n° 16554 | Fiche technique | 47135 caractères | 47135Temps de lecture estimé : 28 mn | 21/12/14 |
Résumé: La gym et la danse sont indispensables pour son équilibre. Sa prof de gym lui propose de tester le strip-tease, activité à la mode, pour réveiller son mari. Elle accepte. | ||||
Critères: fhh profélève gymnastiqu strip fellation pénétratio sandwich confession | ||||
Auteur : Roby |
Je suis persuadé qu’encore une fois elle a simulé. Oh, elle le fait très bien, mais je la connais depuis si longtemps maintenant que je sais le reconnaître. C’est bien simple : elle gémit pratiquement dès que j’entre en elle, accélère ses cris si j’accélère, et surtout finit par les rituels « Oui, oui… » qui sont censés accompagner sa jouissance, qui se produit toujours lorsque moi je crache ma purée. Qui peut croire que nous arrivions à chaque fois à jouir en même temps ?
Il fut un temps pourtant où chaque baise était une découverte, et si l’accord parfait n’existe pas, nous l’avons frôlé très souvent. Pourtant je n’ai rien changé. Toujours les mêmes préliminaires, qui autrefois lui apportaient un premier orgasme. Toujours une recherche de diversité dans les positions et les lieux, encore que je doive bien reconnaître la difficulté d’innover maintenant.
Et si je lui pose la question de "pourquoi elle semble crispée et peu coopérative", elle me répond immanquablement que c’est la fatigue.
Un amant ? J’y ai pensé. Mais nous travaillons ensemble au magasin. Le seul moment où Maryse est seule, c’est pendant sa gym, son yoga ou sa danse. Il faut dire que ma femme est une adepte de ce genre d’activité. Je la comprends et je l’encourage. Moi, ce n’est pas mon truc ; après une journée de boulot, je n’ai qu’une envie : c’est de m’affaler dans un canapé et regarder la télé. Mais elle, elle a besoin de se défouler. Toutes ces clientes qui la gonflent de questions ou de requêtes stupides ! Alors elle se lâche dans ces activités, d’autant qu’elle les pratique le soir. Elle part avant la fermeture, lorsque c’est plus calme, et rentre vers 22 ou 22 h 30.
Je sais ce que certains esprits malveillants pourraient penser « Il n’est pas là pour regarder. Elle fait ce qu’elle veut, et peut-être que c’est un amant qu’elle rencontre. » Mensonge.
Au début, Maryse avait peur de rentrer si tard, surtout en hiver, alors qu’il fait nuit. Elle me demandait d’aller l’attendre. J’ai vu alors qu’il n’y avait que des femmes et que tout se passait dans le centre culturel de la ville. Et puis petit à petit, elle s’est habituée et faisait aussi une partie du chemin avec des amies.
Marc n’est pas fou. Il doit bien voir que je simule. D’ailleurs, ses questions sont de plus en plus pressantes et j’esquive ; mais jusqu’à quand ? C’est malheureux, mais j’ai de plus en plus de mal à me satisfaire de nos baises. C’est le problème d’avoir goûté à autre chose, à quelque chose de bien plus fort.
C’est arrivé sans que je le voie venir.
Un soir, après le cours de danse rythmique, la prof, Clarisse, me demande de rester un peu car elle veut me parler.
J’ai accepté. Autant pour le défi ! Autant pour voir ! Contrairement à ce que je croyais, je me suis très vite habituée à me balader nue devant Clarisse. Il faut dire qu’elle sait arranger l’éclairage pour faire croire que je suis seule alors qu’un mur de lumière la cache.
Je fais des progrès. Je danse, je dégrafe, j’ondule, je fais des mimiques coquines. Faire glisser une jupe ou une petite culotte n’est pas chose si facile si on veut rester élégante et stylée. Contrairement à ce que le commun des mortels peut croire, c’est tout un art.
Clarisse me félicite et m’encourage, mais je sens bien qu’elle n’est pas satisfaite ; et pourtant, je fais de mon mieux.
Un soir elle ne vient pas seule. Un homme l’accompagne. Sur le moment, je pense qu’il ne fait que passer mais elle me le présente comme son mari et connaisseur dans l’art du strip-tease. Elle me demande de réaliser ma prestation devant eux deux. J’hésite, mais me console en pensant que mon gynécologue en voit bien plus en pleine lumière. Alors, si ce Damien est un connaisseur…
Lui ne dit rien. Elle, me conseille comme d’habitude. Mais en partant, alors que j’attendais une remarque, c’est juste un « À la semaine prochaine » que j’entends.
Mais la semaine suivante, Clarisse n’est pas venue. C’est Damien qui se présente seul. Comme je fais part de mon étonnement et de mon refus de "danser" devant lui, il n’insiste pas mais m’afflige d’un « J’avais dit à Clarisse que tu n’avais pas l’étoffe. » Je me rebiffe. Je décide de lui montrer ce que je vaux. Je m’applique, essayant d’être la plus "pro" possible. Comme Clarisse, je ne le vois pas derrière les projecteurs.
