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n° 16518Fiche technique33085 caractères33085
Temps de lecture estimé : 21 mn
26/11/14
Résumé:  J'ai un compagnon formidable !
Critères:  fhh extracon hotel fellation
Auteur : Tito40      Envoi mini-message
Au concert

Jacques, mon mari, est très occupé par son travail. Dirigeant d’une grande entreprise, il passe beaucoup de temps sur la route, dans les avions, dans les hôtels. La vie qu’il m’offre est assez particulière mais j’y trouve largement on compte.

D’abord, les week-ends sont sacrés. Il coupe son téléphone professionnel et l’ordinateur reste dans sa sacoche. Il est 100% avec moi. Ensuite, ce n’est pas un mari étouffant. Je rencontre qui je veux, et jamais je n’ai une remarque désobligeante sur mes sorties, ou sur mes activités lorsqu’il n’est pas là. Nous avons cependant un accord tacite : nous nous disons tout.


Je sais que dans son costume de boss il reste dans son rôle. Il apparaît comme un homme froid et distant, juste mais très dur, sans état d’âme, exigeant, parfois même brutal. Ses équipes le respectent et je crois même qu’ils lui vouent une certaine admiration. Mais attention aux écarts de conduite ; autant il récompense les bonnes volontés, autant il est radical avec les tire-au-cul ou ceux qui font semblant.


Dans sa vie privée, c’est un autre homme. Heureusement. Il est sensible, compréhensif, joyeux parfois, très cultivé, et s’intéresse à tout. Nos conversations intimes ou entre amis sont toujours riches et animées. Pour ne rien gâcher, il est plutôt beau mec et diablement bien conservé. Nous sommes ensemble depuis 8 ans et à aucun moment je ne l’ai senti en recul. Il a toujours envie de moi comme au premier jour, et s’il me sent disponible, il le sera pour moi. En clair, avec lui je me sens belle, je me sens femme. Avec lui je suis le centre du monde, je suis bien plus belle que ce que je vois dans le miroir, bien plus désirable que je ne le perçois moi-même, et pour ça je n’ai aucun effort à faire. Je dois juste être moi. Il me dit et me répète qu’il m’aime comme je suis, et me le prouve chaque jour.

En pantalon et polo, il me trouve splendide. En robe longue, il me dira magnifique. En jupe courte, j’aurai des compliments aussi. Si je ne porte aucun maquillage, il me dira que je suis belle. Si je me maquille légèrement, j’aurai droit au même compliment. Je suis libre. Jamais je ne m’étais sentie aussi femme que depuis que nous vivons ensemble.


J’aime les soirées folles où je peux danser, m’amuser, jouer, m’éclater. Durant mon premier mariage c’était impossible. Mon ex-mari était jaloux et possessif. Il m’était interdit de me montrer un peu sexy ou trop gaie sous peine de me trouver criblée de reproches pendant des jours et d’avoir une porte de prison en face de moi. Je ne pouvais m’amuser que quand il n’était pas là, ce qui n’arrivait que très très rarement puisqu’il s’arrangeait toujours pour me surveiller.


Avec Jacques, je me suis libérée. Non seulement il me laisse m’amuser, mais il m’y incite. Je suis une fille sérieuse ; mais quand je me lâche, je me lâche. Je sais qu’une fois habillée pour sortir, si je suis un peu provoc et que je demande à Jacques son avis, non seulement il me trouvera ravissante, mais si en plus je lui fais remarquer qu’on voit un peu au travers de mes vêtements, il me répondra qu’au contraire ça me va magnifiquement bien mais que je pourrais même en montrer encore davantage.

