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n° 16585Fiche technique17863 caractères17863
Temps de lecture estimé : 12 mn
14/01/15
Résumé:  Une femme organise une soirée surprise pour son mari qui se retrouve immobilisé et savoure les bruits de la relation lesbienne que s'offre alors sa femme.
Critères:  ff fbi couple extracon inconnu amour hsoumis fdomine sm attache bondage baillon tutu -sm
Auteur : Sonpetits
Surprise... par Elle(s)

Pour cette soirée tu as tout prévu : les enfants sont chez leurs copains pour le week-end et tu m’as demandé d’être pleinement disponible… Pourtant nous ne partons nulle part, ne sortons pas, je suis donc sûr d’une chose, nous allons jouer !


Je lis tranquillement dans le canapé quand tu arrives dans une tenue divine. Une robe noire, brillante, qui couvre ton cou, tes bras, et s’arrête au ras de tes fesses. Latex ou vinyle, je ne saurais dire… Tes seins sont soulignés par une légère transparence à leur niveau et tes hanches sont moulées au plus près par cette seconde peau qui met en valeur tes formes si féminines. Tes jambes, gainées de bas qui commencent tout juste avant que la robe ne finisse, s’engouffrent sous tes genoux dans des bottes assorties à ta robe. Tu es superbe, sexy à souhait, très excitante, je savoure cette surprise, magnifique cadeau pour mes yeux et mon esprit. Avec ce sourire qui magnifie tes yeux et ta crinière blonde, tu me poses une de ces questions qui n’appellent pas de réponse :



Je ne peux que confirmer par un hochement de tête, je suis aux anges. Tu t’assois alors face à moi en croisant les jambes et, visiblement heureuse de ton effet, tu me lances une phrase qui sonne comme le démarrage d’un programme mûrement réfléchi :



Dans la salle de bain, je trouve un boxer, une chemise blanche et un pantalon noir, le message est clair : tu veux un serveur pour ta soirée. Une fois propre, habillé et rasé de près, je descends installer la table puis nous servir l’apéritif. Je m’active pendant que tu m’observes et me lances des injonctions depuis le canapé. Délicieux jeu de rôle dans lequel je me concentre pour bien faire et te faire plaisir.


Enfin, je me pose à tes côtés pour partager un verre. Alors que tu bois ton martini et que nous discutons, tu passes (de mon point de vue) plus de temps à regarder ton téléphone et faire des échanges de sms, qu’à être réellement avec moi… Agacé, je t’en fais la remarque.



Debout, nu dans le bureau, j’attends depuis de longues minutes. Je n’ose trop rien dire quand tu passes dans le bureau en feignant de m’ignorer. Tu t’actives à faire je ne sais quoi, que dois-je faire ? Je t’interpelle alors et là, sans mots dire, tu pars et reviens avec de l’adhésif :



Tu me regardes et, devant toi, je m’exécute. Tu commences alors à me caresser le corps en tournant lentement autour de moi. Tes mains effleurent mon torse, mes oreilles. Tu te colles à mon dos et caresses mon ventre, puis tu recules et parcours mes fesses. Tu tournes autour de moi en promenant tes mains de mon cou à mon entrejambe en empruntant autant de chemins que le corps n’offre de sensations. L’excitation monte en moi, mon sexe est raide comme un bambou, mais jamais tu ne le touches ni même l’effleures, je me tords d’envie. Tu me souffles alors à l’oreille :



Pourtant tu me câlines encore et… tes mains saisissent mes bourses et me masturbent, doucement, en tirant mes boules vers le bas. Je deviens fou et là, tu t’agenouilles et entreprends de me lécher le bout du gland en m’intimant de ne pas te toucher, de ne pas bouger. Alors que ta langue parcourt mon sexe de bas en haut, tu serres mes couilles et tu m’amènes à la limite puis tu t’arrêtes. Maintenant mes bourses en main, tu te lèves en frôlant mon corps de tes seins, tu recules pour que j’admire ta tenue et, doucement, avec ton magnifique sourire, tu quittes le bureau en me disant :



