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Temps de lecture estimé : 16 mn
06/12/14
Résumé:  Petit voyage organisé en Corse, il fait beau, on peut lier des connaissances. Sympa quoi...
Critères:  fh fhh hplusag vacances bateau voir fellation
Auteur : Ours Gris            Envoi mini-message
Histoire Corse

Vacances détente en Corse. Des endroits magnifiques, un groupe sympathique, une guide qui sait nous faire aimer son pays. On ne veut qu’une seule chose… profiter du soleil et des paysages.




ooOOoo




Il ne s’est rien passé de particulier pendant quatre jours. Le soir, Martine me dit que Louis, un grand costaud, l’avait très galamment aidée à monter dans le bus en lui tendant la main, et qu’elle avait dû se glisser entre lui et un siège pour passer.



Je la connais bien, je sais qu’elle ne cherche pas à attirer l’attention des hommes, mais comme toute les femmes, elle est évidemment sensible aux compliments et aux attentions. Et, évidemment, en prenant de l’âge, cela se fait de plus en plus rarement. Il a recommencé le lendemain aussi, en plus il lui a caressé la taille au passage.



Bon, j’en déduis que ça ne la dérange pas, alors…


Calvi, je pars me balader seul, comme j’ai l’habitude. J’ai la surprise d’avoir la compagnie de Louis pendant quelques minutes. Il en vient vite à me parler de Martine, il trouve que j’ai une femme charmante. Ça, je sais. Je suppose qu’il a envie de savoir si elle m’a parlé de ses attentions et comment je réagis. Puisque cela ne la dérange pas, j’abonde dans son sens.



Il repart rassuré, je souris en pensant qu’il vaut mieux qu’il ne sache pas qu’elle apprécie ses attentions plus qu’il ne croit. Dans la soirée, quand nous passons chez le marchand de produits locaux, il glisse discrètement un paquet dans sa main quand nous ressortons du magasin. Martine me le montre discrètement, une fois remontés dans le bus.



Je comprends tout de suite de qui elle veut parler.



Cela la fait rire.



Je n’ai pas répondu. Y a-t-il un message subliminal dans ce cadeau ? Bien sûr, on pense à la même chose.


Pendant la visite de la cave viticole, il lui a proposé de lui acheter trois bouteilles, mais elle n’a pas voulu, il ne faut pas exagérer. Il n’a pas insisté, mais elle n’a rien dit quand il a posé discrètement sa main sur sa taille en attendant d’entrer dans le resto à midi. Elle avait un peu le feu aux joues en me le racontant dans l’oreille.



Si elle ce genre de caresses lui suffit, c’est bien. De toute façon, c’est le dernier jour, nous reprenons le bateau. Après le repas, je reste un peu sur le pont avec les autres, puis je pars me coucher. Martine me dit « ne dors pas » car nous n’avons qu’une clef, il faudra donc que je me lève pour lui ouvrir. Je regarde la télé en l’attendant. Un bon moment plus tard, elle vient frapper à la porte.



J’avoue que je ne pensais plus à Louis.



Elle part dans le petit cabinet de toilette. Elle y reste un moment, je suppose qu’elle se prépare, au cas où… Quand elle ressort, elle me fait un petit sourire en coin et s’installe sur sa couchette. J’ai éteint la télé et je n’ai laissé allumée que la petite veilleuse pour aller ouvrir s’il vient et si je me décide. Elle a fermé les yeux, mais je sais bien qu’elle ne dort pas, elle doit avoir le cœur qui bat fort. Une curieuse sensation m’étreint, dans cette pénombre, bercés par une houle plus forte qu’à l’aller : l’attente de ce moment improbable, très émotionnant, où Louis va peut-être venir frapper à la porte. Nous ne sommes plus très jeunes, il y a des occasions à ne pas laisser passer. On le regretterait plus tard.


