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n° 16514Fiche technique46868 caractères46868
Temps de lecture estimé : 27 mn
19/11/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Philomène décide de s'octroyer une semaine de congés en bord de mer, à Arromanches, pour décompresser un peu.
Critères:  f h fh hplusag hagé fagée plage nudisme noculotte ffontaine fmast hmast 69 pénétratio fsodo -amiamour
Auteur : Xéna 75015  (j'espère que ce conte fera plaisir aux rêveurs)      

Collection : Petits contes érotiques pour rêver
Un séjour des plus troublants

Philomène de Mendicis, une très belle femme de la cinquantaine, travaille dans un service financier et budgétaire qui a pour clients des PME comme des grands groupes. Après une fin d’exercice difficile, elle décide de s’octroyer une semaine de vacances avant d’attaquer un second semestre qui ne s’annonce pas de tout repos.


Elle regarde sur Internet les meilleures propositions de séjour en ce mois de juin. Ne voulant pas partir trop loin, elle cherche en Bretagne puis opte pour la Normandie, dans un hôtel en bord de mer à Arromanches. C’est un endroit tranquille aux grandes plages désertes, surtout connu pour le débarquement du 6 juin 1944. Après avoir réservé, en pension complète, une chambre avec wifi et vue sur la mer, elle regarde ses messages dans sa boîte personnelle, répond à quelques-uns puis retourne sur son poste de travail pour rédiger un compte rendu sur la réunion de ce matin qui ne fut pas de tout repos : le budget 2015 sera encore revu à la baisse ; de plus, des ordres formels donnés par la direction générale sont de privilégier en priorité les petites et moyennes entreprises avant les grands groupes, ce qui n’est pas l’avis de certains dirigeants, d’où un casse-tête permanent pour mettre tout ce petit monde de la finance d’accord.


Vers 17 h 30 il lui tarde de rentrer pour décompresser un peu avant d’aller dîner avec ses amis afin d’oublier cette journée éreintante. Une fois son rapport terminé, elle l’imprime, le met dans une chemise qu’elle dépose sur le bureau de son chef de service pour qu’il soit approuvé et signé avant de faire vingt photocopies que sa collègue fera passer lundi matin aux personnes présentes à la réunion.


Son travail terminé, Philomène ferme son ordinateur puis quitte le bureau, complètement vidée. Elle espère avoir une place dans le bus puis dans le RER pour lire quelques pages de son nouveau livre sur la franc-maçonnerie en l’an 1200. Une fois chez elle, Philomène dépose ses effets sur le fauteuil Voltaire dans l’entrée et se rend dans sa chambre pour se dévêtir et enfiler son peignoir. Elle passe par la salle de bain pour faire couler l’eau dans la baignoire en ajoutant des sels parfumés à la cannelle. En attendant qu’elle se remplisse, elle retourne dans le salon, allume la radio. Elle passe dans la cuisine pour se servir un verre de gin, y ajoute un glaçon et du soda aux écorces d’oranges amères. Elle avale une gorgée puis se dirige vers la salle de bain pour arrêter l’eau. Elle dépose son verre dans l’angle de la baignoire, retire son peignoir puis rentre dans son bain moussant qui est à bonne température.


Elle prend son verre, boit une gorgée de ce cocktail rafraichissant et une chaleur de bien-être envahit son corps. Soudain elle entend un morceau de musique qui lui rappelle une certaine soirée qui fut des plus jouissives et une petite contraction vaginale agace son clitoris. Fermant les yeux, elle revoit cet homme d’un soir, plein d’humour, qui a su la combler dans tous ses orifices. Elle ne peut s’empêcher d’avoir un léger rire, tant la situation était par moments drôle. L’eau chaude et le gin-tonic font monter en elle un désir d’être possédée avec fougue.


De sa main droite, elle caresse délicatement la pointe de son mamelon droit déjà dur. Son souffle devient plus saccadé, elle sent le désir monter en elle. Fermant les yeux, elle revoit le visage puis le corps musclé de cet homme, son sourire charmeur ainsi que sa bouche sensuelle appelant le baiser. Une langue douce comme du velours mais vigoureuse, sachant trouver les points stratégiques pour amener sa partenaire à la jouissance suprême. Philomène continue sa descente vers son pubis puis écarte ses grandes lèvres pour atteindre son clitoris déjà gonflé de désir. Voulant prendre encore plus de plaisir, elle accélère le mouvement en repensant à cet homme sensuel qui une semaine auparavant l’avait possédée avec frénésie. Voulant profiter de tous ses orifices, il avait choisi en premier de la prendre en levrette pour avoir plus de sensations puis, sentant le désir monter, il l’avait sodomisée avec fougue.


