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n° 16556Fiche technique9448 caractères9448
Temps de lecture estimé : 7 mn
21/12/14
Résumé:  Ma femme relève un défi : branler un inconnu. La soirée s'annonce chaude...
Critères:  fhhh cocus inconnu voiture voir exhib facial fellation pénétratio -totalsexe -occasion -voyeuract -masth -lieuxpubl
Auteur : Aladusman  (Homme de 32 ans, marié. (et sain!))            Envoi mini-message
Rue des branleurs

Bonjour. Je m’appelle Alexandre ; j’ai 32 ans et ma femme Carine 31. Elle est très belle ; elle se fait souvent draguer, et moi, ça ne me dérange pas. Ça me flatte même, plutôt. Il faut dire qu’elle est sexy : un mètre soixante, athlétique, un visage d’ange, et dotée de très beaux seins qu’elle n’hésite pas à mettre en valeur.

Depuis le temps que je lis des récits érotiques, j’avoue que j’essaye de forcer un peu le destin pour vivre, moi aussi, des moments comme ceux que je lis ici… Et justement, j’y suis arrivé il y a quelques semaines.


On était allé voir un spectacle au Palais des Congrès, à Paris. Elle était habillée assez sexy, avec une robe courte et un beau décolleté. Depuis quelque temps, elle me disait régulièrement qu’elle avait des envies de se montrer… Alors, comme elle était un peu chaude, je lui ai lancé un petit défi à réaliser avant de rentrer.

Je lui ai dit qu’il y avait une rue près de là où on était où les mecs s’exhibent en se branlant. (La rue des branleurs, pour ceux qui connaissent…)

Je l’ai mise au défi de branler un mec. Honnêtement, je me disais qu’elle ne le ferait pas…


On y est allé ; il n’y avait presque personne. Quand je lui ai dit de sortir ses seins de sa robe, elle n’a pas été surprise de ma demande et l’a fait aussitôt. Je les ai empaumés et caressés ; elle était de plus en plus excitée et me laissait faire en fermant les yeux. Elle touchait ma queue déjà bien dure au travers de mon pantalon.

Je vis à une vingtaine de mètres un gars qui avait l’air de regarder vers nous ; on ne voyait pas bien.


Au bout de dix minutes, le mec s’est approché avec sa queue à la main, rapidement suivi d’un deuxième. Ils bandaient bien. L’un avait une belle grosse bite bien longue, plus que la mienne… Il devait avoir 40 ans maximum. J’ai bien vu les yeux de ma femme… ça ne trompe pas… Ses yeux étaient fixés sur les deux bites, et elle avait un air très coquin pour ne pas dire de salope…


Le deuxième devait être à peine majeur. Il semblait timide ; d’ailleurs, il avait attendu que le premier gars vienne avant de s’approcher. Lui, avait une queue à peu près comme la mienne, environ 18 cm, mais contrairement à moi il était très poilu.


Ma femme a eu un peu peur au début, et elle ne voulait pas ouvrir la fenêtre. Alors j’ai continué à la peloter devant les mecs. Elle a commencé à se relaxer ; je l’ai senti parce qu’elle a commencé à gémir doucement et elle regardait les deux queues tendues vers elle sans hésiter. Elle a levé les fesses et a descendu son string. Elle a ensuite relevé sa robe jusqu’en haut et a plongé sa main entre ses cuisses pour se caresser doucement le sexe, qui était bien trempé. Avec l’excitation, elle a écarté les jambes de plus en plus jusqu’à ce que sa petite chatte soit bien visible.


Les gars, eux, se branlaient rapidement. Le jeune avait la langue dehors, on aurait dit qu’il léchait ma femme virtuellement. Ça lui faisait une tête de vicieux assez impressionnante…


Comme elle était devenue complètement impudique, je lui ai proposé d’ouvrir la fenêtre et de les branler. Je me suis dit « Ça passe ou ça casse… » Elle n’a rien dit. Elle m’a regardé avec un air de défi, comme si elle savait que je ne la pensais pas capable de le faire. Elle s’est mise à quatre pattes sur son siège, tournée vers la fenêtre et elle a appuyé sur le bouton…


L’air froid est rentré tout de suite, c’est ce qui m’a marqué en premier. En moins de deux secondes, les gars on attrapé les seins de ma femme. Ils se sont jetés sur elle comme s’ils n’avaient jamais vus de femme ! Carine a eu peur ; elle a eu un mouvement de recul et un petit cri lui a échappé. C’est le plus vieux des deux qui a parlé :



Ils n’avaient pas lâché ses seins ; ils l’ont tirée doucement vers l’extérieur, elle avait le buste dehors jusqu’aux seins. Elle a lâché la portière et s’est appuyée dessus avec le buste et a dirigé ses mains vers les deux queues qui n’attendaient que ça…

J’étais comme un fou ! Ma femme était le cul et les seins à l’air devant nous trois et elle allait branler deux inconnus !


