n° 16522 | Fiche technique | 42681 caractères | 42681Temps de lecture estimé : 25 mn | 28/11/14 |
Résumé: Quel beau métier, soigner les gens : ils vous le rendent au centuple. | ||||
Critères: fhh grp cocus médical fête fsoumise massage fellation préservati fsodo hsodo partouze attache exercice | ||||
Auteur : Roby |
La vie en province, dans un gros bourg, a des inconvénients et des avantages.
L’inconvénient principal est cette impression d’être loin de tout, et en particulier des distractions. Internet ne remplace pas le plaisir d’un théâtre ou d’un repas improvisé au restaurant. Cette impression est renforcée car nous sommes depuis deux ans dans ce village du Midi où la réputation du Sud dans le manque de chaleur pour l’étranger s’applique. Marie, ma femme, le ressent plus que moi qui, de par mon métier, côtoie régulièrement les gens. En plus, nous avons fait l’erreur de vivre dans un village et de travailler dans un autre.
Pendant que moi, je me faisais une clientèle, Marie a créé une boutique d’antiquités et de décoratrice d’intérieur. Les débuts sont difficiles et la clientèle n’a pas toujours un niveau financier suffisant pour s’attacher ses services.
Je sens bien que ma femme me juge responsable de cet état, et depuis quelques mois notre vie est rythmée par des disputes. Mais cela va passer. D’autant que je pense que des clients fortunés vont bientôt faire appel à ses talents.
L’avantage de la campagne, c’est plutôt moi qui en profite. Je suis médecin et mon métier est bien plus diversifié qu’à la ville. Je fais office de généraliste, mais vois aussi certaines pathologies qui, à la ville, seraient traitées par des spécialistes. Bien sûr, j’oriente dès que cela devient vraiment nécessaire.
Tenez : l’autre jour, un couple se présente pour une consultation. Des nouveaux, assez jeunes, la trentaine engagée, ce qui me change des retraités. Comme c’est la première fois, je dois établir un dossier de médecin "référent" et je les reçois l’un après l’autre.
Ils viennent de s’installer au village, dans une demeure bourgeoise qu’ils font restaurer, un peu en dehors du bourg. Vieille bâtisse avec un grand parc clos, qui la rend mystérieuse.
Lui est "dans la bourse" et travaille la plupart du temps chez lui. C’est vrai que nous avons la chance d’avoir accès à la fibre optique. Tout n’est pas si "noir", chez nous. Après le questionnaire classique, je l’examine. Comme il est particulièrement bronzé, je lui demande :
C’est vrai que souvent les "grains de beauté à problèmes" peuvent se cacher dans des régions qui ne voient pas le soleil. L’homme s’exécute. Il est bien fait et je constate les résultats de ce qu’il m’avait dit quelques minutes auparavant. Il fait au moins deux heures de sport et de musculation par jour afin de relâcher les tensions propres à son travail. Moi aussi j’aimerais bien avoir le temps de… mais c’est une autre histoire.
Je sais que ce n’est pas très "pro", mais je ne le regarde pas seulement avec l’œil du médecin. Sans être homo, j’apprécie de voir un beau corps de mâle et, avant de connaître Marie, il m’est arrivé quelques aventures avec des hommes. Mais c’était avant. Juste des expériences.
Il est bien fait et je tourne autour examinant chaque centimètre de peau à la recherche d’une tache suspecte. Je lui demande de soulever sa verge pour regarder dessous. Rien. Il la relâche. Il a un sexe assez long, qui pend bien calé entre les deux bourses. C’est rare de voir un tel équilibre. Souvent il y a dissymétrie.
Même étude derrière. Pour en terminer, j’écarte délicatement les fesses. Tout naturellement il se penche un peu pour que je puisse mieux voir. Non, tout est parfait.
Je le rassure. Il se rhabille. J’en profite pour poser la question classique, mais quelquefois mal prise par certains qui la juge "inappropriée" :
Il sourit à ma question.
Je suis un peu surpris de sa réponse. Est-il en train de me dire que sa femme et lui ont des relations extraconjugales ? Il doit le voir car il précise :
Comme je ne veux pas paraître indiscret, je le remercie sans insister. C’est la première fois – du moins je pense – que je suis en face d’échangistes. Si je ne me retenais pas, je lui poserais des tas de questions, mais je reste "pro".
Lorsque la femme, Laure, est dans mon cabinet, je réussis à me recadrer sur mon job. Elle aussi est dans la banque. Mais elle n’a pas besoin de sport pour se relâcher. D’ailleurs je l’aurais plus vue dans la mode, même mannequin avec son corps parfait.