Sentant l’envie de jouir, Philomène accélère un peu plus sa masturbation quand, dans un cri de délivrance, elle jouit par jets puissants dans l’eau de son bain. Son partenaire du moment avait apprécié cette scène d’expulsion aussi puissante qu’un volcan en éruption. Et Philomène, femme fontaine, avait adoré sentir son sperme chaud jaillir tel un geyser dans ses fesses rebondies.


Petit à petit, après le souvenir de ce délicieux moment, Philomène reprend ses esprits. Elle ouvre les yeux, consulte sa montre machinalement : 19 h 30. Prenant son verre, elle boit une gorgée pour calmer ses ardeurs, tant cette jouissance fut des plus juteuses. Son bain devenu presque froid, elle retire le bouchon de la baignoire puis, les jambes un peu tremblantes, se lève tant bien que mal pour prendre une douche afin de se débarrasser de la mousse. Une fois rincée, elle enfile son peignoir moelleux, quitte la salle de bain avec son verre pour se diriger vers le salon.


Elle s’assoit dans la banquette, allume une cigarette afin de reprendre totalement ses esprits. Un orgasme aussi puissant lui a ôté tout le stress de cette épouvantable journée. Une fois remise de ses émotions, elle appelle la compagnie de taxis pour venir la chercher aux alentours de 20 h 30. Elle écrase sa cigarette, finit son verre qu’elle dépose dans la cuisine et passe dans la chambre pour choisir ce qu’elle va porter pour aller à ce dîner.


Connaissant ses amis à tendance bi, actifs mais aussi passifs, Philomène – libertine dans l’âme – choisit de la lingerie fine en dentelle noire, des bas noirs en voile autofixants. Pour sa tenue vestimentaire, elle opte pour une jupe en crêpe noir légèrement fendue sur les côtés, un chemisier cintré gris perle dont elle laisse les trois premiers boutons ouverts, laissant apparaître la naissance de sa poitrine généreuse en forme de poire.


Une fois habillée, elle regarde sa silhouette dans la glace en pied fixée derrière la porte de sa chambre. Ravie de cette tenue, elle regarde son corps encore jeune pour son âge, ce qui la fait sourire car ses longues jambes fuselées lui donnent une allure de mannequin. Une fois prête, elle se rend dans la salle de bain pour mettre une touche de parfum derrière les oreilles, puis à l’avant de ses poignets. Elle relève ses cheveux blonds en un chignon improvisé maintenu par une barrette, laissant de petites mèches de chaque côté de son visage, ce qui lui donne un air mutin. Elle met du blush sur ses joues, prend un rouge à lèvres de couleur carmin qu’elle applique sur ses lèvres bien dessinées et sensuelles.


Repassant dans la chambre, elle enfile une veste chinée noire et blanche, ainsi que ses talons hauts faisant ressortir la cambrure de ses reins. Dans la commode de sa chambre, elle prend une petite pochette noire pour loger ses cigarettes, son briquet, ses clefs, son téléphone portable et son portefeuille. Une fois prête, elle sort de chez elle l’esprit léger. Elle descend l’escalier pour aller rejoindre ses amis. En ouvrant la porte de son immeuble, elle voit que son taxi est déjà là, ce qu’elle apprécie au plus haut point. De plus, elle a pratiquement toujours le même chauffeur ; donc à chaque rencontre, ils finissent par avoir une approche des plus amicales. Aussi ils peuvent parler de tout sans gêne ni préjugés.


Elle aime le charisme de cet homme. De plus, sa conduite au volant est exemplaire, ainsi que sa culture générale, ce qui conduit à des sujets intéressants, sans oublier l’humour qui malheureusement de nos jours se fait de plus en plus rare. Une fois arrivée à destination, elle règle sa course tout en lui demandant de bien vouloir venir la chercher le lendemain matin vers 8 h 30 pour l’emmener à la gare Saint-Lazare. Une fois chose faite, c’est très cordialement qu’ils se quittent avec un remerciement chaleureux.


En se dirigeant vers le restaurant l’Orangerie, elle aperçoit Patrick, puis Philippe, en pleine discussion tout en fumant une cigarette avant d’aller dîner dans le restaurant fétiche où ils se sont rencontrés lors d’un vernissage avec des amis communs, sans s’être jamais vus auparavant. Le feeling est tout de suite passé entre eux. Aussi, en fonction de leurs disponibilités respectives, ils passent de merveilleuses soirées dans une ambiance faite d’humour, de rires, d’histoires de rencontres libertines réussies ou pas. D’autres soirs, ils font une soirée trio chez elle dans une ambiance charnelle des plus jouissives.


