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n° 16569Fiche technique42889 caractères42889
Temps de lecture estimé : 25 mn
01/01/15
Résumé:  Marc devient modèle pour sa jolie voisine. Il lui donne satisfaction à bien des niveaux. Mais elle est persuadée que cet Adonis n'est pas seulement hétéro. Elle le met à l'épreuve.
Critères:  fh fhh hbi jeunes frousses rousseurs voisins copains piscine photofilm fellation préservati pénétratio double
Auteur : Caval      

Série : Je suis bisexuel

Chapitre 02 / 07
Ma voisine

Résumé de l’épisode précédent : Marc a découvert qu’il était bisexuel dans les bras de son colocataire et ceux de la sœur de celui-ci.




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Afin de poursuivre mes études en région parisienne, j’emménageais à proximité de Paris, dans un placard à balais. Il n’y avait qu’une seule pièce qui faisait office de chambre, de bureau et de cuisine. Pour les toilettes et la douche, elles étaient communes à l’étage où il y avait deux autres logements comme le mien. Malheureusement, mes finances ne me permettaient pas d’obtenir mieux.


Cependant, étant seul, je pouvais y vivre à poil sans que personne n’y trouve rien à redire. J’y avais pris goût. Je devais seulement revêtir un vêtement pour aller de la salle de bains à ma chambre, au cas où je croiserais mes voisins de palier : un homme qui travaillait toute la journée et ne rentrait que le soir et une jeune fille, étudiante dans une autre école que la mienne. Elle était rousse, des taches de rousseur parsemaient son visage et elle avait toujours un sourire aux lèvres lorsque je la croisais. Je la trouvais mignonne, malgré tout elle attirait peu la convoitise et ne semblait pas avoir de petit ami. Je ne voyais jamais venir un garçon chez elle et elle ne découchait pas non plus. C’était dû notamment à sa manière de s’habiller, toujours stricte, qui lui donnait un air sévère. Entre nous, c’était juste « bonjour » ou « bonsoir » lorsqu’on se rencontrait dans les escaliers. Nous avions seulement échangé nos prénoms ; elle s’appelait Alice.


Un jour que je déambulais à poil dans ma minuscule chambre, on frappa à la porte. Je pestai contre cet intrus et n’ayant pas le temps de me rhabiller, je nouai simplement une serviette autour de ma taille avant d’ouvrir. Je me trouvai face à ma charmante voisine :



Alice ne paraissait pas gênée par la situation, pourtant si je n’étais pas nu, je n’en étais pas loin et ma serviette ne cachait pas grand-chose, si ce n’est le haut de mes cuisses et mon sexe.


Il lui manquait je ne sais plus quel élément pour le repas qu’elle se préparait. J’allais donc chercher dans le coin cuisine ce qu’elle me demandait et, en revenant, ma serviette se dénoua et tomba involontairement à mes pieds. Elle me regarda, sans détourner les yeux. Sa jolie figure avec ses taches de rousseur s’illumina d’un magnifique sourire et elle me dit :



Pourtant, je me disais bien que les relations artistes-modèles allaient parfois bien plus loin que de simples séances de pose. Ainsi le célèbre Michel-Ange qui fit des avances à un gentilhomme romain, Tommaso. Celui-ci finit par céder à l’artiste qui avait réalisé son portrait. De même, la jeune femme qui exposa son sexe largement ouvert devant Courbet, pour L’origine du monde était, selon certains critiques, la maîtresse du peintre. On pouvait multiplier les exemples.





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Deux heures plus tard je frappai à la porte d’Alice. J’avais revêtu un pantalon léger et un polo, me disant que plus vite je serais nu, plus ce serait simple lorsque je devrais me déshabiller devant elle. Car c’était une sorte de défi pour moi : être capable de me mettre nu devant cette fille, sans qu’elle le soit et sans qu’il n’y ait rien de sexuel entre nous, puisque tel était ses désirs, même si les miens étaient moins purs.


