n° 16564 | Fiche technique | 12103 caractères | 12103Temps de lecture estimé : 8 mn | 24/12/14 |
Résumé: Parti pour travailler ses cours au parc avec la belle et trop sérieuse Julia, Arnaud va oser changer le thème de leurs révisions, pour leur plus grand plaisir ! | ||||
Critères: fh jeunes jardin école voir exhib pénétratio | ||||
Auteur : Émilie Madidus |
Une semaine… plus qu’une semaine avant les examens. J’avais travaillé dur toute l’année mais cela ne m’empêchait pas de me sentir stressé. Depuis mon entrée à la fac, j’avais fait preuve de beaucoup de sérieux et peut-être même un peu trop : très peu de sorties, pas la moindre petite copine et chaque jour plusieurs heures de travail et de révisions avec mon groupe d’amis. La bibliothèque n’avait plus de secrets pour nous cinq !
Comme à mon habitude, je comptais sur eux pour travailler après le TP de littérature de lundi après-midi. Je me dirigeai vers Marie et Julia dès la sortie de la salle, je ne vis pas les autres.
Marie éclata de rire et s’éloigna de nous. Avant de tourner à l’angle du couloir, elle nous cria :
Je sentis mes joues se colorer et j’eus soudain très chaud… Rien qu’à l’idée de la jolie Marie en train de prendre du bon temps, j’étais troublé. Je n’avais jamais rien tenté avec elle, mais je n’étais pas non plus insensible à son charme et aux coquines mèches blondes qui encadraient son visage. Je me ressaisis et jetai ensuite un coup d’œil à Julia qui ne décolérait pas. C’était la plus sérieuse du groupe et elle nous motivait chaque jour depuis la rentrée universitaire.
Je lui fis un petit sourire charmeur et la détaillai de la tête aux pieds. Je lisais la détermination sur les traits de son visage délicat et l’exaspération dans ses beaux yeux noisette. Ses longs cheveux bruns tombaient en grosses boucles sur ses épaules. Elle avait une jolie poitrine ronde et ferme que l’on devinait sous sa robe fleurie, et de longues jambes à la peau diaphane. Julia n’était pas du genre à se faire dorer au soleil mais plutôt à rester le nez dans ses bouquins ! Le genre de fille éblouissante mais assez rigide. Elle m’avait toujours semblée inaccessible.
Une fois arrivés devant l’imposant bâtiment, nous découvrîmes les portes closes et un petit panneau devant l’entrée qui annonçait la fermeture exceptionnelle de la bibliothèque pour inventaire. Quelle poisse si peu de temps avant les examens de fin d’année ! Julia ne renonça pas pour autant et proposa d’aller réviser chez moi, car elle habitait à une heure de train de la fac, cela ferait trop de trajet. Je refusai tout net, elle aurait fui immédiatement en découvrant le bordel monstre qui encombrait ma modeste chambre universitaire. Impossible de poser le pied au sol sans piétiner les vêtements et papiers qui jonchaient le sol… Le cliché de l’étudiant célibataire et la honte à vie pour moi !
Je sentis qu’elle fulminait à nouveau et lui suggérai alors d’aller travailler dans le parc tout proche. C’était une belle journée du mois de juin et nous pourrions ainsi réviser tout en profitant du début de l’été.
Elle me précéda d’un pas énergique. Elle n’avait pas l’intention de perdre une minute de plus ! Je la suivis tout en laisser traîner mes yeux et vagabonder mes pensées. Le soleil laissait deviner ses courbes parfaites sous sa robe légère et le tissu voletait à chacun de ses pas. Je laissai aller mon regard depuis ses fines chevilles, en remontant le long de ses mollets. J’avais une envie irrépressible de toucher ses fesses que je voyais bouger en rythme juste devant moi. Je m’imaginai déjà en train de les prendre à pleines mains, de lui caresser l’intérieur des cuisses, avant de remonter sensuellement vers son intimité… Mais que m’arrivait-il ? Nous étions là pour travailler et je n’avais jamais songé à draguer Julia !
Dès notre arrivée au parc, Julia choisit un coin tranquille et assez reculé, afin de ne pas être dérangée dans son travail par les autres promeneurs ou joueurs de ballon. Je proposai ma veste afin de nous installer plus confortablement sur l’herbe, et accessoirement me retrouver serré contre elle. Mais ça, je ne l’ai pas précisé !
Tête contre tête, nous commençâmes les révisions tant attendues par Julia. Je n’étais pas très attentif, je l’avoue, et je m’enivrai de l’odeur de ses cheveux. Je tendis le cou pour mieux apercevoir la naissance de ses seins, en partie cachée par ses longues mèches brunes. Le soleil tapait de plus en plus fort et commençait à nous éblouir en se reflétant sur la blancheur des pages.
