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Temps de lecture estimé : 10 mn
20/12/14
Résumé:  Mon cousin campagnard nous rend visite durant le Salon de l'Agriculture.
Critères:  fh fhh extracon cadeau cocus candaul cousins grossexe voir exhib fellation
Auteur : Youri Le Manifeste  (Les débauches de Mme Le Manifeste)            Envoi mini-message
Le cousin Robert

Un soir que ma femme Carole et moi regardions de vieilles photos de famille, l’une d’elles a glissé de l’album. Une très vieille photo de mes dix-neuf ans, et j’en ai vingt de plus…

Carole l’a prise et a eu un hoquet : la photo représentait un délire de notre jeunesse, mes cousins et moi, dans la ferme d’un de mes oncles. Nous figurions tous en tenue d’Adam, posant fièrement avec nos sexes à l’air. Derrière nous, se tenait mon cousin Robert, notre aîné à tous qui, à l’époque, était le fils de nos hôtes. Un solide gaillard déjà, bien musclé… Et bien monté.


Ma femme n’a pas manqué de le remarquer en me chambrant sur la taille de mon propre sexe. Elle m’a demandé de lui raconter mes étés passés ; je lui racontai donc nos vacances, abandonnés par nos parents chez nos cousins de Normandie, faisant les quatre cents coups, courant les filles. Carole insista :



Sans trop en rajouter, je restai discret. Je n’avais pas besoin d’avouer à ma femme que, quelle que soit la fille, Robert la baisait toujours à ma place.

Carole a éclaté de rire :



Oui, encore heureux. Robert ne se serait pas gêné pour me mettre les cornes.


Le lendemain, au bureau, je reçus un coup de fil d’un numéro que je ne connaissais pas. Je décrochai : le cousin Robert ! Robert, à qui je n’avais pas parlé depuis des années. Tout de suite il m’annonça qu’il venait à Paris pour le Salon de l’Agriculture, que cette année ses vaches avaient été sélectionnées dans la catégorie « Normandes ». Ainsi, il avait fait prospérer la ferme de ses parents, et son exploitation avait doublé. Il proposa de venir me rendre visite et de me servir un échantillon de ses produits. Je n’étais pas emballé, mais il me força la main. Je lui donnai notre adresse.

J’annonçai la nouvelle à Carole le soir. Elle a paru amusée :



Je n’étais pas rassuré en disant ça. Robert m’inquiétait un peu tout de même, tellement il était imprévisible. Ne risquait-il pas d’être lourd avec Carole, qui adorait aguicher les hommes ? En toute innocence, certes. Même si une lueur gourmande apparut dans le regard de ma femme.


Le Salon de l’Agriculture a débuté la semaine suivante. Robert m’a appelé le second jour ; je l’ai invité à dîner pour le soir même. Et le soir même, cousin Robert se présenta chez nous, portant deux lourds paniers de provisions :



Carole a paru touchée. Pour l’occasion, elle avait choisi une jupe beige longue et fendue, des bas couleur chair et un col roulé en laine rouge. Robert a sifflé d’admiration avant de me donner une tape sur l’épaule.



Il sentait un peu la bête, vêtu d’un vieux jean douteux et d’un énorme anorak. Carole a souri en prenant les victuailles en cuisine. En se retournant, je vis bien qu’elle portait un string sous sa jupe presque transparente. Robert le vit aussi ; il s’est touché l’entrecuisse.


Il s’était montré généreux dans son panier : quatre bouteilles de vin de sa propre vigne, jambons, fromages, quelques légumes et de beaux fruits. Il était plus massif, épaules larges, mains calleuses, teint rouge, et ses cheveux à ras avaient à peine blanchi. Il ne s’était jamais marié.



Et le vin aidant, il a ajouté :



Carole n’a pas paru choquée, elle a éclaté de rire. Je remarquais son manège : ma salope de femme aguichait le cousin Robert ! Elle a osé :



Et de sortir la photo. Robert a éclaté de rire :



Carole a repris :



Carole n’allait pas en rester là :



Elle s’adressait à nous deux. Son audace m’a fait sursauter.



J’espérais la faire taire par mon ton sec.



Et il se leva, déboutonna son jean et sortit son sexe qu’il posa presque sur son assiette.

Carole souriait pendant que Robert m’encourageait :



Je me suis exécuté ; après tout, son sexe n’était pas en érection : j’avais mes chances de faire le poids, car moi je commençais à bander. Je n’ai pas pensé au ridicule de la situation quand j’ai joué ainsi à ce jeu de comparaison à l’instigation de ma femme.



Avalant son verre, Carole se leva, nous jetant une œillade coquine à tous les deux. Nous tournant le dos, elle esquissa un langoureux mouvement de hanches, remontant lentement sa jupe ; le haut de ses bas est apparu. Elle se retourna avec un sourire pour voir où en était la bandaison. Robert avait déjà une légère érection et salivait d’aise en regardant ma femme exécuter son strip-tease improvisé. Il avait envie de se toucher, mais il effleura à peine sa queue parce qu’il lui restait du respect pour moi.

Carole remonta sa jupe tout à fait ; son string apparut, écartant bien ses fesses.