Elle avait revêtu une robe d’été rouge avec de fines bretelles sur les épaules. Elle était sublime ainsi. En plus, elle avait défait ses cheveux qui généralement étaient sagement attachés. Cela lui donnait à la fois une attitude de sauvageonne et un air avenant que je ne lui connaissais pas. À sa vue, je sentis dans mon pantalon une raideur naissante. La beauté de la fille et l’idée de me dénuder suffisaient à m’exciter. Ça commence mal, me dis-je, si je suis déjà en érection, qu’est-ce que cela va être tout à l’heure quand je vais devoir me déshabiller… Les modèles des cours de dessins, dans quelle situation se trouvent-ils : leurs sexes sont-ils au repos ou en pleine érection ? Si j’en juge par la plupart des œuvres, les hommes nus sont toujours représentés sans la moindre excitation. Sauf peut-être chez Picasso. Mais je n’ai pas une culture artistique suffisamment poussée pour pouvoir l’affirmer.


Le repas fut simple, mais excellent. Les discussions entre Alice et moi, restaient anodines. Ce n’est qu’une fois un petit dessert avalé, qu’elle me dit :



Sans attendre je quittai mon polo, fis glisser mon pantalon avec mon caleçon au sol et me tournai vers elle. J’étais nu mais heureusement sans aucune érection. Elle me regarda interloquée et même interdite. Son air était si étonné que je lui demandai :



Elle me fit prendre une première pose, puis une seconde quelques minutes plus tard. Contre toute attente, je ne ressentais aucune gêne à me trouver totalement nu devant elle qui me croquait. La pudeur n’existait pas dans cette relation entre l’artiste et son modèle. Lorsque j’avais vu le film La Belle Noiseuse, dans lequel Emmanuelle Béart posait nue, je n’avais pas ressenti d’émotion sexuelle pour cette très belle femme, tout juste de l’érotisme, car c’est la réalisation de l’œuvre d’art et le travail de l’artiste qui est mis en relief, plus que le sex-appeal de la femme.


Dans la troisième pose qu’Alice me fit prendre, je me trouvai face à elle et lorsqu’elle se pencha pour chercher un crayon, je vis le haut de sa robe s’ouvrir, laissant apparaître la rondeur de sa poitrine : elle ne portait pas de soutien-gorge et ses seins étaient si fermes que je ne m’en étais pas aperçu jusqu’à cet instant. Cette vision fut comme une fulgurance et sans que je ne puisse rien faire, mon sexe commença à gonfler. Étant nu et face à elle, je n’avais aucun moyen de dissimuler l’excitation qui me gagnait.



Après un temps, elle reprend :



Elle garda le silence quelques instants et continua d’une petite voix en me regardant droit dans les yeux :



Elle vint à moins d’un mètre de moi et posa un regard franc sur ma tige qui n’en finissait pas de prendre du volume. Je la laissai ainsi dessiner ma verge en éprouvant un plaisir exhibitionniste. Je découvrais des choses sur moi-même. Cela me plaisait qu’elle regarde mon sexe en érection sous toutes ses coutures, qu’elle le dessine, l’observe avec une attention si soutenue que j’avais l’impression qu’elle le caressait. Oui, c’était ça : une caresse, une caresse des yeux, une caresse amplement jouissive.


Cependant, au bout de dix minutes, l’érection retomba peu à peu. Mon artiste reprit place à une distance plus respectable et continua à me dessiner.



Je m’approchai d’Alice, sans sentir le besoin ni la nécessité de me rhabiller ou de me couvrir. Elle me montra ses croquis. Certains représentaient mon corps en entier, d’autres mon visage uniquement ou encore une partie de mon anatomie. Parmi le lot se trouvaient trois dessins particulièrement travaillés et détaillés de ma verge en érection.


Alors qu’Alice me présentait ses dernières études, je sentis sa main se poser sur mon sexe qui n’en demandait pas tant et reprit immédiatement de la consistance. Je la laissai faire, ne désirant pas briser ce moment d’extase. Je voyais à nouveau ses deux beaux globes libres dans l’échancrure de sa robe. Elle dut lire dans mes pensées, car elle ôta sa robe en la passant par-dessus sa tête. Elle ne portait plus qu’un string de dentelle. Sa poitrine était ronde et ferme, sa taille fine et son corps bien proportionné. La peau de son corps était blanche comme le lait. Tout comme sa figure, sa peau était ornée de taches de rousseur, jusqu’aux seins et sur le ventre.