Tu vas dans l’arrière-cuisine, je t’entends fouiller… Tu parles volontairement à voix haute afin que je t’entende bien :



Tu reviens avec le sourire :



Tu m’enfiles cette housse plastique doucement en prenant soin qu’elle glisse bien sur mon corps. Tu tournes alors autour de moi doucement, effleurant mon corps à travers ce sac. Tu te colles alors dans mon dos et passes tes bras autour de moi pour caresser mon torse. Tu tires doucement le sac afin de le coller contre mon torse, tu poursuis ton mouvement autour de mes bras, tendant le sac autour de ma poitrine, tenant le « surplus » dans mon dos. Tu relâches, tu fais quelque chose derrière moi, mais je ne peux pas voir. Je sens alors le sac se tendre à nouveau puis je sens que tu poses une large bande adhésive derrière. Le sac reste tendu contre mon torse. Je sens alors tes bras entourer mon ventre et, doucement, tes mains tirent le sac autour de mon ventre vers mes bras, mon dos… puis je sens que tu tends le tout d’un adhésif supplémentaire dans mon dos.


Tu poses alors tes mains sur mes cuisses, les parcours. Le haut de mes bras est maintenu contre mon corps par le sac tendu autour de mon torse et de mon ventre. Je m’interroge, que fais-tu ? Où m’emmènes-tu ? Tes mains poussent doucement mes cuisses l’une contre l’autre puis positionnent mes mains à plat sur le côté de mes cuisses et, tout doucement, tu tends le sac vers l’arrière et le fixe d’un adhésif sous mes fesses. Mes mains sont bloquées. Le sac est comme un étau qui se resserre. Cette sensation m’excite au plus haut point. Tu finis ton œuvre en entourant le surplus de sac à hauteur de mes mollets et en fixant le tout. Me voilà immobilisé dans ce sac, comme momifié dans la housse.



Ton regard me fait baisser les yeux. Ta tenue, ma situation, tout cela est plus plaisant qu’une punition, en effet.



Tu bascules alors le matelas au sol dans le bureau en me regardant avec le sourire. Tu vas dans notre chambre et reviens avec un drap-housse. Tu l’installes puis tu m’aides à m’allonger. Tranquillement, tu repars puis reviens avec une couverture que tu installes sur moi. Tu t’allonges alors à côté de moi et parcours mon torse, mon sexe, avec tes mains. Tu glisses tes doigts sur le sac en prenant soin de ne pas trop appuyer. Je ressens tes caresses plus que je ne les sens. Tu effleures mon sexe, tu caresses mon gland. Et là… tu me dis doucement :



Je te regarde, interpellé. Tu es radieuse, contente de ton effet. Moi, je ne sais plus où on va, tu m’intrigues. Tu te baisses et lèches mon gland à travers le sac, puis tu remontes ta tête le long de mon torse en glissant sur le sac. Tu m’embrasses à travers le bâillon et poses ton nez contre le mien. Sans bouger, tu me dis :



Je suis là, immobilisé, excité et intrigué, tes yeux dans les miens, ta bouche effleure mon bâillon, tu dis alors, doucement, mais fermement :



Je fais signe que oui, mais je ne comprends pas bien, je me demande, m’inquiète.


Tu pars alors du bureau en laissant la porte ouverte derrière toi. Je t’entends dans notre chambre. Les bruits laissent penser que tu te changes. Les échanges de sms reprennent. Tu t’installes devant la télé. J’épie tes bruits, tente de deviner ce que tu fais, ce qui m’attend. Puis je pense au repas avec la table et les chandelles. Tu vas me libérer tôt ou tard, car tu ne vas pas manger seule ! Je comprends ton jeu : ce soir, je suis à toi ou alors je passe la nuit ainsi. Quand tu reviendras, je saisirai ma chance, je serai obéissant. Je transpire. Pourquoi m’avoir momifié ainsi pour me libérer pour manger ? À moins que tu ne me fasses manger ainsi ? Je ne sais plus…