Voilà ce qu’il me dit à la fin de ma prestation alors que je pensais être au mieux de mon art. Il m’énerve, ce mec, de me rabaisser, et mon mari par la même occasion. Ça veut dire quoi ? Marc est un lourd qui peut se contenter de peu ? Et ce peu, c’est moi ?
La moutarde me monte au nez. Je lui balance :
Je dois reconnaître qu’il n’a pas tort. Je danse un peu dans le vide. Au début, je reconnais que cela aide pour se trémousser, mais ensuite, une fois l’habitude prise, se montrer nue devient presque normal.
Voilà mon erreur. Si je n’avais pas insisté, je n’en serais pas là maintenant.
Il va arranger les projecteurs. L’éclairage est plus doux. La chaise où il se dirige n’est plus dans l’ombre. Je m’éloigne un peu pour remettre mes habits, un peu de poudre comme me l’a montré Clarisse pour cacher la peau qui brille trop. Je suis prête. Il lance la musique. Je me retourne et stoppe immédiatement.
Damien est bien assis à sa place, mais il a enlevé son pantalon et son slip. Son sexe pend entre ses cuisses. Avant de me retourner pour ne plus le voir, j’ai juste le temps de constater qu’il semble bien long.
Combien de temps suis-je restée sans parler ni oser bouger ? Je ne sais pas. Je ne me souviens pas non plus ce que j’ai bien pu penser, bien qu’il ne soit pas difficile de l’imaginer.
C’est lorsqu’il a remis la musique en route que je me suis lancée.
Au début, je me concentre sur un point de l’horizon juste au-dessus de sa tête. Et puis j’ose regarder. Je ne vois qu’une longue tige de chair qui pend sur les bourses. Au début, je pense que c’est bien normal parce que je n’en suis qu’au chemisier et à la robe. Encore que ce ne soit pas seulement la nudité qui doit exciter les hommes. Mais je suppose qu’il est "blindé" et qu’il lui faut du plus "lourd" pour s’émoustiller un peu.
Je commence à m’inquiéter alors qu’il ne me reste que ma culotte, les seins déjà à l’air, juste protégés par une pastille scintillante. Je m’approche plus. Deux mètres peut-être, en tout cas presqu’à portée de main. Heureusement, aucune familiarité et il reste de bois. Enfin, je veux dire "de roseau", flexible et souple.
Je tente le tout pour le tout. J’ondule, je me trémousse, je n’hésite plus à sortir le bout de ma langue pour m’humecter les lèvres. Suis-je en train de dénaturer mon art, le transformant en parade sexuelle ? Peut être, mais j’ai bien l’impression que son sexe a bougé. Juste un mouvement pour plus de confort ? Non, c’est plus que cela.
Maintenant je suis à moins d’un mètre. Je lui tourne le dos, ondulant des fesses comme je l’ai vu faire dans les scènes de strip-tease privé où l’homme ne doit pas toucher alors que la femme se frotte littéralement à lui.
Voilà que je fais glisser ce qui reste de lingerie, minuscule culotte qui ne cache déjà plus grand-chose. Je force le trait. Je me suis largement penchée en avant, écartant les jambes pour qu’il profite de mes fesses et de ma raie libérée de toute contrainte.
Je crains un instant que des mains me touchent devant ma provocation, mais non, Damien reste dans son rôle de professeur.
Voilà, je suis nue. La musique devient plus lourde. Mon enchaînement implique que maintenant je fasse quelques figures au sol, libérant mon intimité si peu protégée par la pastille de décoration. Je me donne à fond. J’ai chaud. La musique monte, monte, le final approche.
Je me recentre. Je dois terminer un genou au sol, une jambe fléchie, les bras écartés, comme une sorte de révérence devant le spectateur.
Silence. Je me rends compte que j’ai fermé les yeux, certainement pour mieux me concentrer. Lorsque je les ouvre, je ne comprends pas tout de suite, mais…
Sans m’en rendre compte, mes mouvements m’ont amenée très près de Damien. Je suis à moins de 50 cm de lui, et ce que j’en vois est d’abord un mât dressé que mon cerveau identifie comme une queue en érection.
J’ai réussi. Il bande. Super ! J’ai réussi à l’exciter au point de déclencher cette magnifique érection, transformant le roseau flexible en un chêne majestueux.
Quelques applaudissements me font relever la tête. Mon professeur sourit. Son regard va de mon visage à sa queue toujours dressée. C’est vrai qu’elle est belle. Elle est la preuve vivante de mon travail. Même ses couilles sont à l’unisson. Mention très bien. Voilà ce que je mérite.