Je dirigeai mes mains vers ses deux beaux globes. Lorsque je les pris en main, elle frissonna mais me laissa faire. Je cajolai ces deux mamelons tantôt avec la bouche, tantôt avec les doigts. Je parcourus leur circonférence, lentement, me rapprochant par degrés de leurs pointes. Elle me regardait faire et lorsque je croisais son regard j’y lisais de la satisfaction, puis du plaisir. Enfin vint le moment où j’atteignis l’aréole et la tétine érigée que j’agaçai avec les lèvres et la langue. Ma partenaire soupirait.


Elle me dirigea vers le canapé qui lui servait de lit et m’y fit asseoir. Elle se coucha sur le ventre et plaça sa tête au niveau de mon entrejambe. Alice lécha mon abdomen puis descendit promener sa bouche sur mes cuisses avant d’atteindre le pénis et le scrotum. Elle prit en bouche mon membre, qui avait déjà atteint une taille honorable. Sa langue commença à sucer le bout de ma queue, se glissant dans la fente du méat, donnant de petits coups sur le frein puis s’enroulant autour de ma verge.


Dans un premier temps je restai passif, puis mes mains se promenèrent sur les parties accessibles de son corps. Ne pouvant plus atteindre ses seins, je caressai son dos, puis descendis jusqu’à son fessier qu’une simple bande de tissu coupait en deux sans le dissimuler. Mais je savais que si elle continuait, la belle Alice me ferait atteindre le point de non-retour et je ne voulais pas jouir comme cela. Sa bouche était divine mais c’était ailleurs que je voulais aller. Je retournai donc la situation plaçant ma tête entre ses jambes. Le dernier rempart à sa nudité intégrale ne fit pas long feu : je lui ôtai son string en découvrant avec ravissement sa chatte rouquine. Je l’avoue, j’ai un faible pour la pilosité naturelle des femmes et particulièrement les rousses et je maudis celles qui ont éradiqué leurs beaux poils aux couleurs si chaleureuses. Je m’attardai sur la toison de ma partenaire en la regardant, en la parcourant avec mes doigts. Elle me souriait, sorte d’autorisation et d’invitation à venir visiter son intimité. Sous la légère pression que j’exerçai sur l’intérieur de ses cuisses, elle ouvrit largement les jambes et me laissa admirer sa conque, cet écrin rose au milieu des poils roux.



Je commençai par lui lécher l’intérieur des cuisses pour m’approcher peu à peu de sa vulve. Celle-ci, déjà excitée, exhalait de douces et capiteuses odeurs caractéristiques entre sueur, parfum et sécrétions vaginales. Cette fragrance m’excita au plus haut point, aussi j’agaçai et fouillai avec la bouche et la langue toute la région vaginale.


Les petites lèvres palpitaient telles les ailes d’un papillon, le clitoris sortait de son capuchon et s’allongeait comme un minuscule phallus. Je mordillais délicatement, j’embrassais avec passion, je léchais avec délectation ce sexe. J’aspirais cette intimité féminine et j’excitais délicatement son bouton de rose.


Pour exciter un peu plus ma partenaire qui semblait au bord de l’extase et qui se laissait faire, j’introduisis un doigt dans le con béant. La réaction ne se fit pas attendre. Elle poussa un petit cri et elle expulsa un liquide blanchâtre. Je fus surpris par la soudaineté de cette réaction, mais je me remis à la tâche en lapant les sécrétions émises. Pourtant, Alice n’avait pas encore eu d’orgasme.