S’ensuit la liste interminable du questionnaire. Elle aussi je l’examine pour les taches suspectes. Elle est parfaitement à l’aise, nue devant moi. Je l’invite à me faciliter cet examen. Un voyeur pourrait trouver particulièrement pervers de demander à une femme d’ouvrir sa chatte et d’écarter les fesses. Mais je suis médecin, et dans la mesure du possible essaie de garder mes distances, surtout avec mes patientes.
Au sujet des MST, sans aucune gêne, elle me confirme les goûts sexuels du couple. C’est beau de voir des gens qui assument leur sexualité. Moi, je n’en serais pas capable. C’est vrai que, médecin, je suis un personnage public. Aussi le secret professionnel les protège de tout bavardage, au moins de ma part.
Le soir, j’ai juste parlé à Marie d’un nouveau couple qui vient de s’installer. J’ai aussi ajouté qu’ils m’avaient interviewé entre deux portes sur son magasin. Manifestement, ils n’avaient pas fait le lien entre Marie et moi. C’est normal car elle porte son nom de jeune fille ; et comme nous habitons le village voisin, peu de gens savent ici que nous sommes mariés.
J’avais oublié cette consultation, mes patients n’ayant plus fait appel à mes services. Par contre, Marie avait fait affaire avec eux et régulièrement me parlait des projets en cours.
Ce samedi-là, nous revenons de la ville, soirée cinéma et repas en amoureux, lorsque je reçois un appel. C’est justement la femme qui me parle d’un ami qui ne se sent pas bien. En temps normal je lui aurais conseillé le médecin de garde, mais comme nous n’étions qu’à quelques kilomètres j’accepte de passer. Heureusement, j’ai toujours mon matériel dans mon coffre.
Marie reste dans la voiture que je ne peux pas garer devant car beaucoup d’autres véhicules stationnent. C’est la femme, Laure, en peignoir, qui m’accueille. En la suivant, je constate que si elle est en peignoir, par contre elle porte des bottes. À l’étage, elle m’ouvre la porte d’une chambre et je découvre l’homme allongé sur un lit. En chemin elle m’a raconté ce qui s’est passé : un ami s’est trouvé mal, mais avec juste une perte de connaissance de quelques secondes.
Quand je dis un homme allongé, en réalité je ne vois pas son visage car il porte un masque et son corps est sous un drap. Il n’est pas nécessaire de me faire un dessin pour m’expliquer ce que l’homme faisait avant d’avoir son malaise. Du lit pendent des menottes ; au sol gisent des vêtements, et lorsque je soulève le drap je constate qu’il est nu, et même que sur un côté un sextoy traîne, un sextoy du genre gode-ceinture.
Laure sourit lorsque je repousse l’objet pour mieux examiner mon patient. Il ne va pas si mal ; certainement un petit malaise vagal, pas plus. Je rassure Laure et lui aussi, et les engage à consulter demain plus sérieusement.
En redescendant la femme ne cesse de me remercier de m’être déplacé, que les conditions étaient un peu embarrassantes et qu’elle ne voulait pas vraiment un inconnu.
Et je ne sais pas pourquoi j’ajoute, comme si son invitation n’était qu’une invitation classique, car bien sûr je sais ce qui s’est passé et même continue peut-être (j’ai entendu de la musique et des rires en passant au rez-de-chaussée) :
Décidément, je m’enfonce. Pour couper court, j’ajoute :
Je refuse d’entrer dans son jeu.
Et voulant conclure en ayant le dernier mot :
Et je pars en riant. Elle aussi.
Marie, qui connaît mon sens du secret professionnel, se satisfait de mon diagnostic d’un simple malaise. Elle s’inquiète juste de savoir si c’est Thomas, le mari de Laure. Je la rassure sans préciser les conditions particulières. Je comprends son questionnement : le couple est devenu un client très important ; elle passe beaucoup de temps pour leur trouver des objets et agencer leur maison.
Quelques jours plus tard je reçois un appel de Laure. Je pense à une demande de visite à domicile, mais elle me précise que ce n’est pas le médecin qu’elle voudrait recevoir pour déjeuner, mais plutôt un ami.
Je ne connais pas beaucoup d’hommes qui résisteraient à un tel appel. Bien sûr, je ne suis pas dupe. D’ailleurs, depuis l’autre samedi, Laure est passée du stade de la patiente à la femme, et je ne cesse d’imaginer ce qui peut bien se passer dans ses soirées. En plus, ce matin, je me suis pris la tête avec ma femme.
Dès mon arrivée, Laure s’est montrée câline. Bises pour nous saluer. Main dans la mienne pour m’entraîner dans le salon. Elle est sobrement vêtue d’une petite robe d’été sans prétention mais qui déjà me fait fantasmer.
