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n° 16510Fiche technique44140 caractères44140
Temps de lecture estimé : 27 mn
14/11/14
Résumé:  Où toute douleur ne vient pas pour nuire...
Critères:  fh jeunes grossexe grosseins groscul campagne amour jalousie fellation 69 pénétratio jeu init mélo humour
Auteur : Alcibiade            Envoi mini-message
L'âge légal



Ça y est, c’est reparti ! Mon frère et ma sœur se disputent sous les saules, je n’ai même pas compris pourquoi, au bord du petit étang qui est au fond du parc. Ils se traitent de tous les noms, s’injurient, dans un moment ils vont en venir aux mains. Mais d’abord, qu’est-ce qu’elle est venue chercher ici, toute mignonnette dans sa nouvelle petite robe, avec ses yeux clairs en amande et ses cheveux blonds relevés qui descendent en ondulant sur sa nuque ? On ne lui a rien demandé ! Kevin et moi on était bien tranquilles, en train de pêcher…


C’est rigolo, ils sont nés le même jour, mais ça ne les rapproche pas. Depuis deux ans qu’ils se connaissent, la même scène se reproduit plusieurs fois par semaine. Depuis qu’ils se connaissent parce que… Oui, il faut que je vous explique.


Moi c’est Bérénice. Je viens d’avoir seize ans et je suis la fille de ma mère, la même mère que Charlotte qui a eu dix-huit ans il y a quelques temps, mais on n’a pas le même père. La vie est parfois compliquée n’est-ce pas ? Et voilà que maman a rencontré Roger, avec qui elle s’est mise en ménage ; on habite chez lui, une grande baraque dans la cambrousse, mais la ville n’est pas bien loin. Avec maman, il est nickel Roger. Et avec nous deux, il est très bien aussi. Pour une fois maman a mis dans le mille, elle a enfin rencontré un mec aimant et fiable avec qui elle va pouvoir construire quelque chose. La pauvre, il était temps ! Le problème, c’est que Roger a un fils, Kevin. Il a donc tout juste dix-huit ans, lui aussi. Alors je dis « mon frère » mais c’est pour la forme, on n’est pas parents.


Il est tout en bras et en jambes, le Kevin ! Il est plus grand que Charlotte qui est une sacrée belle plante, mais lui est tout mince. En fait, il serait assez mignon avec ses yeux verts et ses cheveux bouclés. Il faudrait juste qu’il se remplisse un peu. Moi je l’aime beaucoup Kevin. Je le trouve gentil et je me sens bien avec lui. On discute tous les deux. Et puis ce matin, quand on s’est retrouvés à l’arrêt de bus, il avait un pain au chocolat, il m’en a donné la moitié ! Moi, à quatre heures, je lui ai fait des crêpes. Il m’aide en maths aussi et il me donne ses secrets pour la pêche (ça ne m’intéresse pas trop en fait, mais je ne veux pas lui faire de peine). Bref, le courant passe et je connais tellement de frères qui n’en ont rien à faire de leur sœur, sinon pour essayer de l’écrabouiller, que je m’estime très heureuse de l’avoir.


Avec Charlotte par contre, c’est l’horreur ! Depuis le début, ils se cherchent, mais c’est pour s’insulter et se sauter à la gorge. Maman et Roger en sont désolés ; personne ne comprend pourquoi, mais moi, à force, je commence à trouver ça vraiment bizarre.



Et là, je me cache le visage, car je sais que Charlotte ne supporte pas qu’on s’en prenne à sa poitrine. C’est la corde sensible : avoir des gros seins c’est sa plus grande joie et c’est le drame de sa vie. En fait elle ne sait plus quoi penser. Le matin en s’habillant elle voudrait les faire couper, le soir en se déshabillant elle les trouve tellement beaux… Et c’est vrai qu’ils sont magnifiques ! Un chef-d’œuvre de la nature ! Moi j’aimerais bien avoir les mêmes, mais c’est raté. Ils sont jolis mes petits nichons de jeune fille, mais ils ne jouent pas dans la même catégorie ! Un jour, comme je la voyais incertaine, je lui ai dit :



Elle a fait la moue :



Mais je la connais, elle aime trop plaire et sa paire de nichons, elle est aimantée : les mecs viennent se coller dessus. Après, elle n’a plus qu’à choisir. Alors je sais bien qu’elle les gardera. En attendant, elle déteste le genre de blague que vient de faire Kevin. Et voilà pourquoi je ferme les yeux et je me cache le visage derrière les mains.