Elle me repoussa violemment et disposa sur mon sexe une capote qu’elle déroula elle-même. Ses cheveux épars tout autour d’elle, comme la crinière d’un lion, formaient un halo aux couleurs chatoyantes, certaines mèches étaient collées sur son front en sueur. Son visage rayonnait. Elle se coucha devant moi, les jambes largement écartées, ouvrant sans pudeur et sans gêne son sexe pour que je vienne la pénétrer. Je suis entré dans son con chaud et humide, délicatement, sans brutalité, mais avec la ferme intention d’investir ce doux antre au plus profond que je puisse aller. Au premier assaut, elle poussa un petit cri d’effroi lorsque j’atteignis le tréfonds de son divin puits d’amour. Je ressortis presque totalement, pour revenir une nouvelle fois et aller un peu plus loin. Sous les pressions de mon sexe, son vagin se distendit, devint plus long et je pus bientôt enfourner totalement mon bâton dans ma belle maîtresse et le faire aller et venir dans le fourreau accueillant. Alice geignait délicieusement, la tête reversée en arrière, les yeux clos, la poitrine haletante et les seins sautant en tous sens sous mes coups de boutoir. Elle était si belle dans la jouissance.


Je sentis ses muscles se raidir et elle partit dans un orgasme énorme. Ne pouvant plus tenir, je l’accompagnai en éjaculant dans ma capote à l’intérieur de son vagin. Alice était assommée par la violence de son orgasme et moi-même, j’étais anéanti. Nous nous sommes assoupis ainsi, l’un contre l’autre.


Lorsque je me réveillai dans la nuit, Alice avait les yeux grands ouverts, sa belle chevelure rousse s’étalait sur l’oreiller. Elle m’apparaissait admirable dans sa nudité.



Je me retirai donc sagement tout en me disant que si cela continuait, j’allais devenir seulement hétérosexuel. D’ailleurs, je constatais que le seul homme avec qui j’avais couché était Olivier, aucun autre ne m’avait pris dans ses bras.




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Deux jours plus tard, je posais à nouveau pour Alice. Elle avait revêtu une sorte de kimono bleu très court et sous lequel elle était certainement nue. Une nouvelle fois, elle voulut faire une étude de mon sexe bandé. Pour ce faire, c’est elle qui vint me branler. Je devenais un homme objet et cette situation n’était pas pour me déplaire.


Tout en travaillant elle parlait :



Elle vint se livrer à mes caresses. Je lui retirai son kimono sous lequel elle était totalement nue, sublime. Nous fîmes une nouvelle fois l’amour avec autant de passion que la première fois.


Deux semaines plus tard elle me dit qu’elle avait un cadeau pour moi. Sur un chevalet, dans un coin de sa toute petite chambre, était posé un tableau. Je fus saisi en découvrant la toile : elle représentait un couple nu s’enlaçant. L’homme à mon image soupesait les seins de la femme, tandis que la main de celle-ci caressait la verge gonflée. Alice s’était servie de ses croquis pour réaliser cette toile, notamment les études de mon sexe en érection.



Je me jetai sur ma belle artiste que je pris avec beaucoup moins de douceur qu’habituellement. Je constatai que son plaisir n’en était pas moins grand, aussi je continuais à la ramoner pendant plusieurs minutes en plaçant son corps dans diverses positions pour visiter les moindres parcelles de son vagin toujours aussi bien lubrifié. Une jouissance commune et simultanée nous a saisis dans ces fougueuses étreintes. Quelques minutes après, encore dans les brumes de la jouissance, je lui dis :



J’adorais caresser sa douce poitrine toute en rondeurs après nos joutes amoureuses. C’est alors que je tripotais ses deux jolies collines qu’elle me dit :





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Quelques jours plus tard, Alice me fit rencontrer Éric, le fameux modèle. C’était un homme qui avait la trentaine, bien de sa personne, allure athlétique, fier de son physique. Je sympathisai tout de suite avec lui.



Effectivement, Alice attendait que nous nous déshabillions pour croquer notre nudité. Nous avons quitté nos vêtements. Éric avait un sexe à la fois épais et long, bien qu’il ne fût pas gonflé. Je sentis son regard se poser sur moi et plus particulièrement sur ma verge.



Il exagérait, car mon sexe, quoiqu’il ait des dimensions plus qu’honorables, n’avait absolument rien d’exceptionnel. Par contre, je trouvais Éric très bel homme. Ce n’était pas seulement un jugement esthétique, mais une réelle attirance physique. Vu l’effet que me fait cet homme, je ne peux nier que j’ai toujours en moi des élans homosexuels me dis-je.



