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Un jeune plein de ressources...

Bonjour, je vais vous raconter une troublante expérience que ma femme et moi avons vécue, il y a quelques années. J’avais 28 ans et ma femme 27. Nous avions passé une soirée chez des amis à Paris. Nous avions bu un peu, ou peut-être un peu trop… Toujours est-il que la fin de soirée fut vraiment mémorable.

On était garés au quatrième sous-sol d’un parking souterrain et il fallait prendre l’ascenseur pour retourner à la voiture. On était bien habillé, moi en chemise et veste, ma femme en jupe courte et chemisier. On attendait l’ascenseur, on riait un peu de quelques conneries.

Les portes se sont ouvertes, il y avait un mec dans l’ascenseur, pas plus de 18 ou 19 ans, l’air un peu stressé. Il portait un bas de survêtement et une doudoune. Il était très grand et très maigre. On est montés et on a appuyé sur le - 4 pour rejoindre la voiture. L’ascenseur était assez grand, le genre pour douze personnes, le « gamin » était dans un coin et nous regardait bizarrement. Dès que les portes se sont fermées, il nous a regardés :

• — Ça vous dérange si je continue ce que je faisais ?

On s’est regardés et on n’a pas compris. On lui a demandé :

• — Tu faisais quoi ?
• — J’me branlais…

On a éclaté de rire et je lui ai dit :

• — Bah vas-y ! Fais-toi plaisir !

Il n’a rien dit, il a descendu la fermeture de sa doudoune pour l’ouvrir et on a vu une grosse bosse sur le devant de son survêt’. Il ne s’est pas dégonflé, il l’a baissé. Il nous a sorti une bite énorme, le genre qu’on ne voit que dans les films de cul. J’étais sidéré.

• — Oh la vache !

Ma femme n’en revenait pas :

• — Ah ouais, putain, quand même !

Et le gars a commencé à se branler doucement. On ne disait plus rien. On regardait comme deux cons. Il a tendu le bras pour appuyer sur la coupure générale, l’ascenseur s’est arrêté.

• — Ça ne vous dérange pas d’attendre que je finisse ? Y’en a pas beaucoup qui veulent bien regarder… Moi j’aime qu’on me regarde.

Je ne sais pas pourquoi, j’ai dit ok. Il se branlait tranquillement en regardant les jambes de ma femme, on voyait son gros gland apparaître et disparaître, bien rouge. Sa queue était énorme, toute lisse, il n’avait pas beaucoup de poils. Carine lui a demandé :

• — Tu fais souvent ça ?
• — Presque tous les jours…
• — Et tu n’as pas peur que quelqu’un appelle la police ?
• — Non, j’me branle tout le temps… Ce que j’adore, c’est d’envoyer mon sperme sur les filles. Je me branle sans faire de bruit et dès que ça vient, je jute sur le cul des filles, elles ne s’en rendent jamais compte et elles repartent avec mon sperme sur leur jean ou leur robe. Hier, dans un ascenseur de mon quartier, je me branlais derrière une femme et sa fille. La mère avait un cul d’enfer, rebondi dans une mini-jupe, elle sentait super bon. Et sa fille, genre vingt ans, super jolie aussi, avec un petit cul moulé dans un pantalon en cuir et des cheveux très longs. Je m’étais branlé déjà depuis une heure mais je n’avais pas pu juter… Quand c’est venu, c’est parti tellement fort que j’ai arrosé le cul de la femme et aussi les cheveux de sa fille ! C’était mortel !

J’étais estomaqué !

• — Putain ! Tu sais que tu peux aller en prison pour ça ?
• — Mais moi, je suis assez doué pour ne pas me faire prendre… Et puis elles s’en rendent compte bien plus tard… Je ne suis plus là !

Il était tout content de nous raconter ça, il mimait avec sa queue la façon dont il giclait sur des inconnues… Ma femme lui a dit qu’elle ne croyait qu’à moitié à ses histoires. Alors il a sorti son portable, il avait un dossier plein de photos de femmes de dos avec des traînées blanchâtres sur le cul ! Des jupes, des jeans, des vestes, des sacs, tous maculés de son sperme. Et là, la photo de la femme et de sa fille, elle avait au moins trois grosses giclées de sperme dans les cheveux et dans le dos ! Je ne savais pas quoi en penser.

• — T’es un grand malade !
• — Je sais… Mais je préfère quand même quand les femmes me regardent faire.

