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Temps de lecture estimé : 10 mn
02/11/14
Résumé:  Une rencontre au bord d'une piscine, et une soirée de petite domination.
Critères:  hh -occasion -hhomo
Auteur : Arthus      Envoi mini-message
L'homme de la piscine

J’ai 60 ans, une grande expérience professionnelle, et mon cher patron a su trouver les mots pour me faire accepter cette mission de la plus haute importance : rétablir une situation désastreuse avec un de nos plus gros clients.

Me voilà donc sur la route de Bordeaux ; heureusement, la circulation est plutôt fluide en ce début du mois de juin.


17 h 30 ; je passe le pont d’Aquitaine, direction Mérignac où se trouve mon hôtel. Le thermomètre de ma voiture indique 30° ; j’ai hâte d’arriver, de prendre une bonne douche. Hélas, c’est l’heure de pointe : la rocade est surchargée et les derniers kilomètres sont difficiles.


Enfin je gare ma voiture. Quand j’ouvre ma portière, la différence de température me surprend ; j’ai l’impression de me retrouver dans une étuve. Je sors mes bagages du coffre et je me dirige vers la réception. Super ! L’hôtel a une piscine, mais je me fais la réflexion que je n’ai pas emmené de maillot. Quel couillon !


La chambre est confortable, et fraîche surtout. Je me déshabille pour me mettre à l’aise ; me voilà vêtu simplement d’un slip noir. Je me dis que ce sous-vêtement pourrait très bien passer pour un maillot de bain. Je suis quand même hésitant car, une fois mouillé, il risque de bien marquer mon anatomie. Mais bien que je ne sois absolument pas exhibitionniste, je ne sais pas pourquoi j’ai envie de me lancer ce défi. Je pense en souriant que si le slip humide marque un peu trop mon sexe, ça ne va pas affoler les foules : j’ai ce qu’on appelle une passe-partout.


J’avais eu la présence d’esprit d’emporter un short. Je me dirige vers la piscine. Il n’y a que quatre personnes qui se baignent, ou plutôt trois : un couple avec un bébé, et un homme qui est en train de discuter au téléphone en marchant sur le bord. Je salue tout le monde, et discrètement je retire mon short. Je rentre dans l’eau. Un vrai bonheur : elle est chaude.


Je fais quelques longueurs, mais je suis vite fatigué. Je m’arrête de nager et je souffle un peu, en profitant pour observer autour de moi. La petite famille s’apprête à partir. J’observe l’homme qui est toujours en conversation téléphonique ; il doit avoir une quarantaine d’années, plutôt bel homme, pas du tout poilu. Il doit mesurer 1,80 m environ, un corps bien proportionné, un tout petit ventre, mais malgré tout assez musclé, cheveux bruns coupés court. Il doit pratiquer du sport régulièrement. Il porte un grand short de bain bleu ; je ne peux pas voir la couleur de ses yeux car il porte des lunettes de soleil.


Vous allez vous demander pourquoi j’observe cet homme ; en fait, depuis peu de temps j’ai tenté l’amour au masculin, j’ai goûté aux joies de la bisexualité. J’avais ça en moi depuis l’adolescence sans jamais avoir osé passer le pas, puis je suis tombé un jour sur un complice formidable, patient, compréhensif, qui m’a fait découvrir ça. Voilà pourquoi maintenant j’apprécie autant de regarder une belle femme qu’un homme : mes fantasmes vont tout aussi bien sur l’un que sur l’autre.


L’homme a fini sa conversation. Il entre dans l’eau. En douce, je continue à l’observer. Il fait des longueurs ; c’est un excellent nageur, il avale les longueurs avec une facilité déconcertante. Un moment il s’arrête, nos regards se croisent ; il me sourit timidement, et d’une voix à peine audible :



Il est grand temps que je rejoigne ma chambre, j’ai un dossier à préparer. Je sors de la piscine, m’enveloppe dans ma serviette, et tant bien que mal je retire mon slip. Bizarrement, j’ai l’impression d’être observé ; j’avoue que je suis troublé. Je suis de dos. J’enfile mon short, et bien sûr la serviette se détache. Il doit avoir une vue magnifique sur mon anatomie ! C’était complètement involontaire, mais je ne suis pas hypocrite, et j’ai une certaine satisfaction de lui offrir cette petite exhibition.


