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n° 16503Fiche technique14914 caractères14914
Temps de lecture estimé : 10 mn
10/11/14
Résumé:  Un inconnu entre dans mon compartiment, il s'ensuit un formidable moment.
Critères:  fh inconnu train fellation cunnilingu préservati pénétratio baillon
Auteur : Mélanie
Train de nuit

Je m’appelle Mélanie, je suis une grande blonde mince aux yeux noisette. J’ai une petite poitrine mais je suis très fière de mes jambes fines et de mes fesses fermes et légèrement rebondies. L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée l’an dernier, au début de l’été, à la fin d’une belle journée ensoleillée. Je prenais le train de nuit pour aller voir une amie dans le sud. J’étais vêtue d’une jupe légère et flottante grise, assez courte, d’un débardeur bleu ciel et de sandales en cuir marron. Dessous, je portais un string et un soutien-gorge blanc. La chaleur m’avait empêchée de mettre de la dentelle, j’avais préféré un modèle simple, en coton, pour éviter les irritations. Je voyageais en première classe et depuis Paris j’étais seule dans le compartiment, installée à côté de la vitre. Je lisais un livre que je venais d’acheter et j’avais du mal à rester éveillée.


Après un arrêt dans je ne sais plus quelle gare, alors que je somnolais à moitié, un homme entra dans le compartiment. Il me dit bonjour en me souriant, je lui rendis son sourire et son bonjour. Il vint s’asseoir en face de moi et se plongea lui aussi dans la lecture d’un livre assez épais. Cependant, je voyais bien que son regard quittait de temps en temps les pages pour se laisser aller vers mes jambes. Il faut dire que j’avais les jambes croisées et que ma jupe remontait assez haut sur mes cuisses, mais sans dépasser ce que la décence permet. À la dérobée, j’examinai aussi cet inconnu par ailleurs charmant. La quarantaine, brun, assez grand et bien bâti, il avait des cheveux courts et un visage attirant. Il portait un pantalon de toile et une chemise, ainsi que des mocassins. Le train s’arrêta dans plusieurs gares sans que personne ne nous rejoigne dans le compartiment. Nous ne nous étions pas échangé d’autres mots que le bonjour initial. À un moment, mon marque page glissa de mon livre pour tomber entre nos pieds. Alors que j’allais me pencher pour le ramasser, il m’arrêta :



Il s’agenouilla à mes pieds et ramassa le bout de carton. Il leva la tête et me fixa. J’étais assez gênée par son regard pénétrant. Mais au lieu de me rendre directement mon marque-page, il fit remonter la main qui le tenait le long de ma jambe droite, croisée sur celle qui était à terre. Il me caressa de la cheville jusqu’à mi-cuisse, en cherchant à bien en effleurer l’intérieur. Il s’arrêta une fraction de seconde à l’endroit où mes cuisses reposaient l’une sur l’autre, bloqué dans son mouvement puis, sans hésiter, il souleva ma jambe avec son autre main pour largement écarter mes cuisses. J’étais complètement immobile, d’un côté abasourdie par autant d’audace et de l’autre véritablement excitée. Je sentis rapidement que mon vagin se mettait à couler dans mon string.


Une main sur chacune de mes cuisses, il reprit son exploration et il progressa sous ma jupe jusqu’à mon string. Sans que son regard ne quittât le mien, il commença à caresser mon sexe par-dessus le tissu avec ses deux pouces. Puis, au bout d’un moment, il glissa ses pouces sous mon string, l’un coulissant lentement entre mes lèvres, l’autre jouant avec mon clito. J’étais complètement subjuguée par ce traitement et je ne pouvais retenir de petits soupirs de plaisir. Mes lèvres s’écartèrent lentement et il finit par introduire entièrement son pouce entre elles. Je dus pincer ma lèvre inférieure entre mes dents pour ne pas laisser échapper de cri.


Puis il retira ses doigts pour reposer ses mains sur mes cuisses. Il les fit remonter jusqu’à ma taille et passa les pouces sous les côtés de mon string qu’il saisit et fit descendre le long de mes jambes. Il prit mon sous-vêtement et le porta à son visage. Il inspira profondément et sourit en voyant dans quel état était le tissu. Puis il le fourra dans la poche de son pantalon et glissa sa tête sous ma jupe, sa bouche devant mon sexe dénudé. Il entreprit alors des caresses avec sa langue que je ne pourrais décrire précisément, mais diaboliquement délicieuses. Elle allait et venait entre mes lèvres intimes et jouait avec mon petit bouton avec une douceur infinie. Une de ses mains jouait avec mes seins, ce qui rajoutait encore à mon plaisir. Je ne pus vraiment plus retenir mes cris de plaisir : il ressortit mon string de sa poche et me le fourra dans la bouche en guise de bâillon.