L’angoisse de l’attente m’excite, je sue, je bande, mais qu’attends-tu ? Que fais-tu ? Après un temps interminable, alors que tu regardes la télé, on frappe à la porte d’entrée. Aïe ! Perturbation du jeu, comment vas-tu gérer ? Tu entres dans le bureau en criant :



Je vois que tu t’es changée. Tu as la belle robe ouverte dans le dos que j’aime tant. Tu es belle, la maîtresse a laissé place à la belle femme en tenue de soirée. Je vois que tu as gardé tes bas lorsque tu t’agenouilles pour embrasser mon bâillon.



Sur ce tu quittes le bureau en t’assurant que la porte soit bien fermée.


Je t’entends ouvrir la porte d’entrée. J’entends une voix de femme et ta voix qui est à la fois heureuse et tendue. Tu l’as fait entrer. De toute évidence tu l’attendais ! J’ai peine à le croire. Je vous entends parler. Visiblement, tu l’invites à poser ses affaires et à prendre un verre. J’entends moins bien, car vous quittez l’entrée pour le salon. La voix ne me rappelle personne. Combien de temps va-t-elle rester ? Et moi, je suis coincé, pris au piège. Tu ne vas pas m’oublier, je le sais. J’aime mariner, mais là j’ai peur qu’elle ne me découvre. Je crois comprendre qu’elle reste manger avec toi. Avec nos chandelles ! J’ai mis le couvert pour elle ? Et préparer ce que tu m’as dit pour elle ? Je t’imagine en tête à tête, je te vois alors comme si… non, quand même, tu ne vas pas le faire ? Quoique tu en aies toujours rêvé et j’ai toujours dit que selon la situation… Je bande de plus fort, je passe de la crainte au phantasme pur.


Avant de passer à table, elle veut aller aux toilettes. Je t’entends lui indiquer le chemin. Et si elle ouvrait le bureau ? Je ne sais plus ce que je veux. Je me raccroche à ce que tu m’as dit : je t’aime, je dois tenir… Ne pas faire de bruit, ne pas bouger, je sue à grosse goutte, le plastique me colle à la peau. Depuis le temps que je suis immobilisé dedans, une pellicule de sueur fait glisser le plastique sur mon corps. Douce et plaisante sensation. Je flotte dans mon sac, quelque part entre excitation et peur, je m’abandonne totalement à cet état second : je te fais confiance, tout simplement… Je sors de ma torpeur lorsqu’elle ressort des toilettes et que tu arrives dans le couloir. Vous échangez en allant à la salle de bain pour vous laver les mains. Tu lui parles de moi, je suis sûr que tu le fais exprès, car tu sais que j’entends. Tu parles de mon côté ouvert, aimant les expériences et n’ayant pas peur d’évoquer avec toi certains de mes phantasmes, voire de les réaliser. Elle ne semble pas surprise et te demande d’en dire plus… Tu éludes en évoquant toutefois certaines envies typiquement masculines. Tu évoques mes déplacements et cites le cas de ce soir où je suis encore absent…


Votre repas est une torture interminable. Depuis le salon je perçois vos rires, vos silences, le bruit de vos couverts, mais la discussion est étouffée, je participe sans vraiment tout avoir. Ma sueur dans mon sac, cette sensation trouble d’excitation, de peur, de jalousie mêlée au désir d’être à toi, de te faire plaisir, m’envoûte et me transporte à nouveau dans cet état second de flottement intemporel. Je reviens à moi, l’heure tourne, j’ai chaud, je vis soudainement un moment de flip, je voudrais que ma torture cesse ! Être libre avec toi… Puis la douce chaleur humide qui m’entoure me rassure, mon immobilisation devient un berceau, vos bruits, une lointaine comptine, sa présence redevient source d’un phantasme, toi, elle, toi et elle, je m’envole dans un autre monde, je m’assoupis.