La suite ? La suite est bien simple. Nous avons fait l’amour. Normalement. Sans fantaisies particulières. Juste comme deux personnes qui prennent du plaisir. Et cela s’est très bien passé. Pour moi bien sûr, mais je pense que pour Laure aussi. J’ai fait ce qu’il fallait et je ne la vois pas pousser des gémissements de complaisance.
Alors que nous reprenons notre souffle, je lui pose la question qui me taraude depuis mon arrivée :
Dans ma tête, je pensais que les couples échangiste "échangeaient", c’est-à-dire avec un autre couple. Je m’attendais presque à la présence de Thomas et j’avais peur de ne pas être à mon aise.
Elle rit.
Pendant un long moment nous bavardons et Laure m’explique leur parcours. Maintenant, ils organisent des soirées où plusieurs couples sont présents. Tous ces récits m’excitent. Je bande à nouveau et nous repartons pour une partie de jambes en l’air. Je sais que son mari regarde, et cela m’excite. Elle me suce, je la lèche. Nous prenons tout notre temps, changeant de position.
Elle est devant moi, appuyée contre le canapé et je la possède en levrette. Je coulisse avec envie dans sa grotte plus qu’humide. Je vais jouir. Devant moi, une porte s’entrouvre et Thomas se glisse discrètement dans la pièce. Nos regards se croisent. Sa présence décuple mon plaisir. J’ai juste le temps de me retirer, d’arracher la capote et cracher mon foutre sur les reins et le dos de sa femme.
En un éclair je comprends le plaisir que peut apporter le regard de l’autre. Mais Thomas n’intervient pas. Il attend seulement que nous reprenions nos esprits pour venir vers nous.
Laure se tourne vers moi et me propose :
Ma femme, moche ? Quelle idée… S’ils savaient ! S’ils savaient que la décoratrice qui s’occupe de leur maison est aussi ma femme, Marie, ils changeraient d’avis.
D’ailleurs, c’est de leur faute si nous nous sommes engueulés ce matin. Elle venait de m’annoncer que comme beaucoup de week-ends précédents – excepté le dernier où j’ai fait le forcing pour que nous allions en ville ensemble – elle allait courir les brocantes, et même monter à Paris pour un salon d’antiquaires.
Après tout, qu’est ce que je risque de venir voir ? Marie sera absente et la soirée est anonyme.
Comme un fait exprès, une urgence m’a retenu bien plus tard que prévu, le temps d’attendre le Samu. Puis le temps de passer à la maison pour une douche et j’arrive chez eux ; il est presque 22 heures. Beaucoup de voitures encore ce soir. Une fois encore, c’est Laure qui m’accueille. Cette fois-ci, elle est carrément nue avec juste un porte-jarretelles noir et des bottes montantes du plus bel effet.
Si je disais que mon retard est dû à une crise cardiaque et que mon patient est entre la vie et la mort, cela risquerait de jeter un froid. Aussi je prétexte une panne.
Quelques minutes plus tard, nu comme Adam mais le visage totalement recouvert par une cagoule noire qui descend jusqu’aux épaules mais heureusement ajustée et troué pour les yeux, les narines et la bouche, Laure m’introduit dans un grand salon. Il fait sombre et je m’habitue doucement à la pénombre. Maintenant je distingue bien ceux qui sont déjà là et se sont tournés vers moi à l’entrée. Tout le monde est masqué, et c’est particulièrement drôle pour les femmes qui portent un masque blanc avec les yeux et la bouche soulignée par des traits de couleur.
Combien sont-ils ? Combien sommes-nous ? Je compte trois couples. Thomas n’est pas là et Laure a disparu. Ainsi, je suis le seul célibataire. Non, un homme est seul aussi, un peu plus loin. Nous sommes donc huit.
Je pense un instant que je suis trop "protecteur" pour ma femme. Laure a peut-être raison. Nous n’avons jamais abordé le sujet de ce type d’aventure. Marie n’est pourtant pas une femme innocente. Je sais qu’elle a eu de nombreuses aventures avant de me connaître, comme moi d’ailleurs. Notre sexualité est très active et inventive. Enfin, lorsqu’on ne s’engueule pas ; du moins, jusqu’à la réconciliation sur l’oreiller.
Mais tout le monde se retourne. Une porte vient de s’ouvrir au fond de la pièce. Laure, suivie d’une femme cagoulée et de Thomas entre. Ils avancent. On peut voir les yeux de la femme regarder partout. On la sent inquiète. Elle dévisage chaque personne, mais qui peut-elle reconnaître derrière ces cagoules si serrées et ajustées ? Elle passe sur moi sans insistance. Un instant elle s’attarde sur l’homme seul. Son mari peut-être ? Mais oui, probablement que c’est le cas. Un mari qui va assister à cette cérémonie que Laure m’a succinctement décrite.