Je n’ai jamais été attirée par le fait d’être attachée ou d’avoir les yeux bandés mais, je ne sais pourquoi, à ce moment précis, cela rajouta encore à mon excitation. J’avais les mains posées sur mes cuisses pour les écarter à fond et je le regardais faire, la tête à moitié cachée sous ma jupe qui se soulevait au rythme de ses mouvements. Il ne mit pas longtemps à me mener à l’orgasme. Alors que celui-ci approchait, fermant les yeux, je mis mes mains sur la tête de l’inconnu pour plaquer son visage contre mon sexe. Il comprit que j’allais exploser et redoubla d’ardeur dans les mouvements de sa langue. Sa deuxième main alla empoigner mon autre sein et au moment où il les serra fortement, un orgasme fabuleux me traversa. Il me fallut un long moment pour redescendre. Lorsque je rouvris les yeux et que j’ôtai mon bâillon improvisé, je le vis devant moi, le pantalon et le boxer sur les chevilles, son sexe dressé à hauteur de mon visage.


Je posai une main autour de la base de son membre que je détaillai du regard. Il avait un sexe de taille moyenne, légèrement recourbé et rasé de près. Ma main le branla légèrement et je relevai la tête vers son visage. Il ne dit pas un mot mais son regard me demanda, m’ordonna même, de le sucer. J’approchai donc ma bouche et posai mes lèvres autour de son gland. Je commençai de lents mouvements pour faire entrer de plus en plus profondément sa verge dans ma bouche. Son gland se décalotta sous l’effet de ma succion. Je m’amusais à le titiller du bout de la langue et à faire tourner celle-ci autour, comme un enfant le fait avec une sucette. J’alternais les petits coups de langue et les longs mouvements le long de sa hampe tout en variant le rythme, mais toujours avec le plus de douceur possible. Je ne voulais pas le faire jouir ni trop l’exciter car je voulais vraiment qu’il vienne mettre ce sexe si dur en moi.


Il n’émettait aucun son, aucun soupir de plaisir mais son regard ne trompait pas : il semblait ravi de ma prestation. Ce qui me rassura car, après le cunni qu’il m’avait prodigué, je voulais donner le meilleur de moi-même ! C’est pourquoi je me décidai à avaler entièrement son sexe. Je ne suis pourtant pas du tout une adepte des gorges profondes, mais la taille normale de sa verge et mon envie de bien faire me permirent de passer outre le haut-le-cœur. Je plaçai mes deux mains sur ses fesses fermes et je fis doucement coulisser ma bouche le plus loin possible sur son sexe. Au bout de quelques allers-retours ainsi, je pus l’avaler en entier et je réussis même à rester plusieurs secondes avec son sexe entièrement dans ma gorge, bien que j’eusse du mal à respirer. Je dus relâcher mon trophée pour reprendre mon souffle et à ce moment, je vis qu’il avait un préservatif dans la main droite.


Toujours sans un mot, nous nous fixâmes de longues secondes. Son regard me remerciait pour la fellation, les efforts que j’avais fait et m’invitait à la suite. Le mien lui faisait sentir que j’avais envie de lui mais que, s’il le souhaitait, je pouvais continuer mon traitement. C’est lui qui brisa ce statu quo en déchirant l’emballage et en déroulant la protection sur son sexe. Je me relevai face à lui et alors que j’allais enlever mon débardeur, il me fit non de la tête. Il s’assit sur la banquette et saisit mes hanches pour m’attirer à lui. Je plaçai une jambe de chaque côté des siennes et je les fléchis pour venir m’asseoir sur lui, mes cuisses posées sur la banquette. J’attrapai son sexe tendu et l’introduisis en moi. Je me laissai descendre sur lui lentement, non qu’il ait eu du mal à entrer mais parce que je voulais savourer cet instant.


Une fois assise sur lui, son sexe complètement en moi, je restai quelques secondes immobile, mes bras autour de son cou. Il posa ses mains sur mes seins et les caressa à travers mon débardeur. Puis il passa ses mains dans mon dos, dégrafa mon soutien-gorge qu’il tira à lui et fit glisser le long de mes bras pour l’envoyer sur la banquette d’en face. Il sortit un de mes seins de mon débardeur et commença à l’embrasser. Je me mis à onduler sur lui avec des mouvements de plus en plus amples. D’avant en arrière ou par des mouvements circulaires, je me frottais sur lui mais en cherchant toujours à garder son sexe le plus enfoncé possible en moi. Il me laissa faire quelques minutes puis il saisit mes hanches à deux mains et commença à me faire monter et descendre. Je l’aidais en pliant et redressant mes jambes et je pus ainsi sentir son membre coulisser dans mon fourreau brûlant. Il décida lui-même du rythme en soulevant et rabaissant mes hanches sur lui. Je le laissai faire en adoptant la cadence qu’il voulait. Je sentis le plaisir qui montait en moi, lentement mais inéluctablement.