FLACK !


La gifle a claqué, pas retenue, Charlotte a même dû se faire mal. Il veut lui donner la même, elle esquive, mais il a vite fait de la saisir par la taille pour l’entraîner à terre. Elle est costaud Charlotte ! Elle tient sur ses jambes et je pense qu’il est moins lourd qu’elle. Elle le chope par les cheveux et tire, il est obligé de suivre et c’est lui qui se retrouve sur son cul. Il se relève aussi sec et marche à l’ennemi avec des intentions meurtrières. Elle ne cherche pas à fuir, ni à se défiler : non, elle l’attend froidement, confiante dans sa force.


C’est vrai que si je suis du genre fluette, elle drôlement bien bâtie. Elle tient ça de son père je suppose. À part ça elle est à croquer, là, rouge de colère, dans sa petite robe à bretelles, les fronces élastiques du haut ballonnées par sa poitrine, le bas qui s’épanouit en corolle aérienne. Plus féminine que ça, tu meurs… Pourtant Kevin devrait se méfier de ces belles épaules carrées et de ces bras ronds et pleins. Elle se tient en garde, les jambes légèrement écartées. Ça fait toujours bizarre de voir une jolie fille qui sait se battre… À mon avis, Kevin n’est pas de taille : pas assez réaliste, pas assez déterminé.


Il se met en position pour la frapper, mais je vois bien que le cœur n’y est pas et à chaque fois c’est pareil. Il lui envoie des pichenettes qu’elle pare aisément, qu’elle amortit ou qu’elle encaisse sans problème. Elle au contraire, ne se gêne pas pour griffer et cogner dur et d’ailleurs… Aïe, il se prend un gnon magistral en plein visage ! Non, il le voit venir et pour l’esquiver, se penche en arrière, jambes écartées. Mon Dieu, elle lui balance son pied droit dans les parties ! Aïe, aïe, aïe ! C’était offert sur un plateau, la tentation a été trop forte !


Un coup pas si violent que ça en réalité, plutôt retenu par rapport aux autres. Elle aurait pu faire bien pire, car Kevin n’était pas sur ses gardes, mais apparemment pour un garçon, c’est déjà beaucoup trop. Il s’effondre à genoux, replié sur son bas-ventre, grimaçant et geignant.



Je me précipite au secours de Kevin :



J’ignore Charlotte et je m’occupe de lui :



Je m’assieds par terre derrière lui, le fais étendre sur le côté et pose sa tête sur mes cuisses. Je lui caresse les cheveux et le visage.



Charlotte s’approche et s’agenouille. Elle n’a pas l’air trop fière.



Je pointe sur elle un doigt accusateur :



Bon, je vois que mon Kevin commence à récupérer, le plus dur est passé.



Et là, je regarde ma sœur. Quelle surprise ! Elle est toute pâlotte, avec les yeux humides :



Elle se redresse et soulève sa robe, offrant son bedon en expiation. Elle est belle à tomber dans sa culotte toute simple, d’une blancheur immaculée, avec un petit coquelicot brodé juste sur le minou. Elle a le nombril attendrissant, délicatement noyé dans un petit bourrelet de fille saine et bien nourrie. On ne le croirait pas, hein ? Eh bien c’est elle qui brode les fleurs…