Il faut dire que je suis un peu exhib. J’aime bien qu’on me regarde. Le regard qui me ravit le plus c’est celui de mon mari, mais j’aime que les hommes bavent. Les femmes en général aiment qu’on les désire, mais souvent leur éducation les bloque. Je n’ai pour ma part aucun problème avec ça. Si quelqu’un se retourne pour me regarder les fesses, je me sens honorée. Si un homme ose plonger son regard dans mon décolleté, du moment qu’il ne fait pas de remarque salace, non seulement ça ne me pose aucun problème, mais je suis presque gênée de ne pas pouvoir lui en montrer plus. Et Jacques, ça, ça lui plaît.

Pour en revenir à mes tenues, donc, il m’incitera toujours – sans m’y obliger – à porter des vêtements qui donnent envie d’en voir plus. Il faut donc en voir un peu. Mais il veut que je reste classe, et ça correspond aussi à ce que je souhaite. Classe, sexy, mais pas vulgaire.


Pour nos sorties, nous préférons les grandes villes. Il est plus facile d’y passer inaperçus. Paris, Lyon, parfois Bordeaux ou Nice sont nos destinations préférées pour le week-end. Il nous arrive aussi, lorsque Jacques se trouve à l’étranger en fin de semaine, que je fasse le trajet pour le retrouver.


Nous sommes fans d’un groupe irlandais bien connu qui donnait un concert à Londres. Nous avions pris nos places depuis plusieurs mois, et ce rendez-vous, nous y tenions par-dessus tout. Nos billets de train avaient aussi été réservés de longue date.

Finalement j’ai dû voyager seule. Jacques était en Angleterre cette semaine-là. Un premier train pour Paris, un changement de gare, puis le TGV. Jacques m’attendrait à l’arrivée.

Comme d’habitude, je me suis chargée d’une grosse valise, hésitant entre différentes tenues, entre différentes chaussures, etc. On ne se refait pas. Pour le trajet, j’avais gardé mes vêtements de la journée, sages, si ce n’est mon décolleté un peu plongeant. J’avais le look d’une voyageuse de commerce un peu fatiguée.


Le train à partir de Paris était bondé. J’étais tranquille, seule, en première, la place à côté de moi resterait libre. J’avais nos deux billets, mais une seule paire de fesses.

Peu après le départ, j’ai vu défiler dans la rame nombre de gens qui n’avaient pas de siège attitré et qui cherchaient à se poser. Plusieurs m’ont demandé si la place à côté de moi était libre, et j’ai à chaque fois répondu que non. Menteuse. Je n’avais simplement pas envie qu’on me casse les pieds.

Puis est arrivé un type d’une trentaine d’années, qui portait un sweet-shirt à l’effigie du groupe que nous allions voir à Londres. Un gars simple, l’air joyeux, pas très fortuné, mais très sympathique au premier abord et aussi très poli. Il s’est d’abord excusé de m’importuner, et plutôt que de me demander si la place était libre, il m’a dit « Souffririez-vous, belle dame, que j’occupe la place libre à votre côté ? » J’ai trouvé ça charmant et je n’ai pu m’empêcher de rire franchement. Il n’a pas attendu ma réponse, a posé son sac à dos en hauteur et a pris place. Il m’a tendu la main, s’est présenté, et m’a remerciée. Charmant, ce garçon.

Naturellement, la conversation s’est vite engagée sur le concert, puisqu’il y allait aussi. J’avais l’impression de discuter avec un ami de longue date alors qu’il était là depuis quelques minutes seulement.


Lorsque le contrôleur a montré son nez à l’entrée de la rame, mon jeune compagnon de voyage m’a confié qu’il n’avait pas de billet et qu’il allait devoir se déplacer pour éviter le contrôle. Alors qu’il prenait appui sur l’accoudoir pour se soulever, j’ai posé ma main sur la sienne pour le retenir. J’avais le billet de Jacques. Il pouvait rester là. J’ai eu droit à dix « Merci », sans doute plus encore. « Vilain resquilleur ! » lui dis-je, amusée. Il m’a avoué qu’il faisait ça souvent. Il était un peu saltimbanque, et surtout désargenté. Il rejoignait des copains à Londres pour le concert, et ne savait même pas où ils allaient dormir. Peu importe. La jeunesse peut se satisfaire d’inconfort matériel tant qu’il y a de la passion. Et pour voir ce groupe, il aurait dormi dehors sous la pluie. Il avait mis ses économies dans le billet d’entrée, et allait vivre un rêve. Je l’ai trouvé attendrissant.