Je regarde Damien à nouveau. Il ne sourit plus. Ses mains se tendent vers moi. Il se saisit de ma tête et la tire vers lui. Doucement, il m’attire. Je fléchis l’autre jambe pour ne pas tomber. Je suis maintenant à genoux devant lui, mon visage si près de la queue brandie que j’en louche.
Les mains m’abandonnent. Je sais ce qu’elles voulaient. Encore une fois je lève les yeux. Ceux de Damien ne sont que supplication. Je me penche un peu plus. Tout doucement, mes lèvres touchent sa pointe. Je suis folle. Je ne le connais pas. Je ne suis pas une pute. Je vais me relever, mais une main puissante me montre le chemin. « Pourquoi pas ? C’est si facile ! Qui le saura ? Lui ! Moi ! »
J’entrouvre mes lèvres. Elles glissent sur un gland délicat. Ma langue découvre la petite goutte qui perle du méat. Il suffit de laisser faire la pesanteur, et ma tête pèse si lourd que bien vite ma glotte proteste. C’est une friandise, une récompense que mon travail m’apporte. Moi qui ai connu si peu d’hommes et en encore moins sucés, je me découvre une vraie envie. Est-ce le plaisir du fruit, celui qu’il faut aller chercher tout en haut de l’arbre et que la femelle que je suis veut plus que tout ? Pourquoi se contenter de ce qui est à portée de main ? Non, le meilleur est pour les audacieuses, les besogneuses, les méritantes, les perverses.
« Marc, excuse-moi, mais tout cela est de ta faute. Le pauvre ! S’il savait, alors qu’il doit être sagement installé dans son fauteuil… »
Elle est trop grosse. Elle est trop longue. Je fais de mon mieux, et Damien apprécie en grognant. Mais soudain il se lève, m’entraîne. Il ne me vient pas à l’idée de protester ou de me soustraire. C’est normal, naturel : je dois me soumettre.
Bien vite, je suis en appui sur le fauteuil. Des mains appuient sur mes jambes pour que je m’écarte. Un bâton vigoureux chasse la pastille qui cache ma chatte. D’une poussée qui ne se refuse pas, je me retrouve empalée sur cette queue que j’ai eue tant de mal à faire frémir. Mais maintenant elle est en moi. Elle dilate ma grotte, repousse mes chairs et m’apporte sa chaleur. Aussitôt, je ne suis plus qu’une poupée de cire, une poupée de son que la bite possède.
La jouissance arrive sans prévenir. Normalement, il me faut toute une mise en jambes, que mon mari Marc connaît bien et enchaîne, acte après acte ; mais ici, tout est différent. L’homme suit son chemin, ne s’intéresse pas à moi. Je ne suis plus que la femme qui est là pour son plaisir.
Encore. Un deuxième orgasme m’envahit. Mais qu’est ce qui m’arrive ? Sous la violence du plaisir, mes jambes faiblissent mais je me sens chevillée si fortement que je ne tombe pas.
Damien me libère. Mais c’est pour m’asseoir dans son fauteuil. Sa queue est juste là et je n’ai que le temps d’ouvrir la bouche qu’il balance des flots de sperme blanchâtre et crémeux. Un goût particulier. Le goût de l’aventure, du péché, de l’infidélité. « Mais, putain, que c’est bon de recevoir la récompense de mes efforts ! » C’est ce que je pense pendant la minute qui suit, mais peu à peu je me fais horreur : comment ai-je pu me laisser aller à de telles extrémités ? J’ai honte. Rapidement, je fais une toilette. Nous n’échangeons pas un mot. Est-ce que je dois parler à Clarisse de l’attitude de son homme ?
Tout aurait pu rester en l’état, mais la semaine suivante c’est encore Damien qui vient. En plus, il est avec un soi-disant "collègue". Il me suffit de dire « non », mais je ne le fais pas. Toute la semaine, je n’ai cessé de revivre en imagination ce moment particulier où la jouissance m’a submergée. Plus je cherche à exorciser le démon qui s’est insinué en moi, plus il s’incruste. Je ne pense plus qu’à cela. Pourquoi ? Comment ? Suis-je une salope ?
Le "collègue" n’est pas si mal. Ils mettent les formes et me demandent une prestation, mais eux comme moi savons comment cela va finir. Je refuse de me prêter à ce subterfuge. Si je dois virer salope et infidèle, au moins dois-je assurer. Le plus drôle, c’est que c’est eux qui me déshabillent ! Pas mal pour une strip-teaseuse amateur !