Elle attend, les paupières crispées dans son visage grimaçant. Quel faux-jeton ! Elle ne court aucun risque. Sous le dodu de fille, son ventre est blindé : le fitness deux à trois fois par semaine lui a fait des abdos en acier trempé ! Elle le sait très bien et n’en est pas peu fière ! L’autre jour, j’étais avec ma copine Sarah. Voilà Charlotte qui rentre de la salle de sport. Je ne sais pas ce qu’ils avaient inventé ce jour-là, elle n’avait pas encore posé son sac qu’elle nous annonce :



Alors la voilà qui s’étend sur le sol et qui me fait monter à pieds joints sur son ventre. Ensuite, elle fait monter Sarah. Comme elle a les hanches bien larges il y avait toute la place. On se tenait serrées par les bras, et il faut reconnaître que Charlotte ne flanchait pas et que c’était tout dur sous nos pieds nus.


À part ça, de mon côté il s’est passé une chose curieuse : j’étais collée à ma copine, je sentais ses nichons dans les miens, son ventre qui palpitait contre le mien pendant qu’elle riait de bon cœur, son souffle sur mon visage, l’espace d’un instant je ne sais pas pourquoi, j’ai eu envie de lui donner un baiser ; mais je ne l’ai pas fait. Au lieu de ça, en rigolant et en poussant des cris de souris, on a commencé à fléchir les genoux en chœur, comme pour prendre de l’élan façon trampoline. Charlotte a râlé qu’il ne fallait pas exagérer et nous a éjectées de son bidon. N’empêche, c’est bizarre ce qui m’est arrivé avec Sarah… Enfin bref, moi je vous raconte tout ça, c’est juste histoire de montrer que ce n’est pas un coup de Kevin qui pourrait lui faire peur. De toute façon, il hoche la tête :



Jusque là, ça va. Seulement il ajoute, d’une toute petite voix :



Elle laisse retomber sa robe et le considère un moment :



Elle me touche le bras :



Elle met la main sur le bas-ventre du garçon



Charlotte palpe très légèrement le jean à l’endroit névralgique…



À ce point, mue par une curiosité de bon aloi, je me dis que, peut-être, ce ne serait pas mal de mettre Kevin à poil…



Ma sœur défait délicatement la ceinture de Kevin toujours allongé, la tête sur mes cuisses. Elle défait un à un les boutons, tire délicatement sur le jean.



Le voilà en slip et là, on se regarde elle et moi, parce que c’était vrai, tout à l’heure, que Charlotte tombait mal. Il ne se vantait pas. Dans son slip, il y a un sacré paquet ! Elle tire délicatement sur l’élastique et dégage un sexe impressionnant. C’est tellement inattendu, car il ne ressemble pas le moins du monde à son propriétaire. Pourtant Kevin vient de passer un moment difficile et il est tout mou, reposant tranquillement sur les testicules brutalisés. J’en ai déjà vu, mais seulement dans des vidéos X et donc jamais au repos. Peut-être que je me fais des idées, mais il me semble énorme.

Personnellement, j’ai du mal à avaler ma salive. Charlotte, elle, fait comme si de rien n’était. Elle se saisit délicatement de l’engin avec deux doigts et le pose en arrière, sur les poils. Elle recueille précautionneusement les couilles de Kevin. Ça me fait l’effet de deux petits œufs qui pendouillent un peu. Enfin, pas si petits… Mine de rien, elle en a plein la main. Mais au fait, pourquoi c’est pas moi qui en ai plein la main ? Après tout, moi je l’aime Kevin. C’est pas comme elle ! Et tout à l’heure, je lui ai fait des crêpes.



J’en suffoque d’indignation mais je ne dis rien pour ne pas troubler Charlotte et qu’elle n’aille pas faire un mouvement brusque.



Et Charlotte commence à imperceptiblement bouger ses doigts qui enveloppent les testicules. Moi je n’en peux plus de frustration.



Kevin qui s’était redressé, retombe sur ma cuisse gauche.



Moi, j’aimerais trop pouvoir masser tout doucement les couilles de Kevin.



De quoi ? De quoi ? Ah non, alors ! Moi je le nourris, je le défends, je le protège, je le console, je me tape les parties de pêche et c’est elle qui aura les belles choses de Kevin dans sa bouche ?