Bercée par le bruit du rail et fatiguée de ma journée, je me suis assoupie. Réveillée par une annonce dans le haut-parleur, j’ai ouvert les yeux. Ma tête posée sur les jambes de mon voisin, j’étais allongée en travers. Je me suis redressée un peu pour voir qu’effectivement j’avais pris mes aises. Son blouson posé sur mes jambes repliées, je m’étais servie de lui comme oreiller. Il m’a regardée tendrement, a posé une main sur mon épaule pour que je reprenne place sur lui, comme pour me dire de continuer de dormir, que nous n’étions pas arrivés. Je me suis sentie bien, protégée, au chaud, et je n’ai pas résisté. Quelques petits mouvements pour adopter une position confortable, j’ai passé une main sous le blouson pour le rajuster, et m’apercevoir au passage que ma jupe était remontée assez haut. Il avait mis son blouson pour me tenir chaud, certes, mais aussi sans doute pour cacher mes cuisses. C’est délicat. Ce qui est moins délicat, c’est que le frottement de mon visage sur ses cuisses a dû l’émouvoir un peu. Il devait être à l’étroit dans son pantalon. Quand j’ai posé ma joue à hauteur de sa braguette, je n’avais plus l’intention de dormir mais bien de vérifier ce que j’imaginais. Et je ne m’étais pas trompée : il était ému.


À l’entrée du train en gare, j’ai remercié mon jeune ami pour sa gentillesse. Ça valait bien une bise, qu’il n’a pas refusée. Gentleman, il m’a aidée à descendre ma lourde valise sur le quai où Jacques m’attendait. J’ai donc fait les présentations, et rapidement expliqué à mon mari que Martin allait aussi au concert dimanche soir, qu’il avait voyagé avec son billet, qu’il était très sympa, et qu’il ne savait même pas où il allait dormir. Martin a salué Jacques d’une poignée de main ferme. Je lui ai demandé son numéro de téléphone au cas où ; il a pris le mien. Nouvelle bise, et au revoir.


Dans la voiture que Jacques avait louée, je lui ai raconté mon voyage, mon sommeil sur les jambes de Martin, la gentillesse de ce garçon. Naturellement, il a voulu en savoir plus, savoir par exemple si j’avais apprécié son contact, si le fait qu’il ait une érection devant moi m’avait fait quelque chose. On se dit tout, alors j’ai dit la vérité. J’avais été honorée de le faire bander comme ça, et j’en avais ressenti en plus d’une certaine fierté, une véritable excitation. J’ai dû lui avouer que si cela s’était passé dans un train de nuit, j’aurais peut-être été tentée de lui prodiguer quelques caresses, « sans le faire exprès », avec l’excuse d’un sommeil agité. Nous en avons ri tous les deux, surtout qu’en lui disant ça j’avais passé une main sur sa braguette et que lui aussi était « ému » par cette évocation.


Nous avons dîné rapidement à l’hôtel avant de nous retrouver dans la chambre d’une magnifique suite. Jacques vient souvent ici et nous avons été surclassés.

Assis côte à côte dans le canapé, je me suis allongée en posant ma tête sur les jambes de Jacques, repliant les miennes. Nous étions bien tous les deux. Nous sommes restés un moment silencieux. Jacques a attrapé une veste pour la poser sur mes jambes, me demandant si c’était ce qu’avait fait Martin. « Oui, ai-je répondu, à peu près. » J’ai frotté un peu ma tête contre ses cuisses pour changer un peu de position, et j’ai dit à Jacques que j’avais bougé « comme ça ». Je lui ai fait remarquer que je voyais chez lui aussi la manifestation d’une certaine émotion. Jacques bandait. Le jeu démarrait.



