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Temps de lecture estimé : 20 mn
27/11/14
Résumé:  Longtemps je me suis couché de bonne heure, rêvant d'être un fesseur.
Critères:  
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
L'offrande festive

Ce récit imaginaire a été inspiré par une conversation téléphonique. Avec l’accord de mon interlocuteur, j’ai imaginé ce qui suit. Attention, ce ne sont pas les vraies personnes qui sont mises en scène ici, mais des personnages virtuels lointainement inspirés de ces mêmes personnes.



Longtemps je me suis couché de bonne heure, rêvant d’être un fesseur. Hélas, triple hélas, arrivé à un âge estimable, ma longue vie ne m’a jamais permis de mettre la main sur un beau et rebondi popotin, un fessier à fesser, à rougir, à polir de mes doigts agiles.


J’ai eu le plaisir de connaître et de vivre avec diverses femmes, mais aucune n’avait le penchant de m’offrir ses fesses pour que je puisse les rougir à plaisir. Je me suis dit à chaque fois : tant pis, ce n’est pas grave. J’ai donc laissé passer les années, les unes après les autres, puis un beau jour je me suis rendu compte que j’étais nettement plus proche de la date limite de péremption que de la sortie d’usine.


J’adore mon actuelle femme, je m’entends bien avec elle, nous pouvons parler ensemble de bien des choses mais, hélas, elle n’aime pas trop que je perde mon temps avec les choses qui sévissent sous la ceinture, comme elle dit, même par écrit. Mais elle ferme les yeux et me le fait souvent sentir en me faisant ensuite les gros yeux… Néanmoins, nous sommes arrivés à un honnête statu quo.


Je corresponds avec diverses personnes, même si je ne suis pas très doué pour les nouveautés technologiques. Disons que j’arrive à me débrouiller avec cette étrange bête pleine de touches qu’est un ordinateur. C’est une belle machine à écrire qui permet d’envoyer et de recevoir des messages sans attendre le bon vouloir de sa majesté la Poste. J’assouvis aussi ma soif sur certains sites web, j’ai même osé coucher mes envies longtemps rêvées puis les publier ; j’ai eu d’ailleurs un succès d’estime qui m’a fait plaisir. On m’a même demandé quand il y aurait d’autres histoires de ma plume…


C’est ainsi que j’ai fait la connaissance d’Assurbanipal.


Le moins que je puisse dire est qu’Assurbanipal m’est assez opposé de caractère. Ce qui n’est pas un mal. Bien que son premier mariage n’ait pas été une franche réussite, comme le mien d’ailleurs, il a su allègrement rebondir avec sa nouvelle femme. Comme il le dit lui-même, il vit à présent ce qu’il a pu lire et écrire avant. Vous allez dire qu’il affabule, qu’il en rajoute une couche pour se faire mousser. Même pas, car il peut le prouver sur son blog. Je sais que Photoshop permet des merveilles, mais il y a trop de photos pour que toutes soient ainsi truquées. Et plus je connais le bonhomme, plus je me dis qu’il n’invente rien.


Une fin d’après-midi, son appel inattendu :



Je me contente de rire avant de répondre :



Je soupire… Il n’a pas tort, il m’arrive d’avoir mes petites phases de micro-déprime. C’est mon interlocuteur qui relance la conversation :



Me calant mieux sur mon siège, je pouffe :



Un petit silence au bout du fil. L’aurais-je vexé ?



Là, je ris franchement :



Je suis surpris, je mets un peu de temps avant de répondre :



Décidément, mon interlocuteur est très opposé à ce que je suis. Je n’aurais jamais osé aller quelque part pour le boulot avec ma femme ou ma compagne ! Je poursuis :



J’entends un petit rire au bout du fil.



