a fait un effort dans ce sens, en portant un string noir en dentelle et un soutien-gorge assorti. Je sors de la boîte un masque de nuit que je lui demande de mettre, puis lui attache, pas trop serré, les mains derrière le dos avec un foulard. Je l’assieds doucement au bord du canapé et lui demande si elle est confortable et elle me répond que oui. On commence.
J’avais déballé dans la boîte rouge une sucette au goût caramel sucré-salé. Je la dépose sur la langue et Samantha a d’abord un petit mouvement de recul, mais une fois qu’elle comprend ce que c’est, elle commence à le sucer comme s’il s’agissait d’une sucrerie ardemment désirée.
Je remarque tout de suite qu’elle commence un peu à se tortiller de désir sur le canapé, j’improvise alors mon pied entre ses cuisses pour qu’elle puisse s’y frotter, ce qu’elle ne manque pas de faire. Je commence à bander sérieusement et m’emploie à me masturber avec ma main libre. Je la laisse faire pendant quelques minutes en exécutant de petits mouvements d’aller et retour avec la sucette. Elle la suce comme s’il s’agissait de mon sexe et sait que cela m’excite aussi.
N’ayant pas de réponse dans l’immédiat, je lui retire doucement la sucette.
Une minute plus tard, n’y tenant plus moi aussi, abandonnant la sucette dans sa bouche, je la saisis avec douceur par le dessous des bras pour la guider et la retourne lentement pour la mettre en levrette sur le canapé. Elle cabre son cul voluptueusement. J’écarte juste le string de ses grosses lèvres brillantes, et la pénètre en douceur. Sa chatte est chaude et totalement humide. Il est inutile de dire que je n’ai pas tenu longtemps dans cette position et elle non plus d’ailleurs.
Le lendemain, je lui demande de se mettre dans la même position sur le canapé avec le masque, mais cette fois, avec ses seins dénudés et les mains libres. Je sors de ma boîte un petit gode profilé comme un pénis en guise d’amuse-bouche. Au début de l’après-midi, je l’avais longuement trempé en multicouches dans son chocolat noir préféré (85 %) que j’avais fait fondre dans un bain-marie, puis je l’avais mis au frais.
Je dépose à peine le petit gode sur sa langue que déjà elle s’en empare avidement. Elle le suce et parfois commence à jouer avec sa langue autour du gland artificiel. Au bout de quelques minutes, tout excité, je lui demande :
Pendant qu’elle continue à me faire coulisser de plaisir, je lui caresse la poitrine. Puis je lui demande :
Après quelques minutes, je m’arrange pour amener mon sexe près de sa joue et parfois, mon gland vient toucher son visage. À ce contact, je sens que la cadence augmente soudain, elle suce le gode comme une furieuse à tel point que j’ai de la peine à suivre et n’en pouvant plus, je jouis sur son visage.
Samantha s’étend en arrière sur le canapé, son string disparaît avec la rapidité de l’éclair. Elle se retourne, s’étale et écarte les cuisses de manière parfaitement lascive, en mettant sa main pour caresser son clitoris. Le gode est introduit et les va-et-vient commencent. Je sens, après quelques minutes, que mon sexe est de nouveau en pleine forme et je la pénètre. La jouissance partagée ne tarde pas à venir.
Pause, je rentre direct après les cours, seul à ma chambre d’étudiant. Plus tard, une bonne bouffe avec mes potes en perspective. Faut pas déconner.
Cette fois, je ne lui cache pas entièrement les yeux, elle peut voir en partie ce qui se passe en dessous, mais je lui attache les mains derrière le dos. Elle est habillée avec un porte-jarretelles noir, des bas et un petit corset en dentelle où s’exhibent ses magnifiques seins. Rien que cette vision me fait furieusement bander.
