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n° 16562Fiche technique12246 caractères12246
Temps de lecture estimé : 8 mn
24/12/14
Résumé:  Une agréable rencontre à la piscine se concrétise dans son appartement.
Critères:  hh grossexe fellation anulingus préservati hdanus hsodo
Auteur : Rollerbi            Envoi mini-message
Le Hongrois

Il me suppliait de ne pas le faire jouir. Sa bite était massive, son gland une lourde ogive, je savourais ma chance de l’avoir en bouche.


J’allais souvent à la piscine couverte nager l’hiver ; il y faisait super-bon et le délassement que procure l’eau était sympathique. Après la baignade, passage sous les douches, comme tout le monde du reste. Cette vieille institution avait encore des douches « par carrées » de 6/8 jets, cernées de murets d’environ un mètre de haut, ce qui permettait de voir toutes les têtes des autres carrées. Quelques septuagénaires, à côté, se frottaient longuement en soufflant sous d’interminables douches, espérant lever quelqu’un en reluquant de la jeune chair à portée de main !


Oh, il m’est bien sûr arrivé de me laver au milieu d’eux, par défi plus que par quête, bien qu’une fois… un monsieur très bien gaulé m’ait convaincu de le suivre dans une cabine. Sa grosse bébête était très attirante, et papi avait de très beaux restes. Je l’ai longuement sucé, largement plus d’une demi-heure. Mais sa prostate ne faisait plus partie de son patrimoine, et même s’il a eu quelques spasmes in fine, je n’ai pas eu la moindre goutte de sperme à déguster, et suis resté sur ma faim.


Là, ce mec, un Hongrois donc, est sorti de la piscine, et en arrivant dans les douches, vient direct dans ma carrée de 3x3 mètres alors que j’y étais seul. J’étais nu comme nous tous, et il tomba normalement son maillot en faisant face au mur. Puis il ouvre l’eau et se délasse, tout comme moi du reste. Mais en se retournant, mes yeux sortirent de ma tête en découvrant sa queue et ses couilles. Bien qu’au repos, l’ensemble était déjà très impressionnant malgré la baignade qu’il venait de faire.


Je me savonne, lui aussi, et nos regards se croisent parfois. Ma bite s’allonge vers le bas (elle est plutôt longue), trahissant un certain émoi, et la sienne gonfle, prend de la largeur. De 3/4 vers moi, il s’attarde à bien décalotter, savonner ses lourdes couilles, c’est clair qu’il me provoque, sinon, il le ferait de dos ! Je dois vraiment fixer son matos, car je le vois me sourire en relevant la tête. Je finis de me rincer les yeux et le corps, m’essuie, puis une serviette autour de la taille, quitte la douche en fixant bien le beau morceau qu’il tient à la main, tout en me dirigeant vers le vestiaire dans la pièce à côté.

Je suis pratiquement certain qu’il va suivre, et vais donc assez doucement afin qu’il puisse voir dans quelle cabine je pénètre. La porte est grande ouverte comme presque tout le monde le fait, puisque nus sous la douche…


Il passe devant, me regarde en marquant un arrêt. Il me suffit de faire un signe de tête pour qu’il rentre en refermant la porte. Nos serviettes volent sur le banc et comme pour signifier que mon cul l’intéresse, il me prend une fesse dans son énorme main. Moi, c’est son sexe qui me tente, je n’y résiste pas, le saisis instantanément pour en apprécier le volume et le poids. Je me penche pour gober son gland en pelotant ses impressionnantes couilles. Hummmm, qu’elle est bonne, déjà bien grosse, et elle gonfle très vite. Lui presse ma rondelle, masse mes fesses, se penche pour regarder mon trou en écartant mes deux globes, parcourt ma raie. Je le suce goulûment, et il respire fort, puis me relève de force. Là, il me dit dans un accent terrible d’aller doucement, qu’il ne doit pas jouir. Mais fasciné par sa grosse colonne, je retourne le pomper de plus belle.