Et nous rions tous les deux. C’est lui qui reprend, la voix plus sérieuse :



Assez étonné, je hausse les sourcils :



Un peu déboussolé, je préfère changer de conversation :



Je n’ai pas pu avoir d’autres précisions, mon interlocuteur se faisant un plaisir de biaiser sa réponse. Puis nous avons parlé d’autres choses…




—oOo—




Puis j’ai enseveli cette conversation dans un coin de ma mémoire, et j’ai vaqué à mes occupations usuelles et quotidiennes. Jusqu’au jour où, ce samedi, je reçois à nouveau un coup de fil d’Assurbanipal qui m’annonce :



Moi, je n’ai jamais pu ou oser faire ça. Et d’ailleurs, est-ce que ma femme du moment aurait accepté de m’accompagner ? Il est vrai que Bérénice, la femme d’Assurbanipal, est très différente de la mienne, enfin, des miennes. Quelque part, je vais finir par l’envier ! Ne sachant pas quoi répondre, je lâche :



Quand j’ai raccroché, j’étais assez songeur. Finalement, mon fantasme allait-il devenir réalité ? Je secoue la tête, tout ceci me semble bien étrange, je n’arrive pas trop à y croire ! Néanmoins, avec une certaine impatience, j’ai attendu dimanche soir…


Dimanche soir, comme convenu, le téléphone sonne :



Il me donne le nom d’un hôtel assez réputé, je lui confie :



Ce couple m’étonnera toujours ! Il faut dire que ces deux-là ont, par rapport à moi, des mœurs nettement plus libres…



Alea jacta est, comme l’avait dit le grand Jules. Peut-être que je fais une connerie d’accepter, peut-être que non, je ne sais pas. Il va falloir que je justifie mon absence de mardi, il ne me reste plus qu’à me creuser la tête. Dommage que je ne puisse le dire à ma femme, voire même venir avec elle.


Nous nous disons au revoir, la conversation s’arrêtant là. Je suis à la fois très content et perplexe. Une sorte d’angoisse m’assaille. Enfin, je vais pouvoir assouvir un fantasme qui me poursuit depuis bien des années, depuis la fin de mon adolescence, toute une vie ! Quelle sensation étrange et grisante !


Je songe alors à une vieille chanson de Georges Brassens qui concernait le nombril d’une femme d’un agent de police. Le pauvre homme en était mort juste au moment d’aboutir à l’objet de sa longue quête ! J’espère bien que pareil sort me sera épargné ! J’ai encore quelques belles années à vivre !


Je secoue la tête, j’ai un problème plus urgent : je raconte quoi à ma douce moitié pour justifier le fait d’être absent mardi en fin d’après-midi ? Je pense que je vais lui dire la vérité, enfin partiellement, en lui disant que je rencontrerai mon interlocuteur du haut de l’Hexagone qui passe dans mon coin… Je ne suis pas obligé de préciser que sa femme sera là et que je m’occuperai de ses mignonnes fesses rebondies…




—oOo—




Comme je m’en doutais, ma femme n’a pas décidé de m’accompagner ; elle ne connait pas directement Assurbanipal, elle sait juste que c’est une connaissance lointaine liée à mes divers hobbies, ceux-là mêmes qui ne la passionnent pas. Néanmoins, j’aurais eu l’air con si elle avait accepté de m’accompagner !


Je me présente à l’accueil de l’hôtel, car je reste malgré tout un peu dubitatif. Là, on me confirme bien la chambre 337. Alors je prends l’ascenseur rutilant pour me rendre à leur étage. À peine sorti, je foule un grand tapis épais et rouge ; je regarde la décoration : c’est vraiment luxueux, peut-être un peu trop. Ça me fait songer à certains hôtels pour touristes, hôtels ou pièges à touristes. Clinquant, c’est le mot que je cherchais.



C’est alors que je découvre Assurbanipal à la porte de sa chambre. J’avais déjà vu sa photo, mais il est effectivement plutôt grand et carré ! Avec un large sourire, il me broie chaleureusement la main ! Je me demande si, par hasard, il ne l’aurait pas fait exprès, sachant que je viens fesser sa moitié…



Et il me donne une bonne bourrade dans le dos. Non, c’est le personnage qui est ainsi. Si là-haut, dans les brumes nordiques, ils sont tous taillés comme lui, je comprends qu’ils y aillent franco ! Mais il va falloir que je lui explique que, moi, je suis du Sud, moins armoire à glace et avec quelques années en plus au compteur !



