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n° 16523Fiche technique39460 caractères39460
Temps de lecture estimé : 21 mn
28/11/14
Résumé:  Carole n'a pas le choix et doit accepter ce poste d'escort...
Critères:  f fh ff fbi collègues fsoumise humilié(e) exhib lingerie ffontaine
Auteur : Eclair      Envoi mini-message
Pourquoi résister ?

Carole n’avait pas dormi de la nuit. Il fallait absolument qu’elle trouve une solution pour son loyer et ses dettes. Après avoir tenté de trouver une autre issue, elle s’avouait vaincue. Elle n’avait pas d’autre choix que d’accepter l’offre que cette femme énigmatique lui avait faite hier. Mais ce qui la troublait le plus, ce n’était pas le fait qu’elle s’apprêtait à travailler pour un service d’escort girls de luxe ; le pire, c’était l’excitation qu’elle avait ressentie lorsque cette grande femme blonde l’avait détaillée sous toutes les coutures… Tout comme l’excitation teintée d’humiliation difficilement contrôlée lors de la visite médicale.


Vingt-quatre heures plus tôt, elle était entrée dans l’agence, un peu inquiète, mais en sachant qu’elle ne pouvait plus faire demi-tour. Une jeune secrétaire aussi timide que jolie l’avait fait patienter en lui proposant un café. L’attente s’était avérée assez longue ; Carole avait eu le loisir de remarquer la démarche un peu hésitante de la jeune femme juchée sur des talons de 10 centimètres. Elle avait remarqué aussi sa jupe très courte laissant deviner la lisière de ses bas et l’attache d’un porte-jarretelles. Elle avait remarqué également, à sa grande surprise, qu’après un de ses passages dans le bureau de la directrice de l’agence, son chemisier était un peu plus ouvert. La pointe de ses seins saillait assez nettement à travers son chemisier très fin et légèrement transparent. Sa démarche paraissait d’ailleurs encore plus lente qu’avant, et en s’asseyant derrière son bureau, elle ne put retenir une grimace étrange ; pas vraiment une grimace de douleur…


Carole ne pouvait s’empêcher de l’observer discrètement : la jeune femme se dandinant sans cesse sur son siège, la crispation se lisant sur son visage. Elle aurait peut-être dû annuler son rendez-vous et partir en courant, mais contre toute attente cela l’intrigua et elle décida de rester malgré tout. Elle avait besoin de cet argent, et rapidement.


Carole passa aux toilettes, histoire de vérifier une dernière fois sa mise. Elle se regarda longuement dans le miroir. Pour l’occasion, elle avait choisi une robe noire, moulante et échancrée, laissant deviner sa poitrine ferme et ses fesses musclées. Elle avait enfilé un collant noir et chaussé des escarpins noirs à talons. Elle s’était maquillée légèrement, ne voulant pas trop en faire. Elle n’était pas simplement jolie, elle était carrément superbe. Ses yeux bleus, ses cheveux bruns coupés assez court, ses formes parfaites lui assuraient un succès constant auprès des hommes, et occasionnellement auprès des femmes. Pourtant elle vivait seule ; de temps en temps, un amant de passage ou un petit ami venaient troubler sa solitude, mais jamais longtemps… Elle se lassait d’eux rapidement, préférant même parfois ses séances de sexe en solo où elle pouvait laisser libre cours à ses fantasmes.


En voyant la jolie secrétaire, elle se demanda d’ailleurs si elle ne devrait pas essayer de faire ça réellement avec une autre femme plutôt que de se limiter aux mecs. Elle s’imagina au lit avec la jolie blonde au chignon qui se dandinait toujours sur son siège et dut s’avouer que ça l’émoustillait plutôt. Elle rougit en remarquant que la jolie blonde l’observait également.

À ce moment-là, une grande femme aux longs cheveux noirs sortit du bureau et se planta devant elle, l’air sévère. Carole se leva aussitôt et serra la main tendue.



Elle la suivit dans le bureau et s’assit dans le fauteuil en cuir après y avoir été invitée. Son interlocutrice, peu loquace, la toisait sans aucune gêne. Elle prit son téléphone et appuya sur une touche.