Personne de répond. La pièce est silencieuse ; silence presque religieux, d’une religion qui est plus près du paganisme ou de l’adoration de Vénus que d’un dieu unique.
On la guide vers le centre de la pièce où se dresse une table, genre table d’examen médical.
Aussitôt, l’homme seul et Thomas lui fixent les poignets aux pieds de la table. Pas de doute : l’homme, symboliquement, livre son épouse à ses partenaires. Il recule, laissant la place à Laure et Thomas.
La femme, Ludivine, respire profondément. Fait-elle semblant d’être effrayée, ou bien est-ce tout simplement le saut vers l’inconnu ? Thomas se saisit d’un flacon dont il s’enduit les mains pour commencer un massage. Pendant de longues minutes, le massage est très doux, très professionnel, uniquement localisé sur les jambes, si bien qu’on peut voir que la femme se décontracte lentement.
Pendant ce temps, Laure s’est approchée de la table. Chacun semble avoir une fonction bien précise. Elle aussi utilise de l’huile, mais c’est en la faisant couler largement sur le dos et l’étaler grassement. Très vite, la peau luit dans le clair-obscur de la pièce. Parfois les mains se rencontrent sur les fesses, et l’huile que la femme a étalée continue son chemin, reprise par les mains de l’homme.
Depuis un moment déjà, il masse d’une façon beaucoup plus érotique, ses mains remontant très lentement vers les fesses qu’elles finissent par atteindre, mais sans s’y attarder. L’homme s’occupe des reins et du bas du dos ; la femme masse les flancs et glisse sur le côté de la poitrine pour flatter les lobes écrasés sur la table.
J’ai l’impression que Ludivine voudrait pouvoir offrir plus à ces caresses, mais ses bras tendus et immobilisés l’en empêchent. Ce n’est pas le cas de ses jambes qu’imperceptiblement, sous la décontraction du massage, elle a dû relâcher.
Maintenant, le couple de masseurs et la femme allongée sont entourés par les spectateurs. Nous nous sommes rapprochés, silencieux et voyeurs. Il ne reste que la place pour que les officiants évoluent.
De temps en temps, les mains reviennent sur les fesses, les écartent mais sans exagération, repartent vers les cuisses, reviennent, et repartent vers les reins à la plus grande satisfaction de Ludivine qui pousse de discrets petits soupirs de satisfaction étouffés par la serviette de bain qui recouvre la table d’examen.
Laure profite de ces instants pour faire couler un peu plus d’huile dans le sillon des fesses.
Est-ce mon imagination ? Mais maintenant on peut voir la petite corolle plissée et sa fente. Pendant que la femme enduit les fesses et les écarte, l’homme glisse ses doigts dans le sillon pour entraîner le liquide et lui faire atteindre le moindre recoin.
Ludivine cambre ses reins sous ces caresses. Je suis certain que n’importe quel homme de l’assistance n’a qu’une envie : venir posséder ce petit cul ou cette chatte que le liquide rend brillants, accentuant encore plus le rose des chairs.
La main vient maintenant se plaquer sur les fesses, le pouce vers le bas. Comme dans un film au ralenti, il suit le sillon qu’on imagine glissant et devient maintenant un moignon, privé de sa première phalange. Mais cette phalange n’est pas perdue pour tout le monde. Au tressaillement de la femme, je comprends qu’elle est entrée dans son petit trou ; d’ailleurs, Thomas fait tourner sa main et, comme un tire-bouchon se visse dans la bouteille, son pouce se vrille dans le cul au point de disparaître entièrement. Il le tourne et pistonne, extirpant des cris à la femme. Ses cris, étouffés, ne sont pas des cris de douleur. Un pouce n’est rien, surtout que l’huile a fait de l’orifice un chemin glissant, telle la gravité pour un trou noir.
Pendant tout ce temps, la masseuse continue son travail et ne se gêne pas pour lui écarter les fesses, montrant au regard de tous l’œuvre de l’enculeur. L’homme replace la main à plat, toujours planté dans l’anus ; et maintenant, dans un geste presque théâtral, la tourne autour de son axe pour diriger les autres doigts vers la fente luisante. Un, puis deux, puis tous disparaissent dans la chatte, écartant sans vergogne les petites lèvres si délicates que Ludivine exhibe en se cambrant au point de se soulever de la table. Il la fouille sans douceur, entre, sort, tourne les doigts.
Elle gémit, un cri plaintif annonciateur de sa jouissance. Elle va jouir.