Philomène aime les hommes bi. Ils sont doux, tendres et généreux. Dotés d’une intelligence mais surtout d’un humour qui laisse rêveur. Très sensuels, ce sont de bons amants aussi ; quand ils font l’amour tous les trois, c’est le nirvana – voire l’apothéose – tellement c’est bon, doux, sensuel… Arrivée presque en face d’eux, c’est avec de larges sourires qu’elle est accueillie. Patrick ose même un sifflement d’admiration en lui disant :



Philippe, aussi subjugué que Patrick, dit à son tour :



Philomène, amusée, répond :



Philippe, qui très sensible aux compliments même s’il a un caractère bien trempé, lui dit :



Ils partent tous les trois dans un rire à gorge déployée. Une fois les cigarettes consumées, ils entrent à l’Orangerie, restaurant réputé pour sa gastronomie mais aussi pour son ambiance chaleureuse. Après un dîner délicieux accompagné d’une bonne bouteille de Bordeaux rouge, Philippe regarde sa montre qui affiche 22 h 30. Il demande à Patrick ainsi qu’à Philomène s’ils veulent boire un dernier verre aux Deux Magots, boulevard Saint-Germain, ou s’ils préfèrent rentrer.


La deuxième option semble plus raisonnable pour Philomène, car elle doit se lever de bonne heure demain matin pour faire sa valise car, à cette heure avancée de la nuit, elle ne se sent pas d’attaque pour la faire ce soir, d’autant qu’elle ne sait pas exactement ce qu’elle va porter durant son séjour.

Philippe comprend la situation, donc n’insiste pas. Patrick propose à Philomène de la ramener. Après avoir partagé l’addition, ils sortent du restaurant puis décident de se revoir à son retour. Philippe enserre la taille de Philomène, l’embrasse tendrement dans le cou en lui souhaitant une douce nuit ainsi qu’un bon voyage. Il serre chaleureusement la main de Patrick avant de rejoindre sa voiture. Philomène et Patrick font de même ; ils quittent Paris pour rejoindre l’Essonne. Une fois arrivés devant chez elle, Patrick gare sa voiture, s’approche de Philomène pour l’embrasser. Un peu grisée par le vin, elle lui propose un dernier verre car elle aimerait bien passer un petit moment avec lui.


Sachant que Patrick ne dit jamais non car très réceptif à ses caresses ainsi qu’à ses baisers langoureux, elle pose une main sur sa cuisse musclée puis remonte doucement vers son membre qu’elle enserre de ses longs doigts. Elle sent son membre durcir. Patrick ne peut retenir un râle de plaisir, tant cette sensation est divine et lui dit :



Amusée, elle lui répond :



Ils quittent la voiture puis se dirigent vers l’immeuble. Une fois rentrée, Philomène dépose ses effets personnels pour ensuite se diriger avec Patrick vers le salon. Il lui prend la main, l’entraîne vers la chambre, l’allonge sur le lit puis commence à entreprendre ce corps de rêve. Relevant sa jupe, il découvre un string en dentelle noir qu’il fait glisser le long de ses cuisses sur ses longues jambes gainées de bas. Il écarte légèrement les lèvres de son sexe, introduit sa langue pour savourer le fruit juteux. Philomène ne peut retenir un cri de plaisir, tant ce cunnilingus est fort. Elle ne peut même plus contrôler son corps qui vibre en sentant cette langue vigoureuse la fouiller avec frénésie. Ne voulant pas léser Patrick, elle lui propose de changer de position afin d’apprécier aussi son membre qu’elle a envie de prendre en bouche. Patrick se positionne sur le dos, puis Philomène s’allonge sur lui pour se retrouver en position de 69 où chacun peut prendre du plaisir.


Prenant son membre à pleine bouche, elle se recule suffisamment tout en ondulant du bassin pour que Patrick puisse continuer son cunnilingus. Elle sait qu’elle ne va pas tenir longtemps car cette pose est l’une des plus jouissives : tous les sens y sont en éveil. Sentant son désir monter, elle demande à Patrick de la prendre en levrette pour sentir au plus profond de son être ce membre bandant à souhait prêt à exploser. Voulant satisfaire le désir de Philomène, Patrick lui demande de se positionner de façon à la prendre selon son désir. Il trouve cette image excitante ; la vision de ses fesses rebondies l’excite d’autant plus que parfois il prend plaisir à lui fesser son joli cul pour augmenter son excitation. Il aime quand les seins lourds bougent au rythme de ses coups de reins alors qu’il tient son bassin étroit pour la posséder avec fougue, tel un hussard.


Sentant son envie de jouir monter, Philomène demande à Patrick de la sodomiser afin de sentir son membre bandant à souhait au plus profond d’elle-même. Ne voulant pas se faire prier, il s’introduit dans le petit cul serré, ce qui lui procure encore plus de plaisir. Mais il ne peut se contenir davantage. Sentant Philomène trembler, il sait qu’elle va jouir d’une minute à l’autre. Il accélère ses coups et ils jouissent pratiquement ensemble dans un râle de délivrance. Ils s’écroulent l’un sur l’autre, encore enchevêtrés.