Après, tout dégénère. Je les suce. Ils me lèchent. Coincée entre ces deux corps d’hommes, je ne suis bientôt plus qu’un jouet entre leurs mains. L’un me baise pendant que je suce l’autre. L’un comme l’autre sont exigeants. Si je ne gobe pas assez de leur chibre, ils me l’enfournent de force. Je n’ose regarder dans le miroir qui tapisse le mur de cette pièce qui est cataloguée " salle de danse" pour y découvrir une femme la bouche ouverte, déformée par le mandrin qui s’y cache, la salive coulant de ses lèvres, les cheveux collés par la sueur, telle une hardeuse de vidéos pornos.
Je ne suis pas la seule à être fascinée par le miroir. Damien m’entraîne pour nous en rapprocher. Il s’allonge et m’invite d’un geste à venir le chevaucher. C’est moi qui ai le plaisir de m’embrocher sur sa tige magique. Dans cette position, j’ai la référence avec mon mari, et je peux constater qu’il est bien plus long et fort. Son gland découvre des régions inexplorées, et c’est un peu comme une seconde perte de virginité.
Maintenant, je suis totalement dans l’ambiance et je n’ai plus peur de me regarder. J’y vois une femelle en rut qui s’enfile une belle bite dans la grotte. J’y vois un mâle qui tient mes seins par les tétons et tire vers le bas, m’encourageant à descendre un peu plus. Et je regarde. Je suis spectatrice et actrice. Les derniers centimètres qui disparaissent au regard de la spectatrice, c’est l’actrice qui les sent en elle.
« Bordel, que c’est bon ! » Je me tiens bien droite. J’ai peur que si je me penche je casse la queue qui est en moi et qui est si dure qu’elle en paraît fragile. Je me baise sur elle. À chaque fois que je me retrouve au contact des cuisses de mon amant, ses couilles se frottent délicieusement.
Des mains se posent sur mes épaules. Ce sont celles du "collègue" qui est derrière moi. Il me fait pencher. La poitrine de Damien reçoit la mienne. J’ai la tête tournée vers le miroir. Je vois parfaitement l’homme s’accroupir et pointer son dard vers mes fesses. Je sais, je crains, je redoute, j’espère ce qu’il veut faire. Il crache dans mon sillon. Le doute n’est plus permis lorsque ses mains écartent avec rudesse mes fesses et qu’aussitôt il y pointe son gland. Mon anus proteste, mais l’homme n’en a cure. Heureusement, ce chemin n’est pas vierge. Mon mari en profite souvent, appréciant l’étroitesse du passage et la perversité attenante.
D’une poussée, il entre. Les bras de Damien me maintiennent contre lui. Je suis prisonnière. Oui, mais je sais qu’il me suffit de dire « non » pour que mon geôlier me libère. Mais en réalité, je suis prisonnière de mon envie. Je suis la prisonnière de ce fantasme inavoué et refoulé au fond de moi. C’est la pire des prisons. Le plus doux des supplices. Sentir la queue avancer et ramper dans mon cul déjà resserré par la queue de Damien. Les deux hommes doivent avoir de l’expérience dans cette position car chacun sait ce qu’il doit faire. Moi, je ne suis plus que plaisir. Je flotte sur un nuage de félicité.
Ah, le plaisir des sens ! C’est donc cela. Sauf que chaque seconde apporte encore un peu plus de jouissance. Cinq sens qui se conjuguent et tirent dans la même direction.
La vue. Quoi de plus beau que le reflet dans le miroir de cette femme que deux hommes possèdent. Ils croient la dominer ; en réalité, c’est elle qui est à la meilleure place.
L’ouïe. Ah ! Les feulements des mâles qui s’activent. Ah ! Le doux clapotis des humidités. Ah ! Le bruit des chairs qui se rencontrent. Et je ne parle pas de cette symphonie des corps qui exultent.
L’odorat. Cette odeur bestiale que le sexe sécrète flotte dans l’air, se mélangeant avec la transpiration des peaux luisantes.
Le goût. J’ai encore dans ma bouche le goût de leur queue et des sécrétions déjà libérées.
Le toucher. Alors là, c’est le summum ! Mon ventre, mes fesses, mes seins, tous sont les lieux de caresses et d’attouchements. Mais le meilleur, le plus sensible, presque à la limite du supportable, ce sont les frottements de ces deux queues qui bougent en moi, ne laissant aucune place inoccupée et bataillant dans mes chairs.
Je jouis. Je coule. Ils m’inondent la chatte et le cul. De mes trous suintent leur semence. De mes trous, ils n’hésitent pas à attraper les filets qui coulent pour me les porter aux lèvres.
Foutres et sécrétions intimes sont mélangés. Un goût indéfinissable. Un goût de salope rassasiée. De femme adultère.
« Oh, Marc, excuse-moi ! Prions pour que tu ne saches jamais ce que ta femme est capable de faire pour sentir des hommes l’honorer, la brutaliser, et lui donner un plaisir auprès duquel le tien paraît bien fade. »
J’ai honte. Je décide de ne pas revenir la semaine prochaine.