Malgré mes efforts, je ne fus pas long à bander. Il y avait Éric, pour qui je ressentais une attirance certaine et Alice qui profitait des deux modèles qu’elle avait sous la main. Sachant que leurs regards se posaient sur moi et sur mon sexe, j’étais terriblement excité. Je trouvais la situation particulièrement érotique, bien que gênante.



À ce moment, le téléphone d’Alice sonna. Elle répondit, parla quelques instants et ayant raccroché, elle nous dit :



Plantés-là par Alice, Éric alla voir ce qu’il y avait à boire dans le frigidaire et ramena deux bières. Nous avons commencé à siroter en restant nus. Nous avons abordé le sujet qui était au centre de mes préoccupations du moment : l’activité de modèle « professionnel » qu’exerçait Éric, c’est-à-dire à plein-temps.



J’étais assez convaincu par la présentation qu’il me faisait de son activité. C’est alors que je réfléchissais à la décision à prendre, que je sentis la main d’Éric se poser sur mon sexe. J’étais incapable de réagir. Je n’étais pas choqué, plutôt étonné et en même temps très heureux de cet attouchement. J’y répondis et bientôt nous nous embrassions, nous nous pelotions, cherchant nos sexes. Éric se plaça pour que nous soyons en 69 et que nous puissions nous donner mutuellement du plaisir.


Alice avait tout manigancé, car, alors que nous étions en plein ébats amoureux homos, nous entendîmes des applaudissements. Elle nous regardait avec un sourire égrillard.



J’avais tout de même un petit pincement au cœur.


Comme nous n’étions pas dans les meilleures dispositions pour reprendre le travail, Alice s’est rapidement déshabillée pour que nous baisions tous les trois. Elle était absolument ravissante ainsi totalement nue avec sa petite chatte rousse bien poilue, ses seins ronds et ses fesses bien fermes.


Alice, malgré une apparence stricte, s’avérait apprécier véritablement le sexe. Et nos deux queues vinrent visiter tantôt son con, tantôt sa bouche. Elle suçait divinement bien, accueillait nos pines en elle avec bonheur et appréciait qu’on la ramone. Éric, voyant la façon dont je bandais, me dit :



Je recouvris à nouveau mon sexe d’un préservatif. Éric se coucha sur le dos et Alice vint s’empaler sur son sexe dressé : je vis disparaître la colonne de chair dans le gouffre humide. Les viriles mains de notre ami écartaient les globes fessiers de la jeune fille, un doigt préparant l’anus qui allait m’être offert. Je m’avançai et ma verge, à nouveau bien dure, n’eût guère à forcer. En quelques glissements je pus investir la place sans peine. Je commençai à bouger en rythme avec Éric, sentant son gros dard de l’autre côté de la paroi ; la sensation était divine. J’avais à la fois le plaisir d’être dans la fille et celui d’avoir l’impression de branler ma queue sur celle du garçon. Pour moi qui étais bisexuel, la sensation était absolument extraordinaire.


Quant à notre maîtresse, elle était aux anges, ou peut-être devrais-je dire en enfer ; un enfer de plaisir et de jouissance terrible. Elle faisait de son mieux pour ne pas gueuler afin de ne pas ameuter l’immeuble, mais elle poussait des miaulements qu’elle ne pouvait pas contenir.


Elle fut secouée par un premier orgasme, puis un second tout de suite après, tandis que ses deux mâles s’activaient toujours en elle. Éric se dégagea alors qu’il sentait qu’il allait décharger, j’en fis de même, et c’est sur ses deux beaux nichons dressés de plaisir que nous avons déversé notre sperme. Nous nous écroulâmes les uns sur les autres dans une douce torpeur, heureux du plaisir que nous nous étions donné les uns aux autres.




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Une semaine plus tard, je débutais mon activité de « modèle physique ». Lors de la première session, j’étais seul sur le podium, entouré d’étudiants de tous âge et des deux sexes, depuis de jeunes gens qui n’étaient peut-être même pas majeurs, jusqu’à des personnes plus âgées voulant sans doute acquérir ou retrouver des techniques graphiques. On me laissa libre de la première position. Je me mis de profil, le sexe caché derrière ma jambe repliée.