Une fois la tension retombée, Patrick se dégage des fesses de Philomène puis se dirige vers la salle de bain pour prendre une douche réparatrice. Une fois douché puis s’être essuyé, il se dirige vers la chambre pour se rhabiller. Philomène se lève à son tour, passe dans la salle de bain pour enlever la sueur et le sperme de son amant préféré. Une fois douchée, elle s’essuie, enfile son peignoir puis se rend dans la cuisine pour sortir deux verres ainsi que la bouteille de gin avec du soda bien frais. Elle revient dans le salon où Patrick l’attend, rêveur, tout en fumant sa cigarette. Amusée, elle lui dit :



Philomène lui répond, amusée :



Patrick, ayant fini son verre, se lève pour embrasser tendrement Philomène en lui souhaitant un bon séjour. Après son départ, Philomène débarrasse les verres puis le cendrier qu’elle dépose dans la cuisine, puis se dirige vers sa chambre. Elle met son réveil à 6 h 00. Après avoir éteint toutes les lumières, elle se couche et plonge dans un sommeil profond sans demander son reste.


Aux alentours de six heures, Philomène ouvre les yeux pratiquement au moment où son réveil s’apprête à sonner. Elle s’étire comme une chatte, allongeant ses jambes puis ses bras au maximum pour détendre ses muscles. Elle se redresse en douceur, fait pivoter ses jambes pour que ses pieds reposent sur la moquette. Elle ouvre son dressing et réfléchit à ce qu’elle va emporter pour cette semaine de congés. Après réflexion, elle opte pour des tenues décontractées : un maillot de bain deux pièces, des chaussures de sport, une paire d’escarpins qu’elle portera avec une tenue un peu plus classique si un soir elle veut voir un spectacle ou dîner dans un restaurant chic. Une fois sa valise pratiquement prête, elle se dirige vers la cuisine pour prendre un petit déjeuner avant de partir.


En attendant que l’eau chauffe, elle passe dans la salle de bain pour prendre son nécessaire de toilette, un peu de maquillage, une huile bronzante et une eau de toilette légère. Elle ferme sa trousse de toilette puis prend au passage un drap de bain pour la plage et son ordinateur portable pour rester en contact avec ses amis. Elle dépose le tout dans la valise. Elle se rend dans la cuisine où la bouilloire siffle. Machinalement, elle regarde sa montre qui indique 7 h 30 ; cela lui laisse encore une heure pour décompresser avant que son taxi arrive. Elle ouvre sa commode, prend un sac style besace pour mettre ses effets personnels sans oublier son téléphone portable, son chargeur, son iPod, son casque, et le livre de poche qu’elle lira dans le train. Puis elle se dirige vers la salle de bains. Une fois douchée, Philomène enfile des dessous en dentelle et un sweat bleu, des jeans délavés ainsi que des baskets en cuir bleu marine. Une fois coiffée puis légèrement maquillée, elle passe dans toutes les pièces de son appartement pour voir si tout est en ordre. Elle se dirige avec son sac vers l’entrée pour fermer sa valise, enfile son blouson puis quitte son appartement. Une fois au rez-de-chaussée, elle ouvre la porte de son immeuble puis constate que son taxi déjà garé attend sa venue. Amusée, elle pense en elle-même « Il est trop fort, ce mec ! Même un samedi matin, il est déjà là ! Je n’en reviens pas ! »


C’est donc avec un large sourire qu’elle lui dit bonjour avant de s’installer à l’arrière. À 9 h 30, ils arrivent à la gare Saint-Lazare. Le chauffeur lui demande s’il doit venir l’attendre à son retour ou si elle prendra les transports en commun. Ne sachant que lui dire pour le moment, tout en réglant sa course elle lui répond qu’elle appellera la veille de son départ la compagnie de taxis pour réserver une voiture si elle rentre trop tard. Elle se dirige vers le hall de la gare pour regarder le panneau d’affichage et repérer son train. Le numéro du quai n’étant pas encore affiché, elle se dirige vers un distributeur de boissons pour prendre une petite bouteille d’eau pour le voyage.


Elle a trente minutes pour ressortir de la gare et fumer une cigarette avant de monter dans le train. Elle termine sa cigarette qu’elle écrase dans le grand cendrier sur pied puis se dirige vers le hall de la gare au pied du panneau d’affichage. Elle constate que son train est indiqué ainsi que le numéro du quai. Elle se dirige vers le quai pour trouver le wagon des premières classes puis monte dedans. Après avoir déposé sa valise sur le porte-bagage à l’entrée du wagon, elle cherche le numéro de sa place pour s’y installer. Une fois assise, Philomène ouvre son sac pour prendre son casque, son iPod et son livre pour s’isoler des autres voyageurs afin de reprendre le cours de l’histoire sur la franc-maçonnerie ainsi que les chevaliers de la Table Ronde.