Je voyais bien où il voulait en venir, le cochon… J’ai gardé les yeux fermés, remonté mes bras sous ma tête, mettant mes mains à plat sur les cuisses de Jacques, l’une quasiment sur sa braguette. J’ai bougé un peu, ma tête pressant sur ma main. J’ai ensuite fait mine de rajuster la veste sur mes jambes, la remontant largement pour découvrir mes pieds nus, mes mollets et mes genoux. Ma main est revenue à sa place, prenant appui sur son sexe.



Je n’ai pas répondu. J’étais supposée dormir. Mais d’un sommeil agité, sans contrôle sur mes mains. Main gauche sur son sexe, main droite entre ses cuisses, j’avais ouvert légèrement la bouche pour souffler, et commencé à mes frotter les cuisses l’une sur l’autre, comme prise dans un rêve.



Jacques avait passé une main sous la veste, cherchant du bout des doigts la dentelle de ma culotte. Quand il a passé sa main sous l’élastique, mon souffle est devenu plus saccadé. Ça répondait à sa question. Il a repoussé légèrement mon visage pour abaisser sa braguette et sortir le bout de son sexe. J’ai senti un tissu se poser sur mon visage, et sa main guider son gland vers ma bouche ouverte.



Ça se passait aussi de réponse. J’ai relevé une jambe pour que Jacques me masturbe, et je me suis emparée de son pieu pour le sucer goulûment. Je n’ai pas tardé à jouir tellement j’étais excitée, et mon chéri s’est laissé aller lui aussi assez vite. J’adore son sperme dans ma bouche ; il a le goût de l’honneur qu’il me fait en se laissant ainsi aller.

Après une bonne douche, nous nous sommes endormis enlacés, comme des amoureux.


Samedi, grasse matinée. Il devait être dix heures quand j’ai ouvert les yeux. Dans le semi-coma qui a précédé mon réveil, j’ai repensé à Martin, dans le train. C’est vrai qu’en suçant Jacques hier soir, je l’avais encore en tête, ce petit jeune… C’est lui qui m’avait émoustillée. Jacques n’y était pas non plus pour rien, puisqu’il avait profité de mon état pour se faire un trip. Je sentais encore une grosse chaleur entre mes cuisses, et j’ai commencé à me caresser le petit bouton. J’avais une envie de sexe. Je me suis penchée sur la verge de mon mari qui dormait encore pour le sortir de sa torpeur. À genoux devant lui, je me suis masturbée tout en le suçant. Il a rapidement été opérationnel, me gratifiant d’une érection de jeune homme que j’ai pu exploiter à ma guise. Il a bien compris que je n’avais pas envie d’être touchée ou pénétrée, mais que je voulais me faire du bien, et m’a laissée faire. J’ai attendu de sentir son premier jet pour me laisser aller moi aussi. Nous avons joui en même temps. Quel bonheur ! J’ai tiré la couette sur nous et je me suis lovée contre mon amour ; nous étions bien.



En réalité, je ne plaisantais pas tant que ça. C’est vrai que j’aurais adoré voir si vraiment je lui fais de l’effet.


Nous avons passé la journée à faire du shopping, et comme d’habitude j’ai été couverte de cadeaux. Ma valise sera encore plus lourde au retour. Je ne cessais de penser à Martin, et Jacques le voyait bien. J’étais ailleurs. Plusieurs fois il m’en a fait la remarque, mais je n’étais pas sincère. Et la sincérité, c’est quand même la base de notre couple ; alors j’ai fini par avouer. Oui, j’étais inquiète pour ce jeune qui avait peut-être dormi dehors.