Se tenant juste derrière moi, Assurbanipal rit :



Bérénice semble être coulée dans le même moule que son mari, en ce sens qu’elle est loin d’être petite, elle aussi. Heureusement, elle n’est pas taillée en armoire à glace, mais quelque chose me dit qu’une gifle de sa part n’est pas une simple pichenette !


Elle est entièrement habillée en rouge et noir. Un haut rouge largement échancré sur une poitrine voluptueuse qui semble à l’étroit, et juste en dessous de ses seins, une bande noire, comme un serre-taille. Plus bas, je ne saurais dire s’il s’agit d’une courte jupe rouge ou de sa robe qui continue ainsi. Puis des bas noirs gainent les jambes pour s’achever dans des chaussures rouges à talons aiguilles. Sans parler d’une longue chevelure noire, et de deux yeux sombres…


De la tête aux pieds, noire de cheveux, rouge de bustier, noire à la taille, rouge de jupe, noir en bas et enfin rouge de chaussures… Six bandes. Six, ça assone un peu comme sexe…


Oui, une belle femme, pas un top model, mais une femme charnelle qui sait qu’elle plaît et qui est sûre de ses charmes. Je comprends très bien pourquoi Assurbanipal disait que sa femme était non négociable ! Je l’avais déjà vue en photo sous toutes les coutures sur leur blog, mais il y a une certaine différence d’appréciation entre une simple image toute plate et la réalité toute en courbes et reliefs !


Soudain j’entends une voix amusée :



Je cligne des yeux, Bérénice agit comme un aimant. Quelque chose me dit que mon existence aurait été autre si elle était entrée dans ma vie. À la réflexion, cette femme n’est pas belle comme les actrices, mais c’est effectivement une belle femme ! Avec quelque chose en plus que je n’arrive pas à cerner !



C’est Bérénice qui poursuit :



Je tourne la tête vers elle, je n’aurais pas dû ! Elle est assise à gauche de mon siège, sur le canapé ; elle a croisé ses longues jambes gainées de noir, et je constate qu’elle a effectivement mis des bas : le contraste entre la blancheur de ses cuisses et la bande sombre du haut est flagrant !


C’est affolant combien ce contraste peut faire son effet !


Assurbanipal remplit mon verre tandis que j’essaye de décrocher mon regard de sa femme. J’y arrive en tendant la main pour boire mon verre. C’est alors que je me demande si elle porte quelque chose sous cette jupe ou cette robe trop courte pour ma sérénité. Il est des questions saugrenues qu’il ne vaut mieux pas se poser, sous peine d’en perdre une fois de plus sa quiétude !


La conversation roule sur divers sujets. Même si j’ai toujours Bérénice sous les yeux, j’arrive à me concentrer sur le sujet de nos dialogues. Mais je reconnais que ce n’est pas toujours évident. Assurbanipal n’a pas ce genre de problème, il doit avoir l’habitude, il vit avec sa femme depuis des années. Je ne peux pas en dire autant, surtout comment elle est habillée et aussi le fait que je suis ici dans cette chambre d’hôtel !


Soudain, mon interlocuteur lance :



Elle se lève, contourne la table de salon sur laquelle sont posés nos verres, puis elle s’approche de moi. Debout à ma droite, mains en avant, elle projette son corps par-dessus mes genoux et en un rien de temps son ventre se pose sur mes jambes, ses longs cheveux masquant à présent son visage. Je constate que le tissu de sa robe est très fin, nettement plus que celui de mon pantalon car je ressens distinctement la diffusion de sa chaleur. Bérénice remue un peu, cherchant à mieux se caler, à s’installer confortablement sur mes jambes. Puis elle s’immobilise en disant :



Ah oui, de fesser… Nous y voici. J’ai attendu si longtemps ce moment que je ne sais absolument pas quoi faire ! J’ai une belle femme sur mes genoux qui attend ma main, et moi je suis là, comme ailleurs, paralysé…


Assurbanipal me désigne du doigt la jupe de sa femme et me fait signe de la relever. Ce qui n’est pas une mauvaise idée, en effet. Donc acte ! Alors, délicatement, du bout des doigts, je remonte le fin tissu, dévoilant d’abord les bandes noires de ses bas, puis j’arrive ainsi à l’orée entre noir et chair. Il n’y a pas à dire, ça fait toujours son effet ! Un éternel féminin !