Et la voilà qui se met à plat ventre et qui avale précautionneusement les boules de Kevin. Elle en a la bouche pleine. Alors là… Qui aurait dit ça il y a encore dix minutes ? On perçoit un léger travail de sa langue. Je regarde Kevin, il a la tête en arrière, les yeux fermés. C’est pas juste ! Oh, c’est vraiment pas juste.


Il incline la tête vers l’avant et la regarde faire. Puis ses yeux portent un peu plus loin. Plus loin, il y a le derrière bien charnu de Charlotte, qui s’agite un peu sous l’effort. Son cul vibre et tremblote gentiment sous l’étoffe légère, on voit aussi la moitié de ses bonnes cuisses bien rondes… Alors à ce moment-là, il se passe une chose extraordinaire. Le sexe de Kevin, tout seul, sans que personne n’y touche, se lève tout doucement et grossit à vue d’œil. Il ne se passe pas 15 secondes avant qu’il soit fièrement dressé, impeccablement rigide. Merde alors, quel morceau ! On peut faire rentrer ça dans une fille ?


Du coin de l’œil, Charlotte s’en est aperçue. Elle abandonne son travail, s’assied et s’empare de l’objet. Elle le regarde… Ça n’a pas l’air de lui faire peur. Moi, je n’ai jamais rien fait avec un garçon, mais on voit qu’elle a de l’expérience. Je n’ai pas l’impression qu’il soit super long ; en revanche, c’est tout juste si la main de Charlotte en fait le tour. Elle tire sur la peau et le gland apparaît, tout rose, bien dodu lui aussi.



Sous le coup de la surprise, il a un petit doute :



Elle se met à faire des allées et venues de la main. Elle sait s’y prendre, Charlotte. Kevin ferme les yeux, il fait des mouvements avec son bassin, la main monte et descend de plus en plus vite, le sexe de Kevin est encore plus gros et tendu qu’avant.



Alors elle se lève et la fait carrément passer par-dessus sa tête. Elle n’a plus que sa culotte blanche à fleurette rouge et un soutien-gorge aux vastes bonnets de dentelle. C’est un réducteur qu’on a acheté ensemble l’autre jour. Il comprime et étale sa poitrine pour qu’elle soit plus discrète, de sorte qu’il est ultra rempli : des basses côtes aux clavicules, d’une aisselle à l’autre, il y a du nichon partout.



Elle passe les mains derrière son dos et bricole la fermeture. Elle les repasse devant pour sortir des bretelles en tenant les bonnets, puis fait tomber le soutien-gorge en se débrouillant pour plaquer ses mains sur ses mamelons afin de garder ses richesses cachées. La vache ! Elle ménage ses effets ! De fait, Charlotte retient ses mappemondes en les comprimant, du coup on les dirait gonflées à l’hélium.


Kévin se demande peut-être ce qui arrivera à cette énorme poitrine lorsqu’on lui retirera tout soutien ? J’ai déjà vu, il peut être rassuré. Pour leur gabarit, les seins de Charlotte se tiennent magnifiquement, denses, bien pleins, très joliment galbés. De toute manière, au point de congestion où il en est, même une avalanche de chair molle et fade lui ferait de l’effet.


En chantonnant « Ta-taaa ! » Charlotte lève d’un coup les bras : les grosses doudounes s’abandonnent, retrouvant leur plénitude, très blanches, légèrement mobiles et se balançant doucement, délicates et vulnérables avec leurs immenses aréoles rose-pâle. Charlotte paraît goûter leur pesanteur, synonyme de liberté retrouvée, car elle ose un petit massage pour achever de les libérer et de les décontracter.