Non. Brutalement Thomas se retire, la laissant la croupe suspendue dans une pose obscène. Elle retombe.
Laure va détacher les poignets et d’une tape lui fait signe de se tourner. Elle est sur le dos. La femme lui tire les bras vers le bas et fixe à nouveau les poignets aux pieds de la table. Ludivine respire fort, essoufflée de cette montée vers un orgasme dont l’homme l’a privée.
Les masseurs reprennent leur office. L’huile est à nouveau étalée avec générosité, et sa peau brille de toute part. Toujours le partage des taches : la femme en haut, l’homme en bas. Le ventre et les seins pour la femme ; le sexe et les jambes pour l’homme qui continue de la caresser dans la fourche des cuisses, ouvre la chatte en séparant les lèvres intimes, et en souriant va cueillir d’un doigt une sécrétion, preuve évidente que la femme est excitée.
Je la plains de se retrouver dans cet état. Se sentir si près de la jouissance et ne pas l’atteindre. Son corps ne doit être qu’une immense zone érotique avec les nerfs d’une sensibilité exacerbée. Elle surréagit à chaque mouvement. Je m’étonne qu’elle ne les supplie pas de la finir.
Mais Laure, avec agilité, monte sur la table et vient s’asseoir sur le visage de Ludivine. Son sexe écrase la bouche et la masseuse se frotte contre les lèvres par un mouvement du bassin. Lèvres contre lèvres. Ses mains viennent maintenant se saisir des seins de la femme et entreprennent un étirement des tétons que Ludivine cherche à suivre en se soulevant. Mais elle s’effondre.
Pendant qu’on lui forçait les lèvres, Thomas s’est plongé dans son intimité après avoir fait basculer une extrémité de la table, laissant maintenant les fesses sur le bord et les jambes pendantes. Il découvre le clitoris de sa soumise et il n’est pas nécessaire de voir pour savoir qu’il vient de s’en saisir avec sa bouche. Ludivine tressaille puis pousse son ventre vers lui dans un grognement que même le sexe qui l’étouffe ne peut empêcher de retenir.
Seulement quelques secondes de cette caresse et elle jouit. Son sexe doit ruisseler de son jus, mais l’homme ne recule pas. Au contraire, il semble l’apprécier.
De longues secondes s’écoulent encore avant qu’il se redresse. Son sexe est dressé contre son ventre. Je l’ai connu au repos, je le vois gonflé. Il est parfait. Tout homme rêverait d’en avoir un si beau. Gros, mais pas trop. Long, mais pas trop. Gland bien formé, tige régulière et manifestement bien gonflée de sang pour la rendre si dure. C’est le médecin qui compare. Mais c’est l’homme qui bande comme tous les hommes de la salle qui bandent du spectacle.
Thomas recouvre sa queue de l’indispensable capote avec le ballon en extrémité qui donne toujours un côté un peu ridicule, mais ô combien indispensable dans ces circonstances. Il se promène entre les parois de chair, déclenchant des gémissements toujours étouffés de Ludivine lorsqu’il se frotte sur le bouton exacerbé. Enfin il l’enfonce dans la chatte. Le gland disparaît comme aspiré puis ressort luisant de l’huile et des sécrétions intimes, avance, ressort, avance, ressort, faisant languir l’assistance. Enfin, d’un coup de reins, l’homme l’enfonce jusqu’aux couilles. On entend des gémissements, mais à ceux de la femme qui sent la tige venir buter contre sa matrice se sont joints ceux des voyeurs et voyeuses fascinés par la sensualité du spectacle.
Laure avait raison. C’est fantastique. Je n’ai encore rien fait si ce n’est regarder, et je suis excité comme un malade. Je ne suis même pas gêné, au contraire, par les autres. Nous échangeons des regards, des sourires, complices de ce que cette femme subit. Ce sexe qui la fouille. Cette femme qu’elle suce. Ses reins qu’elle avance à la rencontre du pieu qui la perfore.
J’ai sous les yeux le détail de la luxure. Et, le plus terrible, c’est que j’aime cela ! Mon propre sexe vibre sous l’excitation, mais je me refuse – comme certains – à me branler, gardant pour je ne sais quelle issue le foutre que le spectacle de cette femme baisée, enchaînée et soumise me procure.
L’homme la saisit aux hanches et la besogne avec les jambes sur ses épaules. La possession dure, interminable, torride, uniquement ponctuée par le floc-floc de la queue dans la grotte inondée et les gémissements étouffés par une chatte écrasante.
