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n° 16584Fiche technique19993 caractères19993
Temps de lecture estimé : 12 mn
13/01/15
Résumé:  Un couple routinier se ressource lors de ses vacances.
Critères:  fh ffh couple vacances plage douche nudisme massage fellation cunnilingu 69 fdanus hdanus -couple+f
Auteur : Jean34      Envoi mini-message
Enfin les vacances

Enfin… Enfin nous voilà en vacances, je les attends depuis très longtemps et j’espère qu’elles nous offriront un beau moment de repos. Notre couple qui dure depuis quinze ans maintenant a connu quelques tempêtes et beaucoup de joies, comme beaucoup de couples je suppose.


Sophie ma femme a trente-huit ans. Blonde, mince, de jolis seins ni trop gros ni trop petits qui tiennent encore bien droit, de longues jambes effilées musclées par la pratique régulière du roller. Quant à moi, Stéphane, quarante ans, je laisserai le soin à d’autres de faire mon portrait.


Nous avons laissé nos deux charmants enfants chez belle-maman et comptons bien profiter de ces quelques jours ensemble. Lors du court vol qui nous emmène vers cette petite île grecque, j’ai convaincu Sophie de se lâcher un peu plus qu’à son habitude. Notre vie est bien rodée mais ne laisse pas assez de place, à mon goût, à l’aventure et à la surprise.


J’ai réservé pour ces vacances plusieurs nuits dans une maison d’hôtes. La description montrait une sorte de cabane perchée dans un arbre en bord de mer. Le propriétaire doit venir nous chercher à l’aéroport.


À notre arrivée je suis agréablement surpris, le propriétaire en question est une charmante jeune femme, Lydia, d’une trentaine d’années, les cheveux courts bruns et à la peau bronzée. Elle porte une robe droite et assez large qui masque en partie ses formes que je devine toutefois fort agréables.


Une petite demi-heure plus tard, nous sommes arrivés. Le lieu est paradisiaque. Notre hôte habite une maison blanche typique avec une grande terrasse couverte par de grands tissus blancs. De la terrasse, un escalier mène en contre-bas à une petite crique de sable blanc bordée de pins. Lydia nous propose de nous montrer notre chambre pour que nous puissions nous installer. Le dîner sera servi dans deux heures.


La cabane en question est toute simple mais très jolie, construite tout en bois à deux mètres du sol. Elle offre sous un plancher un espace cuisine avec un évier, un petit frigo et une plaque de cuisson. Un coin toilettes sèches en dur. L’étage qu’on rejoint via un escalier est constitué de deux simples pans de toit ouverts à chaque extrémité. Il y a un grand lit sous une moustiquaire, de grands rideaux épais pour donner de l’intimité si besoin mais Lydia nous conseille de les laisser ouverts la nuit pour profiter de la brise marine et ne pas trop souffrir de la chaleur.


À l’extrémité opposée à l’escalier, il y a un balcon avec une douche de plein air. Lydia nous demande de ne pas utiliser de produits dans cette douche, elle est alimentée par une eau de source et les eaux usées s’évacuent dans la mer. Elle est très agréable pour se rincer après un bain de mer. Il y a une vraie salle de bain dans sa maison à elle. Lydia nous montre le coffre posé au pied du lit pour ranger nos affaires, nous souhaite encore une fois un bon séjour et nous attend dans sa maison pour prendre le repas.


Nous voilà enfin seuls, je m’approche doucement de Sophie, lui fait un bisou léger dans le coup.



Elle m’embrasse à pleine bouche et nos mains commencent à se balader.



Elle s’écarte légèrement de moi et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, elle se déshabille complètement et, nue comme un ver, part en me lançant : « Le dernier à la mer a perdu…. » et la voilà qui dévale les escaliers en courant.


Moi qui voulais de la surprise, je suis servi ! Je m’empresse de me déshabiller aussi et cours derrière elle. L’eau est délicieuse, nous y entrons en riant comme deux enfants et jouons dans les vagues. Sophie a les tétons dressés, je peux voir de temps en temps sa fine toison bien taillée. Elle est vraiment magnifique. J’arrive à la prendre dans mes bras et nous nous embrassons encore et encore à pleine bouche. Quel plaisir de sentir sa douce et chaude langue dans ma bouche, son corps rafraîchi par l’eau contre le mien ! Nos mains font de larges caresses sur tout nos corps.