Le voyage lui sembla court ; plongée dans son livre, elle n’a pas vu le temps passer quand elle entend l’annonce faite par le contrôleur qui annonce l’arrivée à Bayeux. De là, elle prend un car pour Arromanches. Il lui tarde d’arriver dans sa chambre, qu’elle espère spacieuse et calme, avant d’aller faire un tour sur la plage et trouver une petite crique pour se détendre mais aussi apprécier le paysage. Une fois arrivée à destination, Philomène trouve facilement son hôtel qui semble avoir été rénové depuis peu. Elle entre dans le hall puis se dirige vers la réception pour demander la clé de sa chambre.



Avec sourire chaleureux, très impressionné par le charisme cette belle femme élancée, le directeur de l’hôtel lui répond après avoir consulté son ordinateur :



Amusée, Philomène lui répond de sa voix suave :



Le directeur lui souhaite une bonne fin de journée en lui précisant l’horaire du service restauration, de 19 h 00 jusqu’à 22 h 00. Philomène le remercie puis se dirige vers les ascenseurs. Arrivée au troisième étage, elle trouve le numéro de sa chambre qu’elle ouvre avec la carte magnétique. Elle pose sa valise et se dirige vers la baie vitrée où se trouve un petit balcon avec une table basse et deux fauteuils en osier. Elle admire le paysage qui s’offre à elle et ne peut retenir un « waouh » d’émerveillement, tellement la vue est splendide. Elle a hâte de se retrouver sur cette plage pour respirer les embruns.


Laissant la baie vitrée ouverte, Philomène ouvre sa valise pour suspendre ses vêtements dans la penderie. Elle garde juste son maillot, des espadrilles et une robe légère. Elle prend son sac de plage, referme la baie vitrée puis quitte sa chambre. Une fois sur la plage, elle enlève ses espadrilles pour sentir le sable chaud sous la plante de ses pieds. Elle cherche une petite crique à l’abri des regards indiscrets pour y faire du nu intégral. Après trois minutes de marche, elle trouve enfin l’endroit idéal, entouré de rochers et protégé du vent. Elle retire sa robe qu’elle plie avec soin avant de la mettre dans le sac. Puis elle s’allonge sur le drap de bain et ferme les yeux. Au bout de dix minutes, elle retire son maillot puis se rallonge. Elle s’endort facilement car entre la fin soirée passée avec Patrick et le voyage, elle se sent vidée.


À peu prés à la même heure, Victor Delacroix, historien de renom et chroniqueur au journal local d’Arromanches, fait sa marche quotidienne en compagnie de son chien César. Il ne voit pas tout de suite Philomène qui dort car il fixe le rivage. La mer étant haute, il aime voir les vagues déferlantes pleines d’écume venir s’échouer sur les galets. Soudain il voit César se diriger vers la petite crique. Il se demande ce qui peut l’attirer de la sorte et le suit. Arrivé à l’entrée de la crique, c’est la stupeur car il découvre une femme endormie en tenue d’Ève. Son sang ne fait qu’un tour. Malgré son âge avancé – il vient d’avoir 80 ans – il est encore en pleine possession de ses moyens. Il ne peut retenir sifflement entre ses dents ainsi qu’une petite érection, tant le spectacle qui s’offre à lui est divin. Il décide de s’asseoir à distance raisonnable pour ne pas réveiller cette naïade de rêve. De sa voix grave mais chaleureuse, il ose poser une question sans savoir si elle va lui répondre.



Philomène, partie dans un délire, entend dans son subconscient la voix grave et sensuelle de cet homme ; elle lui répond dans un son à peine audible :



Philomène hoche la tête en signe d’acquiescement mais ne réagit pas car elle pense qu’elle est toujours dans son rêve. Victor commence donc son histoire en lui narrant ce qu’il a vécu durant le débarquement de Normandie alors qu’il n’avait que dix ans. Philomène, toujours dans son rêve, l’écoute puis se voit elle aussi sur cette plage de débarquement même si elle n’était pas encore née ; puis au fur et à mesure du récit de cet inconnu qui lui parle, elle ne voit pas encore les visages des soldats qui envahissent la plage avant de s’écrouler d’épuisement à ses pieds. Soudain, elle reconnait Philippe, puis Patrick qui se redressent pour venir dans un dernier effort poser leur tête sur son corps nu chauffé par les rayons du soleil. Elle ne peut retenir un râle de plaisir.


Machinalement, elle descend sa main droite sur son ventre puis sur son sexe. Elle imagine ses deux amis habillés en soldats lui faisant l’amour. Victor, subjugué, fait glisser la fermeture Éclair de son jean, sort son membre déjà dur tout en continuant à narrer son histoire. Philomène, toujours dans son délire, sent une langue fouiller son intimité. Elle caresse son clito pour arriver à la jouissance suprême. Victor, de son côté, se masturbe comme un forcené pour participer à cette orgasme cérébral ô combien jouissif. Philomène gémit car elle est hyper excitée au contact de cette langue virtuelle qui la fouille avec avidité, sans savoir si c’est Patrick ou Philippe, car les images s’entrechoquent dans sa tête. Elle accentue sa masturbation pour jouir de cette situation peu ordinaire.