Voilà plus d’une heure que je bosse sur mon dossier ; mon estomac me rappelle à l’ordre, il est grand temps d’aller dîner. Me voilà bien installé, la commande est passée, un petit cocktail de fruit en guise d’apéro. La salle se remplit ; oh, surprise ! L’homme de la piscine arrive, et la petite serveuse l’installe en face de moi, à deux tables environ. Il s’aperçoit de ma présence ; je le sens troublé, voire gêné. La situation m’amuse ; j’ai même l’audace de le regarder fixement. Il a le nez dans son assiette, comme un gamin qui vient de se faire gronder. Décidément, je ne verrai pas la couleur de ses yeux !

Le dessert est un régal, j’ai vraiment bien mangé. Je quitte la salle. Tiens ! L’homme de la piscine a levé le nez, il me regarde partir.


Enfin le dossier est bouclé ; demain, je serai prêt pour affronter ce client mécontent.


23 h 30 ; je n’ai pas sommeil. Et si j’allais coquiner un peu sur un tchat ? Je m’invente un pseudo quelconque, je me balade sur les salons. Pour l’instant, je tombe sur des individus sans intérêt. Tiens, un contact me sollicite. Je lui réponds et la conversation s’engage. On sent qu’il a de l’éducation : son écriture est très littéraire, aucune grossièreté. Il semble avoir du plaisir à dialoguer avec moi ; il commence à me faire des confidences, m’expliquant qu’il a un fantasme qui le taraude depuis un bon moment, mais qu’il n’ose pas le réaliser.

Il a piqué ma curiosité.



Il me raconte une rencontre qu’il a faite plus tôt en fin d’après-midi ; je n’en crois pas mes oreilles : mais c’est de moi qu’il parle ! Je suis tout autant perturbé que lui… Je le laisse raconter son trouble quand il a vu mes fesses à la piscine, sa peur de me regarder en face au resto.



Je le décris, dans les moindres détails. Je lui fais part de mes sentiments du moment quand je le regardais en douce dans la piscine, sa gêne au restaurant qui m’avait fait sourire, jusqu’à son regard en douce pour me voir quitter la salle. À ce moment-là, il répond plus ; j’imagine qu’il doit être en état de choc. Son silence me paraît long. Je m’attends à ce qu’il coupe, voire même qu’il fasse ses valises pour quitter l’hôtel.



Une nouvelle fois la réponse se fait attendre ; je ne lui en veux pas, il doit y avoir une tempête sous son crâne. Entre nous, j’espère de tout cœur qu’il va accepter.



Je suis ravi. Je lui explique ce que j’attends de lui, la chance qu’il a. Sa chambre se trouve au même étage que la mienne, dans le même couloir. J’entends une porte qui s’ouvre ; je fais de même. Tout est calme. Il est pieds nus sur le pas de sa porte, et porte le peignoir blanc de l’hôtel. Je lui fais signe d’avancer tout doucement.


Je vois qu’il est nerveux. Il fait quelque pas. D’un geste sec de la main, un peu comme un policier qui oblige un véhicule à s’arrêter, je le stoppe et lui demande d’ouvrir son peignoir. Il s’exécute. Il en slip blanc dessous, comme je le lui avais suggéré. Je lui fais signe d’avancer. Ma main se soulève : il bouge plus. En mimant le geste, je lui fais comprendre qu’il doit baisser son slip. Il hésite un peu, mais s’exécute. Je regarde sa verge : son pubis n’est pas très fourni. Je préfère : j’ai un faible pour les sexes complètement rasés. La situation est stressante ; il n’est pas en érection, mais j’ai l’impression que sa tête est en feu.


Je lui fais comprendre qu’il doit laisser le sous-vêtement à terre. Il avance de nouveau vers moi ; il lui reste une vingtaine de mètres. Ma main se lève, il se fige. Cette fois, c’est le peignoir qui quitte son corps. Franchement, il est beau, tout nu. Cette fois, il peut plus cacher son émotion : sa verge se tend ; il s’avance vers moi, et en chuchotant il me dit :



Il a des fesses de femme. Je me fais cette réflexion en le voyant partir chercher son vêtement. Il revient ; son sexe est hyper tendu, complètement décalotté.