Jacques m’a conseillé de l’appeler pour prendre de ses nouvelles, ce que j’ai fait immédiatement alors que nous buvions un thé à l’hôtel. Surpris de mon appel, Martin m’a d’abord remerciée, puis m’a expliqué qu’il n’avait pas dormi, ou juste somnolé dans un bar. J’étais en train de lui proposer qu’on se rejoigne avant le concert le lendemain quand Jacques m’a interrompue pour me dire de lui donner l’adresse de l’hôtel pour qu’il vienne prendre une douche.



Il était même en avance. Nous étions restés au bar à délirer quand Martin est arrivé avec son sac sur le dos, tout sourire. Nous lui avons offert un café et Jacques m’a priée de le conduire à la chambre pour qu’il prenne cette douche promise. Martin a regardé mon mari, un peu surpris, comprenant que je serais seule à l’accompagner.


Arrivés au troisième, j’ai fait visiter notre suite à Martin. Il n’en revenait pas de la surface et du luxe de l’endroit. Je l’ai accompagné à la salle de bain, lui ai tendu une serviette et je suis ressortie en lui disant que j’allais l’attendre. En sortant de la pièce, je n’ai pas fermé la porte qui donne sur le salon. Je me suis assise dans le canapé et j’ai attendu. Attendu qu’il se détende enfin, qu’il quitte ses vêtements, qu’il passe devant la porte en cachant son sexe, qu’il entre sous la douche, qu’il se savonne, qu’il ressorte en cachant à nouveau ses attributs de ses mains en me regardant, qu’il se saisisse de la serviette pour s’essuyer.


Je me suis approchée de la porte pour le voir faire. Il m’a aperçue dans le miroir mais a continué à s’essuyer le torse, la queue pendante. Il a poursuivi par le dos, les fesses, les cuisses, les jambes. Il n’était plus pendant, et commençait à bander. Nous nous regardions dans les yeux quand il a passé la serviette sur sa tige gonflée. Mon sourire l’a rassuré ; il a fait ça bien lentement. Quand il s’est retourné pour me faire face, il n’a cette fois pas tenté de se cacher. Il a compris que je voulais me rincer l’œil et s’est peut-être dit que ça servirait de compensation pour la douche offerte. J’ai baissé mn regard sur son sexe, suis revenue à ses yeux, et j’ai tourné les talons pour aller reprendre position sur le canapé.


Martin est sorti habillé, l’air gêné. Il m’a remerciée pour la douche. Je me suis levée et me suis dirigée vers lui pour lui faire une bise au coin des lèvres tout en frôlant son sexe de ma main, puis me suis dirigée vers la sortie sans un mot. Dans l’ascenseur, je me suis collée à lui et lui ai offert mes lèvres en reposant une main sur sa braguette. Je voulais qu’il sorte de l’ascenseur bien émoustillé. Et j’ai réussi mon coup. En arrivant au bar, il marchait en crabe. Jacques nous attendait, tout sourire.



Jacques m’avait regardée, l’œil en coin. Il savait que je n’avais pas exagéré. Pas le temps. Il en semblait presque déçu. C’est à ce moment que Martin s’est aperçu qu’il avait oublié son sac dans la salle de bain.



Je me suis levée tout en répondant que j’allais l’accompagner. Jacques a regardé Martin en disant « Prenez votre temps, cette fois… »

Arrivés dans l’ascenseur, je n’ai même pas attendu que les portes se ferment. Immédiatement, Martin a senti une main sur son sexe et ma langue dans sa bouche. Il a dû comprendre qu’il allait devoir me baiser avant de retrouver son sac, et manifestement l’idée n’était pas pour lui déplaire. C’est ce qu’il m’a semblé quand il a pris mon cul à deux mains pour me soulever et coller son bassin contre mon ventre.

Je n’avais pas remarqué qu’il était aussi costaud. Dans ses bras je ne pesais plus rien.