Je me dégage de son emprise :



Nous recommençons à jouer dans les vagues un long moment, toujours en nous frottant, moi prenant ses seins dans mes mains pour les caresser, faisant largement traîner des mains baladeuses sur son sexe, ses fesses. Elle n’est pas en reste, titillant mon sexe bandé et m’embrassant souvent.

Au bout d’un petit moment nous décidons de rejoindre le sable. Je la prends par la main et nous roulons dans les bras l’un de l’autre sur le sable chaud.


Je voudrais la cajoler, la caresser, l’embrasser partout mais malheureusement le sable colle sur nos corps et nous empêche de continuer. Elle s’allonge sur le dos, les bras en croix et une jambe légèrement relevée. Un seul endroit est resté à l’abri du sable : son sexe. Mes mains, par contre, sont hors course, ce sera donc ma bouche qui viendra combler Sophie. Je m’approche doucement et dépose quelques baisers sur son sexe déjà bien rouge et qui montre un état d’excitation certain. Mais le temps n’est plus trop aux préliminaires, rapidement j’augmente le rythme de mes baisers, introduit ma langue dans son sexe, remonte vers son clitoris qui n’attendait que ça.


Sophie commence à gémir sous mes coups de langue. Je ralentis un peu pour faire durer le plaisir. Sophie ondule du bassin pour continuer et soudain pousse un cri. Son orgasme a été rapide et violent. Je viens m’allonger près d’elle et l’embrasse tendrement. Nous restons blottis quelque temps. Le soleil se couche maintenant sur la mer. La vision du corps de la femme que j’aime nue à mes côtés et de ce coucher de soleil façon carte postale me remplit d’un immense bonheur. Sophie le sent, se tourne, me sourit et m’embrasse.



Nous remontons vers la cabane et nous nous glissons sous la fine pluie douce, conformément aux instructions, seules nos mains viennent débarrasser nos corps du sable et du sel. La douche sur ce balcon pourrait nous faire passer pour des exhibitionnistes mais comme il n’y a personne autour, c’est vraiment sympa, on se sent plus proche de la nature. Nous voilà bientôt débarrassés de tout sel et sable. Je passe ma main partout sur le corps de Sophie pour bien vérifier qu’il ne reste rien, ni dans les petits plis sous ses seins, ni dans ceux de son sexe. Nous nous séchons rapidement et j’embarque Sophie sur le lit.



J’attrape dans notre sac une crème hydratante et commence à lui masser les épaules. Sophie est allongée sur le ventre et moi à califourchon assis sur ses fesses. Le sexe en érection tout contre ses fesses, je continue mon massage sur son dos et descends peu à peu. C’est au tour de ses fesses d’être massées, de rouler entre mes doigts, puis de ses jambes. La crème est rapidement absorbée et mes mains remontent vers ses fesses. Quelques doigts s’aventurent sur son sexe trempé de désir. J’enduis mes doigts de ce liquide et tente une approche sur son anus. Sophie serre les fesses immédiatement, me rappelant qu’elle n’aime pas trop qu’on joue avec cette partie intime.


Tant pis, on verra plus tard peut-être. Je lui demande de se retourner pour que je puisse continuer mon massage. Je masse lentement et longuement ses seins, Sophie frisonne de bonheur, elle apprécie beaucoup cette sollicitation. Je descends pour masser ses cuisses et ses jambes. Puis m’allonge près d’elle et commence à lui masser le clitoris tandis que je l’embrasse. Je sais que cela n’a rien de très spectaculaire mais Sophie aime ces caresses. D’ailleurs rapidement elle jouit si fort que je ne peux plus la toucher. Généralement, après ce petit traitement Sophie ne veut qu’une chose : être pénétrée. Tout son corps m’appelle mais je la repousse gentiment lui disant que dans cet état je vais jouir très vite et qu’elle n’a pas encore eu ses trois orgasmes. De plus il commence à se faire tard et notre hôte doit s’impatienter et puis on commence à avoir très faim.


Je n’ai pas trop envie qu’on se rhabille. Sophie propose de passer une très légère robe sans rien dessous et moi un short bien large qui a bien du mal à masquer ma superbe érection. Ce qui fait bien rire Sophie.


Nous remontons donc vers la petite maison. Lydia nous attend, elle aussi a su mettre à l’aise, elle ne porte qu’un simple paréo noué autour du cou. En haut elle ne porte rien, son dos nu en atteste. Quant au bas je ne suis pas sûr. On s’installe sur la terrasse et Sophie et moi sommes satisfaits de voir que la cabane et la plage ne sont pas visibles.