J’en profite pour l’admirer de nouveau ; et moi aussi, sous mon propre peignoir, mon sexe est triomphant. Mais au moment où il ramasse son slip, on entend l’ascenseur. Il se retourne vers moi, affolé. Je lui ordonne de la main de ne pas bouger. Je m’attends à ce qu’il vienne jusqu’à moi en courant pour se cacher mais il obéit : il reste là, nu, son slip à la main.

Il y a un deuxième étage, et nous sommes au premier ; si les clients s’arrêtent là, on risque le scandale, c’est comme une sorte de roulette russe. Il regarde vers l’ascenseur ; je le soupçonne d’apprécier l’exhib, il n’a pas débandé une seconde. Ouf, ils montent au second.


Il est dans ma chambre, on ne parle pas, l’ambiance est électrique. Je place un doigt sur ma bouche pour lui faire comprendre qu’il ne doit pas prononcer un mot, puis je lui mets un cache-yeux sur le visage ; il doit être désorienté. Me voilà dans son dos. Mon peignoir tombe au sol, je suis tout nu.


Je caresse son dos ; il frissonne. Sa peau est agréable au toucher. Mes mains passent sous ses bras, je caresse son torse. Mon sexe est contre ces fesses ; il se cambre machinalement. Je prends un de ses tétons et je le titille ; il pousse tout de suite un gémissement. « Humm, il est sensible de là… » Je le pince un peu plus fort ; il gémit de plus en plus. Je m’occupe des deux tétons simultanément : il prend un plaisir fou, son corps vibre. J’arrête ; je lui griffe légèrement le dos, je mouille de salive mon doigt, je descends le long de la colonne vertébrale, continue sur la raie, masse au passage son œillet. Il gémit de plus en plus : c’est un vrai bonheur de donner du plaisir à cet homme !

Je lui glisse a l’oreille :



La position est indécente, mais terriblement excitante… Je prends en main ses bourses pendantes, les masse, les serre même ; il a un soubresaut. Je lui tire son sexe en arrière : il est dur comme du bois ! Il râle un peu, j’arrête ce petit supplice.



Mon sexe tendu est à la hauteur de son visage ; il ne voit rien, mais j’imagine qu’il doit deviner ce que je vais lui faire. Je prends ma verge en main et la passe sur ses joues, son nez. Je tourne autour de sa bouche ; il l’entrouvre. Je la pénètre comme un sexe de femme, je vais et je viens en douceur. Ses mains viennent à la rescousse : il me masturbe dans sa bouche, il est très appliqué. Je l’oblige à refréner ses ardeurs sinon je ne vais pas résister longtemps…



Le voilà offert dans la position demandée. Je l’observe sans le toucher ; il semble impatient. Je prends un de ses seins entre mes dents et le mordille doucement. Sa réaction est immédiate : il gémit. Je lèche son ventre tout en descendant vers son pubis. Depuis le commencement dans le couloir, son sexe est toujours tendu à l’extrême. Je mouille mon doigt, le fais tourner autour de la collerette du gland ; il se tord de plaisir. Ma bouche s’empare de son sexe, je lèche le long de la verge, je titille son méat avec le bout de ma langue, je l’aspire.



J’insiste. Je le masturbe ; il se tord dans tous les sens, il crie même ; désolé pour les voisins ! Sa liqueur se répand sur son ventre ; elle est très abondante. Je l’étale avec ma main sur son ventre, sa tige, ses bourses, ses cuisses. Il a du mal à reprendre son souffle.

Je l’emmène dans la grande baignoire de la salle de bain et je le lave. On ne se parle pas, je le sens épuisé.



Il me caresse pour me redonner de la vigueur et me prend en bouche ; il est décidemment très doué pour un débutant ! Cette fois, je ne me retiens pas. Je l’avertis que je vais jouir ; il redouble d’ardeur. Au dernier moment il s’écarte, et toute ma semence gicle sur son visage ; j’en ai les jambes qui tremblent !


Au moment de quitter ma chambre, il veut remettre son slip et son peignoir ; je lui ordonne de repartir comme il est arrivé. Je le regarde partir dans le couloir ; il a vraiment un joli petit cul !