On en avait presque oublié Kevin…



Pendant que Charlotte reprend ses mouvements de va-et-vient, il soulève les seins de légende, pansus, tendres, mouvants. Comme pour l’aider à les porter, il les soupèse, les masse d’une main légère, puis il enfonce ses doigts dedans, mais en douceur, sans brutalité. N’empêche ! Charlotte est quand même une grosse vache et j’en ai plus qu’assez de ses immondes mamelles ! La queue de Kevin a pris la consistance du marbre. Il y a une grosse veine dessus. Il se met à respirer de plus en plus fort, puis, littéralement foudroyé, les doigts crispés dans les doudounes de Charlotte, il crache un tas de giclées d’une crème très épaisse, même qu’elle laisse des tortillons sur les gros nichons. Elle proteste, car elle n’a pas eu le temps de dévier la première salve.



Je lui trouve un petit air gêné à mon Kevin et je ne suis pas la seule.



Rouge comme une tomate trop mûre, il tourne la tête. Ah non ! Ah non, pas ça ! C’est trop dur à entendre ! De quoi j’ai l’air avec mes crêpes ? J’ai l’air de sa petite sœur, point barre ! Charlotte le considère un instant sans bouger, les yeux plissés. Puis sans le quitter des yeux, elle reprend :



Je fais une toute petite grimace que je regrette tout de suite :



À ce point, Kevin s’inquiète :



Ben voyons ! Moi je connais toute la vérité. Propulsée dans le monde des grands par son gros cul et ses mamelles obscènes, ardemment sollicitée par les mecs, Charlotte a plus d’expérience à dix-huit ans que beaucoup de femmes n’en auront à la fin de leur vie. Elle l’a même déjà fait avec deux garçons, c’est tout dire ! Et en plus, elle m’a sûrement caché des trucs ! J’ai bien envie de tout lui avouer moi, à Kevin ! Et de lui dire la salope qu’elle est ! Et penser que pendant ce temps-là, je suis au régime sec ! C’est injuste, c’est trop injuste !



Charlotte débarrasse Kevin de son pantalon, de son slip, elle le fait asseoir sur une souche. Elle soupèse gentiment ses bourses et lui sourit :



Elle écarte la grosse queue, fait un tendre bisou aux testicules, puis s’agenouille devant lui



Pas la peine de le lui dire deux fois, il se penche et tend les mains pour malaxer la chair tendre. Mais pourquoi j’ai pas des seins comme ça ? Qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu ? Ils sont pourtant jolis comme tout, mes petits nichons. Plantés hauts, bien fermes, dressés, pointus même, ils font leur petit effet sous un sweater ou encore libres sous un petit débardeur. C’est que je peux me balader sans soutien-gorge, moi ! Elle aussi à vrai dire… Elle le fait parfois, quand elle sort, mais alors elle devient tellement indécente que rien que d’en parler, ça me gêne. Et il faut voir comment les yeux tous les crétins qu’elle croise leur sortent de la tête !


C’est vrai aussi qu’il y a des jours où elle en a franchement marre d’être une cible. Elle a l’impression que tout le monde veut la baiser sans pour autant s’intéresser à elle. Je l’ai déjà vue pleurer, toute seule, tout doucement. Alors j’essaie de la consoler. C’est aussi pour ça qu’elle voudrait les faire opérer. À d’autres ! Il suffit qu’elle espère avoir accroché un mec pas trop mal et le lendemain, elle a déjà changé d’avis !


Charlotte roule gentiment dans sa bouche le gros sexe de Kevin. J’en ai le ventre tout tendu et je commence à me sentir drôlement coulante. Je ne supporte pas d’être mouillée. Je m’éloigne comme si je voulais faire pipi et hors de vue, je retire ma culotte que je fourre dans la poche de ma robe. Maintenant j’ai juste une petite sensation de fraîcheur, ça peut couler autant que ça veut. Lubrifier comme une folle, pour rien, pour personne, avec ma super silhouette de sportive et ma jolie frimousse toute fraîche, qu’est-ce que c’est nul !