Lydia nous propose un toast à nos vacances et lance la grillade d’un beau poisson sur le barbecue. La soirée est très agréable nous découvrons quelques points communs. Deux bouteilles de vin sont ouvertes, participant à détendre encore l’atmosphère. À la fin du repas nous nous levons pour profiter de la belle nuit étoilée, Sophie est ravissante, je me colle à elle dans son dos, l’embrasse dans le cou, mes mains se baladent sur son corps et cherchent à passer sous la légère robe. Sophie m’arrête, me disant à l’oreille qu’elle a très envie mais pas devant Lydia qui reste silencieuse à nous regarder avec un petit sourire.



Nous la remercions chaleureusement et partons vite vers notre chambre. Nos habits volent immédiatement par-dessus nos têtes et nous plongeons dans le lit sous la moustiquaire. La suite est plus bestiale, Sophie a une très grosse envie de sexe, quelques coups de langue sur ma verge suffisent à finir de bien me préparer. Je la pénètre sans autre forme de procès, son sexe détrempé m’accueille et Sophie pousse un long gémissement.



Je m’applique donc à faire de grands va-et-vient tout en prenant soin de ralentir quand mon point de retour est proche. Sophie ne résiste, heureusement pour moi, pas longtemps et hurle sa jouissance. Je décide de changer de position et la prends en levrette. Maintenant j’accélère, mon contrat est respecté et à mon tour je jouis dans un grand râle. Je m’écroule à côté de Sophie, trouve encore la force de faire quelques caresses et nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.


Le lendemain matin, je suis réveillé par un bruit de tintement de verre. C’est Lydia qui nous apporte le petit déjeuner. Sophie dort encore, et Lydia ne peut rien ignorer de notre anatomie à tous les deux. Je cherche un drap pour nous couvrir mais il n’y en a pas. Lydia me sourit et dit : « ne soyez pas gênés ». Sophie se réveille à cet instant, un moment gênée elle aussi par la situation, elle se détend rapidement. Lydia nous laisse pour déjeuner tranquillement, avant de partir elle nous laisse deux paréos nous disant de nous vêtir avec. Nous avons une faim de loup. Les jus d’orange frais sont exquis. Les tartines et yaourts aussi.


Le petit déjeuner englouti, je noue le paréo autour de la taille et Sophie autour du cou comme Lydia. Nous remontons vers la maison pour discuter avec Lydia. Elle nous parle de son histoire, ses échecs récents et son envie actuelle de vivre près de la nature ici mais elle souffre un peu de solitude. On apprend qu’elle est aussi diplômée d’un institut de massage renommé. Sophie n’a jamais pu résister à un massage, c’est donc quasi immédiatement qu’elle et Lydia décident de faire une séance. Lydia sort des futons pour mettre sur la terrasse ainsi que l’huile de massage de sa fabrication. Sophie me dit de bien regarder pour augmenter mes compétences.


Sans question aucune, Sophie défait son paréo et s’allonge nue sur les futons. Et la séance commence. Je me sens un peu inutile au début mais quel beau spectacle à voir ! Mon sexe commence à se dresser et je m’accroupis à côté de Sophie pour masquer mon état. Lydia masse longuement les épaules de Sophie qui adore ça, puis descend lentement dans son dos. Je vois Sophie ronronner sous les caresses. C’est au tour de ses jambes d’être malaxées, étirées, enduites d’huile.


Lydia demande à Sophie si elle accepterait un massage plus… intime. Sophie se contente d’un « moui » un peu timide, je sens bien qu’elle en a envie mais n’ose pas. Je lui glisse à l’oreille de se laisser aller complètement. Lydia déverse alors une bonne quantité d’huile sur les fesses de Sophie et commence un voluptueux massage. Elle glisse un traversin sous le ventre de Sophie, elle a ainsi un accès complet au sexe de Sophie. Elle commence par masser ses grandes lèvres, les faisant rouler entre l’index et le pouce. Puis c’est au tour des petites lèvres d’être étirées, malaxées.


Sophie gémit de plus en plus fort, je décide d’entrer en scène en massant ses épaules, son cou et son cuir chevelu pour qu’elle se détende le plus possible. Lydia introduit alors plusieurs doigts dans le sexe béant de Sophie et commence des mouvements de va-et-vient. Son pouce vient se positionner sur l’anus de Sophie et je crois qu’elle va subir un coup d’arrêt tant elle n’aime pas les caresses sur son anus. À ma grande surprise elle ne dit rien et bientôt le pouce entier disparaît dans l’anus de Sophie.