Mais la conscience et la vertu ne sont que des chimères devant le sexe et ses jouissances…
Chaque semaine, je reviens. Chaque semaine, je repars en décidant que c’est la dernière fois. Mais…
Ce soir, grande émission sur l’adultère. Il paraît que maintenant les femmes trompent autant que les hommes. En plus, elles sont plus malines et ne se font pas prendre. Certaines, visage flouté et voix déformée, expliquent les ruses qu’elles utilisent. Nous, les hommes, passons pour des lourdauds. Manifestement, nous pensons toujours que cela n’arrive qu’aux autres.
Mes pensées vagabondent. Et si Maryse me trompait, où cela pourrait-il se passer ? Bien sûr elle va faire des courses, ou voir des copines. Mais ce n’est pas régulier car elle n’a pas beaucoup de temps en semaine ; et le week-end, nous le passons presque toujours ensemble. Une liaison demande de la régularité ou bien c’est juste un coup vite fait, sans lendemain, et vraiment je ne l’imagine pas comme cela.
Non, quelle que soit la façon dont je formule l’équation, les seuls moments où elle est sans moi, de façon régulière, ce sont pour ses cours.
Tout cela me travaille. Je décide d’aller voir et de lui faire la surprise.
J’attends un moment dans la rue et vois petit à petit sortir des groupes, mais pas Maryse. Peut-être l’ai-je ratée ? Ou bien elle bavarde avec des amies de cours. Je décide d’entrer.
La porte du centre culturel n’est même pas fermée à clé malgré l’heure tardive. Le problème, c’est que je ne sais pas où cela se passe. Je fais chaque étage en parcourant les couloirs déserts et silencieux. Le centre semble vide. Mais où est-elle ? Où se passe son cours ? Personne au premier. Pas un bruit. Pas une lumière. Je me fais l’effet d’un intrus dans ce centre froid et anonyme.
Au deuxième, le couloir est aussi sombre, mais un trait de lumière semble filtrer sous une porte, un peu plus loin. En réalité, c’est parce que le couloir est sombre que je devine cette lueur. J’approche sans bruit, me projetant dans ce rôle si particulier du mari soupçonneux. Mon attitude est ridicule. J’ai honte d’avoir ces pensées malsaines. Pourtant je progresse sans bruit et colle mon oreille à la porte.
Il me faut un moment pour vraiment me concentrer et éliminer les battements de mon cœur qui pousse le sang dans mes veines et rythme avec un bruit qui couvre tout. J’entends maintenant des petits bruits qu’en temps normal je trouverais anodins, mais que ma sensibilité particulière rend suspects. Quelques secondes me confirment que ce que j’entends n’est pas normal. On dirait des gémissements, des bruits bizarres, des coups.
J’ose appuyer sur la poignée. À ma grande surprise, elle s’actionne sans bruit. La porte s’entrebâille. Il fait sombre et la lueur qui suinte sous la porte n’est que le contraste entre noir et clair-obscur. Maintenant, si je ne vois pas plus, les bruits sont plus clairs, plus évidents. Pas de doute : on dirait un couple qui fait l’amour. Mon cœur bat la chamade. Je vais voir ce que je crains depuis quelque temps, ma femme avec son amant. Sans bruit j’entre. La porte se referme sans grincements. La chance est avec le mari cocu. Il me faut tout de même un moment pour bien me situer et voir un peu.
Pourtant ils ne sont pas si loin, mais derrière une sorte de grand rideau noir. Heureusement, il n’est pas tiré totalement. Ma première vision est celle d’un homme, ou plus exactement des fesses d’un homme qui bougent avec violence, d’une violence que seul le sexe peut expliquer. La posture est évidente. Il avance et recule en cadence, ponctuant par des « Oui ! Prends ça ! »
« Mon Dieu, il baise ma femme… » Je ne vois pas vraiment toute la scène, le corps de l’homme cachant ma femme allongée sur une table.
J’ai envie de crier « Mais il la voit ! » et de bondir pour surprendre les amants. Mais la raison me retient. La raison ? Non, la curiosité. Une curiosité malsaine. Que peut bien avoir cet homme pour qu’elle le préfère à moi ?
L’homme la baise avec force. Je n’ai que la vision de son dos avec les jambes de ma femme sur ses épaules. Les mains puissantes se saisissent des chevilles pour les pousser vers l’horizontale. J’ai la pensée saugrenue qu’au moins, tous ses cours donnent à Maryse une souplesse particulière.
La pièce est emplie de ces bruits que d’habitude j’aime, mais qui ne sont ici que des preuves encore plus patentes de son infidélité. Ce sont des gémissements retenus, le « floc-floc » de la queue qui coulisse dans une grotte humide de plaisir, des gargouillis infâmants d’une femme qui jouit.
Je suis tout étonné d’entendre une voix répondre, une voix masculine sans aucun doute.