Un petit toc-toc ! Je regarde Martine. Elle ne bouge pas, les yeux fermés, les joues un peu tirées, toute à son émotion. Je me lève, Louis est là, en pyjama bleu, il ne me regarde pas mais regarde Martine, allongée dans sa couchette. J’ouvre largement la porte et le fais entrer. Pour leur donner un peu de temps de tranquillité, je vais dans la salle de bain, sans allumer la lumière. Je n’entends rien, ils ne parlent pas. Je ne sais pas trop combien de temps leur laisser ; je tente un vieux truc pour passer le temps, je décide de compter jusqu’à cent, ça doit faire une minute et demie… il me tarde d’arriver à la fin du comptage, mon cœur bat… 98, 99, 100.


Je n’entends toujours rien, j’ouvre la porte sans bruit. Louis est assis à côté de Martine, elle a repoussé ses couvertures contre la paroi de la cabine. Je ne vois pas trop bien ce qu’il lui fait. Je ne vais pas rester comme ça debout contre la porte des toilettes. En essayant d’être le plus discret possible, je vais m’asseoir au pied de ma couchette.


Louis a passé ses mains sous la veste de pyjama de Martine, il lui caresse les seins. Comme si elle attendait ma venue, elle commence à défaire les boutons de sa veste, il retire ses mains et il la regarde faire sans bouger ; dès que les deux pans de la veste retombent de chaque côté de sa poitrine lui dévoilant ses seins, il passe deux doigts sous l’élastique de son pantalon et commence à le lui baisser, il a dû penser qu’elle voulait se déshabiller. Je ne pense pas qu’elle souhaitait aller si vite.


Elle l’aide en soulevant ses fesses, il lui retire entièrement le pantalon et le laisse tomber par terre. Sa touffe blonde n’est plus aussi garnie qu’avant, on voit bien sa fente. Il pose sa main sur son ventre, descend doucement et lui caresse le sexe du plat de la main. Tout en se laissant caresser, elle pose à son tour sa main sur la cuisse de Louis et tire un peu sur la jambière de son pantalon. C’est curieux comme ils se comprennent bien sans parler. Il se relève et le retire d’un geste rapide, son sexe apparaît, long et pendant. Dès qu’il se rassoit, elle le saisit avec délicatesse dans sa main pendant qu’il déboutonne lui aussi sa veste, laissant apparaître une petite forêt grisonnante sur la poitrine.


Je suppose que les sexes des hommes sont plus ou moins différents, je ne suis pas bien connaisseur, mais c’est la première fois que j’en vois un comme ça. Je ne sais plus comment cela s’appelle : andouillette ou boudin blanc ? Il est certes imposant, en correspondance avec sa stature, avec de grosses testicules toutes rondes au-dessous, mais ce n’est pas le plus étonnant. Son sexe est très long, très gros, mais tout flasque. Dans le creux, entre le pouce et l’index de Martine, l’extrémité pend, elle n’ose pas trop refermer sa main dessus, en plus, la peau est refermée sur le bout, exactement comme une andouillette dont l’extrémité est ficelée, c’est vraiment curieux. Je ne sais pas si elle pense la même chose que moi, mais ça ne m’étonnerait pas, il est tellement long et mou que cela me rappelle quand on met l’andouillette en rond dans la poêle. S’il est au repos, qu’est ce que se sera quand il va bander ?


La main toujours ouverte, elle la bouge un peu, d’arrière en avant, puis elle ose refermer ses doigts sur la « chose » pour mieux le maintenir, mais sans trop serrer. Il la laisse faire en explorant sa fente de son côté, il sait comment on donne du plaisir aux femmes. En caresses répétitives, il appuie en passant sur le clitoris, descend et cherche le trou, peut-être pour sentir quand elle sera prête. Elle tire un peu sa cuisse sur le côté pour mieux s’offrir à la caresse et je vois bien aux contractions rythmées de ses fesses que ça lui fait de l’effet.


Elle aussi, bien sûr, a remarqué son prépuce fermé. Précautionneusement, à chaque passage du va-et-vient de sa main, elle tire un peu, puis un peu plus, comme s’il avait un phimosis à décalotter et qu’elle allait lui faire mal. On voit le petit bout rose du gland qui commence à apparaitre, alors, doucement mais fermement, elle tire la peau en arrière et lui fait sortir entièrement ; j’ai dit petit, parce qu’il sortait à peine, mais une fois entièrement décalotté, il prend de l’ampleur, se dilate… et devient énorme, quand elle lui tire fort la peau en arrière, retenue par-dessous par son frein, avec une belle fente toute ressortie à l’extrémité d’où jaillira le sperme.


