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n° 16538Fiche technique9695 caractères9695
Temps de lecture estimé : 7 mn
09/12/14
Résumé:  Je décide de réaliser les fantasmes bi qui se développent depuis quelques années. Première étape : la pipe !
Critères:  hh fellation hgode jouet init
Auteur : FMD      Envoi mini-message
Mes premières pipes

Il y a quelques années, j’ai commencé à ressentir mes premières envies homosexuelles. Petit à petit, je me suis demandé ce que ça faisait d’avoir une bite dans la bouche, ou de se faire enculer. Bien sûr, j’avais déjà sucé les doigts de ma femme, et elle avait mis les siens dans mon anus, mais ce n’est évidemment pas la même chose que d’en avoir une vraie, avec un mec à l’autre extrémité !


À l’époque j’étais célibataire géographique, et j’ai commencé à chercher des sites de rencontres gay. Cela m’a permis d’avoir ma première expérience avec un homme. Ça n’a pas été aussi excitant que je l’imaginais, mais je pense que l’émotion de la nouveauté y a joué pour beaucoup. Mon partenaire était très compréhensif, mais l’expérience n’a pas été très concluante.


Ces derniers mois, les pulsions sont revenues. La visite de site d’annonces m’a permis trois rencontres, d’intensité et d’intérêt croissant. Je vais vous décrire rapidement les deux premières, puis m’attarder sur la troisième, qui est beaucoup plus… aboutie.




Première rencontre


Après quelques échanges par mail, j’accueille chez moi un homme plus jeune que moi, il devait avoir 35 ans, mince. Nous avions convenu de nous branler mutuellement devant un film porno, et éventuellement de nous sucer. J’ai lancé une vidéo sur un site porno, et nous nous sommes assis côte à côte, en baissant nos pantalons. Nous avons commencé à nous caresser le sexe. Il bandait très dur, et était très excité. En ce qui me concerne, je bandais plutôt mou… encore l’émotion, sans doute !


J’ai commencé à le branler, et au bout d’une minute ou deux, il m’a demandé d’arrêter car il était trop excité. Je me suis alors mis à genoux devant lui, et j’ai commencé à lui lécher la bite, en partant des couilles et en remontant lentement le long de la hampe jusqu’au gland. Il ne lui a pas fallu longtemps pour jouir, avant même que je le prenne dans ma bouche ! Il était vraiment très excité…


Il est parti l’air gêné, et nous ne nous sommes plus contactés.




Deuxième rencontre


À peu près le même scénario que le premier : caresses et pipes devant un film porno, à quelques différences près. C’était chez lui, le film était gay, et il avait une très grosse bite, comparée à la mienne. Nous nous sommes assis sur le canapé, nus, et avons commencé à nous caresser. Encore une fois, j’étais plutôt mou, contrairement à lui. Nous nous sommes sucés, et j’ai décidé de le finir. Je me suis appliqué à essayer de rentrer le plus possible sa bite dans ma bouche, mais impossible de le prendre en entier. Je tournais ma langue autour de son gland, tout en le branlant. Je léchais sa tige de haut en bas, sur tous les côtés, puis je reprenais ce gland qui emplissait complètement ma bouche. Il a envoyé le premier jet de sperme dans ma bouche et je me suis retiré pour continuer de le branler.




Troisième rencontre


Mes pulsions se précisent, et mes expériences précédentes, bien que peu nombreuses, me donnent plus d’assurance. Je veux me mettre à la place de la femme, et sentir une bite dans mes trous. Je veux savoir si l’orgasme anal existe. À ce sujet, je me suis déjà branlé avec des sextoys dans le cul. J’aime sentir le passage d’un objet qui rentre petit à petit dans mon anus, le plus loin possible. Mon préféré est un chapelet, dont chaque boule est un délice à l’entrée comme à la sortie. Je regrette juste de ne pas en avoir un plus gros !

J’ai expérimenté je crois une forme d’orgasme anal en m’enfilant un vibromasseur dans le cul, et en me branlant en même temps. Les contractions de mon anus autour de cet intrus lorsque j’ai éjaculé ont nettement amplifié la jouissance.

Je veux également sentir une bite éjaculer dans ma bouche, et avaler le jus !


Je me suis donc relancé à la recherche du partenaire idéal. Parmi les nombreux contacts bidons, j’ai fini par discuter plus sérieusement avec un type qui cherchait un suceur. Sa demande était simple et correspondait à l’une de mes envies : il voulait s’installer confortablement, se faire sucer, jouir dans ma bouche, que je lui montre le sperme dans ma bouche et que j’avale.


Après quelques échanges de photos, nous avons finalement convenu qu’il vienne chez moi un midi. Le jour venu, j’ai découvert un homme d’une cinquantaine d’années, les cheveux grisonnants, un petit peu de bedaine. À vrai dire, son apparence m’importait peu, ce qui m’intéresse c’est ce qui est caché dans le pantalon.