Elle revint s’assoir en souriant. Robert restait ébahi :



Il remit son sexe dans son pantalon. Ça nous avait suffi, à moi et à Carole : le sexe de mon cousin était rugueux et énorme, tant en épaisseur qu’en longueur.


En débarrassant tous les deux après le départ de Robert, pompettes tous les deux sous l’effet du vin, je n’en revenais toujours pas de l’audace de ma femme. Carole m’a taquiné :



Je l’ai prise par le bras et entraînée dans notre chambre :



Je l’ai baisée avec rudesse, pendant qu’elle marmonnait :



Pendant que je la pénétrais, je me surpris à lui murmurer à l’oreille :



Et je fus à moitié surpris de l’entendre me répondre :



La nuit fut chaude, le réveil difficile. Après la veille, j’étais à moitié rassuré. Heureusement, Robert s’en allait ; le Salon se terminait ce jour-là.


Je laissai Carole sous la douche et me rendis à mon travail. Elle avait pris une semaine de congé et comptait se reposer.


Je l’ai appelée à midi. Ma femme paressait, toujours au lit. Rentré le soir, je la trouvai à l’endroit où je l’avais laissée le matin : au lit. Elle était étendue sur le ventre, les cuisses écartées, dormant impudique dans sa chemise de nuit. Je m’assis à côté d’elle, et en voulant ramener la couverture sur ses jambes nues, j’ai pris un liquide visqueux dans mes doigts. Du sperme !

Du sperme ? Le mien ? Non, j’avais laissé Carole sous la douche en sortant. Et elle ne portait pas cette chemise de nuit.

Ma salope de femme avait forniqué dans mon dos ! Et il régnait une étrange odeur, une odeur d’écurie ! Robert était ici. Mon salaud de cousin était chez nous, et il s’est tapé ma femme !

Sentant ma présence, Carole s’est retournée :



Je n’en revenais pas : elle avouait.



Je n’en revenais toujours pas ; elle m’avouait ça si normalement !



Pendant qu’elle parlait, elle s’est assise à côté de moi. Elle puait le sexe et la bête. Je commençais à bander.



Carole se tut. Je bandais de plus en plus dur. Je me suis jeté sur elle, la renversant dans notre lit tout souillé, lui écartant les cuisses, écoutant à peine ses protestations.



Je lui mis ma queue dans sa chatte toute gluante. À peine me suis-je mis à la ramoner que je jouis presque instantanément. Ma queue nageait littéralement dans son vagin plein. Étendue sur le lit, Carole reprit :



Je me suis forcé à sourire devant l’étalage des qualités de mon cousin. Puis je m’entendis lui dire :



Carole me regarda, les yeux ronds, ravie.



Carole m’embrassa à pleine bouche, enchantée par la perspective d’une nouvelle partie de baise avec mon cousin.


Le lendemain soir, Robert vint chez nous, amenant une autre bouteille de vin. Il me serra la main avec un clin d’œil « Sans rancune, hein cousin ? » en soupirant d’aise en voyant Carole dans sa nouvelle tenue : minijupe en cuir moulante, haut hermétique mais à mailles laissant entrevoir ses seins nus, le tout d’une couleur rouge vif et agrémenté d’une paire de bas s’arrêtant à mi-cuisses. Ma femme avait sorti sa tenue de pute pour l’occasion.


Nous sommes passés au salon. Carole et Robert se sont installés sur le grand canapé, s’embrassant bien langoureusement. Robert parcourait des mains le corps de ma femme ; déjà il remontait sa jupe, dévoilant son string ficelle. La température montait rapidement ; Carole était bien excitée et respirait plus vite. Elle massacrait la queue de Robert à travers son jean par la caresse de ses doigts nerveux. Assis dans mon fauteuil, j’avais mon sexe en main et je me masturbais nerveusement.


Carole dévoila le sexe de Robert et le prit en bouche, le rendant plus dur. Sa bite était épaisse et rugueuse, et semblait avoir doublé de volume depuis l’autre soir. Carole, le tenant par la queue, l’entraîna avec elle vers notre chambre à coucher. Se débarrassant de son jean et de ses chaussures, Robert la suivit. Tous les deux ne s’occupaient plus de moi. Je les ai suivis aussi, me tenant toujours le sexe dans la main.


Carole s’étendit sur le dos, écartant les cuisses. Elle avait rasé soigneusement son minou, voulant offrir une chatte impeccable à son amant. Robert grimpa sur le lit, à quatre pattes, puis se plaça sur elle et s’introduisit lentement. Ma femme gémit doucement au contact du gros gland pénétrant sa chatte serrée, élastique. Puis Robert donna un premier coup de reins, et un second, plus rapide ; le bruit de leurs deux peaux nues claquait dans le silence de la chambre.


Quand Carole eut son premier orgasme, j’avais déjà joui une première fois. Robert tenait encore. Il s’est retiré un moment, laissant ma femme reprendre son souffle, puis s’est de nouveau couché sur elle. Les coups de reins reprirent de plus belle. Un nouveau hoquet de ma femme laissa voir qu’elle avait son deuxième orgasme en une demi-heure. Robert jouit juste après en elle ; je vis bien son foutre gicler de la chatte de mon épouse, jaillir sur notre couvre-lit…



« Sois-en sûr, cousin Robert : tu as laissé entrevoir à ma femme tous les bienfaits dont t’a doté la Nature. »