Je ne sais pas si pour lui c’est le signal ou s’il n’a pas envie de gaspiller un jet de foutre, ou encore s’il a trouvé que le vagin de Martine est maintenant prêt à force d’y fourrer ses doigts, mais il pousse sur une jambe pour lui écarter les cuisses. Elle a compris que c’est le moment et se met en position. Ce n’est pas facile sur cette petite couchette, elle relève une jambe contre la paroi d’un côté et pose l’autre par terre, son sexe est offert, sa fente largement ouverte à force d’être triturée, l’entrée du vagin d’un rose très foncé. Il a dû y faire entrer plusieurs doigts, il est tout ouvert.


Il cherche sa place entre ses jambes, cette fois son sexe est raide, avec le gland un peu courbé en « nez de Concorde ». Il n’a pas doublé de longueur par rapport à avant, mais il est quand même gigantesque, ça me fait un peu peur de voir une grosse chose comme ça, je me demande si il va pouvoir tout lui mettre. Martine n’a pas l’air impressionnée, du moins en apparence, elle se cale bien et ouvre ses cuisses au mieux.


En appui d’une main sur un bras, il présente son sexe de l’autre, cherchant à le faire entrer. Martine écarte comme elle peut sa cuisse qui est de mon côté, je vois bien le trou du vagin, il l’a bien préparé. Elle remonte son pubis vers le haut pour bien présenter l’entrée, elle sait y faire. Il a trouvé facilement, je vois le gland qui pousse les chairs, doucement, elle pousse aussi en soufflant fort, je ne sais pas si c’est à cause de la dilatation ou des efforts qu’elle fait en poussant vers lui. Ça y est, le gland est entré, ils bataillent tous les deux pour le faire avancer plus loin. Martine pousse avec son ventre, lui avec ses reins. Quand la moitié de sa bite est entrée à l’intérieur, il se met en appui sur ses deux bras, et commence doucement à faire ses allers et retours… Elle a tourné sa tête vers la cloison, j’aurais bien aimé voir son visage, pour lire ses sensations. Il regarde ses seins qui ballottent doucement… moi aussi.


Ils ont pris leur vitesse de croisière tous les deux, lui en de lents allers et retours, et elle au même rythme en poussant son ventre à sa rencontre. Je les entends souffler doucement. Elle a dû s’apercevoir qu’il regarde son sexe entrer et sortir du sien et en profite pour tourner la tête vers moi et me faire un sourire avec un petit haussement de sourcils en regardant la grosse bosse que j’ai sous mon pyjama, puis elle regarde elle aussi la bite de Louis qui lui fore le vagin et lui donne du plaisir.


Quelle étrange situation, presque irréelle, dans cette cabine de bateau. Nous sommes bercés par la houle, d’un mouvement régulier, et eux aussi sont en train de se bercer, en cadence. Je pense aux femmes avec qui nous avons fait connaissance durant le voyage. Personne ne pourrait imaginer ce qui est en train de se passer, que je suis en train de regarder Louis faire l’amour à ma femme. Il est fort possible, que parmi ces dames, certaines aurait bien aimé être à sa place… Mais la vie est comme ça, on ne choisit pas… Ou alors, il faut savoir provoquer des occasions.


La cadence se fait plus rapide, Louis va de plus en plus vite. Je constate avec surprise qu’il a réussi peu à peu à la faire entrer entièrement. Et à chaque poussée les poils de son pubis viennent se mélanger avec ceux de Martine. Tout est entré. Le vagin des femmes est étonnement élastique et s’adapte à la grosseur et à la longueur du sexe de l’amant. J’ai du mal à imaginer jusqu’où il lui met à l’intérieur du ventre. Il vaut mieux ne pas savoir. Avec cette cadence maintenant rapide, le sommier grince et le genou de Martine vient heurter la paroi. Avec les grincements de la coque malmenée par les vagues et leurs souffles, cela fait une musique extraordinairement sensuelle… Je ne sais pas si les voisins de la cabine d’à côté peuvent entendre les grincements du lit ?