Il me doigte maintenant, souffle si fort que l’on va se faire virer si nous continuons. Il m’implore, me dit d’attendre, me pelote, me fait tourner pour passer sa langue sur ma rondelle. Il veut mon cul, et aime ça visiblement. Il m’enfonce le bout de sa langue et lape bruyamment. Là, j’ai subitement envie de lui. Il est immense, mais je le veux, je prends le risque de me faire exploser l’anus par son gland monstrueux. Je me tourne pour lui expliquer que s’il peut me prendre, je ne veux pas le faire ici. Ce à quoi il me rétorque la phrase salvatrice :



Il me convient, je pense qu’il est honnête. Et sa queue, je désire la faire jouir et goûter son jus, donc… J’acquiesce, lui disant de revenir me chercher, et l’attends alors qu’il va s’habiller.

Cinq minutes plus tard, il arrive en souriant, content que je sois encore là. Ses grosses bacchantes lui donnent un air de confiance, et cette queue qui déforme son pantalon ! C’est un véritable suicide anal, mais bien préparé… Et puis j’en ai déjà pris de plus épaisses. Motivé comme je le suis, ça va forcément le faire.


Nous voilà dans un studio de seconde fraîcheur, mais très propre, dont il referme la porte à clef pour immédiatement me prendre les deux fesses dans ses paluches en me plaquant contre sa virilité toujours bandante !



Nu en quelques secondes, il bande comme un taureau, son nœud perle de longs filets gluants, je le suce en peu, mais il me pousse vers le lit, me suppliant de ne pas le faire décharger trop vite. Moi, je rentre en transe devant un tel morceau, perdant toute objectivité. À quatre pattes, les fesses largement écartées, il me parcourt la raie depuis les couilles qu’il gobe de temps à autre. Il me suce le petit trou, crache un peu dedans, darde, me doigte et franchement, je bande d’excitation tant il me travaille bien, ses bacantes me chatouillent subtilement, tout va pour le mieux. J’adore me faire dévorer la raie par un bon gourmand.


Le cul trempé de salive, il me présente son dard à sucer, dur comme pierre, violacé, terriblement menaçant. Je vais le sentir passer, mais s’il est suffisamment doux, quel pied je devrais prendre !

Une capote le recouvre prestement, du gel sur le bout et directement dans mon trou, puis il se pointe debout derrière moi, me tire au bord du lit et pose sa torpille contre mon cul en me disant qu’il va m’enculer, qu’il va me baiser, que je vais en redemander. Pour l’instant, il force son gland vers mon intimité, et moi je pousse pour ne pas être blessé. Dieu qu’il est gros ce Hongrois, son nœud est un marteau-pilon ! Je souffle en poussant, puis il finit par me pénétrer. En précaution, pour ne pas être défoncé, ma main enserre sa bite et la bloque au début de la hampe un instant pendant qu’il jure dans sa langue, de plaisir je pense, de se retrouver enfin étranglé dans un cul serré, étroit. D’ailleurs, avec un tel diamètre, tous les culs doivent être étroits !


Il profite que ma main relâche son étreinte pour plonger lentement. Il semble aimer baiser, et n’a pas l’attitude d’un bourrin, sans quoi il aurait au moins essayé de forcer. Une grosse queue affole, et trouver un gars suffisamment maso pour se faire dérider la rondelle ne doit pas lui arriver tous les jours.

Je lui demande de rester calme, de respecter mon cul, faisant de petite poussée pour m’habituer à son pal. Plus je me dilate, plus il se promène, et assez rapidement, il coulisse sur la longueur, mon petit trou devient un bon trOu, tout naturellement. Sa bite m’excite, me pousse à l’action, me transporte.