Il avait l’air un peu mal à l’aise, ce que je peux comprendre. On se demande sur quoi on va tomber quand on se lance dans l’inconnu !


Nous n’avons pas beaucoup parlé. Il m’a demandé si j’étais toujours motivé ; je lui ai répondu « Installe-toi » avec un sourire que je voulais coquin. Il a déboutonné sa ceinture et son pantalon, puis l’a baissé sur ses pieds, avec son boxer. Il s’est assis dans le canapé et je me suis mis à genoux devant lui pour découvrir sa bite. J’ai commencé par la caresser, elle était déjà dure. Elle me semblait un peu plus petite que la mienne, et en tout cas bien plus petite que le précédent, ce qui m’arrangeait bien. Je pourrais sans doute la prendre en entier dans ma bouche, et ça me laisserait plus de possibilités que d’avoir la bouche entièrement remplie par un gland, comme le précédent.


J’ai pris ses couilles dans la main et je les ai massées délicatement, tout en le branlant doucement. Je voulais faire monter le désir en y allant progressivement. Après quelques instants, je me suis penché sur lui et j’ai commencé à lécher ses couilles. J’adore qu’on me lèche les couilles pour commencer, aussi je me dis que c’est pareil pour tout le monde. Je passais ma langue autour de ses boules, dessous, et je suis lentement remonté sur sa bite en appuyant ma langue tout le long. Je suis remonté sans précipitation vers le gland. Je me suis attardé sur le frein, endroit très sensible chez moi. Je m’appliquais à l’humidifier de salive. J’ai tourné ma langue autour de son gland, et tout en continuant le mouvement de rotation, j’ai descendu ma bouche autour de sa bite, puis j’ai refermé mes lèvres. Son gémissement m’a réconforté dans le fait qu’il devait se trouver bien là où il était…


Ma tête a commencé les va-et-vient sur sa tige, pendant que ma langue tournait autour. Je continuais de le branler, tout en lui caressant les couilles avec l’autre main. De temps en temps, je l’enlevais de ma bouche pour le lécher tout le long, puis je revenais passer ma langue sur ses couilles, et je recommençais : remonter en léchant puis le gober et l’enfoncer le plus loin possible dans ma gorge. J’essayais d’appliquer les techniques de gorge profonde que j’avais trouvées sur Internet, mais il faut avouer que je manquais un peu de pratique. J’arrivais cependant à le prendre quasiment en entier.


Combien de temps ma pipe a-t-elle duré ? Je n’en sais rien, j’avais perdu la notion du temps. Je me sentais à son service, mon seul but était d’arriver à le faire jouir, et je ne doutais pas de la réussite, au son de ses gémissements. Quand j’ai voulu finir, je me suis concentré à faire coulisser ma bouche sur sa bite, toujours en le branlant d’une main et en caressant les couilles de l’autre, mais en accélérant le rythme.


Et puis c’est arrivé : le premier jet sur mon palais, suivi d’un autre et encore un autre ! Il avait joui dans ma bouche, j’avais réussi pour la deuxième fois à faire jouir un homme dans ma bouche ! J’ai ralenti le mouvement en évitant de passer ma langue sur le dessus du gland, zone trop sensible après l’éjaculation. Il a dégonflé petit à petit dans ma bouche, et en me retirant, j’ai pris soin de bien garder le sperme, sans l’avaler ni en perdre une goutte. Je l’ai regardé, j’ai ouvert lentement la bouche pour lui montrer son jus. Puis j’ai avalé. J’ai été un peu surpris, par rapport aux récits que j’avais déjà lus. Ce n’était pas spécialement chaud, en tout cas c’était à la même température que ma bouche. Ça ne me paraissait pas gluant, en tout cas dans ma bouche. Le goût lui-même était peu marqué.


Après avoir avalé, j’ai repris sa queue dans ma bouche et je l’ai sucé de nouveau, pour le nettoyer entièrement. Une fois rhabillé, il m’a complimenté sur ma pipe, et a paru surpris du résultat vu mon peu d’expérience. Il faut croire que je m’étais beaucoup entraîné dans ma tête…


Nous avons convenu de nous rencontrer de nouveau lorsque mes pulsions bi me reprendraient.


Quelque temps plus tard, je suis allé vérifier la boîte mail que je n’utilise que pour ces échanges. Il m’avait envoyé un mail quelques jours après, dans lequel il réitérait ses compliments, et me disait attendre avec impatience mes prochaines pulsions. Il n’en a pas fallu plus pour la refaire naître, la pulsion ! J’avais cependant envie d’aller plus loin. Nous avons donc mis au point un nouveau scénario, dans lequel il m’encule après que je l’ai fait durcir dans ma bouche. J’ai hâte d’être à notre prochaine rencontre, qui fera probablement l’objet d’un nouveau récit !