Je sors cette fois-ci de la boîte rouge un gode assez mou qui a la taille de mon sexe. Mais cette fois-ci, je ne lui demande pas d’ouvrir la bouche. Je badigeonne la tête du sextoy de miel et je joue avec autour de ses lèvres. À chaque fois qu’elle essaie de le saisir, je le retire jusqu’à ce qu’elle soit vraiment excitée. Sa figure et son cou sont rouges de désir. Du miel coule sur ses lèvres, elle se lèche le pourtour avec la langue et cette vision me fait durcir encore un peu plus mon sexe. Je lui donne ensuite le gode sur la langue en rajoutant un peu de miel auparavant. Elle le lèche d’abord en y mettant quelques coups de langue autour du gland pour récolter ce qui s’écoule doucement.
Je lui détache les mains et elle commence à me caresser les couilles comme du velours et me branler en variant le rythme. Je gémis de plaisir. Après quelques minutes, je sors un tube de lait concentré de la boîte et j’en mets sur le gode pendant qu’elle le suce. La vision du lait concentré sur ses lèvres provoque en moi une montée soudaine de désir et elle s’en rend bien compte. Au moment où je sens que je vais éjaculer, je la préviens quelques secondes avant cette fois-ci et contrairement à ce à quoi je m’attendais, elle éjecte tout d’un coup le gode de sa bouche pour amener mon sexe devant sa bouche ouverte et sa langue dehors. Cela achève de m’exciter encore plus et je jouis abondamment.
Elle s’allonge sur le canapé en écartant les jambes et je lui verse du miel sur sa fente. Je lui lèche le clito et je sens qu’elle apprécie ce traitement. Ensuite, je lui mets le gode dans sa chatte et lui lèche les seins en même temps, elle jouit plusieurs fois de suite en me prenant parfois le poignet pour que je la baise plus fort avec le sextoy. On est en nage et ce mélange de sueurs nous excite encore davantage. Après quelques minutes, je la pénètre et nous faisons l’amour de longues minutes encore. Sa dernière jouissance est particulièrement intense.
Cette fois-ci, je lui remets le masque mal ajusté, mais elle garde les mains libres. Elle est toute nue, assise sur le bord du canapé. Je sors de ma boîte une petite glace à l’eau et lui demande d’ouvrir la bouche. Elle la saisit dans la bouche et commence à la sucer en râlant un peu :
Je lui mets mon sexe devant sa bouche fermée et elle le saisit avec une main. Elle ouvre ses lèvres et après un sursaut d’hésitation, elle referme sa bouche aussitôt. Je débande aussitôt.
Elle prend mon sexe dans sa bouche et commence à le sucer de la meilleure des manières, c’est-à-dire avec plaisir. J’apprécie de plus en plus cette sensation nouvelle. Elle joue avec toutes les parties de ma queue, frétille de sa langue sur le frein, tourne sa langue sur mon gland rouge écarlate de désir. Elle varie bien le rythme. Il est bien évident que je ne tiens pas longtemps à ce régime. Je lui dis que je vais jouir tout bientôt et en guise de réponse, elle me caresse les cuisses et les couilles pour me faire comprendre que je peux m’abandonner en elle.
Je jouis. Je jouis en elle et de son désir pour moi. Je me sens bien et j’aime cet instant de ma vie.
Ensuite je m’occupe d’elle.
Pour me remercier d’avoir pris du temps pour elle et de l’avoir aidée à résoudre son petit problème, elle me dit qu’elle s’occupera de moi ce soir.
Après une douche, Samantha me prend la main et me pousse doucement dans le lit en riant. Elle est nue, souriante et détendue. Elle masse longuement tout mon corps avec de l’huile et termine bien évidemment par une pipe royale. Je m’y attendais et c’est vraiment divin.
Ensuite, elle change de position pour mettre ses fesses devant mon visage. Un « 69 » ? C’est vrai qu’on n’avait jamais essayé. Je goûte à sa chatte et je sens avec ma langue qu’elle est déjà bien excitée. Je la lèche lentement et lui suce très doucement son clitoris. J’entends qu’elle gémit de plus en plus fort et à intervalles de plus en plus rapides. Je commence à caresser, en faisant de petits ronds, ses petites lèvres avec ma main pour ensuite y introduire progressivement deux doigts. Je touche un point plus dur à l’intérieur de son vagin, cela doit être le point G. Je continue activement mon massage et je sens qu’elle jouit à plusieurs reprises.