Pour la seconde pose, dix minutes plus tard, je me suis dit que je n’allais pas passer mon temps à dissimuler mon sexe, qui d’ailleurs ne présentait aucune excitation, d’une façon ou d’une autre. Je pensais effectivement plus à tenir la pose qu’au risque de l’érection malencontreuse. J’ai donc fait face aux élèves. Je fus étonné de ne sentir aucune gêne malgré la vingtaine de paires d’yeux se fixant sur moi. J’offrais mon corps et ma nudité avec plaisir. Pour moi, même si j’étais devenu beaucoup moins pudique, cela demeurait un challenge d’accepter ma nudité comme un état naturel et de la présenter telle quelle.


Les cours suivants, je posai tantôt seul, tantôt avec des hommes et/ou des femmes de tous âges. Cette diversité fut pour moi une autre découverte : pour se mettre nu, il n’était pas nécessaire d’être jeune et beau. La nudité pouvait être vécue par tous et les différences de nos corps devaient être acceptées sans jugement.


Je continuais à côtoyer Alice et Éric. Dans notre trio, une parfaite entente existait. Nous ne nous retrouvions pas tous les soirs, les études d’Alice et les miennes ne nous permettant pas de baiser autant que nous l’aurions voulu. Financièrement, ma nouvelle activité me permit de payer plus facilement mon loyer, mes études et même de faire quelques sorties comme le cinéma ou des expositions.


Pour tenir physiquement afin de poursuivre l’activité de modèle, Éric me conseilla de faire du sport, du yoga ou de la natation. Nous décidâmes, Alice, Éric et moi d’aller dans une piscine à Paris. Lorsque j’entrai dans les vestiaires mixtes, je fus très surpris de voir que les femmes et les hommes, après avoir quitté leurs vêtements, étaient nus, sans mettre de maillot. Devant mon étonnement, Éric rigola en me disant :



Elle me poussa dans une cabine et sans aucune autre forme de procès, elle descendit mon pantalon, se mit à mes pieds et prit en bouche mon sexe déjà gonflé. Elle savait divinement bien sucer. Ma queue libérée de la pression du boxer se mit à gonfler, à se tendre, à durcir et je ne fus pas long à éjaculer. Elle reçut l’intégralité de mon foutre dans la bouche et l’avala. Puis, mon sexe ayant repris une physionomie plus adéquate, nous avons quitté nos habits et sommes allés vers les bassins, dans le plus simple appareil.


Effectivement la découverte des bains nus, au milieu de femmes et d’hommes adeptes de la vie sans vêtements, fut très agréable. Le traitement prodigué par Alice me permit d’avoir la décence de ne pas avoir un sexe au garde-à-vous devant une belle fille ou un beau mec.


Depuis lors nous nous rendions dans différents lieux qui offraient des espaces aux nudistes : clubs de gym, leçons de yoga, saunas et autres structures. Je découvris ainsi qu’il y avait bien des occasions pour faire des activités nu. Je compris également pour quelle raison les athlètes de l’antiquité évoluaient nus dans les activités physiques, à la fois pour le confort que cela amène dans les mouvements du corps et l’hygiène corporelle en tant que telle. De plus, les exercices de yoga et le sauna me donnèrent la possibilité d’un meilleur contrôle de moi-même, tant cérébral que physique. Mes érections incontrôlables disparurent, tout en me fournissant la capacité d’être en érection très rapidement lorsqu’on ne me le demandait, sans même me branler.


Ainsi j’ai définitivement intégré la nudité dans ma façon de vivre. J’étais nu devant les élèves des cours de dessin ou avec des personnes qui goûtaient, comme moi, le plaisir de se déshabiller et d’exposer leur corps, non à la vue d’autrui, mais aux rayons du soleil, au souffle du vent et à la sensation de l’eau.


Mais ma nudité, je la vivais également sexuellement en faisant l’amour avec Alice ou avec Éric, voire avec les deux ensemble. C’est véritablement à cette époque que je sus que j’étais parfaitement bisexuel.


À suivre…