Au bout d’un moment que je ne saurais estimer, il me fit me relever et me tourner. Je me penchai en avant et posai mes mains sur la banquette opposée, les fesses bien en l’air, attendant qu’il me prenne à nouveau. Il ne se fit pas prier et me pénétra d’un coup sec jusqu’à la garde. Il resta quelques secondes ainsi puis se mit à s’agiter en moi, ses mains tenant fermement mes hanches. Puis, après quelques minutes à me prendre ainsi, il souleva une de mes jambes et me fit poser un pied sur la banquette. Cette position me fit encore plus écarter et les jambes et la pénétration n’en était que plus profonde, pour mon plus grand plaisir. Il caressait alternativement mes cuisses, mes fesses, mes seins. Sous ses coups de boutoir, il me rapprocha de plus en plus de l’autre côté du compartiment et je dus me redresser au fur et à mesure. J’appuyai donc mes mains contre le mur opposé et je finis par attraper les barres qui servent à poser les bagages au-dessus de nous. Quand je fus ainsi, il me fit me mettre à genoux, jambes écartées sur la banquette, les bras toujours en l’air. Complètement offerte, je le laissai me prendre, les yeux fermés, savourant ce moment. Rapidement, il me remit mon string dans la bouche pour éviter que tout le wagon soit au courant de notre partie de jambes en l’air.


Après quelques instants, je le sentis se retirer. Je tournai la tête et le vis s’agenouiller derrière moi. Il commença par lécher à nouveau mon sexe trempé puis sa langue glissa jusqu’à mon anus. Je lâchai les barres pour reposer mes mains sur la banquette, histoire de retrouver une position un peu moins acrobatique. Je le laissai me lécher quelques secondes mais quand il commença à vouloir introduire sa langue dedans, je lui fis non de la tête. J’avais bien déjà pratiqué la sodomie mais jamais je n’y avais éprouvé de plaisir et je voulais profiter de ce moment magique au maximum.


Il respecta mon choix et présenta de nouveau son sexe à l’entrée du mien. Il se mit à faire de lents et profonds allers-retours. C’était délicieux de le sentir ainsi évoluer en moi avec mon sexe qui s’adaptait au sien et je sentais qu’il était proche de la jouissance. Je voulais le regarder dans les yeux au moment où il exploserait: j’attrapai sa verge à la base et la fit sortir de moi. Je me suis retournée pour lui faire face et j’ai enlevé mon débardeur. Je m’assis sur le bord de la banquette et écartai largement les cuisses. Il vint s’agenouiller à nouveau et revint se ficher au plus profond de moi, se penchant pour embrasser à nouveau mes seins. Puis il redressa son torse et commença à bouger en moi, d’abord très lentement puis en accélérant.


Je compris que c’était le dernier round. Alors qu’il prenait mes cuisses fermement dans ses mains, je saisis ses fesses avec les miennes. Nos regards étaient plongés l’un dans l’autre, nos visages à quelques centimètres. Cela créa un sentiment qui m’était encore inconnu et je sentis mon plaisir se décupler. Il avait maintenant un rythme très soutenu et je voyais bien à son visage qu’il était près de jouir. Alors qu’il serrait plus fort encore mes cuisses, je sentis son sexe se contracter en moi, ce qui déclencha mon orgasme, les yeux toujours rivés sur les siens. Une vague inimaginable de plaisir me traversa alors que je sentis sa verge palpiter à chaque jet de sperme. Heureusement que j’avais mon bâillon improvisé, sinon je crois que tout le train aurait su ce qui venait de se passer ! Il continua à bouger et finit par se retirer avant que son sexe ne soit trop mou. Il se releva, ôta le préservatif et le jeta. Je crachai mon string par terre et fermai les yeux le temps de reprendre mes esprits. Je ne sais pas combien de temps cela dura mais quand je les rouvris, il était rhabillé, debout devant moi.


Il ramassa mon string et le fourra dans sa poche. Il prit alors son bagage à la main et fit mine de sortir. Alors que j’allais protester, il posa son index sur ma bouche et murmura un « chut ». Je restai interdite et le regardai sortir du compartiment. Petit à petit, je réalisais ce qui venait de se passer et je repris contact avec le monde extérieur. Je me rhabillai moi aussi, de peur que quelqu’un n’entre et me trouve ainsi. Assise contre la vitre, je me suis laissée aller en regardant les lumières extérieures. Je sombrais rapidement dans un profond sommeil.


Je fus réveillée par le contrôleur qui m’annonçait que nous étions arrivés. Surprise, je lui répondis que je descendais de suite. Une fois qu’il fût ressorti, je fus prise d’un doute affreux : que s’était-il passé ? Avais-je rêvé ? Avais-je vraiment fait l’amour avec un inconnu ? Je descendis alors ma main vers mes cuisses et la glissai sous ma jupe. J’y sentis mon sexe trempé, mais pas mon string ! Je n’avais donc pas rêvé !


Je retrouvai mon amie qui m’attendait sur le quai de la gare. Elle me trouva un air étrange, je lui dis que j’étais fatiguée par le voyage… Je n’avais jamais parlé à personne de cette aventure avant, mais je peux vous assurer qu’aucun voyage en train n’a jamais eu, depuis, la même saveur…