Je continue mon retroussage, la chair des cuisses se révèle peu à peu, une chair appétissante. Il y a toujours eu analogie entre le sexe et la gastronomie, et une fois de plus ça se confirme. On déguste ces instants, comme on dévore ensuite la dame.


J’arrive à l’endroit stratégique, le pli rebondi entre jambe et fesse… Quelques millimètres plus loin, je constate que Bérénice ne porte rien dessous, pas même un string comme je le supposais. Je marque un petit temps d’arrêt. Assurbanipal m’informe :



Oui, c’est bien, en effet… Pour rester dans le domaine culinaire, le vin est tiré, buvons-le. Je dévoile complètement les fesses blanches de Bérénice. Quand je pense que, dans quelques instants, ce mignon cul tout blanc sera rougi…



Il vient se positionner à côté de sa femme, face à moi, puis lentement, de ses deux mains, il commence un étrange ballet sur les fesses offertes, ses paumes un peu creusées :



Je respire un grand coup puis je m’exécute.


Clac ! Clac !


Ma main vient de s’abattre doublement sur les fesses offertes ; celles-ci vibrent un peu sous l’impact, étrange mais ravissante vision. Puis une marque faiblement rouge commence à surgir de ces deux hémisphères blancs.


Durant quelques secondes, je contemple mon œuvre. Puis, l’appétit venant, je lève la main pour donner la deuxième salve sur ces fesses qui n’attendent que ça, oui, d’être fessées à cul rouge. Ma main s’abat à nouveau sur ces fesses qui trépident une fois de plus sous le choc. Studieux, j’applique consciencieusement la leçon…


Il a raison, cette façon de donner la fessée est particulièrement sensuelle, à la fois caresse et tape virile. Bérénice oscille sur mes jambes, elle semble apprécier ; alors j’augmente un peu la cadence et la force, surveillant du coin de l’œil ses réactions. C’est grisant, j’appréhende mieux ces histoires de self-control qu’on exige d’un Maître, car je comprends bien que quand on est lancé, on peut avoir du mal à se freiner d’y aller encore plus fort, encore plus puissant, dévastateur et destructeur…


Petit à petit, j’augmente la cadence, la pression. J’adore voir ces fesses qui vibrent, qui oscillent, douces et meurtries. Parfois, je caresse ce cul offert, ce cul chaud, brûlant même, cul sur lequel douceur et violence s’entremêlent…



J’interroge son mari du regard ; il me répond silencieusement que je peux monter d’un cran, ce que je fais avec application et contrôle.


Transportées, mes mains dansent, mes claques virevoltent sur son postérieur carmin qui tangue sous les impacts sonores. J’adore son souffle syncopé, ses trémoussements, son bassin câlin qui se déhanche, son dos parfois cambré, ses petits cris. Oh oui, c’est vraiment divin de donner une belle et longue fessée à une femme qui aime en recevoir ! Je l’ai déjà dit, mais c’est vraiment divin, mon petit paradis sur terre ! Voir son derrière rougir encore et encore, d’entendre le claquement, de contempler l’empreinte de ses doigts sur sa chair si exquise et délectable, de…



Assurbanipal me fait signe que je peux augmenter une fois de plus la cadence. Il se penche à mon oreille tandis que je fesse avec délectation sa femme :



C’est alors que commence un artifice de fessées ; Bérénice vibre, crie parfois, halète souvent, elle se débat mollement, cherchant surtout à mieux se positionner pour que ma main aille là où elle préfère. Parfois, je claque tout en retenue son mignon cul à présent écarlate ; parfois, j’accentue sadiquement la cadence. Ma main pique, chauffe, brûle, mais je ne désire plus m’arrêter !