J’ai glissé la carte dans le lecteur de la porte ; il l’a poussée du pied, et nous sommes entrés encore collés l’un à l’autre. Mes pieds ne touchaient plus le sol. Il m’a posée le temps de quitter ses chaussettes, son pantalon, son sweat et son caleçon. J’avais eu juste le temps moi-même d’abandonner ma culotte, et il ne m’a pas laissé le temps d’enlever le reste. Je me suis retrouvée à nouveau au-dessus du sol, la jupe relevée, ses mains sous mes fesses qui me soutenaient, le dos contre la porte, et sa queue qui commençait à pointer entre mes cuisses à la recherche d’un chemin glissant. Du coup, je n’ai même pas eu le loisir de le sucer, ce dont j’avais finalement le plus envie. Il prenait possession de ma chatte, comme ça, sans me demander la permission. C’est un vilain garçon, et je le lui ai dit. Plusieurs fois. Je l’ai même traité de salaud tellement il me défonçait sans ménagement. J’avais beau mouiller abondement, je le sentais quand même bien. Son large sexe semblait fait pour ma petite moule. Je ne suis pas grande et pas très profonde, et je n’ai pas besoin d’une longue tige pour que ça tape dans le fond. Lui était plutôt plus large que la moyenne, surtout le gland, et probablement très long aussi. Je le sentais bien me remplir et me pistonner au plus profond, ce que j’adore.

Mais bon, je voulais surtout le sucer. J’en avais une énorme envie.


Je lui ai demandé d’aller jusqu’au lit, et il m’y a emmenée sans se faire prier. J’espérais qu’il ressorte pour que je puisse le prendre dans ma bouche, mais je n’ai pas eu le temps de respirer. Il m’a jetée sur le lit, m’a retournée comme une crêpe, m’a soulevé le bassin et m’a prise par derrière comme une brute. Alors là, je vais vous avouer que je ne pensais plus à la pipe. Dans cette position, à genoux, il m’arrachait le vagin. Je n’en pouvais plus de sentir son bassin claquer contres mes fesses, de sentir ses mains me malaxer les seins par-dessus mon corsage. Puisqu’il voulait me baiser, autant me laisser aller. Et c’était peut-être mieux qu’il ne me voie pas nue, il aurait pu être déçu. Alors non seulement je l’ai laissé faire, mais j’ai bien tendu mes fesses dans sa direction pour qu’il se déchaîne dans ma chatte, et je me suis branlée le clitoris ardemment. J’en profitais pour lui caresser les couilles quand je pouvais, et je ne me suis pas privée de le traiter de tous les noms en même temps que je lui demandais de me baiser plus fort. Quand il m’a crié qu’il ne pouvait plus se retenir et qu’il allait se retirer, j’ai fait ma grosse salope en lui demandant de cracher le plus profond possible dans ma moule. J’ai entendu des « Oh, putain… » qui devaient s’adresser à moi, auxquels j’ai répondu par des « Oui, vas-y ! » qui s’adressaient à lui. Quand j’ai senti son mandrin se contracter, j’ai saisi ses couilles à la volée pour les presser pendant qu’il jouissait, et je me suis laissée moi-même aller à une jouissance savoureuse.


Quel pied…


Nous étions à peine revenus de nos émotions que j’ai entendu la porte s’ouvrir. Jacques se pointait dans la chambre, sans prévenir. Martin s’est rapidement caché sous la couette, probablement apeuré. Jacques l’a rassuré en lui disant qu’il n’y avait aucun problème, et je me suis jetée sur lui pour l’embrasser. J’ai un mari formidable.

Il s’est assis dans un fauteuil, sans rien dire de plus. Je me suis assise dans le canapé, demandant à Martin de m’y rejoindre. Il a hésité un moment alors j’ai tapoté le canapé plusieurs fois de ma main pour le faire bouger, ce qu’il a fini par daigner faire. Il s’est assis à côté de moi, cachant son sexe à la vue de Jacques de ses mains croisées.