Justement, Laure saute sur le sol. D’un geste, elle relâche les poignets de la captive mais aussi incline l’extrémité de la table. La tête de Ludivine n’a plus d’appui ; elle penche en arrière, retrouve enfin une surface où se reposer. C’est à ce moment que je vois l’homme seul être poussé pour amener son sexe au bord des lèvres de sa femme.
Laure guide la queue dans l’orifice des lèvres. C’est elle encore qui force les reins de l’homme pour avancer jusqu’à ce que la bite pénètre profondément et que les couilles stoppent sa progression. Je suis toujours étonné des possibilités qu’offre une gorge accueillante, même si ici la femme s’étouffe sous l’intrusion. Ce n’est pas ma femme qui ferait cela, elle toujours réticente à mon envie de gorge profonde…
Ici, c’est bien différent. Ludivine est maintenant embrochée par le haut et par le bas. Les deux hommes usent d’elle. Elle n’est qu’un trou qu’ils utilisent à leur façon. Sait-elle que c’est son mari qu’elle suce ?
Un autre homme s’avance. Il confie sa verge à la main de la soumise qui se fait un devoir de le branler. Le suivant se place en symétrique.
Je suis tout contre la table de massage transformée maintenant en table de baise. Je n’ai pas le temps de me poser la question de ce que je vais faire qu’une main se saisit de ma queue. Je sens aussi contre mon dos le délicat contact d’un corps de femme avec les seins qui s’écrasent.
Répondre me ferait craindre de rompre cette harmonie de sexe qui règne maintenant. D’ailleurs, la réponse est évidente et la main qui flatte ma queue peut en constater la dureté.
Mais je ne peux plus détacher mes yeux de cette orgie qui se déroule si près de moi.
Je suis si près de la femme et de sa chatte que je peux suivre chaque mouvement et voir la grotte se serrer autour de la queue qui la besogne.
À ma gauche, le bruit si reconnaissable de la salive repoussée par la bite du mari qui entre dans la gorge comme dans un moulin. De temps en temps il s’immobilise, bien à fond pour que Ludivine puisse, de sa langue tirée au maximum, venir lécher les bourses.
À ma droite, l’homme qui s’active dans le vagin maintenant distendu et ouvert. Sa verge qu’il sort totalement avant de la pousser d’un seul coup de reins. La queue qu’il promène aussi sur l’œillet du cul, anneau de chair brun alors que ses mains s’emparent des jambes sur ses épaules et les écarte au point que l’une vient me toucher l’épaule. Le gland fait plus que se promener dans le sillon : il s’attarde sur le petit trou, provoquant une dilatation qui le fait devenir un anneau ouvert. L’appel est évident ! L’invite pressante. La femme sait et veut ce qui va suivre.
Le gland avance, avant-garde qui disparaît, happée et étranglée par le muscle complice. La hampe suit, et en une poussée régulière voilà Ludivine sodomisée.
Il coulisse fièrement dans cette femelle à sa merci et soumise à son, à notre bon plaisir. Finie la délicatesse : il lui assène de véritables coups de boutoir, faisant bouger son corps à chaque impact au point que le mari doit reculer pour ne pas étouffer sa suceuse. Il lui défonce l’anus.
Une sorte de frénésie semble s’emparer de l’assistance. Les femmes, un moment oubliées et spectatrices, entraînent les hommes pour des plaisirs affichés. Ne restent que Laure et moi autour du trio.
L’enculeur retire sa capote et balance son foutre avec une telle violence qu’il arrose jusqu’à la poitrine. Seul le mari est encore actif. Longtemps il continue de se baiser dans la gorge accueillante et si profonde que chacun peut se demander où peut-elle bien mettre cette queue. Enfin il pousse un interminable gémissement, message annonciateur de sa décharge de un, deux, trois, enfin quatre jets de sperme que l’on devine épais et généreux et que sa femme se fait un devoir de conserver puis d’avaler lorsque la queue la libère et lui permet de déglutir. Le trop-plein de semence coule au coin de ses lèvres, centre de nos regards attirés comme par un aimant. Elle ne s’en rend pas compte, mais l’homme va récupérer les coulures pour les lui proposer.
Laure m’entraîne sur un canapé. J’ai juste le temps de voir qu’on libère Ludivine et qu’elle s’assoit sur la table. Aussitôt ma queue recouverte, Laure vient me chevaucher. Sa grotte est ouverte et elle s’empale facilement. Commence alors le doux pistonnage. Ma cavalière s’imprègne aussi de ce qui se passe dans la pièce. Partout ce ne sont que corps en mouvement, cris et gémissements. Thomas aide Ludivine à s’installer dans un fauteuil. Elle devient spectatrice après avoir été actrice dans le rôle principal. A-t-elle conscience que c’est un peu grâce à elle que les ardeurs sont si belles ?