Mais qu’est ce que c’est que ce bordel ? Quelle vulgarité ! C’est donc cela qu’elle aime… Un autre homme ? Ainsi ils sont deux avec elle. Deux hommes baisent ma femme. Je comprends maintenant. C’est sûr que je ne peux pas lutter. Madame a besoin de plus que ma malheureuse bite pour jouir.
C’est ma faute. J’aurais dû être à son écoute. Combien de fois m’a-t-elle sucé avec notre gode vibrant dans la chatte ou l’ai-je prise par derrière avec son joujou devant ? J’aurais dû comprendre qu’elle avait envie de plus.
Mais non, je suis trop con, je lui trouve des excuses. C’est une garce, une salope. Elle me trompe. Si encore mon cocufiage m’apportait des avantages, mais non, c’est le contraire. Baiser avec moi ne lui suffit plus.
Allez, je vais les surprendre. Mais avant, je veux la voir avec une bite dans la gorge. Je vais arriver et elle va s’étouffer avec. Bien fait !
Je pousse un peu le rideau, ce qui me permet de voir autre chose que le dos de l’amant. Ils sont si concentrés qu’ils ne me remarquent pas. En effet, ma femme est allongée sur la table, mais l’autre homme me cache son visage. Penché en avant, les bras en appui sur la table, je ne devine qu’un cou et un menton prolongé par la bite qui déforme les lèvres. Maryse a la tête totalement en arrière. Il fait sombre, et l’homme la couvre de son corps. Je n’ai que la vision fugitive et indistincte d’une bite qui se baise dans sa gorge, mais aussi j’entends parfaitement le bruit caractéristique de la salive abondante brassée dans la gorge offerte.
Nous, les hommes, sommes vraiment bizarres.
Le mari veut se ruer et injurier le trio, peut-être même frapper ces corps qui sont sa honte et son déshonneur. Au moins il ne les connaît pas. Ce ne sont pas des clients. Mais ce n’est pas une raison…
L’homme, la partie perverse, veut regarder le spectacle sexuel des plus chauds. Il sent même un début d’érection de voir cette femme prise par deux hommes. S’il oublie que c’est la sienne, il apprécie. Qui ne fantasme pas sur ce genre de situation, être celui qui baise ou celui qui se fait sucer ? Mieux, qu’est ce qui les empêche de changer de rôle ?
Mais je suis tiré de ma rêverie coupable par les cris de celui qui se baise dans la gorge de Maryse.
Trop tard. J’ai trop attendu. Si je me rue maintenant, c’est sûr qu’elle va s’étouffer avec la crème de son amant. Non je vais attendre. Je vais la surprendre la bouche encore chaude et dégoulinante du sperme qu’il va lui balancer.
L’homme se bloque. On peut imaginer sa semence se déverser par à-coups entre les lèvres de ma salope de femme. Mais ce n’est pas si facile pour elle, tête en arrière. Je la vois repousser son amant pour pouvoir respirer. Elle se redresse. L’homme recule. Fasciné, je vois le visage aimé apparaître, souillé par la salive et le sperme qui coule. Elle tousse. Elle déglutit.
Tout se passe en quelques secondes. Quelques secondes qu’il me faut pour réaliser que ce n’est pas ma femme. Non, ce n’est pas Maryse. C’est une autre.
Merde. Je me sens comme un con.
Heureusement, le trio ne m’a toujours pas remarqué. Je laisse retomber le rideau, recule à pas de loup alors que Franck annonce que lui aussi va venir et que… Je n’en saurai pas plus. Je suis déjà dans le couloir. Honteux mais rassuré. Non, ce n’est pas Maryse. Comment ai-je pu me laisser entraîner par cette idée qu’elle me faisait cocu ?
Si je continue mon exploration, c’est uniquement par réflexe. Bien sûr, aux autres étages, les pièces sont vides. J’ai dû la rater pendant que je me lamentais en mari trompé et voyeur.
Sur le chemin du retour, je ne peux pas chasser de mon esprit ce que j’ai vu. Je dois même repositionner ma verge qui gonfle à ces pensées. « Maryse, que tu veuilles ou que tu ne veuilles pas, tu vas passer à la casserole, j’en ai trop envie ! »
En arrivant à la maison, je suis tout étonnée de ne pas voir Marc. Tout est fermé et éteint. Mais où est-il ? J’espère qu’il n’est pas passé me chercher ! Non, il n’y a pas de raison, cela fait des mois que je rentre seule. Il a confiance en moi lorsque je lui dis que nous bavardons après les séances. J’ai honte, mais je ne sais pas quoi faire. Bien sûr, il n’est pas question de le quitter. Mes parties de baise ne comptent pas. Ce ne sont que des moments de folie. Mon seul regret, c’est que je deviens accro et qu’avec Marc cela me paraît fade. Mais je vais bientôt retrouver le droit chemin ; d’ailleurs, les vacances approchent et les cours vont s’arrêter. Pas question de retourner au centre culturel. Il va falloir que je retrouve un équilibre.