J’adore sucer, c’est certainement ce qui me donne le plus de plaisir dans le sexe entre hommes. Découvrir un sexe, le désirer, le goûter des lèvres, puis lentement l’emboucher… Mais certaines queues, de par leur côté hors du commun, me font les désirer entre mes fesses. Quelques fois, j’ai cédé devant l’insistance de certains hommes à vouloir à tout prix me prendre, tant ils me promettaient monts et merveilles. Le drame est qu’une queue moyennement membrée ne me donne pas ou peu de plaisir, aussi doué que le soit son propriétaire. Seule une grosse queue bien large, lorsqu’elle remplit bien mon ampoule, me fait frissonner, vibrer, voire… éjaculer spontanément. Et ma découverte du jour me rappelle Patrick, dans ses formes comme dans sa façon de me mettre, de me pénétrer, d’imprimer le mouvement.

Je n’avais jamais retrouvé une telle matraque depuis ce merveilleux amant. Ne serait-ce qu’en hommage à ce bon vieux temps, je veux bien qu’il m’encule, qu’il me fasse crier. Je veux tenir ses couilles entre mes jambes, et je voudrais pouvoir le sucer en même temps. Il me parle en hongrois, puis baragouine des trucs du style « Toi bon cul, toi prendre gros ! »



Je pense que de toute façon, même s’il ne comprend pas tous les mots, il en saisira la teneur, et répondra à l’invitation.

Il me met d’une manière continue de longs coups de barre, navigant dans mes entrailles librement. Lorsqu’il recule, son gland marque l’arrêt une fraction de seconde contre mon sphincter et repart jusqu’à ce que ses burnes tapent les miennes. Autant il semblait presque jouir entre mes lèvres, autant là, dans mon cul, il est plutôt endurant. C’est un queutard, un baiseur.


Je le fais sortir de moi, j’ai besoin de bouger, et surtout de le sucer. Je crache grassement un paquet de bave sur son nœud pour bien le ravaler. Il se laisse pomper, gober les burnes. Même si le gel a un goût dégueulasse, je m’en fiche, je m’en repais, admirant l’engin sous tous les angles, le faisant taper contre mes lèvres comme un gourdin. Des frissons me parcourent, il avait raison, moi vouloir encore !



Re-gel, et il m’encule de nouveau bien droit. Je suis sur le dos, ma jambe gauche dans mes bras, et son dard me pilonne la prostate, la pression monte d’un cran. Il me prend par longs traits, et ses couilles, tapent mes fesses presque à chaque fois. Je dégouline de transpiration, lui aussi, ses coups de reins me coupent le souffle.


Je crois qu’il me demande si j’aime, si je prends du plaisir. Oh oui, il m’encule dans les règles, je lui dis de jouir maintenant, qu’il m’a bien pris. Le préservatif, combiné à son diamètre inhabituel, devient irritant à la longue. Putain de plastique, ceux qui ont déjà goûté de grosses queues avec et sans me comprendront ! Il va un peu plus vite, et plonge quelques coups profonds. Soudain, tétanisé au fond de mon cul, je sens son bout gonfler et pulser au rythme de ses giclées de sperme. Il jouit puissamment, longuement, et le fait qu’il soit tout au fond de mon cul, son dard palpitant tout au long de son éjaculation me donne l’impression d’exploser. Mon foutre coule soudain sur mon ventre, ma queue presque molle libère spontanément la surcharge de liquide sous la pression de son membre. C’est terriblement bon de sentir son sexe battre la mesure de son orgasme entre mes fesses.

Il m’a bien sauté, suffisamment longtemps, plus aurait été difficilement supportable.


Vautré mais toujours en moi, il jure encore. Quelques minutes plus tard, je me dégage. Mon dieu, mon cul est un hall de gare, j’ai le sentiment que l’air frais y entre, comme au bon vieux temps. Je me tourne vers lui, retire la capote dont l’extrémité bien pleine pendouille et embouche sa queue maculée de foutre avec douceur et délectation. Elle est délicieusement chaude. Je joue de très longues minutes avec, la nettoyant dans chaque recoin, pour le remercier du plaisir qu’il vient de m’offrir.


À froid les jours suivant, l’échauffement de la capote s’est bien fait sentir. Mais chaque spasme, chaque douleur me renvoyait de si belles images et de si bonnes sensations que cet épisode fut vite… derrière moi. Lui, je ne pourrai jamais l’oublier. Pas plus que Patrick.