Victor, étant dans le même état que Philomène, accentue lui aussi davantage sa masturbation pour jouir en même temps que cette belle femme sensuelle qui est au bord de l’explosion, prête à lâcher sa cyprine. C’est dans un râle commun qu’ils jouissent ensemble. Reprenant ses esprits, Victor se rajuste car il ne souhaite pas avoir son membre dans la main si Philomène se réveille. Il y a longtemps qu’il n’a pas joui aussi fortement.


Il quitte la petite crique avec César, tout doucement, pour ne pas réveiller Philomène. Il doit rentrer finir son article pour le lendemain. Philomène de son côté reprend une respiration normale puis se retourne pour continuer sa sieste sur le ventre. Aux alentours de dix-huit heures, Philomène frissonne car le soleil a disparu et elle a une petite faim, car depuis ce matin elle n’a pas grand-chose dans le ventre. Elle constate que sa serviette est mouillée au centre. Machinalement, elle passe un doigt sur son sexe puis constate qu’il est plein de cyprine. Amusée, elle sourit en se dit en elle-même qu’elle n’a pas rêvé, qu’elle à bien pris son pied en pensant à Patrick ainsi qu’à Philippe habillés en soldats.


Elle se lève pour revêtir sa robe sans remettre son maillot de bain et, son sac de plage sous le bras, repart tranquillement vers son hôtel. Une fois rentrée, elle se douche avant de revêtir une robe pour aller dîner. Philomène, se sentant d’humeur coquine, décide de porter sur sa lingerie fine une robe longue à fleurs noires et banches. Elle relève ses cheveux en un chignon improvisé puis dépose sur ses joues un peu de blush pour faire ressortir ses yeux vert amande, puis finit son maquillage par une touche de parfum.


Une fois prête, en mettant ses escarpins elle consulte sa montre qui indique 20 h 01. Elle prend une petite pochette pour y déposer ses cigarettes, son briquet ainsi que son téléphone portable. Avant de sortir, elle prend au passage son livre qu’elle lira si le service est long. Arrivée dans le hall, Philomène se dirige vers le restaurant où l’attend le maître d’hôtel qui lui souhaite la bienvenue en lui désignant sa table avec vue sur la mer. Il lui demande avant d’aller s’asseoir si elle souhaite un apéritif avant de dîner. Elle commande un gin-tonic puis se dirige vers sa table.


Elle consulte le menu réservé aux pensions complètes, pratiquement identique à celui proposé à la carte. Elle opte pour une salade de la mer, puis pour une sole meunière accompagnée de pommes de terre nouvelles. Elle consulte la carte des vins et elle opte pour une demi-bouteille de Chardonnay.

Le maître d’hôtel dépose son gin-tonic sur la table.


Elle ne fait pas attention aux autres personnes qui s’installent aux tables pour dîner. Elle ouvre sa pochette pour prendre son téléphone portable afin de consulter ses messages, répondre à certains. Puis elle prend son livre. Non loin de là, Victor fait son entrée avec César après avoir déposé son article à l’imprimerie, préférant dîner en ville avant de rentrer. Il regarde autour de lui pour voir s’il ne voit pas une vieille connaissance pour se joindre à sa table au lieu de dîner seul, mais au lieu de cela il aperçoit Philomène qui est de dos. Son sang ne fait qu’un tour à la vue de cette femme magnifique qu’il a croisée sur la plage.

Passant devant elle, il choisit aussi une table avec vue sur la mer, puis s’assoit de face de façon à voir le visage de Philomène qui est plongée dans son livre, ne prêtant aucune attention aux autres personnes. Prenant la carte, il consulte le menu du jour puis opte pour une salade composée ainsi qu’une omelette aux cèpes. Il consulte la carte des vins et choisit une demi-bouteille de rosé. Le maître d’hôtel s’approche de sa table, affichant un sourire commercial :



Victor connaît bien le maître d’hôtel ; il lui répond sur le même ton jovial :



Ravi de cette réponse à laquelle il ne s’attendait pas, Victor sourit en remerciant Julien et passe sa commande. Une fois le maître d’hôtel parti, Victor regarde Philomène dans l’espoir que celle-ci relève la tête pour l’apercevoir. Mais après mûres réflexions, il se dit dans son for intérieur que de toute façon elle ne peut savoir que c’est lui le narrateur sur l’histoire du débarquement de Normandie, étant donné qu’elle dormait profondément. De son côté, tout en dînant, Philomène regarde l’horizon. Elle se réjouit d’avoir choisi cette ville pour son séjour car elle se sent bien. Après avoir dîné avec appétit, elle demande au maître d’hôtel si elle peut prendre son café sur la terrasse pour fumer une cigarette avant de remonter dans sa chambre.