Martine a redressé la tête, ses yeux sont fermés, elle est concentrée… J’aimerais être dans sa tête pour savoir ce qu’elle ressent, ce doit être agréable vu l’ardeur qu’elle met à faire bouger ses reins encore plus vite. Je connais bien ce moment où son orgasme approche. Elle entrouvre ses lèvres… Hummmmmm… un gémissement sourd… Elle accroche le dos de Louis pour le maintenir fermement en elle et donne des petits coups de reins très rapides. Elle est en train de jouir. J’aurais bien aimé qu’elle pousse son cri de jouissance comme elle fait des fois, mais elle n’a pas osé. Ou alors, avec lui, c’est comme ça que ça vient.


Louis voit qu’elle jouit et s’active rapidement, faisant couiner aussi le sommier à un rythme rapide. Il grogne. Quelque part au fond du ventre de Martine, contre ses muqueuses, le gland a dû se gonfler et doit cracher son venin. Avec de grosses couilles comme il a, il doit lui remplir de foutre tout l’intérieur.


C’est fait. Dans un dernier souffle, il se laisse aller sur elle, sa tête dans son cou. Haletante, la bouche encore ouverte, elle tourne sa tête vers moi pour voir si je regarde toujours et je croise son regard un instant, encore voilé de jouissance, elle referme ses paupières et reprend doucement son souffle, elle aussi. Calé dans mon lit, les yeux fermés, je la revois encore en train de jouir, tendue vers son plaisir. Je ne sais pas combien de temps ils vont rester emboîtés comme ça ?


Il a dû rester sur elle dix bonnes minutes, à récupérer, ou à apprécier l’après-jouissance, son sexe bien au chaud. Il se redresse, Martine écarte ses cuisses pour le laisser sortir. C’est presque aussi émouvant de le voir ressortir qu’entrer. Il est toujours aussi gros et long, ça n’en finit pas de lui sortir du vagin, j’avais presque oublié qu’il était aussi long. Mais il est redevenu tout mou et pend entre ses cuisses le temps qu’il sorte du lit. Il remet son pantalon tout en fixant le sexe de Martine, je me demande pourquoi. Pour en garder le souvenir ou bien pour regarder ce sexe qu’il vient de remplir de sa semence et où il vient de prendre du plaisir ? Martine a vu son regard et par une pudeur à retardement, elle rabat un peu la couverture sur son ventre.


Sans un mot, il repart vers la porte, ouvre, sort dans le couloir et referme doucement derrière lui. Martine me regarde, elle me tend la main, nos doigts s’enlacent.



Je n’ai pas répondu, mais je me suis mis à genoux à côté d’elle. Elle l’a sorti et a regardé mon gland turgescent de près, pendant plusieurs secondes, certainement pour le comparer à celui de Louis. Elle s’est mise à le lécher doucement. J’aurais voulu que cela dure longtemps, mais mon excitation avait été tellement forte de l’avoir vue s’accoupler devant moi, qu’avec un gémissement de regret je me suis senti partir. Elle l’a vu aussi, j’ai cru qu’elle allait le secouer en dirigeant le jet sur ses seins, comme elle fait souvent, mais cette fois elle a voulu me faire plaisir et d’un mouvement rapide, au moment où la première giclée surgit, elle le prend dans sa bouche et me laisse donner mes coups de reins pour que finisse d’éjaculer, bien serré entre sa langue et son palais, en me maintenant fortement avec ses mains pour que je ne rentre pas trop profond dans sa gorge. Je suis resté contre elle sans bouger un moment.



Elle se cagnotte sous les draps, je regarde son pantalon de pyjama dans la séparation entre nos lits. C’est tout ce qu’il reste de ce qui vient de ses passer. Trois minutes plus tard, j’entends son souffle régulier. Le « jouir » entraîne la détente, alors le sommeil vient rapidement. Mais moi, j’ai du mal à trouver le sommeil, je la revois en train de faire sortir le gland… les deux corps qui s’agitent à toute vitesse… son gémissement de jouissance… Le sommeil a quand même fini par m’emporter.