Elle n’attendit pas la réponse.



Carole était impressionnée par cette femme ; ses yeux gris étaient plantés dans les siens et semblaient la sonder. Son tailleur strict et son chignon impeccable renforçaient encore le sentiment d’autorité qu’elle dégageait. Elle se sentait non pas mal à l’aise, mais presque à nu. Elle prit une fiche et la parcourut. Carole reconnut le document qu’elle avait rempli trois jours auparavant.



Carole se releva et parcourut le bureau. La jolie secrétaire toqua et entra, les bras chargés d’un plateau qu’elle déposa sur une table basse près du bureau. En se baissant, sa jupe remonta, découvrant son porte-jarretelles et la peau nue de ses cuisses. Carole se sentit un peu bizarre, se surprenant à mater avec plaisir le cul de cette jolie blonde.



La secrétaire disparut, la démarche toujours un peu hésitante. La femme se leva et désigna un fauteuil profond à côté de la table basse.



Carole s’assit dans le fauteuil et machinalement croisa les jambes.



La femme s’assit en face d’elle, et pour la première fois lui sourit.



Carole se sentait comme une écolière prise en faute ; elle eut presque honte d’avoir enfilé ces collants, se reprochant d’avoir été aussi stupide.



La femme en noir lui sourit et enclencha une webcam avant de prendre un questionnaire. Carole remarqua que la jupe de son tailleur remontait légèrement, dévoilant la dentelle d’un bas.



Les yeux gris de madame Svensson brillaient ; Carole ne pouvait les quitter. Elle s’entendit répondre timidement :



Elle se leva et appuya sur l’interphone.



Madame Svensson s’assit sur le rebord du bureau, en face de Carole qui ne pouvait que voir l’espace entre ses jambes légèrement écartées, la peau nue juste au-dessus de ses bas et la tache sombre de sa culotte. Carole avait du mal à regarder ailleurs et reporta son attention sur Agnès qui s’assit dans un troisième fauteuil. Le fauteuil étant très bas, sa jupe remonta bien au-dessus de la lisière de ses bas, et ses jambes légèrement écartées dévoilaient la dentelle de sa culotte noire. Carole sentit une étrange chaleur gagner son ventre. Madame Svensson entama son questionnaire.



Madame Svensson se releva et s’assit en face d’elle. Carole se sentait comme prise au piège par son regard intense et un peu amusé.



Carole sentit ses joues s’empourprer davantage et répondit d’une voix mal assurée :



Comme un automate, Carole fit oui de la tête. De son côté, Agnès continuait de prendre des notes ; ses jambes s’étaient d’ailleurs écartées un peu plus. Carole commençait à avoir chaud ; elle but un peu d’eau. Son regard allait de l’entrejambe de madame Svensson à celui d’Agnès ; malgré elle, elle fantasmait déjà sur ces deux femmes, s’imaginant à genoux sur la moquette et plongeant sa tête entre leurs cuisses. Elle se força à penser à ses dettes et ses soucis pour se calmer un peu. Madame Svensson reprit :



Carole sentit sa gorge se nouer ; d’une voix blanche, elle acquiesça.



Cette femme lisait dans son esprit ! Comment était-ce possible ?



Carole s’imagina dans une robe dos nu ou très échancrée.



Madame Svensson se tourna vers la secrétaire.



La jeune femme se leva aussitôt et se dirigea vers Carole. Rapidement, elle se baissa et défit la bride de ses chaussures et les ôta avant de les poser à côté des pieds de Carole ; le talon faisait certainement plus de 10 centimètres. Sans un mot, Carole ôta ses propres escarpins et glissa ses pieds dans les chaussures d’Agnès. Elle ferma la bride au-dessus de sa cheville. Elle se leva et sans qu’on le lui demande, fit quelques pas. Elle prit rapidement de l’assurance. Agnès, sans un mot, regagna sa place.



Carole se sentait humiliée ; elle s’en voulait d’avoir déçu madame Svensson. Elle se dirigea vers la porte.



Elle s’arrêta et obéit. Elle se baissa pour défaire la bride de ses chaussures, les ôta et tira sur son collant. Il glissa au sol.