Avec un sourire à faire pâlir un saint, Philomène lui répond :



Puis ils partent tous les deux dans un rire qui fait relever la tête à Victor.


Une fois son dessert terminé, Victor décide de boire un café sur la terrasse et de fumer un cigare avant de rejoindre son appartement en compagnie de César qui semble fatigué après les allers et retours sur la plage. Philomène quitte le restaurant pratiquement au moment où Victor se lève à son tour pour rejoindre la terrasse. Il sent le parfum ambré de Philomène dans le couloir. Il imagine sa peau douce, chaude, qu’il aimerait bien caresser des ses longues mains fines et soignées. Voyant Philomène se diriger vers la terrasse, Victor lui emboîte le pas afin de pouvoir s’asseoir à proximité de son fauteuil en rotin garni de coussins rouges. Arrivé à la hauteur de la table où Philomène est assise, ne voulant plus rester dans l’ombre tant son désir est palpable, il se campe devant sa table pour lui dire :



Philomène, interloquée, lui répond sur un ton peu aimable :



Amusé, Victor lui répond de sa voix suave :



Un peu surprise, Philomène se sait que répondre car si c’est bien cette voix qu’elle a entendue dans son subconscient, elle ne pensait pas que c’était réel. Ne voulant pas paraître farouche, elle lui répond plus calmement :



Amusée, voire un peu excitée par ce qu’elle vient d’entendre, Philomène lui répond :



Sur ces belles paroles, ils se quittent après avoir échangé leurs cartes de visite en se serrant chaleureusement la main. Après avoir quitté la terrasse, Philomène monte dans sa chambre, le cœur léger, en pensant à Victor. Malgré son âge avancé, elle est attirée par cet homme de classe. Elle aime son charisme. Aussi de savoir qu’il était présent lors de son orgasme sur la plage lui procure une contraction vaginale. Une fois dans sa chambre, elle ôte sa robe puis ses dessous et s’allonge à même le dessus de lit. Elle ouvre les jambes tel un compas pour introduire avec douceur son majeur entre ses grandes lèvres et atteindre son clito déjà gonflé de plaisir. Elle repense aux évènements qui se sont déroulés sur la plage. En fermant les yeux, elle reprend son rêve où elle l’avait laissé avant de se réveiller.


Elle revoit Patrick et Philippe rampant vers elle pour posséder son corps réceptif. Soudain elle aperçoit Victor rampant tant bien que mal pour atteindre son fruit défendu, ce qui décuple un peu plus son désir. Elle sent déjà sa cyprine couler sur son majeur, car être possédée avec ses deux amis lui procure déjà un plaisir immense ; mais avec trois hommes, cela serait une première. Elle se concentre donc davantage pour apprécier ces trois langues fouillant ses trois orifices. Soudain, une contraction plus forte que d’habitude lui fait pousser un cri inhumain car son envie est palpable. N’y tenant plus, elle explose tel un bouchon de champagne, accompagnée de soubresauts, de spasmes incontrôlables.


Enfin, épuisée mais heureuse, elle se redresse péniblement, se rend aux toilettes pour uriner, laissant couler sa cyprine onctueuse dans la cuvette avant de passer dans la salle de bain pour prendre une douche. Revenant dans la chambre, Philomène enfile une nuisette puis ouvre sa pochette et prend ses cigarettes, son briquet ainsi que son portable pour consulter ses messages. Elle ouvre la baie vitrée qu’elle referme succinctement pour ne pas laisser la fumée entrer dans la chambre. Elle s’assied dans l’un des fauteuils en osier puis ouvre son portable. Tout en fumant sa cigarette, elle consulte ses messages ; mais voyant qu’il n’y a pas urgence, elle répondra demain. Néanmoins elle profite que son portable soit ouvert pour rajouter les coordonnées de Victor dans ses contacts.


Relevant la tête, elle fixe l’océan pour se vider la tête de cette journée riche en rebondissements. Machinalement, elle consulte sa montre puis constate qu’il est déjà presque minuit. Elle écrase sa cigarette puis décide de rentrer car elle n’a pas très chaud. Elle quitte la terrasse, referme la baie vitrée. Elle ouvre son lit, s’allonge puis s’endort sans demander son reste.