Enfin la porte s’ouvre. Marc revient.
Une pensée traverse mon esprit : « Catastrophe ! » Pourtant je m’efforce de faire bonne figure.
Que dire d’autre ? Je sens que l’inexorable approche. Pourtant il ne semble pas en colère. C’est pire. Marc paraît paisible. Je préfère de loin ses colères exprimées à ses colères froides où il devient cinglant et inflexible. Heureusement, mon mari n’a jamais été violent et n’a jamais levé la main sur moi.
Il s’approche de moi. Me prend dans ses bras.
Je suis plaquée contre lui. Il me serre si fort… Je n’ose parler ou essayer de fuir.
« Je suis faite. Il nous a surpris. » J’essaie de gagner du temps :
Ses yeux brillent. Une lueur de folie peut-être. Je ne dois pas le brusquer ou le contrarier.
« Trois. Il a dit "trois". Pas de doute il sait. Que dois-je faire ? Que veut-il ? Est-ce qu’il me tend la perche pour que j’avoue ? Et si j’avoue, est ce qu’il me pardonnera plus facilement ? » Mais il reprend :
« Voilà, c’est dit, je vais avouer. Ce qui m’étonne, c’est que nous ne l’ayons pas remarqué. C’est vrai que lorsque nous sommes partis, on plane si haut… » Mais il fait comme s’il n’avait pas entendu.
Je n’ose demander « Pensé quoi ? » Mais il se reprend.
Alors, je suis étonnée de sa réaction. Il s’approche de moi et commence à me déshabiller. Je ne sais que faire. Veut-il se venger ? M’humilier ? En tout cas, je n’ai pas droit à l’erreur. Sans réfléchir, je demande :
Je sens comme une menace. Il a raison. De quel droit je lui refuserais cela alors qu’il vient de me voir dans les pires situations. Je le laisse faire. Mieux, je l’aide. Il ne dit rien lorsqu’il découvre mes sous-vêtements aguicheurs, ceux que je prends pour le strip-tease. Quand je pense que tout a commencé parce que je voulais lui faire la surprise pour notre anniversaire de mariage… Il a dû souffrir lorsqu’il a découvert son épouse entre deux hommes. Je serais bien ingrate de lui refuser ce qu’il veut. Heureusement, je me suis sommairement essuyée des traces laissées par mes amants et on ne doit rien voir. J’imagine que trouver le sperme d’un autre sur sa femme doit être une épreuve terrible.
Je l’aide à se déshabiller. Nous voici tous les deux face à face.
Je me retiens de pleurer devant cette déclaration d’amour. Il considère que celle qu’il a vue tout à l’heure est une salope, une garce qui se laisse guider par ses bas instincts alors que la femme qui est devant lui est une autre. Est-ce le début d’un pardon ?
« Que dois-je faire ? Est-ce la demande de le reproduire ? Veut-il exorciser sa vision en devenant acteur et non pas voyeur ? Et s’il avait été plus excité que choqué ? Après tout, il me l’a dit tout à l’heure ! Cela existe, les maris qui aiment voir leur femme avec un autre. »
Je n’hésite plus. Je plonge. Je m’agenouille comme je l’ai fait devant mes amants, comme il a dû voir. Je gobe son sexe déjà tendu. Je m’applique à me montrer gourmande, léchant et suçant la tige et son gland. Mieux, je gobe ses couilles, l’une après l’autre pendant que je le branle. Mes lèvres rampent millimètre après millimètre, et pour la première fois avec lui j’arrive à le prendre entièrement. Je n’ose lever les yeux, mais je sens son regard. « À quoi pense-t-il ? Essaie-t-il de comparer avec ce qu’il a vu ? » Je m’active, transformant mes lèvres en un anneau de chair qui branle le mandrin.
Il gémit. Je suis rassurée. Au moins, je ne le dégoûte pas.
D’un geste, il repousse les objets qui encombrent la table et m’y fait allonger. Sans attendre, il saisit mes jambes pour les placer sur ses épaules et place sa queue contre mon minou. Je ne reconnais plus le mari délicat, toujours glissant sa queue avec douceur dans ma grotte. Le spectacle de tout à l’heure a dû lui montrer que je ne refuse pas – mieux, que j’apprécie – un peu de rudesse. Il entre d’une poussée. Il s’immobilise. Est-il en train de penser que sa propre queue coulisse si facilement parce que mes amants y ont abandonné leur jus seulement une heure plus tôt ? En tout cas, cela ne semble pas le perturber. Au contraire, il commence à me baiser avec une violence inaccoutumée. Il ne me traite plus comme une poupée fragile, mais plonge son dard jusqu’à ce qu’il vienne buter au fond, claquant son pubis contre mes fesses.