Je me suis allongée, la tête sur ses cuisses, les jambes pliées. J’ai attrapé une serviette pour me la poser sur les jambes, et j’ai regardé Martin en lui disant « Tu te souviens, dans le train ? » Je n’ai pas attendu qu’il réponde. J’ai passé les mains sous ma tête et j’ai commencé à bouger un peu pour trouver une bonne position, comme si j’allais dormir. Puis je me suis occupée de son sexe tout mou ; il a connu mes doigts, puis ma langue. Son popaul devait aimer ça parce qu’il n’a pas mis longtemps à prendre du volume. Plus il gonflait, plus j’y allais franco. J’avais rêvé de lui faire une pipe, et il n’avait sans doute pas rêvé d’une pipe aussi appliquée. Je savais que Jacques matait, et ça décuplait mes envies. Je lui ai fait la totale. Crachant sur son gland, je l’ai fait tourner en bourrique jusqu’à ce qu’il implore ma pitié. Il semblait sensible à mes attouchements sur son anus, alors je m’y suis appliquée, à le rendre dingue.



J’ai eu droit à toutes les invectives et encouragements. Il a eu droit à la plus belle pipe de ma carrière. J’ai senti qu’il venait quand il a tenté de s’extraire de ma chaude bouche, mais c’était mal me connaître que de penser que je me soustrairais à mes obligations. Je l’ai bien englouti pour recueillir sa semence et m’en délecter. Je pense qu’il n’a pas détesté m’inonder la bouche après m’avoir rempli le vagin. En tout cas, il n’a pas protesté trop fort.


C’est l’air honteux qu’il est retourné à la douche pendant que je m’occupais de mon mari. Il avait bien mérité lui aussi une sucette de roi. Le sperme du jeunot était très salé et très épais. Je préfère quand même celui de Jacques ; il coule mieux et ne donne pas soif.


Martin ne s’est pas éternisé. À peine rhabillé, il s’est enfui comme un voleur, ne voulant pas sans doute s’incruster dans notre intimité, à moins que de notre intimité il n’ait rien à faire – ce qui est plus probable – et qu’il eût préféré rejoindre ses potes pour leur raconter qu’il venait de se taper une bourgeoise. Ça m’est égal finalement. J’ai eu ce que je voulais.


Les choses interdites ont tout de même, y compris à mon âge, un parfum particulier. Je suis très excitée quand mon mari me voit avec un autre, et je sais qu’il partage largement cette excitation sans quoi je ne lui imposerais pas ce genre de spectacle. Mais le faire « dans son dos » – ou plus exactement sans lui – me procure des émois encore plus intenses. Savoir qu’il va me questionner m’oblige à mémoriser chaque instant, chaque émotion, et du coup à les vivre encore plus intensément. Alors oui, j’ai adoré le sucer devant mon mari ; mais à bien y réfléchir, j’ai encore plus aimé qu’il me baise par surprise, qu’il me viole presque, alors que je n’étais pas venue pour ça. Je me suis comportée en grosse salope, et ça aussi, de temps en temps, ça me plaît.


J’ai raconté tout ça à Jacques dimanche matin au réveil. J’en ai même un peu rajouté pour le mettre à bloc. Tout ça, allongée à côté de lui, parlant lentement pour qu’il vive chaque instant. Jacques se masturbait en m’écoutant ; et ne voulant pas rester inactive, j’avais aussi entrepris de me caresser l’intimité. Raconter et me toucher en même temps m’a vite conduite à un orgasme peu intense mais très long, pendant que mon mari accélérait sa branlette et s’éjaculait sur le ventre.


Martin n’a appelé qu’à 14 heures pour qu’on se fixe un rendez-vous. Nous sommes convenus de nous retrouver à 19 heures à la sortie du métro pour terminer le chemin et assister au concert ensemble.


Nous étions assez en avance pour nous offrir une bière, ce que nous avons fait en chantant. On s’est retrouvé dans la fosse pour la première partie, il faisait encore jour. Je n’avais pas en tête des idées de bagatelle, mais l’ambiance était tout de même assez chaude. Les jeunes groupies se trémoussaient sur les boum-boum ; leurs copains en profitaient pour les peloter sans vergogne. Martin était tout à l’écoute de cette musique qu’il semble adorer, et Jacques commençait dans des gestes maladroits à danser.