Thomas est tout près de nous. Sa femme tend la main vers sa verge ramollie mais encore bien gonflée. Il comprend son geste et s’approche suffisamment pour qu’elle puisse le sucer. De les voir si complices, ma queue enfle encore plus. Elle monte lentement sur moi, et au même moment ses lèvres sucent le mandrin qui très vite reprend sa vigueur. Magnifique. Quel accord parfait de ce couple, à la fois tendre et pervers.
Mais Laure change d’idée. Elle vient maintenant se mettre sur moi en 69, et chacun peut caresser l’autre. Savoir que c’est la même gorge qui a pompé le mari est une idée magique. Mais elle ne fait pas que me pomper. Ses mains jouent avec mes fesses, comme elle l’a fait à Ludivine. Je sens nettement un doigt se glisser dans le sillon et jouer avec mon anus. J’aime cette caresse. Ma femme me le fait souvent et… Oh ! Le doigt est déjà entré et s’active. Doigt et gorge bougent au même rythme. C’est bon. Mon anneau se décontracte et c’est encore meilleur. Ma queue est abandonnée et Laure vient maintenant me lécher la rondelle.
Maintenant elle se redresse et vient m’écraser le visage avant de retourner pour revenir s’empaler. Retour à la case départ.
Pas vraiment car je sens toujours doigts et langue jouer avec mon cul. Je comprends que c’est Thomas lorsqu’il se redresse et que je le vois derrière sa femme. À ses gestes, je comprends qu’il enfile une capote. Juste dans l’axe, je croise le regard de Ludivine qui semble être au spectacle.
Je le vois se placer. Un instant, je pense qu’il va venir prendre sa femme en sandwich avec moi. Mais le bâton que je sens entre mes fesses n’est pas destiné à Laure. C’est à moi qu’il le destine. Déjà le bout appuie. Thomas me regarde. Nos regards se croisent. Attend-il un accord de ma part ? Comment sait-il que je rêve de sa queue depuis que je l’ai vue à mon cabinet ? Comment sait-il que je ne suis pas réticent aux jeux entre hommes ? Pourtant, personne ne le sait. Même pas Marie. C’est un secret que j’ai gardé pour moi.
En tout cas je ferme les yeux, et ce que je vois derrière mes paupières est la réalité de ce que je sens. La pression plus forte du gland depuis que j’ai donné mon accord silencieux.
Ma corolle s’ouvre avec obscénité, comme si depuis tant d’années elle attendait le retour d’une queue d’homme. Le gland entre en fronçant à peine. La hampe que j’ai vue si belle, droite, parfaite, s’avance et m’envahit doucement, et la douce caresse des couilles qui butent.
Le temps s’arrête. Laure et Thomas sont suspendus à mes réactions. Je souris de sentir une belle queue de mari en moi et d’une façon la prolonger par la mienne dans la grotte de sa femme. Ils prennent ce sourire pour ce qu’il est, du plaisir.
La queue qui a enculé Ludivine s’active maintenant dans mes fesses et je ne suis plus qu’un jouet dans les mains de ce couple si expert.
Très vite je jute dans ma capote, tellement excité par ce que je sens mais aussi par le regard de Ludivine, si attentive à ce qui se passe près d’elle. N’a-t-elle jamais vu un homme se faire enculer ? N’a-t-elle jamais vue une femme chevaucher ? Peut-être ; en tout cas elle n’en perd pas une miette. Laure me laisse. J’ai maintenant la vision parfaite de son mari qui m’encule, soulevant mes jambes comme il a soulevé celles de Ludivine, pour me posséder encore plus profond. Je voudrais que cela ne cesse jamais. Je retrouve des souvenirs de jeunesse, des souvenirs d’avant, des sensations oubliées et pourtant si agréables. Pourquoi avais-je caché cette part de ma sexualité au plus profond de moi ? C’est si bon. C’est si bon de se faire prendre.
Je jouis. Une jouissance intérieure. Je sens aussi ma queue qui reprend déjà forme. D’ailleurs Thomas s’en empare et me branle. Il crache dans ses mains pour les rendre encore plus soyeuses.
Je ne pense plus. Je ne suis qu’une chose. On me baise. Je ferme les yeux. Cela dure, dure. Je vais cracher mon jus. Thomas va me vider les couilles. Des lèvres viennent en réceptacle. C’est Ludivine que le couple à dû faire approcher.
Il arrache sa capote. Je jouis. Sa sauce arrose la tête du Ludivine. On baigne dans le foutre. C’est bon. C’est pervers. C’est vicieux. Mais que c’est bon !