Les secondes qui ont suivi ont passé pour moi au ralenti… Elle a posé ses doigts timidement sur leurs queues, elle les a caressées doucement, a pris leurs couilles en main. Elle faisait tout en symétrie ; pour moi, c’était magnifique !


Je me suis mis à quatre pattes aussi derrière elle, bien penché sur son dos pour voir ce qui se passait. J’ai sorti ma queue et je l’ai prise d’un coup ! Elle était trempée… Ça a dû lui mettre un coup de fouet parce qu’elle a empoigné les deux bites et a commencé à les branler plus vite, comme si elle voulait les faire jouir le plus vite possible. Elle jouissait de plus en plus bruyamment, avec de moins en moins de retenue.

Le jeune n’a pas tenu le coup ; il a joui en dix secondes ! Il faut dire que ça faisait dix minutes qu’elle s’exhibait derrière la vitre… Il a envoyé son sperme sur le bras et la main droite de Carine. Il a continué à lui masser le sein une ou deux minutes et elle n’a pas lâché sa bite, elle a juste ralenti. Ensuite, il a dit « Merci Madame » et il est parti.


L’autre mec avait l’air bien plus résistant ; il grognait et tirait fort sur ses seins. Il tournait ses mamelons assez fort pour lui arracher des petits cris de temps en temps. Il a attrapé Carine par la nuque : il voulait se faire sucer, alors il a tiré fort sur sa tête. Carine ne s’est pas laissée faire et a relevé la tête. Elle n’a rien dit et a continué de branler sa grosse queue.

Moi, je la baisais fort ; je ne perdais pas une miette du spectacle ! Je crois qu’au fond de moi, j’avais envie qu’elle le suce…


Il a tenté encore deux ou trois fois de tirer sur sa nuque ; elle lui a juste dit « non » mais elle avait la bouche grande ouverte : elle était pleine de désir, la situation l’avait transformée en salope, la salope que j’imagine qu’elle est quand je la baise…


D’un coup, elle a reçu deux grosses giclées de sperme sur les seins ; elle a joui instantanément en les sentant atterrir sur elle. Le gars a essayé de viser sa bouche ; il a tiré encore sur sa nuque et a réussi à lui gicler sur le menton et les lèvres. Elle a eu le réflexe de fermer la bouche à temps… Moi, j’étais aussi en train de me vider au fond de son sexe ; la vue du sperme sur ses seins avait été trop dure pour moi et je ne pouvais plus me retenir…


Le gars a tiré encore sur la nuque de Carine, essayant de jouir ses dernières giclées sur sa bouche, mais les derniers jets n’avaient plus de puissance et ont coulé sur sa queue et sur les doigts de ma femme. Elle jouissait, la bouche ouverte ; un filet de sperme faisait se rejoindre ses deux lèvres rouges. Moi, je fis encore quelques derniers allers et venues dans son vagin trempé de notre mélange d’amour…


Elle branlait doucement la grosse queue à cinq centimètres de son visage ; cette jouissance avait petit à petit vaincu ses résistances. Le gars a avancé lentement sa queue jusqu’à deux centimètres, et il a profité du fait qu’elle avait les yeux fermés, perdue dans sa jouissance : je l’ai vu rentrer d’un grand coup sa queue dans la bouche de ma femme qui n’avait plus la volonté de lui résister. Elle a rouvert les yeux et n’a pas reculé… L’homme a compris que c’était gagné. Il faisait de grands allers-retours dans la bouche de ma femme. Elle avait refermé sa bouche sur la bite qui lui avait donné tant de plaisir.


Au bout de trois ou quatre minutes, le gars en voulait encore… Il tenait Carine par les cheveux et il lui enfonçait sa tige de plus en plus loin. Il lui baisait littéralement la bouche. Je sais qu’elle n’aime pas que j’aille trop loin d’habitude, mais elle se laissa faire, trop excitée pour lui refuser ça…


En cinq minutes, elle reçut une nouvelle fois le fruit du plaisir de notre invité du soir ; il n’a pas eu à forcer Carine pour qu’elle avale toutes les doses de jus que sa grosse queue pouvait encore lui donner… C’est même elle qui appuyait sur le dessous de la queue pour la vider complètement…


Le gars a fait un pas en arrière et il a regardé ma femme pendant quelques secondes, comme s’il admirait son travail. Carine était en sueur, les seins souillés et pendants sous elle. Elle avait du sperme autour de la bouche. Moi, j’ai rangé ma queue. J’ai donné des mouchoirs à Carine. Pendant qu’elle s’essuyait, le gars est parti sans rien dire.


Pendant le retour, on a été tous les deux un peu gêné, mais dès notre arrivée, elle m’est tombée dans les bras et on a fait l’amour plusieurs fois. On a beaucoup parlé de ça pendant nos ébats, c’était vraiment génial.

J’espère pouvoir vivre avec Carine d’autres moments comme celui-là…

Je ne manquerai pas de vous les raconter.