J’entends subitement la douche couler, cela me ramène dans mon sac, je ne peux pas bouger, c’est vrai. Réveil en situation exquise. La douche ? Tu vas sans doute te coucher, elle doit être partie, mais je ne l’ai pas entendu partir. Je dormais si bien ? Ma porte s’ouvre. Je suis paniqué : qui est sous la douche ? Qui ouvre ma porte ? Ouf, c’est toi. Tu t’allonges à mes côtés et me souffles :



Je te regarde. Ta main passe sur mon sexe, tu embrasses mon bâillon et me dis doucement :



Je fais signe oui de la tête. La douche, sa douche, s’arrête de couler. Tu te lèves avec ce regard qui me fait fondre et me dis :



Je l’entends te rejoindre dans notre chambre, tu lui demandes de laisser la porte entrouverte et tu sais que tu n’as pas complètement fermé le bureau. Tu veux que j’entende. Tu veux que ton cadeau soit ma punition, pour notre bonheur commun. J’entends vos effleurements qui deviennent caresses. Je devine vos souffles, je ressens votre baiser. J’entends tes râles, je ressens ton corps se détendre, ta peau émet un feulement lorsqu’elle l’embrasse. Je suis toi, je ressens ton bonheur, il m’envahit. Je l’entends laper ton clitoris comme j’ai toujours rêvé de savoir le faire. Je rêve de son doigt qui câline ton point G tandis que sa langue lubrifie tes lèvres et joue avec ton clitoris. C’est excitant et frustrant à la fois. Je ne peux y être physiquement, alors tout mon être se tend vers vous pour partager votre corps-à-corps. Sait-elle faire au mieux ce que tu aimes ? Connaît-elle tes petits plaisirs comme moi ? Oui, j’entends que vous êtes en phase, que vous partagez cet instant. Je sais que tu me sens, que tu es à elle, mais avec moi. Au fond de toi, nous sommes ensemble avec elle. À la fois plaisante et débordante, ma jalousie se dilue dans cet étrange mélange de sensations. Je me tortille dans mon sac, mon gland glisse contre le plastique tendu, lubrifié par ma sueur et le méat. Je me dis que non, c’est pour toi, je dois tenir, mais je suis fou de bonheur et d’excitation de t’entendre heureuse et lorsque ta jouissance emplit la maison, je n’en peux plus, je te rejoins, prisonnier physiquement, mais tellement avec toi intellectuellement, j’exulte, passionnément, tout mon corps se tend, ma jouissance remplit le peu d’espace disponible dans ce sac, ton plaisir déclenche mon plaisir, ta jouissance est mienne.


À demi assoupi après cette jouissance partagée à distance, j’entends la porte d’entrer s’ouvrir et se fermer. Quelques minutes plus tard, je sens ton corps se glisser contre moi. Tu relèves la couverture pour regarder le bas de mon ventre et là en passant ta main à plat sur le sac pour étaler mon sperme avec ta paume tu me dis :



Tu poursuis alors le mouvement circulaire de ta main pour étaler encore et encore tandis que ta tête se pose sur mon torse. Les minutes passent, pendant lesquelles tes caresses parcourent mon corps à travers ce sac devenu prison dont je ne veux plus du tout. Tu ne dis pas un mot, je n’ose émettre un son… tu bouges, retires ta tête de mon torse et là, instant de bonheur suprême, je sens une lame de ciseaux qui pénètre par mon cou pour me libérer, doucement, lentement, très lentement, tu me libères dans une lenteur mesurée. Après cela, une serviette me parcourt, tu me retires le bâillon. Enfin, ton petit corps chaud rejoint le mien… Je l’ai tant rêvé, désiré… Ce corps que je chéris plus que tout est là, blotti dans mes bras. Nous sommes seuls, tellement collés l’un à l’autre, on ne fait plus qu’un. Heureux l’un et l’autre du plaisir offert mutuellement, nous nous embrassons farouchement.