Les invités sont partis. Même l’homme seul est parti, me faisant douter qu’il soit le mari de Ludivine. Elle est encore là, à côté de Thomas, maculée de sperme. Déesse vivante de l’amour. Je n’ai jamais entendu le son de sa voix si ce n’est des gémissements et des petits cris.
Laure m’accompagne à la porte. Il n’est pas nécessaire de dire combien j’ai apprécié sa soirée. Un "merci" en dit assez, complété par un" je vais voir pour ma femme…" qui la fait sourire.
C’est vrai que je suis ridicule de ne pas vouloir, au moins, essayer. Je ne sais pas encore comment je vais aborder le sujet. Ce n’est pas si simple.
Je retrouve ma voiture. Les autres sont parties. Ne restent que trois véhicules, ceux de mes hôtes. Pourtant, une me paraît familière. Vieille Mini comme ma femme aime. D’ailleurs, on dirait la sienne. Mais c’est la sienne, le 3523 .. 92, vieille plaque du temps où nous habitions les Hauts-de-Seine !
Comment est-ce possible ? Mon sang ne fait qu’un tour. Je fais marche arrière, bondis, mais décide de ne pas faire d’esclandre et entrer comme un mari jaloux. Et si elle avait laissé sa voiture la dernière fois qu’elle est venue ? Mais oui, c’est cela.
Pourtant je ne sonne pas. Il me suffit d’ouvrir la porte pas encore fermée à clé. J’avance dans l’entrée, le couloir. La porte du salon est encore ouverte. J’entends des gémissements, des cris de plaisir. Ils sont infatigables. Je jette un œil et le ciel me tombe sur la tête.
Marie est là, et bien là. Les masques sont tombés. Le sien git à terre. Ainsi cette Ludivine, celle que je croyais la femme de l’homme seul, est en réalité la mienne. Cette femme qui s’est laissé dominer, baiser, enculer, qui a sucé et avalé le foutre d’un autre, mais le mien aussi, c’est la mienne. C’est Marie. Resplendissante. À quatre pattes en train de se faire prendre par Thomas et qui prend son pied. Et Thomas qui lui-même est enculé par sa propre femme avec un gode-ceinture. Le trio ne m’a pas vu. Il est trop occupé à son plaisir.
Je vais entrer et me faire connaître. C’est ma femme que vous baisez. Comment ? Ta femme ? Mais c’est notre décoratrice. Et elle, Marie, surprise pendant ses ébats, ne va-t-elle pas se souvenir que l’homme qui s’est fait prendre par Thomas est son mari ?
Toute la science apprise à l’école de médecine, le contrôle de soi en toutes circonstances, revient à la surface.
Je ne dis rien. Je regarde, voyeur de ce trio. Voyeur mais pas indifférent. D’accord, ma femme se fait baiser et participe à des parties fines. Mais moi, qu’ai-je fait ? Ainsi nous vivions côte à côte sans vraiment nous parler. Je n’ai pas osé. Elle n’a pas osé.
Je bande. Oui, je bande de voir et d’entendre.
Mais mon cerveau est harcelé par plein de questions.
Marie m’a-t-elle reconnu ? Non, je ne pense pas. Elle ne s’attendait pas à me voir, comme moi qui ne l’ai pas reconnue.
Ses amants savent-ils que nous sommes mari et femme ? Je ne crois pas.
Alors, que faire pour que chacun ne se sente pas trahi ?
Je sais. Laure est la solution. Je vais lui avouer que l’antiquaire, Marie, est ma femme. Je vais lui demander d’organiser une rencontre pour lui montrer le libertinage. Ainsi, chacun fera mine de découvrir ce milieu, et bien sûr va trouver que c’est très bien.
Déjà je remonte dans ma voiture. Tout à l’heure, dès le retour de Marie de sa prétendue brocante, je vais lui faire l’amour. Comme si elle m’avait manqué. Je vais la baiser par-devant, par derrière, cracher dans sa gorge et ensuite je vais lui parler de ce que je devine : « Je crois que tes clients sont des échangistes. Ils me l’ont littéralement avoué, et la femme m’a fait des propositions. L’autre samedi, je ne t’en ai pas parlé mais je crois qu’il y avait une soirée. Et hier, en rentrant d’une visite, j’ai bien vu que beaucoup de gens arrivaient chez eux. »
Que va-t-elle répondre ? L’étonnement simulé. L’angoisse de penser que j’aurais pu la voir arriver. Et je vais proposer, doucement, dans le creux de son oreille : « Tu ne crois pas que nous devrions essayer ? »
Si elle ne dit pas : « Essayer, mais essayer quoi ? » Mieux si elle dit : « Si tu veux… »
Alors, dès lundi, j’appelle Laure et la charge de nous préparer une soirée de "découverte".