Grisé par le bruit, l’ambiance, la situation, j’accentue encore un peu plus mes claques sur ses fesses pourpres qui vibrent sous les impacts ; elle se trémousse, se cabre, poussant des tas de petits cris. Oui, c’est divin de donner une belle et longue fessée à une femme qui aime en recevoir, de voir son cul rougir, de voir l’empreinte de ses doigts sur sa chair si douce et délicate, de…


Un peu inquiet, je ralentis mes fessées, les appliquant de façon plus expérimentée, alternant caresses et tapes, profitant du velours de la peau rouge, de l’élasticité des fesses malmenées. La vague monte toujours, mes mains brûlantes deviennent effleurements et cajoleries…



Je suis un peu surpris : ce sont quasiment des cris de plaisir, de jouissance que Bérénice vient de lâcher. Peut-on jouir sous une longue fessée ? Pour de vrai ? J’avais bien lu ce genre de chose, mais entre le lire et le vivre, il y a une énorme marge !

Alors, intimement heureux de la tournure des événements, je continue mon ballet. Mes mains sont comme absentes, insensibles à la douleur ; chaque coup qui fait trembler cette chair rougie me procure un plaisir diffus…


Brusquement, quelque chose me dépasse, m’envahit. Je suis comme transporté, flottant, heureux. Mes mains brûlantes dansent toutes seules sur les fesses écarlates. C’est dans une sorte de coton que j’entends une jouissance féminine éclater…




—oOo—




Nous sommes autour de la table de salon, verre en main. Nous, les hommes, sommes assis, mais Bérénice reste debout, ses fesses impudiquement à l’air depuis qu’elle a ôté sa jupe, certainement juste après la fessée et sa jouissance…



Elle s’exécute, et je peux contempler notre œuvre commune : un popotin écarlate, sur lequel je distingue parfois la trace des doigts et de mains ! Mes doigts, mes mains… Beau spectacle pour celui qui sait y goûter…



Docile, elle s’exécute. Quand elle passe près de lui, il lui capture les jambes afin de l’immobiliser puis, la faisant pivoter sur elle-même sans effort, il dépose deux gros baisers sonores sur ses fesses écarlates. Elle se trémousse doucement, impudiquement, tandis qu’il lui caresse amoureusement le séant.


Je me lève, je me sens de trop :



Bérénice s’adresse à moi :



Je ne sais plus très bien ce que nous avons pu dire. Des politesses, le fait que je revienne dans la semaine. Puis nous nous sommes quittés. Dehors, je me suis senti à la fois heureux et vidé. Heureux d’avoir enfin accompli mon fantasme, celui de fesser le cul tout doux d’une femme, et vidé, comme s’il me manquait quelque chose à présent. Je me suis même demandé fugacement si je n’avais pas fait une bêtise en réalisant mon si vieux fantasme. Puis je me suis dit que non, j’en étais très heureux, tout s’est bien passé. Par contre, j’ai envie de recommencer bientôt, et je me demande déjà comment je vais faire par la suite, car Bérénice repartira bientôt trop loin. Car maintenant que j’y ai goûté, je ne m’imagine pas attendre encore des années pour la prochaine fessée !


Sans but précis, je marche un peu dans la ville. Arrivé à un petit parc, je m’assois sur un banc. Contemplatif, je regarde la paume encore rouge de mes mains. Tout à l’heure, elles fessaient de bien belles fesses offertes ! Puis je les pose sur mes genoux. C’est alors que revient le souvenir de la chaleur et de la douceur du corps de Bérénice…


Devant moi, absorbées, diverses femmes passent ; certaines ont même des talons qui claquent sur le sol. Ont-elles des bas ou des collants ? Ont-elles des porte-jarretelles ? Ont-elles même une petite culotte ou un string ? Leurs fesses n’attendent-elles pas que mes mains pour les rougir ? Oui… qui sait…


Alors je me lève, et je songe qu’il ne serait peut-être pas si difficile de dénicher une femme qui accepte de recevoir la fessée… Oui, je pense que je finirai par la trouver… Peut-être pas tout de suite, mais un jour… oui, un jour…


Alors je me lève, et me dirigeant vers ma voiture, je me dis qu’il me reste encore bien des années à profiter des charmantes fesses des dames qui aiment la fessée !




Je remercie mon interlocuteur téléphonique (qui se reconnaîtra) pour son sens de l’humour et le titre.