Je m’accroche à la table tellement il est puissant. Son visage est crispé, ses yeux fermés. Cherche-t-il à se souvenir ?
Petit à petit, je sens une chaleur en moi. Une sensation que j’avais perdue avec lui et que mes amants m’apportaient. Il doit le sentir. Mes ongles s’incrustent dans ses fesses, le forçant à continuer. La pièce est remplie du bruit de nos corps, de mes gémissements, de la table qui grince.
L’orgasme me submerge.
Une jouissance que j’avais perdue avec lui. Cette fois-ci, pas la peine de simuler. J’ai vraiment mon plaisir. Un de plus ce soir. Cette pensée me ramène sur terre.
Marc continue. Plus lentement, frottant son gland sur mes petites lèvres comme il le fait lorsqu’il veut se finir. Mais il sort. Il fait le tour de la table. Me tire comme un paquet de linge. Ma tête est dans le vide. Je comprends son désir lorsqu’il me présente sa queue. Elle est énorme, rouge, brillante de liquide. Il me la pousse dans la gorge sans retenue. À nouveau, je ne retrouve plus mon mari. Il se baise sans retenue. Ses couilles frappent mon menton. Je tousse, je pleure, je crache, ma salive coule. Chaque poussée déclenche un clapotis infâme mais que j’imagine érotique pour lui.
Il ne se retient plus. Ses mains se saisissent de ma tête, m’immobilisant pour se baiser entre mes lèvres. Je ne suis qu’une chose entre ses mains. Est-ce une vengeance de mon infidélité ?
Ma gorge est brutalement inondée par sa semence. Des flots impétueux qui me noient. Pourtant je sais qu’il ne sécrète pas des litres ; mais en cet instant, l’Amazone semble un ruisseau en comparaison.
Enfin il se retire et je peux redresser la tête, me permettant de déglutir et d’avaler son sperme. Bien sûr, il me regarde faire. Bien sûr, il m’a vue le faire avec la crème de mes amants.
J’attends le coup de grâce. C’est maintenant qu’il va me mettre devant mes responsabilités. Un sursaut de dignité me fait dire :
« Mais de quoi parle t il ! Je ne comprends plus rien. »
Au deuxième étage ! Je me retiens pour ne pas hurler. Mes cours sont au troisième. Ainsi, ce n’est pas moi qu’il a vue. Mais alors qui ?
« Une blonde aux cheveux courts ! Et si c’était Clarisse, ma prof de danse ? Une coïncidence ? Elle baisait pendant que son mari était avec moi ! Et si tout cela était calculé ? Si elle m’avait foutu son mari dans les pattes ? S’ils étaient complices ? »
Merde. Je ne vais tout de même pas avouer mon infidélité maintenant, alors que la chance s’est chargée de détourner son regard et ses soupçons. Mais il faut que je trouve à lui répondre. Soudain, une idée.
Mais en les relevant et affrontant son regard, j’ajoute :
Il sourit.
Un silence s’installe. Il est devant moi, et moi je suis assise sur la table. En baissant les yeux, je vois que son sexe a déjà repris de la vigueur. Pas de doute que l’idée d’un autre homme l’excite. Je saisis sa queue avec ma main. Nous nous sourions.
Son sexe est humide, gluant, sentant le sperme. Mais il est dur, vaillant et vibre dès que je pose mes lèvres sur lui.
Je le quitte. Avant de replonger, je dis dans un souffle :
Je l’enfourne au plus profond. Mon mari a-t-il conscience que maintenant je peux le gober entièrement ? Merci à mes amants qui m’ont, un peu, forcée.
Ses boules roulent dans la paume de ma main.
Ma bouche le pompe, et pour la première fois j’ose glisser un doigt vers son anus.
Mon doigt pousse et déflore l’anus de mon mari qui ne se refuse pas. Il ne peut retenir un gémissement, et dans un souffle dit :
Je ne réponds pas tout de suite. J’active mon doigt et y joins un autre. La corolle ne s’y oppose pas. Je lui baise le cul et le suce en même temps. Sa queue semble grandir encore. Mon cerveau est en plein délire. Déjà j’imagine tout ce que nous pourrions faire à quatre. Et puis une image supplante toutes les autres. Je vois… je vois… mon mari à quatre pattes. Moi qui lui ouvre les fesses pour y guider le braquemart d’un homme. Déjà je vois la queue disparaître et j’entends mon mari qui gémit. Qui gémit mais tortille du cul comme le fait une femme qui se fait prendre.
Et lorsque je replonge, il jouit et me balance sa purée.
« Et de quatre ! Il y a des jours bénis. Je deviens salope, mais à partir de maintenant mon mari va m’accompagner… »