En disant ça il fixait ma femme, qui elle, regardait sa bite. Elle ne se rendait même pas compte qu’il essayait de voir ses seins au travers de son chemisier. J’ai dit à ma femme :

• — Elle t’excite sa queue… hein ?
• — Bah c’est normal, elle est énorme… Et puis les photos avec tout ce sperme… ouf… Ça donne chaud !

Effectivement, elle avait le rouge aux joues, et ce n’était pas que l’alcool qui en était responsable. Je la tenais par la taille et je lui caressais les fesses tout doucement. Je la sentais réceptive. J’ai dégrafé trois boutons du chemisier de Carine et j’ai dit au gars :

• — Ça ne serait pas mieux comme ça ?
• — Arrête ! C’est un gamin !

Mais elle m’a laissé faire. J’ai écarté les pans du chemisier et j’ai plongé ma main dans son soutien-gorge pour faire sortir un sein de sa dentelle. Elle avait déjà les tétons tout raides et bien pointus. J’ai sorti ses deux seins. Elle ne disait plus rien, elle fixait la main du gamin sur son énorme bite. Elle respirait fort et sa bouche restait entrouverte, comme si elle était en train de le sucer dans sa tête…

J’ai caressé l’arrière de ses cuisses, remonté ma main sous sa jupe, glissant mes doigts entres ses fesses jusqu’à trouver son string. Je l’ai tiré sur le côté pour pouvoir toucher son sexe. Il était trempé. Je l’ai délaissé un instant pour descendre la fermeture de sa jupe qui est tombée sur ses pieds. Elle était debout, juchée sur ses talons, les seins à l’air et la jupe sur les escarpins. Les yeux du gars faisaient des allers-retours entre ses seins et ses cuisses. Avec ses bas, elle était magnifique. Le devant de son string était encore en place, le gars ne pouvait pas voir sa chatte.

Par derrière, j’avais glissé mes doigts dans la fente brûlante. Je m’activais à l’intérieur. Ça a duré un moment comme ça, ma femme a joui deux fois en regardant le jeune astiquer son énorme manche. Et tout à coup, il a dit qu’il allait gicler. Alors j’ai tiré sur le devant du string et je l’ai repoussé sur le côté pour qu’il puisse voir mes doigts rentrer et sortir de la chatte de ma femme. Il m’a regardé avec un air interrogateur, il voulait mon autorisation pour jouir sur ma femme. Je lui ai fait un signe du menton pour lui donner mon accord. Il s’est approché de nous, son gland prêt à exploser n’était plus qu’à quelques centimètres de la chatte de Carine. Lorsqu’il a commencé à gicler, plusieurs jets puissants sont sortis. Il a bien visé… Le sperme s’est écrasé sur le pubis de ma femme et sur ses grandes lèvres, il coulait sur mes doigts qui faisaient encore des va-et-vient dans la chatte béante de Carine. Le string roulé sur le côté, maculée de sperme, elle jouissait pour la troisième fois en dix minutes.

Lorsque le jeune s’est reculé, j’ai pensé qu’il avait fini. Mais non : il a pointé son sexe vers le haut et j’ai compris qu’il en avait encore ! Ma femme s’est penchée en avant, sa bouche ouverte laissant échapper un gémissement. J’ai vu comme au ralenti deux épais jets sortir de la queue énorme et filer droit vers le visage de Carine ! Le premier est arrivé presque intégralement sur sa langue et elle l’avalait lorsque le second jet a atteint son visage en train de déglutir. Le jus bouillant de notre jeune compagnon a coulé sur le menton de ma femme puis est tombé goutte à goutte sur ses seins… C’était magique ! Magnifique !

Nous nous sommes remis de nos sensations. Mes doigts étaient pleins de sperme. C’était la première fois que j’avais le sperme d’un autre directement sur moi. Le jeune a rangé sa queue et sorti son portable pour nous rajouter à sa collection de photos instantanées. Ma femme et moi avons pris la pose. Carine a récupéré du jus dans son string et a porté ses doigts à sa bouche tandis que de l’autre main, elle dirigeait ma tête vers ses seins. Je n’ai pas hésité à lui sucer le mamelon malgré le jus qui le recouvrait. Je goûtais pour la première fois à du sperme pendant que le flash immortalisait cet instant.

Bien sûr, j’ai donné mon numéro au gars pour qu’il m’envoie cette photo. Ma femme fait souvent allusion à lui quand on baise et à chaque fois, on jouit très fort tous les deux.

N’hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé…