Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16572Fiche technique19642 caractères19642
Temps de lecture estimé : 12 mn
06/01/15
Résumé:  Un petit accrochage au retour d'une soirée calme. Elle ne le restera pas.
Critères:  fhh inconnu nympho contrainte fellation pénétratio -occasion
Auteur : Tito40      Envoi mini-message
Même pas de constat

Mon épouse est décidément imprévisible et tellement vivante. La bonne morale bourgeoise n’est sans doute pas prête à intégrer comme « normal » notre mode de vie libéré des affres de l’instinct de propriété. Elle a quand même fini par se faire rattraper par son éducation. J’en suis encore surpris, mais pas triste. Ça a renforcé notre amour et notre complicité.


Nous avons tout de suite basé notre vie commune sur la confiance réciproque, nous promettant de tout nous dire. Certes, c’est facile à dire et moins facile à faire. Sandrine a fini par croire que l’absence de jalousie dont je fais preuve chaque jour ressemble à de l’indifférence. Elle est allée jusqu’à me faire croire qu’elle avait couché avec mon principal concurrent pour me faire réagir. Et là, je dois dire que j’ai été touché. Touché et presque coulé. Je me suis demandé un instant si elle ne cherchait pas à me rendre violent et la limite n’était en effet pas très loin. Sortant de mes gonds, je me suis rué sur elle pour lui faire l’amour. J’ai réagi comme un con égoïste et possessif, qui traite sa femme comme un objet sexuel. J’ai même tenté de lui faire mal, je dois l’avouer. Mais elle ne criait pas, ne se débattait pas, réagissant finalement à l’opposé de ce que j’attendais. Je l’ai retournée dans tous les sens et en dépit du profond respect que j’ai pour elle et pour les femmes en général, je me suis comporté, l’espace d’une déraison, comme une brute épaisse. On ne peut évoquer un viol à proprement parler puisqu’elle s’est laissée faire sans se débattre ou protester, mais si elle avait tenté de me résister, je crois que j’aurais été jusqu’au viol. Elle venait de me faire mal à l’âme, de me broyer l’ego, et j’étais prêt à tous les outrages, à toutes les malices.


Dans un premier temps, je m’en suis voulu. Mais j’ai repassé le film dans ma tête plusieurs fois après m’être platement excusé (et ça m’a coûté un ensemble de lingerie hors de prix) ; je suis convaincu qu’elle aussi a pris un plaisir fou à me sentir la posséder de force. Elle avait tout fait pour me pousser dans mes retranchements en me manipulant, j’avais répliqué par une attaque très physique, franche, directe, brutale, animale, et à la limite de la perversion puisque lui faire mal ne m’aurait aucunement retenu. Venait de naître en moi un fantasme nouveau, celui de la pousser encore plus loin, encore plus fort ; repousser ses limites.


En rentrant d’une soirée par une petite route de campagne, nous avons eu un petit accrochage avec une fourgonnette. La voie était étroite et ni le conducteur en face ni moi n’avons voulu nous écarter de sorte qu’en nous croisant, nos rétroviseurs se sont télescopés. J’ai maladroitement braqué vers la gauche, et la porte arrière-gauche de ma voiture a frotté contre le véhicule d’en face. Pour le coup le bruit de la tôle qui plie a été assez violent.


Le conducteur a sauté de son engin en hurlant, et j’ai vu arriver un second énergumène en face de moi. Son passager.


Ils ont commencé à m’insulter en tapant des poings sur ma carrosserie. Sandrine était pétrifiée à côté de moi, me priant de ne surtout pas descendre. Il ne faisait aucun doute que si j’ouvrais ma porte, ils allaient me rouer de coups. J’ai gardé mon calme et ouvert ma porte tout en m’excusant. Ça a semblé les calmer un peu. Le conducteur était juste en face de moi, son acolyte se maintenant debout à l’avant de ma voiture. Je me suis dit qu’ils avaient peut-être seulement eu peur que je prenne la poudre d’escampette.


L’accalmie a été de courte durée. Le conducteur s’est avancé vers moi, me poussant au niveau de l’épaule, à la limite de me déséquilibrer. Je ne suis pas bagarreur, mais douze ans de judo et cinq de jiu-jitsu ça aide à se sentir en relative sécurité, et je pouvais tout à fait l’immobiliser si je le souhaitais. Mais il m’a semblé qu’on pouvait ne pas en venir là, qu’ils seraient peut-être raisonnables.


J’ai proposé de faire un constat, renouvelant mes excuses, mais le type s’est à nouveau emporté. J’ai vaguement compris qu’ils rentraient d’un chantier de nuit, qu’ils étaient crevés et avaient autre chose à faire que de faire un constat, que leur patron leur prenait des sous s’ils ne ramenaient pas le matériel intact, que je n’étais qu’un connard de bourgeois, que tout était de ma faute, qu’ils allaient me massacrer… Et j’en passe. Ma femme a eu peur pour moi et s’est mise à hurler. Elle a sorti son téléphone portable, criant qu’elle allait appeler la police.


Alors que je parlais à ma femme pour la calmer, le conducteur m’a pris un bras pour me le tordre dans le dos, hurlant à ma femme l’ordre de poser son téléphone au sol. Dans le même temps son compère s’est engouffré dans la voiture pour en sortir Sandrine en la tirant par les cheveux.



La situation était devenue critique. Ils devaient avoir un peu bu, et leur état d’excitation mentale les rendait visiblement étanches à toute forme de négociation. Je commençai à calculer mentalement le temps qu’il me faudrait pour me débarrasser du conducteur et me jeter sur le passager avant qu’il n’ait eu le temps de faire du mal à ma femme, mais ça semblait juste et dangereux pour elle.


Le passager tient toujours Sandrine par les cheveux, collée contre la carrosserie et me regarde avec un air arrogant. Il parle avec fort accent des pays de l’est. Peut-être un Polonais. Toujours est-il que le gars est assez baraqué, plutôt grand, et surtout visiblement violent.



Le blond force Sandrine à poser son buste sur le capot, lui intimant l’ordre de ne pas bouger, et se plonge dans l’habitacle. Sandrine aurait le temps de partir en courant mais ne bouge pas. Le mec ressort mon portefeuille à la main, et sort un à un tous les papiers qu’il y trouve. Il sort enfin trois billets de 50 euros, tout ce qu’il me reste.



Il a repris Sandrine par les cheveux et je me dis que je n’ai plus le choix. Il faut que je les neutralise, ça devient trop dangereux. Le blond force soudain Sandrine à se pencher vers sa braguette, hurlant qu’il va se payer en nature. Je commence à me débattre mais le bougre qui me tient est un peu plus costaud que prévu. Il me serre aussi le cou, limitant mes possibilités de mouvement.


Je n’ai pas eu le temps de réaliser, que déjà le blond a lâché les cheveux de Sandrine pour baisser son froc et sortir son sexe. Sandrine se recule un instant puis revient vers lui, s’agenouille devant lui et saisit son sexe à pleine main. Elle n’attend même pas qu’il ait terminé de baisser son pantalon et commence à le masturber. Je renonce à me débattre, voyant qu’elle se montre finalement docile et que sa peur semble avoir disparu. Je me dis que, peut-être, elle a pris le parti de le faire cracher rapidement pour avoir la paix et s’éviter d’être frappée, mais je dois me rendre à l’évidence, elle y met trop d’ardeur pour que ce soit la seule explication. Elle masturbe le sexe du blond en lui suçant le gland, mais en plus elle s’est passé une main entre les cuisses pour se caresser. Ça ne fait aucun doute qu’elle a décidé de faire contre mauvaise fortune bon cœur et que si cette situation qui l’avait effrayée, elle l’excitait maintenant, au point d’oublier qu’elle avait en face d’elle un violeur.


Le mec lui-même semble surpris d’être arrivé aussi facilement à ses fins. Il bourre la bouche de Sandrine violemment, cherchant à lui coller son gland dans le fond de la gorge. Elle ne résiste pas. Il m’insulte, me traitant de tapette, de petite-bite, de lâche. Je ne sais pas depuis combien de temps elle l’astique, mais ça semble à la fois très long et très court. C’est brutal, violent. Il la tire par les cheveux pour la forcer à se relever, la tourne et la pousse dans ma direction. Elle me fixe, d’un regard qui dit qu’elle n’a pas peur, qu’elle assume le risque. Il la suit, l’attrape par l’épaule, la colle contre lui. Il la force à tourner la tête et sort sa langue. Il veut voir la sienne. Elle s’exécute et lui offre ce qu’il attendait. Il lui malaxe les seins en lui roulant une pelle bouches ouvertes, langues sorties, bave coulante. Il descend une main entre les cuisses de ma douce et la lui plaque contre la chatte. Sa robe fine est une bien maigre barrière. Il lui maltraite l’entrejambe. Elle écarte un peu les cuisses pour lui faciliter la tâche. Je n’ai plus le moindre doute. S’il essaie de la baiser, elle va se laisser faire et peut-être même le souhaite-t-elle.


Le blond me regarde dans les yeux, une main dans le décolleté, une autre entre les cuisses ouvertes. Il me toise, il me nargue.



Sandrine a fermé les yeux. Elle a passé ses mains dans son dos. Elle doit lui toucher le sexe. Elle ondule des fesses et se frotte ostensiblement contre lui. Elle veut lui donner raison, ou simplement le calmer. Elle sait que cette fois la distance entre les deux voyous est faible, et que je peux intervenir rapidement. Je ne me débats plus et mon « bloqueur » a relâché son emprise sans s’en rendre compte. Il me faudrait juste quelques instants pour les exploser tous les deux.


Sandrine s’écarte du blond et vient contre la voiture. Elle est à quelques centimètres. Je la vois relever sa robe, et écarter sa culotte.



Le blond rigole, il va se taper la bourgeoise. Je le vois prendre sa queue dans une main et se diriger vers sa cible. Je l’avais vu de loin et je n’avais pas percuté, mais il est monté comme un âne. Nous ne sommes éclairés que par la pleine lune. La camionnette éclaire la route dans un sens, ma voiture dans l’autre, mais là, sur le côté, nous sommes dans l’ombre. La scène est surréaliste. Le blond voulait la violer mais elle s’offre à lui, son petit cul blanc en l’air. Il s’avance vers elle, se baisse un peu et remonte pour l’embrocher. Elle pousse un soupir de satisfaction en le sentant la pénétrer. Il ne fait pas semblant. Il la bourre violemment, la soulevant à chaque coup de boutoir. Elle ne peut même plus poser ses talons. Elle souffle, râle, et je crois bien qu’elle jouit.


Le mec qui me tient ne rate rien du spectacle, et encourage son pote. Je le sens avancer son bassin à chaque fois que le blond tape dans le fond de la chatte de ma femme. Il accompagne le mouvement comme quelqu’un qui freine à côté de vous au volant. Je sens qu’il bande lui aussi comme un âne. Et je dois dire que tout ça m’a passablement excité moi aussi.


Des phares nous éclairent. Une voiture arrive. Nos violeurs se figent le temps de comprendre. Le blond ordonne à ma femme de bouger ma voiture sur le côté pendant qu’il déplace la camionnette. Mon geôlier me fait reculer dans l’herbe. Je profite du mouvement des voitures pour faire basculer le conducteur sur le dos. Je l’immobilise. Il a le visage dans la terre, mon genou dans son cou, les deux bras vrillés dans le dos. Il tente de hurler sa douleur mais je le tiens. Je me penche vers son oreille.



Il a bien compris que je ne rigole pas. Je le tire par le col pour le retourner. Il pose ses fesses docilement, les genoux pliés, ferme sa gueule et ne bouge plus.


La voiture passe à faible allure. La camionnette et ma BM sont immobilisées devant nous. Le blond saute et se dirige vers Sandrine qui a ouvert la portière de la voiture. Elle se colle le dos contre la portière passager et lui fait face. Il s’approche d’elle et vient se coller. Il lui roule une pelle. Sandrine le saisit pas les fesses, puis repasse ses mains entre eux pour lui baisser le pantalon.


Ils ne se soucient pas de savoir où le conducteur se trouve, ni même si je suis encore immobilisé. Elle passe ses bras autour du cou du Polonais pour se soulever du sol, et lui passe les jambes autour du bassin. Il la baise debout, toujours aussi brutal.



Le connard a réussi à la faire jouir en un temps record. Ou alors elle simulait pour qu’on en finisse. En tout cas, si elle a fait semblant, elle est bonne comédienne. Elle tremble de partout et continue de bouger son cul.



Le pauvre Marcel, il n’ose même pas répondre. Il reste figé dans l’herbe. Je me lève le premier. Le blond me voit et prend peur, mais voyant que je ne montre aucune agressivité, il se relâche.


Son pote me suit. Il tente de m’attraper un bras pour m’immobiliser à nouveau mais cette fois, je réagis. Il se retrouve à plat-ventre sur le bitume, le visage collé au sol par ma semelle, et un bras tordu que je tiens d’une main.


Le Polonais a reculé de deux pas, pensant que ça allait être son tour.



Sandrine s’est approchée de moi et me tend ses lèvres. Nous nous embrassons sous le regard médusé du Polonais et les râles rauques de Marcel qui souffre de la torsion que je lui inflige.


Ma femme me demande de le lâcher. Je relâche. Pas complètement. Mais il n’a plus mal. Elle se penche sur lui et dirige une main sous son bassin. Elle le tâte.



Il n’a pas eu le temps de comprendre qu’il est déjà sur le dos, mon pied sur la glotte, le bras à nouveau tordu. Sandrine ôte sa ceinture et lui baisse son froc. Il est mort de trouille. Il doit penser qu’elle va lui massacrer les couilles et tente de se débattre. Je le serre un peu plus pour l’en dissuader.


Le Polonais est le dos contre la camionnette. Il n’ose plus bouger ou parler, mais ne tente pas de fuir.


Marcel est tout surpris de sentir la bouche de Sandrine lui lécher le bout de la queue. Elle ne lui massacre pas les couilles mais lui lèche popaul tout gentiment. Je lâche son bras et retire mon pied. Il tente de bouger mais Sandrine lui fait comprendre qu’il doit rester allongé en lui poussant les mains au sol. Elle est assise sur les jambes de Marcel, occupée à réveiller sa gaule. Il a compris et se laisse faire. Je m’approche du blond et prend place à son côté pour regarder Sandrine violer ce pauvre naze.


Il bande enfin. Sandrine baisse encore un peu le pantalon qui la gêne, puis prend place sur lui, telle Andromaque. Elle s’empale sur son chibre en se caressant les seins. Tel est pris qui croyait prendre. Plutôt que de se faire violer, elle a pris la main sur son destin et a décidé d’en profiter. Peu importe que ce mec soit un con fini, un macho, un lâche, elle profite de sa queue.


Le blond s’astique à côté de moi. Oubliée la peur, il bande à nouveau. Sandrine s’active comme une déesse, menant Marcel au bord de l’apoplexie. Elle ne s’occupe que de son propre plaisir.


Je la vois soudain se lever et venir vers nous. Elle préfère visiblement les outils du blond. Elle le prend par les cheveux et lui colle sa langue dans la bouche. Elle le tire vers le sol pour qu’il s’allonge sur le dos, et vient le chevaucher. Sa queue est sans doute meilleure que celle de Marcel qui se retrouve comme un con. J’en rigole. Le blond n’est pas passif. Il a saisi ma chérie par les fesses pour la faire bouger plus haut et la faire descendre plus fort. Il ne l’insulte plus, il la baise comme une honnête femme. Elle s’en prend plein la chatte. J’en ai du plaisir pour elle. Le bougre lui explore la raie des fesses de ses doigts et lui en plante un dans le cul. Elle exulte et se cambre encore d’avantage. Elle aime ça et le fait avoir. Marcel y voit une opportunité de ne pas repartir les couilles pleine et les rejoint. Ses doigts remplacent ceux du blond et viennent fouiller le petit cul ouvert. On entend un « Vas-y Marcel » qui me fait éclater de rire, avant que ce dernier ne lui éclate le cul. Sandrine est comblée, bourrée comme une salope, honorée comme elle le mérite. Les voyous se déchaînent mais elle en veut encore, elle ne veut plus. Elle leur crie sa jouissance quand la vague arrive, et les laisse se vider les couilles à leur rythme, en décompressant.


J’attrape Marcel par le col pour le relever. Sandrine se dégage. J’ordonne aux mecs de foutre le camp. Ils ne demandent pas leur reste et montent dans leur camionnette pendant que Sandrine se rajuste. Je choppe Marcel par le col pour lui réclamer les 100 € qu’il m’avait promis. Il me les tend sans résister. Je claque la portière.


Sandrine et moi nous regardons avec un sourire. Quelle soirée !