S’en suivent de longs va-et-vient dans les deux orifices de Sophie. Les doigts de Lydia tournoient dans le sexe de Sophie, cherchant à stimuler au maximum ses parois vaginales. Son majeur se concentre sur son point G le massant généreusement. Lydia ressort ses doigts trempés de cyprine et vient s’attaquer à son clitoris. Lydia exerce tout son savoir-faire du massage du yonin. Elle alterne parfaitement les stimulations du clitoris et le massage de l’entrée du vagin extrêmement sensible. Elle rentre ses doigts le plus profond possible pour une stimulation plus globale. Sans oublier son pouce qui s’occupe gentiment de l’anus de Sophie. Son sexe est entièrement exploré, fouillé, quel spectacle, et quel beau moment de partage intime !


Sophie est sortie de sa léthargie et pousse des gémissements de plus en plus forts. Elle est consciente mais semble dans un état second, j’ai du mal à la reconnaître. Elle n’est plus qu’un corps centré autour de son plaisir. Bientôt elle pousse de grands cris. La jouissance la submerge mais contrairement à d’habitude la jouissance ne semble pas la bloquer, Sophie continue à onduler et à gémir de plaisir. Je suis un peu jaloux d’un tel résultat et j’espère bien que Lydia me donnera les conseils pour en faire de même.


Lydia calme peu à peu le jeu mais continue les caresses et demande à Sophie de se mettre sur le dos maintenant.



Pour toute réponse je l’embrasse et lui dit que je l’aime. Lydia lui explique qu’elle aime aussi partager ces massages et que pour elle, une femme est très belle lorsqu’elle jouit librement. De plus elle rajoute :



Nous rions tous les trois et c’est à mon tour de profiter. Je fais tomber le paréo et je m’installe sur le dos, mon sexe est droit comme un I. Mais Lydia commence consciencieusement à me masser le torse puis les jambes, ce qui a pour effet de me détendre et de faire ramollir mon sexe. Après quelque temps elle dit à Sophie :



Elle me chevauche tête bêche, se penche en avant et engloutit mon sexe dans sa bouche. Son sexe à elle tout luisant est seulement à quelques centimètres de ma bouche, j’en profite donc pour lécher, sucer, aspirer tout ce que je peux. Et effectivement il ne me faut pas longtemps pour retrouver une superbe érection.



Lydia avertit Sophie que je ne vais plus tenir longtemps à ce rythme, ce que je confirme dans un râle de plaisir. Sophie vient donc s’empaler sur mon sexe et en quelques secondes je jouis comme jamais. Sophie s’écroule sur moi et nous nous embrassons, nos corps enduits d’huile glissant l’un contre l’autre.


Lydia reste à côté de nous, souriante, je lui demande ce qui lui ferait plaisir car elle a beaucoup donné sans recevoir. Et que moi ou Sophie pourrions la masser et la caresser comme elle l’a fait pour nous. Elle hésite puis accepte, défait son paréo pour apparaître nue devant nous. Elle ne porte effectivement pas de petite culotte. Elle a de petits seins très mignons. Ses aréoles sont petites avec de très beaux tétons dressés. Son sexe est entièrement épilé. Son corps très fin est bien sculpté, musclé juste comme il faut.


Elle s’allonge sur le dos. Je m’occupe de lui masser les seins pendant que Sophie lui masse le sexe. C’est un plaisir de la masser, elle nous guide précisément pour lui procurer le maximum de plaisir demandant à Sophie de placer tel doigt sur telle lèvre, tel autre dans son anus, me demandant de titiller ses tétons ou de masser ses seins en entier.


À son tour elle jouit bientôt intensément et nous remercie chaleureusement. Sensation bizarre, nous sommes tous les trois nus, nous venons d’avoir des orgasmes fulgurants et pourtant il n’y a pas de gêne. Pas d’ambiguïté, Sophie est lovée dans mes bras. Lydia assise en tailleur devant nous et nous sommes bien.


J’aime ma femme énormément et je suis vraiment heureux de vivre tout ça. Vis-à-vis de Lydia pas de désir particulier mais une énorme gratitude de nous avoir amenés à ces moments de plaisir. Elle deviendra pour nous pour les prochains jours comme une coach de sexe, nous faisant découvrir nos corps et comment procurer du plaisir à l’autre.