Quand je reviens, Charlotte a changé de technique. Je pense qu’elle ne pourrait plus rouler en bouche le monstre qu’elle tient dans la main car Kevin n’a pas mis longtemps à renaître, il bande à nouveau très dur. Les lèvres de Charlotte sont complètement défoncées, sa tête monte et descend à un rythme rapide, les mains de Kevin pétrissent ses gros nichons.


Il se raidit à nouveau et explose dans la bouche de ma sœur qui déglutit plusieurs fois. Puis elle le libère, tout luisant, tout propre, encore ultra raide, mais elle le garde en main en le masturbant imperceptiblement et en lui faisant des petites léchouilles et des petits bisous. Une vraie caresse tendre de fille amoureuse. Tiens donc ! De ça non plus elle ne m’avait jamais parlé…



Ils se sourient d’un air béat. Idiots ! Mais qu’est-ce qu’ils ont l’air bête, comme ça !



Il se lève, sa grosse queue commence seulement à mollir, il l’attire à lui et lui roule un patin à en perdre le souffle. Elle l’enlace et se colle contre lui, goulûment, écrasant ses gros nichons contre sa poitrine. J’en suis révoltée !



Déjà, c’est spectaculaire de voir ses énormes seins ondoyer pendant qu’elle enlève sa culotte ; mais quand elle se tourne pour lui montrer ses autres montgolfières, c’est… Pfff ! C’est pas juste ! Je les connais bien ses fesses, j’ai déjà vu ma sœur sous la douche. Elle a vraiment un bon gros cul, haut, large, tout rond, tout gras, qui vibre quand elle bouge et qui se balance quand elle marche. Moi je le trouve dégueulasse parce qu’il est déjà attaqué par la cellulite, mais allez comprendre quelque chose, quand on va au Blue Lagoon, elle finit toujours par danser collée à un mec dont les mains aboutissent invariablement sur ses fesses.



Elle couche Kevin dans l’herbe et se met à cheval au-dessus de son visage.



La voilà qui descend en gardant ouvert son minou d’une main et qui se pose carrément l’entrejambe sur le nez et la bouche de Kevin, avant de se relever :



Voyez-vous ça ! Elle s’est lavé la fente pour venir ici, au bord de l’étang ? Et les cheveux aussi ! Et maintenant que ça me vient à l’esprit, je peux même vous dire qu’elle a mis une culotte toute fraîche. C’est quoi ces histoires ? Elle s’accroupit à nouveau sur la bouche du garçon, puis se relève avec un tout petit cri :



Moi j’aurais tellement voulu que Kevin soit mon champion… Je vais la tuer celle-là ! Si j’avais des seins comme elle, je l’étoufferais avec ! Mais bon, d’abord je ne suis pas armée pour, ensuite ça ferait trop de peine à maman. Elle a de la veine, elle s’en tire à bon compte la Charlotte !


À présent, elle est couchée de tout son long sur Kevin. Est-ce qu’il va pouvoir supporter son poids, mince comme il est ? C’est vrai qu’elle est plutôt grande mais en ce moment, elle doit dépasser les 70 kg : une sacrée belle bête… La tête de Kevin en tout cas, disparaît presque au milieu des rondeurs de la frangine qui, de son côté, a repris dans sa bouche le membre dodu et flasque. Je n’en vois pas davantage.


Il faut dire que je suis les opérations d’assez loin, car je n’ose pas trop m’approcher pour regarder comment ça se passe dans les détails. Vous comprenez, comme on ne veut pas de moi pour participer, j’aurais l’air de quoi, à mettre mon nez là au milieu ? Ça ferait quand même un peu fille perverse, non ? Et en plus, comme j’ai pas l’âge légal… Ou je me trompe, ou c’est elle qui réagit en premier ! Elle est en train d’onduler du bassin et d’agiter ses grosses fesses de garce. Kevin, qui voit que ça lui fait de l’effet, lèche de plus en plus fort. Mais apparemment, ça bricole…