Carole obéit, remit les chaussures et prit le collant qu’elle jeta à la poubelle.



Madame Svensson se leva et tourna autour d’elle.



Carole obéissait rapidement aux injonctions de sa future patronne, comme par automatisme. Lorsque la main de Madame Svensson glissa sur sa jambe, elle sursauta.



Agnès baissa les yeux et sans un mot prit délicatement les escarpins de Carole et les chaussa avant de sortir du bureau. Carole sortit derrière elle et la suivit. Agnès lui tendit un chèque et l’adresse de trois magasins puis elle lui donna la carte de visite d’un médecin avec un horaire de rendez-vous.



Carole, un peu chamboulée, sortit et prit l’ascenseur. Elle attendit deux minutes à peine avant de voir une Mercedes noire s’arrêter. Le chauffeur descendit et lui ouvrit la portière.



Elle s’engouffra dans la voiture qui, après quelques instants, filait dans le trafic. Quinze minutes plus tard, la Mercedes stoppa devant une bâtisse du XVIIème siècle assez imposante. Le chauffeur lui ouvrit la porte et la salua.



Elle avança vers la grille et la poussa. Après quelques pas dans le jardin, elle monta quelques marches et appuya sur un bouton de sonnette en laiton patiné. Une jeune femme vint lui ouvrir.



Carole suivit la jeune femme dans une salle d’attente où patientaient une dame et deux enfants en bas âge. Après quelques minutes, elle se retrouva seule ; elle n’avait pas vu le médecin. Elle avait simplement entendu une voix grave. Il était près de 13 heures lorsqu’elle vit enfin la porte s’ouvrir sur un homme massif, dans la quarantaine.



Il la guida vers le fond du couloir et lui indiqua un fauteuil de cuir. Il consulta le carnet de santé un moment puis releva la tête et lui sourit.



Il décrocha son téléphone.



Il raccrocha.



Il sortit par une porte matelassée et Patricia arriva. Elle invita Carole à passer dans la pièce attenante où trônait un banc gynécologique. Elle lui sourit et lui tendit un petit bocal de plastique.



Comme Carole n’était pas passée aux toilettes depuis un moment, elle prit le flacon et alla dans les toilettes que lui désignait la jeune femme. Elle baissa sa culotte et constata qu’elle était très humide… Elle se concentra, et après quelques secondes le flacon était plein. Elle le ferma et se nettoya avant de se laver les mains.

La jeune femme prit le flacon et la remercia. Elle lui désigna un fauteuil et Carole s’assit.



Elle désinfecta la peau et piqua l’aiguille sans hésiter. Trente secondes plus tard, c’était terminé. Elle mit un petit sparadrap et invita Carole à se lever. Elle changea ses gants de latex.



Carole fit glisser sa robe et se retrouva en dessous. Le petit signe de tête de la jeune femme lui fit comprendre qu’elle devait être totalement nue. Elle dégrafa son soutien-gorge et fit glisser sa culotte. Se retrouver nue en talons aiguille l’émoustillait un peu ; la pointe de ses seins trahissait son excitation naissante. Pour masquer sa gêne, elle ôta ses chaussures.



La jeune femme la toisa, puis prit son tour de taille et son tour de cuisse. Quand Carole sentit les mains de l’assistante du médecin glisser vers l’intérieur de ses cuisses, elle sentit son ventre se réchauffer. Lorsque la jeune femme prit son tour de poitrine, ses tétons se dressèrent aussitôt. Surtout que la jeune assistante avait certainement fait exprès d’agacer ses tétons avec son mètre ruban glacial !



Elle lui indiqua le banc gynécologique. Carole s’assit, un peu gênée.



Elle aida Carole à prendre place et cala ses chevilles dans les étriers, releva son bassin et ouvrit largement les écarteurs avant de les bloquer. La jolie brune était ainsi totalement offerte, et étrangement excitée par cette situation où elle se sentait tout de même un peu humiliée. Patricia sortit et laissa la porte entrouverte. Carole pouvait apercevoir le couloir depuis sa position inconfortable. Bien entendu, celui ou celle qui passerait dans le couloir ne pourrait manquer de la voir, le sexe béant… Son ventre se contracta involontairement et elle sentit une vague de chaleur l’envahir bien malgré elle. Elle attendit quelques instants avant de voir le médecin entrer.