Tandis qu’elle basculait de mon côté, sa robe remonta le long de ses cuisses. Je pus constater que mon fantasme n’était pas loin de la réalité, elles étaient un véritable appel au sexe ! Je fis tout mon possible pour ne pas les fixer, ni poser ma main sur sa peau nue, et je remontai mon regard. Son décolleté aussi avait bougé et sa poitrine était bien plus apparente que tout à l’heure. Je me délectai de la vision du haut de ses seins, tout en rondeurs. Julia ne s’était aperçue de rien, elle tenait toujours ses maudites fiches à la main et me bombardait de questions de cours ! Négligemment, tout en lui répondant n’importe quoi, je posai ma main tout contre sa cuisse et je commençai à faire de petits mouvements sur sa peau douce, imperceptiblement, du bout des doigts. Elle ne réagit pas et continua à me poser des questions. Je m’enhardis alors et mes caresses se firent plus franches. Je remontais tout doucement, de plus en plus haut sous le tissu de sa robe, en espérant qu’elle n’allait pas m’arrêter. Dans mon jean, mon sexe commençait à se tendre et à sérieusement manquer de place.
Je remarquai que Julia avait plus de mal à articuler, son souffle s’accélérait petit à petit. Lorsque j’atteignis son intimité, je fus agréablement surpris : elle écarta un peu les cuisses pour me faciliter l’accès à son entrejambe. Je rencontrai d’abord l’étoffe fine d’une petite culotte que j’écartais aisément et je parcourus avec deux doigts les grandes lèvres humides, encore serrées l’une contre l’autre. En insistant à peine elles s’ouvrirent immédiatement. Quel bonheur ! Sa chatte était déjà toute mouillée de désir. De désir pour moi ?
Je crus devenir fou ! Ma bite fit un bon dans mon caleçon et j’eus l’impression que je n’allais jamais pouvoir me retenir. J’avais envie de la posséder là, tout de suite, à la vue de tous ! Je fis de mon mieux pour parcourir délicatement les moindres replis de son sexe trempé, en évitant soigneusement son clitoris. J’avais envie qu’elle me demande encore, qu’elle me supplie de lui donner du plaisir. J’enfonçai très lentement un doigt dans sa chatte, en faisant de petits mouvements appuyés, comme un massage. Julia soupirait de plus en plus fort, elle était incapable de poser la moindre question maintenant ! Je le tenais toute entière dans ma main. J’introduisis mon doigt plus profondément et du pouce je commençai enfin à titiller son clito. Je tournai autour de son petit bouton en léger cercles, le faisant gonfler, la rendant folle de désir. Soudain, je stoppai net mes mouvements car j’avais entendu un bruit et des personnes étaient manifestement en train d’arriver dans notre direction.
Elle approcha alors son visage du mien et m’embrassa. Pas un tendre baiser, pas le premier baiser que pourrait donner une sage étudiante à un jeune homme, non… c’était un baiser passionné et terriblement excitant. J’avais l’impression qu’elle voulait me dévorer, ses lèvres s’accrochaient aux miennes. Sa langue s’enroulait autour de la mienne comme mon pouce tournoyait autour de son clito, sa langue s’enfonçait dans ma bouche comme mon majeur entrait profondément en elle. Sa poitrine s’écrasait contre mon torse et, à travers nos vêtements, je sentais la pointe durcie de ses seins. Je devais fournir des efforts démesurés pour ne pas la basculer sur le dos, arracher sa petite culotte et la pénétrer immédiatement. Je perdais toute notion du lieu où nous étions ! Quelqu’un était-il en train de nous regarder ? Où étaient passées les personnes que j’avais entendues tout à l’heure ? Je sentis soudain des spasmes autour de ma main qui trifouillait toujours son intimité et Julia gémit plus bruyamment. Avait-elle joui ? Là, entre mes doigts, en plein milieu d’un parc regorgeant de promeneurs ? J’en restais hébété… et la bite douloureuse à force de bander.
Elle se tourna alors dos à moi et fit glisser sa culotte trempée le long de ses cuisses. Je relevai sa robe juste assez pour découvrir la zone qui m’intéressait. Je déboutonnai mon jean et libérai enfin mon sexe, tendu au possible. Je frottais mon gland sur sa chatte ruisselante et je l’appuyai doucement vers l’entrée de son vagin. Me maîtriser était difficile car je n’en pouvais plus ! Mais Julia en voulut plus et tout de suite, elle bascula ses fesses en arrière et vint s’embrocher elle-même sur ma queue toute raide.
Je perdis alors toute mesure et je me mis à la pistonner avec une cadence plutôt rapide. Je m’agrippai à sa hanche pour mieux la posséder et je sentis mon sexe complètement happé par sa chatte. Le mouvement était délicieux et je tentai de garder un semblant de contrôle. Je l’embrassai dans le cou, sa peau douce était parcourue de frissons. Malgré mon excitation incontrôlable, je voulus lui donner le maximum de plaisir en stimulant les zones les plus sensibles de sa féminité, en ne cherchant pas seulement à faire des va-et-vient qui n’allaient satisfaire que moi ! Julia gémissait de plus en plus fort. Je sentis alors que je n’allai pas pouvoir tenir plus longtemps, mon sexe se tendit et je lâchai tout dans un râle de jouissance. Ma queue palpita encore quelques fois en elle et je ne dis rien. Je me trouvai gêné et n’osai pas regarder Julia…
Ce furent les meilleures et les plus chaudes révisions de toute ma vie !