5 h 40, le haut-parleur s’égosille. Si j’étais mort, c’est sûr que je me réveillerais quand même. J’ai aperçu Louis, toujours en retard, quand nous montions dans le bus. Je regarde Martine, elle ne cherche pas à le regarder. À l’arrêt, elle l’ignore comme elle le faisait jusqu’à présent. Je suis étonné qu’elle n’essaie pas au moins croiser son regard, un petit geste de connivence. Quand nous sommes remontés, il l’a laissée passer, elle lui dit « Merci monsieur », avec gentillesse, mais comme elle aurait dit à n’importe quel autre homme, qui l’aurait galamment laissée passer.


Les vacances sont finies, nous sommes dans nos pensées. Martine pense-t-elle à ce qui s’est passé ? C’est possible, mais ce n’est pas certain. Je devrais la connaître pourtant. Bien sûr, elle sait très bien ce qui est arrivé, mais elle l’a déjà rangé dans un coin de sa mémoire. C’est arrivé et c’est passé, on en parle plus. Je crois aussi, qu’elle ressent une espèce de sentiment de culpabilité, non pas envers moi, puisqu’elle a bien compris maintenant que j’y prends aussi du plaisir, mais envers la femme qu’elle veut être : la mère, la femme au foyer… Et cette femme qui s’est laissée séduire, qui s’est accouplée, qui a joui dans les bras d’un amant, ce n’est pas elle. Tout en sachant bien que c’est elle, évidemment.


Moi j’y pense, évidemment ; je suis encore sous le coup de l’émotion. Je la vois encore devant mes yeux en train de s’accoupler. Et puis tout d’un coup, je réalise que nous ne pouvons pas avoir les mêmes souvenirs, même si cela s’est passé à un mètre de distance. Moi, je la vois sous lui, ses seins qui ballottent et le sexe de Louis qui entre et qui sort ; alors qu’elle, une fois allongée, elle n’a vu que la cloison sur le côté, la tête de Louis au-dessus d’elle, son visage crispé quand il a joui et moi en train de les regarder faire.


Quand nous sommes arrivés à destination, j’ai vu qu’il l’a regardée un instant, mais elle ne l’a pas vu. On ne connaît même pas son nom, ni son adresse, ni son numéro de téléphone, mais pourquoi faire ? Plusieurs fois, j’ai eu envie d’en parler, qu’elle me confie ses émotions, mais je sais qu’elle n’aime pas. Ça la met trop face à la femme qu’elle ne veut pas être. Et puis le temps passe vite.



ooOOoo



Deux mois plus tard, il s’est passé quelque chose qui nous a cependant rapprochés sur ce sujet. On recevait des amis et elle avait acheté des andouillettes, le hasard a voulu que je me trouve à côté d’elle quand elle les a mises dans la poêle. En les prenant dans sa main, une par une, elle a eu un petit sourire en me regardant.


Je sais que pendant quelques minutes nous avons pensé la même chose pendant qu’elle les déposait dans l’huile chaude. Elle a eu un geste d’une extrême sensualité en les faisant glisser entre ses doigts, et en voyant que je restais fasciné par son geste, en s’assurant que nos amis ne pouvaient pas le voir, elle a eu un léger mouvement de masturbation sur chacune d’elles, avant de les abandonner dans la poêle. Sur la dernière, elle a eu un petit mouvement comme si elle essayait d’en décalotter l’extrémité. Elle a même fait semblant de forcer en me regardant dans les yeux…


Moment d’intense émotion entre elle et moi, on a oublié pendant un instant les papotages de nos amis pour se souvenir de ce moment où elle l’a pris dans sa main, tout mou puis l’a décalotté, lui faisant sortir le gland hors du fourreau… Nous sommes restés songeurs pendant plusieurs minutes, le regard sur les andouillettes qui fricassaient doucement. Ce jour-là, a-t-elle repensé à ce qu’elle avait ressenti dans son ventre, sur la couchette ?