Il enfila des gants de latex.



Il lui fit un grand sourire avant de plaquer son stéthoscope sous sa poitrine et d’écouter son cœur, puis il commença à palper doucement ses seins. Presque comme une caresse. Carole sentait ses seins pointer presque douloureusement.



La main du médecin continua plus bas ; il palpa son ventre, son mont de Vénus, très doucement… Carole avait le ventre en feu ; il frôlait son clitoris, presque exprès.



Il dégagea délicatement le petit bouton qui saillait déjà, gonflé.



Il prit un spéculum dans un tiroir et le présenta devant le sexe de Carole. Il le fit entrer très facilement. Le métal froid ne fit qu’empirer l’état d’excitation de la jolie brune dont la respiration s’accéléra soudain.



Il écarta doucement les parois, petit à petit. Carole sentait son sexe s’ouvrir et son excitation couler entre ses cuisses, puis entre ses fesses.



Il écarta davantage le spéculum.



Il resserra l’appareil et le sortit du vagin de Carole, laissant tomber quelques gouttes sur le sol. Il en prit un plus grand et le présenta. La jeune femme était presque impatiente de sentir le métal investir son sexe et de l’écarteler, comme quand elle utilisait deux godes en même temps. Elle le sentit buter au fond de son ventre.



Il commença à écarter les pans et Carole sentit son ventre s’embraser. Le médecin se leva et chercha quelque chose sur son bureau. Elle remarqua son reflet dans la glace d’une armoire, le sexe béant, écartelé par un spéculum brillant. Elle faillit jouir rien qu’en voyant son image. Le médecin se tourna vers elle et augmenta encore un peu l’écartement. Carole sentit une légère douleur mais ne s’en plaignit pas. Le médecin prit un long coton-tige qu’il frotta à plusieurs reprises dans son vagin. Carole contractait son ventre pour tenter de se contrôler.



Il augmenta très doucement l’écartement. Carole avait mal cette fois-ci, mais n’en laissa rien paraître.



Quelqu’un toqua à la porte et le médecin se leva. Patricia entra et lui glissa quelques mots à l’oreille avant de ressortir.



Et sans un mot il sortit, laissant Carole le sexe écartelé, douloureux. La jolie brune laissa glisser sa main entre ses jambes, regardant dans son reflet ses doigts entrer entre les parois métalliques. Un, deux, trois, quatre… Son sexe coulait de plaisir malgré la douleur ; elle sentait son excitation couler entre ses fesses, inondant son petit trou. Son majeur et son index glissèrent sur son clitoris et le pincèrent très doucement. Elle s’arrêta juste au bord de l’orgasme, entendant les talons de Patricia claquer dans le couloir. La jeune femme entra et s’approcha de Carole.



Ce faisant, la jeune femme s’approcha et Carole distingua une petite tache blanchâtre à la commissure de ses lèvres. Elle sentit aussitôt l’odeur de sperme. Patricia ôta doucement le spéculum, laissant le sexe distendu et avide. Elle enfila un gant et enfonça son majeur et son index dans le vagin de Carole.



Carole contracta ses muscles et serra les doigts de Patricia dans son sexe. C’était délicieux, tout simplement, et Carole aurait donné beaucoup pour que la jeune femme la masturbe.



Elle releva encore les jambes. Carole était dans une position très inconfortable, mais excitante. Dans le reflet, elle voyait parfaitement son sexe baveux et obscène mais aussi son petit anneau rose. Patricia glissa son majeur le long du sillon.



Quand Carole sentit le majeur s’enfoncer doucement dans son anus, elle gémit, mais pas vraiment à cause de la douleur.



Le majeur était entré totalement ; Carole respirait de plus en plus vite, se sentant fouillée.



Patricia sortit son majeur, laissant Carole pantelante et insatisfaite. Elle jeta son gant et l’aida à descendre du banc.