Sitôt dit, sitôt fait. Je savais bien qu’elle était trop lourde pour lui ! Avec mon petit corps musclé, il aurait pu tenir le choc… À présent, j’ai en perspective les cheveux de Kevin qui oscillent au milieu des fortes cuisses de Charlotte, directement en dessous de son large popotin. Et moi, pour changer, je mouille… Et d’autant plus que je vois les grosses fesses osciller d’avant en arrière, de plus en plus fort, vibrer, puis se crisper en révélant quelques fossettes, et j’entends ma sœurette soupirer puis feuler d’aise, longuement. Alors c’est comme ça qu’elle fait, quand elle jouit ? Les coudes sur les genoux, le visage dans les mains, morose, j’observe, je mate, je zyeute. Le voyeurisme ne m’intéresse pas du tout. Je suis au désespoir.



C’est Charlotte qui s’est assise, écartant gentiment la tête de Kevin. Ils ne disent plus rien, ils s’embrassent tendrement, il est à nouveau d’une impeccable raideur. Il y en avait largement pour nous deux, mais la faute à cette chipie, j’ai droit à rien du tout. C’est à peine si j’entends ce qu’elle lui murmure :



Chéri ! Chéri ? On aura tout entendu ! Elle se couche sur le dos, elle le positionne, c’est elle qui commande les opérations :



De là où je suis, je ne vois pas grand-chose, seulement les reins et les petites fesses nerveuses de mon Kevin qui fait son travail d’homme pour la première fois. Et c’est pas avec moi !



Par en dessous on distingue ses belles choses de garçon qui ballottent gentiment contre le gras des fesses de l’autre enflure. Elles ne vont pas tarder à produire leur troisième émission et sont manifestement en pleine forme. Comme je connais Charlotte, elle va inventer quelque chose pour leur en soutirer une quatrième avant le dîner ! Et cette nuit ? Ça m’étonnerait que chacun reste sagement dans sa chambre. Mon Kevin… si viril, si fragile… Elle va me l’épuiser, me le mettre sur les genoux !


Quelle tragédie ! Je commençais vaguement à imaginer que la nuit de mes dix-huit ans, nous deux, ce serait fantastique, romantique et tout ça, et que je me donnerais à lui sous les étoiles et qu’il découvrirait mon corps, le regard émerveillé, les mains fébriles, et qu’il deviendrait un homme dans mon ventre à moi. Les âmes charitables penseront sans doute que je l’ai échappé belle et qu’une fille toute neuve ne devrait pas songer à accueillir un garçon aussi gâté par la nature. Sûr, Kevin m’aurait fait mal sur le moment, mais il aurait bien fallu en passer par là, non ? Et je suis courageuse. Je suis une fille bien née aussi, bien armée pour la vie et je n’ai rien d’une petite nature : j’aurais réussi à le loger son gros machin, et sans en faire tout un plat ! Rendre mon Kevin heureux, c’est tout ce qui m’intéressait !


Mais toute cette magie, depuis le début, c’était pour cette grosse vache ! Notez bien, je dis ça parce que je suis triste, mais je ne le pense pas vraiment. Ma sœur et moi on s’adore et si elle plaît tant aux hommes, c’est parce que dans son genre, elle est à couper le souffle. Le moral dans les sandales, j’entends Charlotte qui encourage Kevin :



Ah non ! Elle va me l’étouffer à l’embrasser comme ça, en le serrant si fort contre elle ! Regardez-moi ce tableau ! Ils se chuchotent des choses à l’oreille, ils ne sont plus là que l’un pour l’autre, ils ont même oublié que j’existais. Voilà, tout est dit, il n’y a plus d’espoir… Il faut se rendre à l’évidence, plus jamais il ne sera question d’injures ni de batailles, plus jamais Charlotte ne pleurera seule dans son coin, trop désirée et pas assez aimée. Entre ces deux là, ce sera désormais à la vie à la mort.


Le soleil baisse, je me lève tout doucement pour ne pas risquer de les déranger. Un dernier regard sur le couple qui n’a plus fait un geste, encore imbriqué sous les saules… Deux qui ne font qu’un. J’essuie une larme… Maudit soit l’âge légal !