Entracte, musique de fond. La nuit tombe, la température monte, le stade est en ébullition. Ils arrivent, dans une marche triomphale, haranguant cette foule immense et compacte, et envoient les décibels. On est tout au bord de la crise de nerfs, ça brûle sous les pieds, ça chauffe sous les bras, ça cuit entre les cuisses.

Je me prends des mains aux fesses sans arrêt. Je ne sais même pas d’où ça vient. Mon mari est à côté de moi et Martin derrière avec ses potes, mais ce n’est pas lui. Tant pis : si ça les amuse, ces « palpeurs », moi ça ne me dérange pas.


Ça saute, ça danse, ça hurle. J’adore cette ambiance. Mon voisin de gauche m’a fait tourner sur moi-même ; j’ai bousculé mes voisins, Jacques m’a rattrapée de justesse. Martin est venu me hurler à l’oreille que c’était le concert du siècle, l’apogée de sa vie. Ah bon ? Je croyais que c’était ma pipe d’hier… Goujat !


Il faut faire baisser la tension ; démarrent les mélodies plus sensuelles, plus douces, et tant marquées de sens.

Martin est derrière moi ; je me colle à lui, je veux qu’il me serre dans ses bras pendant « One », une chanson qui parle des jeunes et des capotes. Il m’embrasse dans le cou. Jacques s’est retourné : il a vu, il m’a souri. Si je suis bien, il est bien. Il est formidable.


Je sens des mains sur ma jupe, touchant mes fesses. Ça ne peut être que lui, cette fois. Ça ne se fait pas au milieu de la foule. La chaleur de ses mains se retrouve maintenant sous ma jupe, sur mon ventre, et ça se fait encore moins. Il n’hésite pas à envahir ma culotte pour me branler le clitoris. Alors ça, c’est pas possible ; il est gonflé ! Gonflé comme son sexe qu’il presse contre mes fesses. Il ose relever ma jupe, et je sens bien qu’il a sorti son engin pour me le caler entre les fesses. Là, on est dans le strictement interdit. On pourrait nous voir. Pire, on pourrait nous faire arrêter. Et je ne veux pas qu’il s’arrête ; alors, quand j’écarte un peu les jambes, c’est pour lui faire comprendre que je ne veux plus qu’il tâtonne : je veux qu’il me viole là, tout de suite, et si possible sans éveiller la curiosité de nos voisins.


C’est acrobatique, mais il est en train de me pénétrer. Je chante avec une queue qui me perfore, mais dans cette position il ne peut aller bien loin. C’est très bon, son gland qui me dilate, mais il ne pourra pas me donner le reste de son gourdin. Il faut faire quelque chose, mais vite. Je passe une main dans mon dos pour me saisir de son outil, le sors doucement de ma fente mouillée et me le frotte contre l’anus. L’angle est plus favorable, et je sais que dans un tel état d’excitation, je ne sentirai aucune douleur malgré le calibre de l’engin. Le bougre n’a pas besoin de mode d’emploi, et ne se soucie guère de l’environnement. À peine l’entrée trouvée, il me tient le bassin en poussant son chibre. Je l’accueille volontiers, et c’est le batteur qui lui donne le rythme pour aller et venir ; je vis une sodomie à ciel ouvert et en musique. L’extase absolue. Jacques est devant moi, je suis accrochée à ses épaules.


Des gens autour nous regardent et se parlent. Une bonne femme se fait enculer par un jeune : indécent, inacceptable, ignoble ! Me voir jouir les révolte et me comble. Je les emmerde. Jacques, comme à son habitude, m’encourage et me soutient. Je suis libre.


Le concert du siècle.


J’ai un compagnon formidable !