Patricia sortit en lui souriant. Carole se rhabilla, le corps fourbu, le sexe douloureux. Elle chaussa ses hauts talons et prit l’ordonnance avant de gagner le couloir. Elle sortit et trouva le taxi devant la porte. Elle monta, et le chauffeur lui proposa de la reconduire en ville. Elle accepta.

Peu de temps après, elle entrait dans une pharmacie pour prendre son contraceptif, une pommade calmante et un gel lubrifiant. Une fois cette question réglée, elle entra dans une boutique faisant partie de la liste qu’on lui avait remise et se dirigea vers le rayon lingerie. Une femme l’aborda et lui demanda si elle venait de la part de madame Svensson ; Carole acquiesça.



Elle l’emmena hors des rayonnages, passa une porte pour pénétrer dans un salon privé.



Son ton n’appelant pas de critique, Carole obéit et se retrouva nue. Dolores tourna autour d’elle, sans un mot. Elle prit ses seins à pleines mains pour les soupeser.



Carole se retrouva seule devant le grand miroir, mais peu de temps. Dolores était déjà de retour avec les bras chargés de dessous de dentelle. L’essayage dura plus de deux heures et Carole essaya des ensembles tous plus sexy les uns que les autres, transparents ou non, dentelle et soie… Dolores lui montra comment attacher des jarretelles, l’aida à lacer un bustier, à enfiler des bas à couture. Carole se sentait manipulée comme un objet, mais trouvait cet essayage assez plaisant lorsqu’elle se voyait dans le miroir. À la fin, Dolores emballa ses achats et lui tendit le paquet.



Dans le magasin d’à côté, la même scène se reproduisit ; une vendeuse lui proposa une quinzaine de chaussures à talons entre 8 et 12 centimètres. Carole se laissa guider docilement. Puis elle passa dans un autre magasin où on lui conseilla des vêtements très féminins : jupes, tailleurs, chemisiers transparents, robes moulantes, pantalon de cuir…


Lorsqu’elle rentra chez elle, la soirée commençait et elle était épuisée. Elle se déshabilla et se jeta dans son lit. Ne trouvant pas le sommeil, elle se releva et, nue, gagna la cuisine où elle se servit un grand verre d’eau. Il ne lui restait pas grand-chose dans le frigo : un bout de fromage, deux yaourts et un concombre. Elle grignota le fromage et un yaourt. En terminant son yaourt, elle repensa à la bouche de Patricia tachée de sperme. Son sexe aussitôt se manifesta en s’humidifiant : c’était de ça qu’elle avait besoin !


Comme un automate, elle ouvrit le frigo et se saisit du concombre. Elle le lava et s’installa sur la table, jambes écartées. Le concombre s’enfonça aussitôt dans son sexe, d’un seul geste, presque brutal. Carole le fit aller et venir, butant au fond de son ventre. Puis elle le sortit de son sexe et le lécha, goûtant ses propres sécrétions. Son jus épais et poisseux était un peu sucré. C’était bon…

Elle prit le côté un peu plus gros du concombre et l’enfonça en elle d’un seul coup, jusqu’au fond. La douleur n’était rien comparée au plaisir qu’elle ressentait d’être ainsi remplie… Ses doigts libres pinçaient ses tétons, les faisaient rouler sans ménagement, au-delà de la douleur. Carole jouit, inondant la table de la cuisine de son nectar épais.


Elle se redressa et lécha longuement la table, se régalant de sa propre jouissance, puis elle se mit à quatre pattes et tendit la main vers son tiroir ; elle en sortit un fouet métallique de cuisine et l’enfonça dans son sexe sans ménagement. Elle le fit tourner, aller et venir, sortir, entrer, sentant les brins métalliques distendre son vagin jusqu’à la douleur. Elle l’enfonça au plus loin et prit une longue cuiller en silicone un peu rugueux ; elle lécha le manche et l’enfonça directement dans son sexe, le plus loin possible puis, ivre de plaisir, elle la ressortit pour la lécher, la nettoyer intégralement avant de recommencer encore et encore.


Elle tituba vers son lit et s’endormit enfin, la main lovée contre son sexe poisseux, des fantasmes plein la tête.