Aux alentours de dix heures, elle se réveille reposée, pleine de vie, car cette nuit réparatrice lui a fait du bien. Pas de RER ce matin… Ayant une petite faim, elle prend le téléphone pour commander un petit déjeuner complet avec un jus d’orange. En attendant d’être servie dans sa chambre, Philomène se dirige vers la salle de bain pour prendre une douche. Une fois douchée puis essuyée, elle se passe une crème bronzante pour le corps puis enfile une robe à même la peau sans mettre de sous-vêtements. Elle ouvre son portable pour répondre aux messages de la veille. Soudain, elle voit un message de Victor qui lui a écrit :


Chère Philomène, notre rencontre fut un délice car vous êtes non seulement une femme magnifique, mais en plus vous avez une finesse d’esprit extrême, ce qui n’est pas pour me déplaire. J’aurais aimé être un peu plus avec vous afin d’apprécier votre corps de déesse que j’aurais souhaité explorer de mes mains, voire de ma bouche ainsi que de la langue fouillant votre intimité ; mais hélas, j’ai reçu dans la nuit un appel de l’épouse d’un de mes meilleurs amis de longue date qui, à mon grand regret, est décédé hier soir. Je ne peux faire autrement que de me rendre à son chevet pour un dernier hommage, mais aussi d’assister à son enterrement. J’espère avoir de vos nouvelles soit par mail, soit par téléphone afin de correspondre avec vous dans les prochains jours si je ne reviens pas avant votre départ samedi matin. Sachez néanmoins, chère Philomène, que je garderai un souvenir inoubliable de cette naïade qui a su faire revivre en moi un désir immense. Je vous embrasse tendrement ; je vous dis simplement au revoir, car pour ma part ce n’est pas un adieu.

Votre narrateur, Victor.


Attristée par ce qu’elle vient de lire, Philomène ne peut s’empêcher d’avoir les larmes aux yeux, car malgré son caractère bien trempé elle a une sensibilité à fleur de peau, ce qui lui joue parfois des tours dans certaines circonstances. Ne sachant que faire pour le moment, elle décide de finir son petit déjeuner même si elle n’a plus très faim depuis la lecture de ce message charmant de prime abord mais douloureux par la suite. Aussi, voulant rester courtoise, elle répond aussi dignement que possible au message de Victor :


Cher Victor, je vous remercie de votre message ; aussi je compatis à votre douleur car j’ai moi-même perdu un être cher. Néanmoins, sachez que j’ai apprécié votre charisme ainsi que votre personnalité quand nous nous sommes croisés sur la terrasse hier soir après avoir dîné. J’aurais souhaité – voire aimé – en savoir plus sur vous. Mais ainsi va la vie. Aussi je garde espoir de vous revoir avant mon départ ; mais dans le cas contraire je vous enverrai un mail afin de rester en contact avec vous. Dans l’attente d’un message de votre part, je vous embrasse tendrement.

Bien à vous, Philomène.


Après avoir répondu à Victor, Philomène décide d’aller sur la plage pour se vider la tête et ne plus penser à Victor pour le moment, même si elle a eu un petit faible pour lui. Le lundi, elle décide de visiter Arromanches pour connaître l’histoire de cette ville. Elle visite le musée de la mer, puis le mardi le musée du débarquement. Philomène consacre le reste du son séjour à des séances de repos dans la crique qu’elle avait choisie. Elle peut ainsi faire du bronzage intégral, des marches au bord de l’eau pour respirer les embruns quand la marrée est montante. Ou tout simplement adossée au rocher, elle lit en écoutant de la musique. Certains soirs, elle se caresse en pensant à ses amis mais aussi à Victor. Cela lui procure une jouissance suprême, tant son désir est palpable.


La veille de son départ, Philomène commence à faire sa valise. Ne voulant pas se coucher trop tard pour voyager dans de bonnes conditions, elle décide de dîner tôt afin de passer une bonne nuit. Le lendemain, elle se réveille reposée, en pleine forme. Elle quitte son lit, ouvre la baie vitrée pour regarder la mer une dernière fois avant son départ puis commande un petit déjeuner avant de prendre une douche. Une fois douchée puis légèrement maquillée, elle s’habille décontracté pour voyager. Une fois prête, elle boucle sa valise, prend son sac et quitte la chambre. Après avoir réglé sa note, Philomène complimente le directeur de l’hôtel sur la tenue exemplaire du son établissement où elle reviendra sûrement, dans l’espoir aussi de revoir Victor.


Une fois dehors, Philomène se dirige vers l’arrêt de l’autocar qui devrait être là d’ici quinze minutes. Perdue dans ses pensées, elle ne fait pas attention aux autres personnes qui attendent également le car. Soudain elle sent une main ferme sur sa hanche droite, ce qui la fait sursauter. Elle se retourne et aperçoit Victor, un sourire radieux aux lèvres. Il lui prend la main puis ils s’éloignent un peu de l’arrêt du car.



Philomène, troublée mais heureuse de revoir celui qui a hanté ses nuits depuis son départ, accepte avec joie. Victor enlace tendrement Philomène puis l’embrasse avec fougue, tant son désir de la posséder est grand. Après avoir relâché un peu son étreinte, il lui dit :



Quand l’autocar arrive, ils se quittent en s’embrassant langoureusement, se promettent de s’appeler dans la soirée, dès que Philomène sera rentrée. C’est le cœur battant la chamade que Philomène monte dans le car. D’un signe de la main elle lui dit adieu. Dans son for intérieur, elle est sûre qu’elle le reverra car il ne peut en être autrement.